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Brusque (Aveyron)

43° 46′ 10″ nord, 2° 57′ 02″ est
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirBrusque.

Brusque
Brusque (Aveyron)
Vue générale
Blason de Brusque
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionOccitanie
DépartementAveyron
ArrondissementMillau
IntercommunalitéCommunauté de communes Monts, Rance et Rougier
Maire
Mandat
Hélène Ros-Chico
2020-2026
Code postal12360
Code commune12039
Démographie
GentiléBrusquois
Population
municipale
259 hab.(2022en évolution de −9,12 % par rapport à 2016)
Densité7,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées43° 46′ 10″ nord, 2° 57′ 02″ est
AltitudeMin. 416 m
Max. 1 080 
m
Superficie36,18 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionHors attraction des villes
Élections
DépartementalesCanton des Causses-Rougiers
LégislativesTroisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Brusque
Géolocalisation sur la carte :France
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Brusque
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Brusque
Géolocalisation sur la carte :région Occitanie
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Brusque
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Brusque[bʁy.skə] (occitan :Brusca[ˈbɾysk]) est unecommune française, située dans ledépartement de l'Aveyron, enrégionOccitanie.

Géographie

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Localisation

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Carte

La commune de Brusque se trouve au sud du département de l'Aveyron, dans lapetite région agricole desMonts de Lacaune[1].

Elle se situe à 113 km par la route[Note 1] deRodez[2],préfecture du département, à 63 km deMillau[3],sous-préfecture, et à 53 km deLa Cavalerie[4],bureau centralisateur ducanton de Causses-Rougiers dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie dubassin de vie de Saint-Affrique[I 1].

Les communes les plus proches sont[5] :Fayet (3,9 km),Arnac-sur-Dourdou (4,9 km),Peux-et-Couffouleux (5,9 km),Mélagues (6,3 km),Tauriac-de-Camarès (6,6 km),Sylvanès (7,4 km),Mounes-Prohencoux (8,0 km),Camarès (8,3 km),Gissac (8,8 km).

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sontArnac-sur-Dourdou,Camarès,Fayet,Mélagues,Murat-sur-Vèbre,Peux-et-Couffouleux etTauriac-de-Camarès.

Carte
Les limites communales de Brusque et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes deBrusque[6]
CamarèsFayetTauriac-de-Camarès
Peux-et-CouffouleuxBrusqueMélagues
Murat-sur-Vèbre
(Tarn)
Arnac-sur-Dourdou

Géologie et relief

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La commune est située sur une zone de transition entre la plaine deSaint-Affrique et lesmonts de Lacaune, au relief très accidenté. Elle culmine avec leMerdelou, qui est le massif le plus élevé du sud-Aveyron et recèle plusieursavens importants. Le climat se rapproche de celui deLacaune, avec de très fortes précipitations d’octobre à avril, entraînant souvent de fortescrues.

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Brusque.

La commune est drainée par leDourdou de Camarès, le ruisseau de sanctus, Rieu Sec, le ruisseau de Bréoune, le ruisseau de Brox, le ruisseau de Cambias, le ruisseau de Célieux, le ruisseau de Crouzet, le ruisseau de la Bouffie, le ruisseau de la Regagnerie, le ruisseau de Limbriac, le ruisseau de Mauriole, le ruisseau de Mialet, par divers petits cours d'eau[7].

LeDourdou de Camarès, d'une longueur totale de 86,8 km, prend sa source dans la commune deMurat-sur-Vèbre (81) et se jette dans leTarn àSaint-Izaire, après avoir arrosé 13 communes[8].

La commune est limitrophe de la ligne de partage des eauxMéditerranée-Atlantique, située dans sa presque totalité du côté Atlantique.

Le village lui-même est situé au confluent du Dourdou et du ruisseau de Sanctus, qui sont franchis par un pont de confluent.

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Occitanie etClimat de l'Aveyron.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat des marges montargnardes, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[9]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[10]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre leclimat de montagne et leclimat méditerranéen[11] et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Sud-est du Massif Central »[12]. Elle est en outre dans lazone H2c au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[13],[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,6 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de5,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 179 mm, avec 9 jours de précipitations en janvier et 4,1 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 103,3 mm[15],[16]. La température maximale relevée sur cette station est de39 °C, atteinte le ; la température minimale est de−13,7 °C, atteinte le[Note 2].

Statistiques 1991-2020 et records station BRUSQUE_SAPC (12)- alt : 858 m, lat : 43°44'58"N, lon : 2°56'19"E
Records établis sur la période du
1er mars 2007 au
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)0,60,52,95,98,612,514,714,9128,84,41,97,3
Température moyenne (°C)3,23,66,59,812,616,819,62016,3126,94,511
Température maximale moyenne (°C)5,96,710,113,716,721,224,52520,715,39,47,114,7
Record de froid (°C)
date du record
−9,1
18.01.13
−13,7
08.02.12
−8,4
09.03.10
−4,7
03.04.22
−1,6
05.05.19
4,2
20.06.10
7,5
24.07.11
7,3
31.08.10
1,7
27.09.07
−3,2
28.10.12
−5,9
16.11.07
−10,4
26.12.10
−13,7
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
21,3
01.01.22
22,3
27.02.19
23,2
17.03.14
28,5
13.04.24
29
25.05.17
35,1
17.06.22
36,2
30.07.24
39
23.08.23
30,8
09.09.11
29
02.10.11
21,9
11.11.15
21,5
31.12.21
39
2023
Précipitations (mm)96,770,9104,7112,3119,858,642,336,274,6176,6140,370,31 103,3
Record de pluie en 24 h (mm)
date du record
128,9
03.01.08
93,5
22.02.21
119,4
12.03.22
70,8
19.04.25
79,4
27.05.08
71,4
08.06.13
38,9
05.07.12
38,6
29.08.12
167,3
16.09.14
147,8
15.10.18
145
28.11.14
38,6
22.12.10
167,3
2014
Source :« Fiche 12039001 »[PDF], surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/data, édité le : 06/10/2025 dans l'état de la base(consulté le)
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
5,9
0,6
96,7
 
 
 
6,7
0,5
70,9
 
 
 
10,1
2,9
104,7
 
 
 
13,7
5,9
112,3
 
 
 
16,7
8,6
119,8
 
 
 
21,2
12,5
58,6
 
 
 
24,5
14,7
42,3
 
 
 
25
14,9
36,2
 
 
 
20,7
12
74,6
 
 
 
15,3
8,8
176,6
 
 
 
9,4
4,4
140,3
 
 
 
7,1
1,9
70,3
Moyennes :• Temp.maxi etmini°C• Précipitationmm

Pour afficher une liste d’indicateurs climatiques caractérisant la commune aux horizons 2030, 2050 et 2100 et pouvoir ainsi s'adapter aux changements climatiques, entrer son nom dans Climadiag-commune[17], un site de Météo-France élaboré à partir des nouvellesprojections climatiques de référence DRIAS-2020.

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés

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Laprotection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver desespaces naturels remarquables et leurbiodiversité associée[18].Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, leParc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de327 937 ha. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[19],[20].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Brusque comprend trois ZNIEFF detype 1[Note 3],[21] :

  • les « Bois et crêtes de Merdelou » (752,5 ha)[22]
  • le « Pont de la Mouline, vallée du Dourdou d'Arnac à Brusque, forêts du haut-Dourdou, du Mayni et de Saint-thomas » (2 606 ha)[23];
  • la « Rocailles de la Grotte Notre-Dame » (82,3 ha)[24]

et une ZNIEFF detype 2[Note 4],[21], le « Rougier de Camarès » (56 714 ha), qui s'étend sur 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et une dans l'Hérault[25].

  • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
  • Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
    Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.

Urbanisme

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Typologie

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Au, Brusque est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[26].Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[27],[28].

Occupation des sols

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Infrastructures et occupation des sols de la commune de Brusque.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (76,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,7 %), prairies (6 %), zones urbanisées (1,1 %), terres arables (1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,5 %)[29].

Hameaux et lieux-dits

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La commune compte de nombreux hameaux. Dans sa recension deslieux habités de l'Aveyron de 1868, Jean-Louis Dardé comptait sept « villages » (plus de 25 habitants), six « hameaux » (moins de 25) et vingt-trois lieux-dits qui sont des maisons isolées. Leshameaux actuels sont au nombre de onze : Brox, Cambias, Cribas, Cusses, la Devèze de Brusque, le Crouzet, Mialet, Moulergues, Pressouyres, la Regagnerie, Saussières, Sials, le Tannat, Viales. Le domaine de Céras est devenu un village de vacances centré autour d'un plan d'eau artificiel.

Ce tableau liste les hameaux présents sur la commune de Brusque.

  • Baraque (la)
  • Bouffie (la)
  • Bréonne
  • Brox
  • Brusque
  • Cambias
  • Castel Nouvel
  • Célieux
  • Céras
  • Combes (las)
  • Couffil (le)
  • Cribas
  • Crouzet
  • Cusses
  • Cussette
  • Dégoutal (le)
  • Jasse (la)
  • Ladoux
  • Maurissol
  • Mialet
  • Moulergues
  • Moulin de Delmas
  • Pressouyres
  • Regagnerie (la)
  • Saint-Thomas
  • Saussières
  • Sials
  • Soubras
  • Tanat (le)
  • Thérondels
  • Valasoubre
  • Viales

Planification

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Laloi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’unSCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT duParc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est lePôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huitcommunautés de communes, notamment lacommunauté de communes Monts, Rance et Rougier, dont la commune est membre[30].

La commune disposait en 2017 d'unecarte communale approuvée et unplan local d'urbanisme était en élaboration[31].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Brusque est vulnérable à différents aléas naturels :inondations, climatiques (hiver exceptionnel oucanicule), feux de forêts etséisme (sismicité très faible).Il est également exposé à deux risques particuliers, les risques radon et minier[32],[33].

Risques naturels

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Zones inondables de la commune de Brusque.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par débordement duDourdou de Conques. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans les bassins duLot, de l'Aveyron, duViaur et du Tarn) et au (bassins de laSorgues et duDourdou)[34]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais duPlan de prévention du risque inondation (PPRI) du bassin du « Dourdou de Camarès amont»[35], approuvé le 6 décembre 2012[36].

Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[37].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[38],[39].

Risques particuliers

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La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[40].

Dans plusieurs parties du territoire national, leradon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population auxrayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. La commune de Brusque est classée à risque faible avec facteurs géologiques[41].

Toponymie

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Histoire

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Des origines à la constitution du consulat

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On trouve sur le terroir de Brusque des traces d'occupation ancienne, notamment unoppidum de l'époque gallo-romaine, et des traces d'activité minière. Ainsi l'aven naturel de Bouco-Payrol se prolonge par d'importantes galeries de mines ayant servi à l'exploitation ducuivre depuis leIer siècle av. J.-C.[42].

Brusque est le siège d'uneviguerie carolingienne, voisine mais indépendante de celle deCamarès, et signalée dès 883 dans lecartulaire de l'abbaye deVabres. Ces domaines sont dans la mouvance ducomté de Rodez. La viguerie de Brusque comprenait les territoires des actuelles communes deArnac,Fayet,Mélagues,Tauriac, ainsi que Blanc (actuelle commune dePeux-et-Couffouleux). Cette dernière paroisse s'en détachera rapidement, tandis que les cinq autres resteront groupées jusqu'à la Révolution en une communauté unique, qui portera successivement les noms de baronnie de Brusque, marquisat de Brusque-Fayet.

Brusque fut détaché auXe siècle du comté de Rodez pour former partie de lavicomté d'Albi, domaine de la familleTrencavel. C'est en 1060 qu'est citée pour la première fois la présence d'un « castrum » à Brusque. Jusqu'au début duXIIe siècle, la terre de Brusque est donnée en fiefs, qui s'émiettent et on trouve de nombreux co-seigneurs (jusqu'à 5 simultanément), portant le nom « de Brusque ». Les Trencavel reprennent le territoire en main, par rachat, en 1156, tandis que la famille « de Brusque » se replie sur ses possessions de Blanc, dorénavant détaché du Brusquès.

Articles connexes :Croisade des Albigeois etConsulat (Moyen Âge).

Avec la croisade des Albigeois, Brusque passa successivement aux mains deSimon de Montfort puis des comtes de ToulouseRaymond VI etRaymond VII. Ce dernier accorda la constitution d'unconsulat en 1244. Cette manœuvre visait sans doute à s'attacher la fidélité de la ville, pour contrer l'influence dusénéchal de Béziers, représentant le roi. En effet, à peu près à la même époque, le château de Brusque fut assiégé par les troupes royales.

La seigneurie de Brusque jusqu'à la Renaissance

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On ignore à quelle date, antérieure à 1316, Brusque fut inféodé par le roi à la famille desClermont-Lodève. La seigneurie restera dans les mains de leurs descendants jusqu'à la veille de la Révolution. Elle sera érigée enbaronnie en 1367. Les Clermont-Lodève remettront parfois la gestion de Brusque à des vassaux, sans qu'on en ait la liste exhaustive.

En 1328, le roiPhilippe VI concède aux habitants de Brusque le droit de tenir une foire. Après labataille de Poitiers (1356), Brusque avec tout le Rouergue passe sous obédience anglaise. La victoire deBouchard VII de Vendôme à la bataille deMontlaur, en 1369, fit repasser la ville dans le giron français.

Dans la première moitié duXVIe siècle Tristan II de Clermont-Lodève ou l'un de ses fils fit construire le château deFayet, conçu comme résidence d'agrément occupant une place plus centrale dans leurs nombreuses possessions.

Des guerres de Religion à la Révolution

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Article connexe :Réforme protestante.

La propagation de la Réforme dans la Haute-Marche du Rouergue s'accompagna de graves troubles : l'implantation des églises réformées deMillau en 1561,Saint-Affrique en 1562,Camarès en 1563 s'effectua en force ; de nombreux villages eurent à subir siège ou exactions. Mais Brusque semble avoir traversé la période sans connaître d'acte de violence, et la communauté protestante y a vite grossi, en coexistence pacifique avec les catholiques. L'église réformée de Brusque est dans la dépendance de celle de Camarès jusque vers 1600, où elle prend son indépendance.

La baronnie de Brusque passe sur ses entrefaites par mariage à la famille d’Arpajon-Sévérac, qui semble avoir voulu garder une certaine neutralité en matière religieuse. Elle est érigée en marquisat en 1610. Lors dutraité de Paris (1626), Louis XIII accorde quatre places-fortes aux protestants en Rouergue (et quatre seulement), dont Brusque. Quelques troubles accompagneront larévocation de l'édit de Nantes.

En 1689, la seigneurie passe par mariage auxLa Rochefoucauld,comtes de Roucy, puis de nouveau en 1725 àLouis Antoine de Gontaut-Biron. Tous ces seigneurs résidaient maintenant habituellement à Paris. Peu avant la Révolution, la veuve de Louis Antoine vendait le marquisat de Brusque-Fayet à François de Nougarède.

Héraldique

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Blason de Brusque

D'or aux deux chevaux affrontés de sable[43].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Brusque est membre de lacommunauté de communes Monts, Rance et Rougier[I 1], unétablissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est àBelmont-sur-Rance. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[44].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, audépartement de l'Aveyron et à larégionOccitanie[I 1]. Sur le plan électoral, elle dépend ducanton des Causses-Rougiers pour l'élection desconseillers départementaux, depuis leredécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de latroisième circonscription de l'Aveyron pour lesélections législatives, depuis ledernier découpage électoral de 2010[45].

Élections municipales et communautaires

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Élections de 2020

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Leconseil municipal de Brusque, commune de moins de 1 000 habitants, est élu auscrutin majoritaire plurinominal à deux tours[46] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité depanachage[47]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors desélections municipales de 2020 est de 11. Sur les vingt-trois candidats en lice[48], neuf sont élus dès le premier tour, le, avec un taux de participation de 82,39 %. Les deux conseillers restant à élire sont élus au second tour, qui se tient le du fait de lapandémie de Covid-19, avec un taux de participation de 79,25 %[49].Hélène Ros-Chico est élue nouvelle maire de la commune le[50].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[51]. Un siège est attribué à la commune au sein de lacommunauté de communes Monts, Rance et Rougier[52].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
1977juillet 2020André Bernat[53] Retraité salarié du secteur privé
juillet 2020en coursHélène Ros-Chico[53],[54] Profession libérale
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[56].

En 2022, la commune comptait 259 habitants[Note 5], en évolution de −9,12 % par rapport à 2016 (Aveyron : +0,37 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001821183118361841184618511856
1 0578481 0801 1511 2361 2001 1751 1601 193
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
186118661872187618811886189118961901
1 2581 3481 1811 3011 3671 2801 1971 2461 143
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190619111921192619311936194619541962
999976887825788743738701545
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196819751982199019992006200820132018
594540527422366326314293268
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2022--------
259--------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puisInsee à partir de 2006[58].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Revenus

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En 2018 (donnéesInsee publiées en), la commune compte 134 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 242 personnes. Lamédiane durevenu disponible parunité de consommation est de 19 060 [I 2] (20 640 € dans le département[I 3]).

Emploi

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Taux de chômage
Division200820132018
Commune[I 4]5,8 %9,2 %15,7 %
Département[I 5]5,4 %7,1 %7,1 %
France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 121 personnes, parmi lesquelles on compte 65,3 % d'actifs (49,6 % ayant un emploi et 15,7 % de chômeurs) et 34,7 % d'inactifs[Note 7],[I 4]. En 2018, letaux de chômage communal (au sens du recensement) des15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.

La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 7]. Elle compte 80 emplois en 2018, contre 87 en 2013 et 103 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 61, soit unindicateur de concentration d'emploi de 131,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 31,4 %[I 8].

Sur ces 61 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 30 travaillent dans la commune, soit 49 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 75,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,3 % lestransports en commun, 16,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Activités hors agriculture

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36 établissements[Note 8] sont implantés à Brusque au. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 11].

Secteur d'activitéCommuneDépartement
Nombre%%
Ensemble36
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
1438,9 %(17,7 %)
Construction411,1 %(13 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
1027,8 %(27,5 %)
Activités immobilières25,6 %(4,2 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
411,1 %(12,7 %)
Autres activités de services25,6 %(7,8 %)

Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 38,9 % du nombre total d'établissements de la commune (14 sur les 36 entreprises implantées à Brusque), contre 17,7 % au niveau départemental[I 12].

Agriculture

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1988200020102020
Exploitations181255
SAU[Note 10] (ha)528564333319

La commune est dans lesMonts de Lacaune, unepetite région agricole occupant le sud du département de l'Aveyron[59]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage d'ovins ou decaprins[Carte 2]. Cinqexploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (18 en 1988). Lasuperficie agricole utilisée est de319 ha[61],[Carte 3],[Carte 4].

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine civil

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  • Maison Carrière. Belle demeure typiquement aveyronnaise construite en pierre. Cette maison construite pour la famille Carrière, s'élève dans le quartier du Castellat. Un beau jardin suspendu domine de sa hauteur la rivière Dourdou.
  • Château fort (castellat) mentionné pour la première fois en 1060, pour lequel on trouve trace de travaux d'entretien encore en 1464, mais qui est en ruines dès avant la Révolution.
  • Au sommet, les ruines du château. Sur le flanc, la tour romane.
    Au sommet, les ruines du château. Sur le flanc, la tour romane.

Patrimoine religieux

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  • Chapelle Saint-Thomas de Brusque. Ancien ermitage dédié àsaint Thomas Becket. La tradition veut que le Saint y ait séjourné. L'ermitage est attesté depuis 1552. Il y résida un ermite jusqu'à laRévolution française.
  • Église Saint-Jacques de Brusque (inaugurée le 24 juin 1866).

Vues d'ensemble et édifices divers

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  • Le Dourdou.
    Le Dourdou.
  • Mairie école.
    Mairie école.
  • Pont vieux.
    Pont vieux.
  • Vue générale.
    Vue générale.
  • Vue générale.
    Vue générale.
  • Le Merdelou et les éoliennes.
    Le Merdelou et les éoliennes.

Patrimoine culturel

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Comme pour de nombreux villages duRouergue méridional, les habitants de Brusque sont affublés d'un sobriquet collectif (ouescais). En l'occurrence,lous porto faïsses de Brusco (en écriture normalisée :los porta faisses de Brusca) signifieles porteurs de fagots de Brusque. Ce sobriquet évoque la difficulté des communications et la possibilité, négociée dès l'avènement du consulat, laissée aux habitants de la communauté de se procurer du bois de chauffage dans la forêt de Maravable.[réf. nécessaire]

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes.
  2. Les records sont établis sur la période du au.
  3. Les ZNIEFF detype 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF detype 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement desfoyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à lataxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  10. Les données relatives à lasurface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[60].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », surl'observatoire des territoires(consulté le).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).

Références

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Site de l'Insee

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  1. abcd eteInsee, « Métadonnées de la commune ».
  2. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Brusque »(consulté le).
  3. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron »(consulté le).
  4. a etb« Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Brusque »(consulté le).
  5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron »(consulté le).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière »(consulté le).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sursite de l'Insee(consulté le).
  8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Brusque »(consulté le).
  9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 »(consulté le).
  10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 »(consulté le).
  11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Brusque »(consulté le).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron »(consulté le).

Autres sources

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  1. « Petites régions agricoles (PRA) par commune », surgeo.data.gouv.fr(consulté le).
  2. « Distance entre "Brusque" et "Rodez" », surfr.distance.to(consulté le).
  3. « Distance entre "Brusque" et "Millau" », surfr.distance.to(consulté le).
  4. « Distance entre "Brusque" et "La Cavalerie" », surfr.distance.to(consulté le).
  5. « Communes les plus proches de Brusque », survillorama.com(consulté le).
  6. Carte IGN sousGéoportail
  7. « Fiche communale de Brusque », surle système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie(consulté le).
  8. Sandre, « le Dourdou de Camarès »
  9. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  10. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012,lire en ligne, consulté le)
  11. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le)
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le)
  13. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le)
  14. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  15. « Station Météo-France « Brusque_sapc » - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le)
  16. « Station Météo-France « Brusque_sapc » - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le)
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  57. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  58. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  59. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », suragreste.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  60. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
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  63. « Acte de naissance de Jeanne Canac (avec émargement de décès à Paris 18ème) », surarchives.aveyron.fr(consulté le) :« 44 »,p. 12.
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