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Bruno Le Maire

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Pour les articles homonymes, voirLe Maire etBLM.

Page d’aide sur l’homonymie

Pour le conseiller économique deMarine Le Pen, voirBruno Lemaire.

Bruno Le Maire
Illustration.
Bruno Le Maire en 2024.
Fonctions
Ministre d'État
Ministre des Armées etdes Anciens Combattants

(1 jour)
PrésidentEmmanuel Macron
Premier ministreSébastien Lecornu
GouvernementLecornuI
PrédécesseurSébastien Lecornu(Armées)
Patricia Mirallès(Anciens Combattants, ministre déléguée)
SuccesseurSébastien Lecornu(intérim)
Catherine Vautrin
Ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique[N 1]

(7 ans, 4 mois et 4 jours)
PrésidentEmmanuel Macron
Premier ministreÉdouard Philippe
Jean Castex
Élisabeth Borne
Gabriel Attal
GouvernementPhilippeI etII
Castex
Borne
Attal
PrédécesseurMichel Sapin
SuccesseurAntoine Armand
Député français

(1 mois)
Réélection18 juin 2017
Circonscription1re de l'Eure
LégislatureXVe(Cinquième République)
Groupe politiqueLREM
PrédécesseurGuy Lefrand
SuccesseurSéverine Gipson

(4 ans, 11 mois et 28 jours)
Élection17 juin 2007
Réélection17 juin 2012
Circonscription1re de l'Eure
LégislatureXIVe(Cinquième République)
Groupe politiqueUMP(2012-2015)
LR(2015-2017)
PrédécesseurGuy Lefrand
SuccesseurGuy Lefrand

(1 an, 6 mois et 24 jours)
Élection21 mars 2010
Circonscription1re de l'Eure
LégislatureXIIIe(Cinquième République)
Groupe politiqueUMP
PrédécesseurFrançoise Charpentier
SuccesseurGuy Lefrand
Conseiller régional deHaute-Normandie

(5 ans, 9 mois et 9 jours)
PrésidentAlain Le Vern
Nicolas Mayer-Rossignol
Ministre de l'Agriculture, de l'Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l'Aménagement du territoire[N 2]

(2 ans, 10 mois et 17 jours)
PrésidentNicolas Sarkozy
Premier ministreFrançois Fillon
GouvernementFillonII etIII
PrédécesseurMichel Barnier(Agriculture et Pêche)
Michel Mercier(Ruralité et Aménagement du territoire)
SuccesseurStéphane Le Foll (Agriculture)
Cécile Duflot (Égalité des territoires)
Secrétaire d'État aux Affaires européennes

(6 mois et 10 jours)
PrésidentNicolas Sarkozy
Premier ministreFrançois Fillon
GouvernementFillonII
PrédécesseurJean-Pierre Jouyet
SuccesseurPierre Lellouche
Directeur de cabinet du Premier ministre

(10 mois et 3 jours)
Premier ministreDominique de Villepin
PrédécesseurPierre Mongin
SuccesseurJean-Paul Faugère
Biographie
Nom de naissanceBruno Maurice Marie Le Maire
Date de naissance(56 ans)
Lieu de naissanceNeuilly-sur-Seine (France)
NationalitéFrançais
Parti politiqueUMP(2007-2015)
LR(2015-2017)
LREM/RE(depuis 2017)
Diplômé deENS Paris
Université Paris-Sorbonne
IEP de Paris
ENA
ProfessionDiplomate
ReligionCatholicisme

Signature de Bruno Le Maire
Ministres de l'Économie et des Finances
modifier 

Bruno Le MaireÉcouter, né le àNeuilly-sur-Seine, est unhomme politique etécrivainfrançais.

Normalien eténarque, il estdirecteur de cabinet du Premier ministreDominique de Villepin entre 2006 et 2007 puis est éludéputéUMP dans l'Eure à partir de cette dernière année.

Il occupe les fonctions desecrétaire d'État aux Affaires européennes de 2008 à 2009, puis deministre de l'Agriculture pendant près de trois ans au sein des deuxième et troisième gouvernements deFrançois Fillon. Il est de nouveau élu député en2012 et brigue sans succès laprésidence de l'UMP en 2014 face àNicolas Sarkozy. Il se présente à laprimaire de la droite et du centre en vue de l'élection présidentielle de 2017, obtenant 2,4 % des voix.

En, il devientministre de l'Économie dans lepremier gouvernement Philippe, sous la présidence d'Emmanuel Macron. Son portefeuille est élargi aux Finances le mois suivant, dans lesecond gouvernement Philippe, puis à la Relance dans legouvernement Castex. En, après la réélection d'Emmanuel Macron, il reste à Bercy avec l'intitulé « ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique », dans legouvernement Borne ; il est reconduit en 2024 dans legouvernement Attal. Sa principale réforme durant cette période est laloi relative à la croissance et la transformation des entreprises (dite « loi PACTE »), adoptée en 2019.

Après la fin de ses fonctions au sein du gouvernement français en 2024, il a commencé à enseigner les politiques publiques et la géopolitique enSuisse, à l'Université de Lausanne. Ministre de l’Économie et des Finances le plus durable (de 2017 à 2024), il est également le ministre le plus éphémère de laVe République, occupant le poste deministre des Armées pendant seulement un jour dans legouvernement Lecornu I en 2025.

Biographie

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Famille et formation

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Bruno Le Maire est le fils de Maurice Le Maire et de Viviane Fradin de Bellabre (ou Belabre)[1]. Son père estcadre du groupeTotal, dont il finit secrétaire général. Sa mère est directrice des établissements scolaires privés catholiques Notre-Dame de France dans le13e arrondissement deParis, puis du « petit collège » (primaire) dulycée Saint-Louis-de-Gonzague dans le16e arrondissement, dans lequel Bruno Le Maire étudie jusqu'à l'obtention dubaccalauréat.

Il est le deuxième enfant d'une fratrie de six, il a quatre frères et une sœur[2]. Les quatre frères de Bruno Le Maire travaillent dans le domaine de la finance[3]. Il est par ailleurs le beau-frère du chef d'entrepriseAugustin de Romanet[4].

Après avoir effectué sesclasses préparatoires littéraires aulycée Louis-le-Grand[5], il intègre l'École normale supérieure de la rue d'Ulm en 1989 (section lettres)[6]. Il obtient unelicence d'allemand en 1990[7], puis unemaîtrise de lettres à l'université Paris-IV en 1991 (avec unmémoire intitulé « La statuaire dansÀ la recherche du temps perdu », sous la direction deJean-Yves Tadié). En 1992, il est reçu premier de l'agrégation de lettres modernes et enseigne durant deux ans[7].

Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris en 1993 (section Service public)[8], il intègre l'École nationale d'administration (ENA) au sein de lapromotion Valmy, (1996-1998) d'où il sort classé20e[9].

Bruno Le Maire avec son épouse et deux de ses enfants en 2007.

Bruno Le Maire est marié depuis 1998 à Pauline Doussau de Bazignan, d'une famille de labourgeoisielandaise[10] et propriétaire de terrains agricoles. Bruno Le Maire et son épouse ont quatre fils : Louis, Adrien, Matthias et Barthélemy[11]. Son épouse, présentée parParis Match comme« artiste-peintre, petite-fille et nièce d'agriculteurs du Gers »[12],[13],[14], est l'une de sesassistantes parlementaires de 2007 à 2013[15],[16].

Collaborateur de Dominique de Villepin

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En 1998, à sa sortie de l'ENA, Bruno Le Maire entre auministère des Affaires étrangères, à la Direction des affaires stratégiques, de sécurité et du désarmement.

Il rejoint ensuite l'équipe dusecrétaire général de la présidence de la République deJacques Chirac,Dominique de Villepin. Il le suit au ministère des Affaires étrangères en 2002 en tant que conseiller pour les affaires étrangères au sein de son cabinet, auministère de l'Intérieur en 2004 avec la même attribution, puis àMatignon en mai 2005, où il devient son conseiller politique.

En, il est nommédirecteur de cabinet du Premier ministre, en remplacement dePierre Mongin. Il reste à cette fonction jusqu’au départ de Dominique de Villepin en 2007. À ce poste, il suit notamment laprivatisation des autoroutes conclue en 2006. En 2019, alors promoteur de la privatisation d'Aéroports de Paris (présidé par son beau-frèreAugustin de Romanet) en tant que ministre de l'Économie, il reconnaît que « des erreurs ont été faites » à l’époque par manque de « garantie suffisante », et indique en avoir « tiré les leçons ».

Élections législatives de 2007

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Lors desélections législatives de juin 2007, candidat de l'UMP, il est éludéputé avec 58,3 % des suffrages, face à la socialisteAnne Mansouret, dans la1re circonscription de l'Eure, occupée pendant plus de deux décennies parJean-Louis Debré, démissionnaire en raison de sa nomination auConseil constitutionnel[17]. Dans une enquête,Mediapart souligne qu'il n'a alors« aucune attache dans l’Eure, aucune expérience du terrain non plus »[18].

Membre des gouvernements Fillon

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Secrétariat d'État aux Affaires européennes

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Bruno Le Maire en 2007.

Devenu conseiller politique de l'UMP en, il est nommésecrétaire d'État aux Affaires européennes le, en remplacement deJean-Pierre Jouyet[19],[20].

Ministre de l'Agriculture

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Le, à la faveur d'un remaniement ministériel, Bruno Le Maire est nomméministre de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Pêche[21].

Peu après sa nomination, il déclare que chercher à rétablir le régime desquotas laitiers reviendrait à« livrer [une] bataille inutile ou perdue d’avance »[22].

Lors duConseil des ministres du, il présente un projet de loi de modernisation de l'agriculture et de la pêche, dont le texte est promulgué six mois plus tard[23].

Seul candidat, Bruno Le Maire est désigné par les militants UMP pour conduire la liste du parti aux élections régionales de en Haute-Normandie. Il ne réussit pas à ravir la région au président sortant socialiste,Alain Le Vern, la liste qu'il conduit obtenant 30,70 % des voix dans le cadre d'une triangulaire avec le Front national ; il est néanmoins éluconseiller régional[24],[25].

Lors de la formation dutroisième gouvernement Fillon, le, il est reconduit dans ses fonctions ministérielles, et obtient en plus les portefeuilles de laRuralité et de l'Aménagement du territoire. Sa connaissance de la langue allemande est présentée comme un atout dans le cadre de négociations avec les dirigeants européens[26].

Candidature à la présidence de l'UMP

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Bruno Le Maire en campagne pour la présidence de l’UMP, à Strasbourg, en novembre 2014.

Lors du second tour desélections législatives de 2012, il est réélu député dans la1re circonscription de l'Eure avec 58 % des voix. Il démissionne ensuite du corps des conseillers aux affaires étrangères, estimant que le statut d'élu doit être incompatible avec le maintien dans la fonction publique[27],[28]. Il prône alors la réduction du nombre de parlementaires et l'impossibilité pour ceux-ci d'effectuer plus de trois mandats successifs[28].

En, après la défaite de la droite aux élections présidentielle puis aux législatives, il se déclarecandidat à la présidence de l'UMP, mais ne parvient pas à recueillir les parrainages nécessaires à sa candidature[29],[30]. Il refuse de prendre parti dans le duel entreJean-François Copé etFrançois Fillon et apparaît comme le chef de file des élus « non alignés » du parti[31]. À l'automne 2012, il tente selon plusieurs sources de lancer son propre parti politique, ce dont il se défend, préférant parler de« nouvelle offre politique »[31].

Bruno Le Maire est à nouveaucandidat à la présidence de l'UMP en 2014. Il propose alors plusieurs mesures[source secondaire nécessaire] : transparence des comptes et financements du parti (en référence à l'affaire Bygmalion) ; élaboration d'un nouveau projet politique porté par les militants lors d'« assises du renouveau » se tenant au sein des fédérations locales de l'UMP, ouvertes aux militants mais aussi à tous signataires d'une Charte de valeurs[source secondaire nécessaire] ; respect de la loi deparité homme/femme ; consultation accrue des élus locaux avec la création d'un conseil national devant être consulté avant chaque grande orientation du parti ; investitures du parti accordées aux élus par les fédérations locales[source secondaire nécessaire]. Opposé à l'ancien présidentNicolas Sarkozy et àHervé Mariton, il bénéficie du soutien de52 parlementaires UMP[32]. Le, il obtient 45 317 voix sur 155 285 exprimées, soit 29,18 %[33].

Primaire de la droite et du centre de 2016

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Logo de Bruno Le Maire pour la primaire présidentielle des Républicains de 2016.

En àVesoul, Bruno Le Maire officialise sa candidature à laprimaire française de la droite et du centre de 2016[34].

Invité deL'Émission politique surFrance 2 le, Bruno Le Maire présente et détaille quelques-unes de ses propositions[35] :

  • suppression de l'impôt sur la fortune ;
  • suppression du droit de certains syndicats à être seuls à pouvoir présenter des candidats au premier tour des élections syndicales ;
  • réduction des indemnités chômage et durevenu de solidarité active ;
  • la mise en place de« petits boulots » payés à hauteur de 5 euros par heure, pour les bénéficiaires des minima sociaux.

Il déclare également vouloir, en cas d’élection, « gouverner parordonnances […] au lieu de négocier avec les syndicats »[36].

Il se classe cinquième du premier tour de la primaire avec 2,4 % des voix. Pour le second tour, il annonce voter pourFrançois Fillon, après avoir pourtant assuré durant sa campagne qu'il« ne [se] rallierai[t] à aucun candidat au second tour »[37].

Il est nommé représentant pour les affaires européennes et internationales dans le cadre de la campagne présidentielle de François Fillon[38]. Il démissionne de cette fonction le, à la suite de la convocation par leparquet national financier pourmise en examen du candidat dans le cadre de l'affaire Fillon. Il annonce toutefois le qu'il votera pour François Fillon en vertu des engagements pris dans le cadre de la primaire[39].

Après avoir estimé durant la campagne pour l'élection présidentielle de 2017 qu'Emmanuel Macron est« l'homme sans projet »[40] et qu'il porte« une idéologie qui a planté la France »[41], il se dit prêt, quelques heures après la victoire du candidatEn marche, à le rejoindre, souhaitant avec lui« travailler dans une majorité de gouvernement ». Il est alors qualifié de« traître » par plusieurs personnalités desRépublicains[42],[43].

Ministre de l'Économie et des Finances

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Nomination

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Bruno Le Maire en 2017.

Le, il est nomméministre de l'Économie dans legouvernement Édouard Philippe I.Bernard Accoyer, secrétaire général des Républicains, annonce alors qu'il n'est plus membre du parti[44]. SiFrançois Baroin annonce dès le lendemain qu'il n'est pas formellement exclu du parti[45], Bruno Le Maire se présente toutefois pour un nouveau mandat sous l'étiquetteLa République en marche (LREM), le parti d'Emmanuel Macron, dans lapremière circonscription de l'Eure lors desélections législatives[46]. Dans un contexte de forte abstention, il est réélu au second tour face à la candidate du Front national, Fabienne Delacour.

Le, il est nommé ministre de l'Économie et des Finances dans legouvernement Édouard Philippe II. Sondirecteur de cabinet estEmmanuel Moulin, passé par ladirection générale du Trésor,Eurotunnel et la banque d'affairesMediobanca, ancien directeur de cabinet adjoint deChristine Lagarde à Bercy, ex-conseiller économique de Nicolas Sarkozy aupalais de l’Élysée, et ami d’Alexis Kohler, secrétaire général de l'Élysée[47],[48]. Son directeur de cabinet adjoint estBertrand Dumont, lui aussi ancien du Trésor, passé par la banqueHSBC[47]. Le journalisteLaurent Mauduit estime, au regard de ces nominations, que« tout l'encadrement du cabinet du ministre vient de la banque privée » et qu'il n'y a« rien d'excessif à constater que la finance a procédé à une véritable colonisation de l'État »[47].

Adhésion à LREM

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Le Maire annonce rejoindre le parti présidentiel, La République en marche, le[49].

Actions et mesures portées

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En, il promeut la double surtaxe sur les très grandes entreprises. Cette surtaxe de 5,4 milliards d'euros compense le contentieux perdu par l'État sur la taxe à 3 % sur les dividendes[50],[51].

En 2018, il porte laLoi relative à la croissance et la transformation des entreprises (loi PACTE). Elle est définitivement adoptée par leParlement le[52].

Bruno Le Maire indique en qu'il n'est pas candidat à un poste auFonds monétaire international (FMI) ou à laCommission européenne après le début de la procédure de nomination deChristine Lagarde, directrice générale du FMI, à la présidence de laBanque centrale européenne[53],[54],[55].

Début 2020, Bruno Le Maire appelle les entreprises à augmenter le salaire des employés[56]. Il considère que« le gouvernement a fait sa part du chemin », avec la défiscalisation des heures supplémentaires, la baisse de l'impôt sur le revenu et l'augmentation de la prime d'activité[57],[58].

En pleinepandémie de Covid-19, en, il interpelle l'industrie automobile, qui a selon lui« trop délocalisé »[59],[60].

Bruno Le Maire en 2021.

Il est maintenu à la tête de son ministère au sein dugouvernement Jean Castex, en obtenant de nouvelles attributions : lescomptes publics, la mise en œuvre du plan de relance et de sa bonne exécution, le « renforcement des chaînes de valeur et d’approvisionnement critiques », l’économie sociale et solidaire et la politique de l’espace[61].

En, alors que plusieurs membres de l'exécutif réfléchissent à la possibilité de reculer l'âge légal de départ à la retraite d'ici à l'élection présidentielle de 2022, il se déclare favorable à ce que le gouvernement recule cet âge de 62 à 64 ans, estimant qu'il ne faut pas« remettre à demain ce que l'on peut faire aujourd'hui »[62].

Le, quelques semaines après la victoire d'Emmanuel Macron à l'élection présidentielle, Bruno Le Maire annonce qu'il ne sera pas candidat auxélections législatives de juin, estimant qu'une circonscription n'est« ni un droit ni une rente ». Il affirme cependant vouloir continuer à rester « pleinement engagé dans la politique nationale »[63]. Sa suppléante des élections de 2017,Séverine Gipson, échoue à se faire élire dans lapremière circonscription de l'Eure et est battue au second tour par la candidate duRassemblement nationalChristine Loir, faisant basculer la circonscription historique de Bruno Le Maire à l'extrême droite[64].

Quelques semaines après la réélection d’Emmanuel Macron, Bruno Le Maire est reconduit dans ses fonctions au sein dugouvernement Élisabeth Borne[65]. Il devient alors numéro deux du Gouvernement dans l'ordre protocolaire après la Première ministre[66]. Son portefeuille ministériel est élargi lors du remaniement du 4 juillet 2022, le ministre ayant désormais sous sa responsabilité quatre ministres délégués[67].

D'aprèsLe Monde, Bruno Le Maire a notifié à son entourage et notamment à Emmanuel Macron son ambition de prendre la direction générale du FMI, dont le renouvellement est prévu en 2024. Dans cette optique, il se constitue un réseau d'appuis, dont l’ancien secrétaire au Trésor américain sousDonald Trump,Steven Mnuchin[68].

Lors duprojet de loi de finances 2023, Bruno Le Maire décide de supprimer la taxe sur les« super-dividendes », pourtant votée à l'Assemblée nationale, la jugeant« injuste »[69].

En, un rapport parlementaire au Sénat accuse Bruno Le Maire de ne pas avoir informé le parlement d’un dérapage probable du déficit alors qu’il en était informé. Le fossé entre les dépenses et les recettes en 2023 a atteint 5,5 % duproduit intérieur brut (PIB) contre une prévision de 4,9 %. Selon le rapport, cet écart qui atteint 0,6 point de PIB est« inédit depuis 25 ans »[70],[71]. Celui-ci est parfois appelé« M. Quoi qu’il en coûte » ou« M. 1000 milliards de dette »[72]

En juillet 2024, dans un contexte où la Commission européenne s’apprête à proposer l’ouverture d’une procédure pour« déficit excessif » à l’encontre de la France, la Cour des comptes critique le bilan économique de Bruno Le Maire au ministère de l'Économie et des Finances et juge la situation des finances publiques« très dégradée ». Notant un déficit public établi à 5,5 % du PIB, soit 154 milliards d’euros, à 0,6 point au-dessus des prévisions (4,9 %), malgré un contexte 2023« bien meilleur », partiellement dû à une faible croissance des prélèvements obligatoires qui aurait dû être anticipée dans les prévisions du gouvernement, elle pointe du doigt des« mesures discrétionnaires » de baisse d’impôts et de cotisations combinées à« l’absence d’économies structurelles »[73],[74]. La juridiction réfute l'excuse selon laquelle le creusement de la dette publique, estimée à 3 100 milliards d’euros, soit près de 110 % de PIB serait lié à l’augmentation des dépenses liées à la gestion de lacrise économique liée à la pandémie de Covid-19, faisant remarquer que« les partenaires de la zone euro » qui ont pris« des mesures exactement comparables » ne font pas face aux mêmes résultats, le président de la Cour des comptes soulignant que la France a pris« 10 points de plus que nos partenaires en termes de dette, avec les mêmes mesures Covid »[73],[75].

Lors de son audition au Sénat en novembre 2024, il attribue en partie le dérapage du déficit à une « erreur d’évaluation » des recettes fiscales par ses services, tout en niant toute dissimulation ou faute intentionnelle majeure[76].

En retrait de la vie politique

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En, Bruno Le Maire devient professeur invité au Centre Entreprise for Society, établissement créé par l’Université de Lausanne, l'International Institute for Management Development et l’École polytechnique fédérale de Lausanne[77]. Son arrivée enSuisse est cependant contestée par certains étudiants[78],[79].

Trois mois après son départ du ministère de l’Économie, le comité exécutif du groupe néerlandaisASML annonce le recrutement de Bruno Le Maire, à compter du, comme « conseiller stratégique extérieur ». Valorisé près de 290 milliards d’euros en bourse, ASML fabrique des machines de production pour l’industrie en hyper-croissance des semi-conducteurs. L’ancien ministre de l’Économie« aidera le comité exécutif d’ASML à construire une coalition pour investir dans l’écosystème européen des semi-conducteurs », indique le groupe auMonde[80].

Début octobre 2025, en marge de son arrivée augouvernement Lecornu I, Bruno Le Maire quitte ses fonctions au sein de ASML[81].

Ministre d'État, ministre des Armées et des Anciens Combattants

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Moins de deux semaines après avoir « totalement exclu » d'entrer dans le prochain gouvernement, déclarant à cette occasion qu'il n'existait pas de « marges de manœuvre nécessaires pour agir clairement et fermement au service des Français »[82], il est nommé, le,ministre d'État,ministre des Armées etdes Anciens Combattants dans legouvernement Lecornu I[83]. Plusieurs personnalités de l’opposition fustigent déjà le nouveau gouvernement deSébastien Lecornu qui avait promis la rupture.

Moins de 14 heures après l'annonce de sa composition, Sébastien Lecornu annonce la démission de son gouvernement. Bruno Le Maire décide dans la foulée, face aux tensions suscitées par son retour, de quitter le gouvernement avec effet immédiat sans même attendre la nomination de son successeur. Il transfère ses responsabilités de ministre démissionnaire des Armées au Premier ministre démissionnaire Sébastien Lecornu[84],[85].

En quittant le gouvernement dès l'annonce de sa démission, Bruno Le Maire devient le ministre le plus éphémère de laCinquième République avec un seul jour en poste[86]. Le record était jusqu'ici co-détenu parLéon Schwartzenberg en 1988 etThomas Thévenoud en 2014 qui n'étaient restés en poste que 9 jours[87].

Littérature

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Bruno Le Maire a écrit plusieurs livres (14 à mars 2024 et 6 de 2017 à 2024) ayant été plutôt bien accueillis par la critique littéraire et ayant rencontré un certain succès en librairie[non neutre]. C’est notamment le cas deDes hommes d'État, en 2008[88]. Grand lecteur deProust[89], il publie les romansMusique absolue (2012)[90],Jours de Pouvoir (2013)[91],[92] ou encorePaul (2019)[93],[94].

En s'inspirant de sa femme, il est par ailleurs l'auteur de romans érotiques[95]. Le plus connu estLe Ministre (2004)[96]. Vers sa vingtaine d'années, il aurait écrit un livre aux éditionsHarlequin sur le thème d'une histoire d'amour dans le milieu hospitalier, sous le pseudonyme « Duc William »[97].

En 2023, il sort un livre,Fugue américaine, raillé en raison de son style, en particulier d'un passage technico-érotique[98]. En 2024, il publieLa voie française.

Prises de position

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Le politologuePascal Perrineau situe Bruno Le Maire dans la famille« néo-gaulliste »[99].

Le, Bruno Le Maire démissionne de la fonction publique (corps des conseillers des affaires étrangères). Il considère que tout élu doit faire de même afin de promouvoir un « renouvellement des pratiques démocratiques ». Il dénonce une « logique de caste » qui permet aux hommes politiques membres de la fonction publique de pouvoir jouir d'une « sécurité totale » tout en demandant des efforts au reste des Français[100]. Il prône la suppression de lafonction publique territoriale et la fusion desconseils départementaux etrégionaux[101].

Cumul des mandats

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Bruno Le Maire se prononce en contre lecumul des mandats[102] et avait déjà déposé, en 2012, uneproposition de loi prévoyant une limitation de trois mandats successifs par élu[100].Néanmoins, il a cumulé à partir de 2010 son mandat de député et celui de conseiller régional pendant un peu moins de six ans ; en outre, cette prise de position publique intervient deux mois après la fin de son cumul. De plus, il a voté en janvier 2014 contre la loi interdisant le cumul des fonctions exécutives locales avec le mandat de représentant au Parlement européen[source secondaire nécessaire][103].

Mariage pour tous

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Lorsque la question de l'abrogation de laloi de 2013 ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe s'est posée dans la campagne pour laprésidence de l'UMP en 2014, Bruno Le Maire s'est prononcé contre l'abrogation[104]. Lors du vote de la loi, il s'était abstenu[105].

Droit du travail

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En 2015, Bruno Le Maire réclame uncode du travail de 150 pages, une allocation sociale unique[106], un traitement en six mois desdemandes d’asile, une réforme complète de la fiscalité favorable au risque et au travail induisant selon lui la suppression de l'impôt de solidarité sur la fortune[107] et l'abaissement de l'impôt sur les plus-values.

Éducation

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En matière d'éducation, il veut que le collège soit constitué d'un tronc commun de vingt heures par semaine dans lequel seraient enseignés mathématiques, français, histoire et langues vivantes et auquel seraient adjointes des options. Il se prononce contre leprojet de réforme du collège présenté parNajat Vallaud-Belkacem au printemps 2015[108].

Europe

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Concernant l'Union européenne, il souhaite« un nouvel élan franco-allemand », qui conduirait à la redéfinition par les six États fondateurs des objectifs de la construction européenne. En ce qui concerne la France, il souhaite demander unréférendum « consultatif » dans le courant d'un éventuel quinquennat, afin de « refermer lablessure de 2005 »[109]. Celui-ci porterait« sur les modifications des traités nécessaires à de nouvelles orientations européennes »[110]. Après l'échec de la fusion-acquisition d'Alstom Transport par Siemens, dont il fut un ardent défenseur, il se déclare favorable à la refonte du droit européen de la concurrence[111].

International

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Bruno Le Maire avecSteven Mnuchin, secrétaire au Trésor des États-Unis (2018).

Il plaide en faveur d’uneintervention au en Syrie, notamment après lesattentats du 13 novembre 2015[22].

Indemnisation des élus

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En 2016, lui-même rémunéré à plus de 130 000 euros net par an, il considère la classe politique « mal rémunérée », une déclaration qu'il fait dans le cadre du thème de la corruption des politiciens, une théorie affirmant que des hauts revenus pourraient les en prémunir[112]. Lui-même a reçu unemontre de 85 000 euros offerte par l'émir du Qatar en 2009, mais a décidé qu'il ne pouvait pas garder un cadeau d'une telle valeur, estimant que cela serait se mettre « sous influence d'un État étranger »[113]. Bruno Le Maire déclare au sujet des dirigeants desmonarchies du Golfe : ils« fonctionnent avec de la flatterie. Ils sont d'une grande amabilité. Ils vous proposent des cadeaux. Regardez les poignets de bon nombre de ministres ! »[114].

Bitcoin

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En, il dit refuser« les risques de spéculation et les possibles détournements » liés auBitcoin et auxcryptomonnaies. Il confie àJean-Pierre Landau, anciensous-gouverneur de la Banque de France, une mission sur ce sujet[115].

Polémiques

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Cet article possède une liste decontroverses qui par leuraccumulation excessive rend l'article non neutre().

Wikipédia n'est pas un catalogue de controverses, ni un lieu pour militer contre un sujet. Modifiez l'article pour rendre ce dernierplus neutre oudiscutez-en.

Soupçons d’emploi fictif de sa femme à l’Assemblée nationale

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Le,Mediapart révèle que Pauline Le Maire, l’épouse de Bruno Le Maire, a été rémunérée aux frais de l’Assemblée nationale en tant qu’assistante parlementaire à temps plein entre 2007 et 2013, période entrecoupée d’une longue interruption pour congé de maternité[116]. Le média rappelle que Pauline Le Maire n’a jamais été présentée publiquement comme l'assistante parlementaire de son mari, et suggère qu'elle a bénéficié à cette époque d’un emploi non pas à proprement parler,fictif mais de complaisance. L’absence de référence explicite à cet emploi de la part de Bruno Le Maire a été interprétée comme un élément intrigant, propre à susciter des doutes sur la nature exacte des fonctions concernées[117],[118],[119]. Sa rémunération pouvait atteindre 4 600 € net par mois[120].

Favoritisme envers les concessionnaires autoroutiers

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Le,Le Canard enchaîné révèle dans un article que Bruno Le Maire aurait ignoré un rapport de l'Inspection générale des finances qui soulignait les surprofits des deux plus importantsconcessionnaires autoroutiers et préconisait une baisse des tarifs despéages et un raccourcissement des concessions en cause afin de récupérer une partie des 55 milliards d'euros de « rente indue »[121]. Ce choix est pointé du doigt par des élus de l'opposition à l'Assemblée nationale, et notamment par des membres de laNUPES, dontBoris Vallaud etManuel Bompard[122].

Diffusion de préjugés racistes

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Le, Bruno Le Maire déclare sur le plateau deBFM TV, au sujet de prestations sociales liées à l'inflation, que les Français« n'ont aucune envie de voir que des personnes peuvent bénéficier d'aides, les renvoyer au Maghreb ou ailleurs, alors qu'ils n'y ont pas droit »[123]. Il est accusé par une partie de la classe politique de chercher à diviser les Français pour les détourner de l'opposition à la réforme des retraites[124], récemment adoptée en force via la mise en œuvre de l'article 49.3 de la constitution. Pour lepremier secrétaire duparti socialisteOlivier Faure,« mobiliser des préjugés racistes pour éviter de rappeler que la fraude sociale est essentiellement le fait des employeurs et la fraude fiscale est sans commune mesure. L’extrême-droite remplit dangereusement le vide gouvernemental »[125],[126],[124].

Pour le sociologue Vincent Dubois,« le gouvernement assimile désormais de façon explicite la question de la fraude aux prestations sociales à la question de l’immigration. Cela renvoie à un imaginaire : derrière la figure du fraudeur, il y a celle de l’immigré qui abuse, voire même de l’immigré polygame ou de l’immigré qui se servirait du RSA pour financer le terrorisme islamiste »[127].

Enquête sur son micro-parti

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Leparquet de Paris ouvre en 2023 une enquête au sujet du micro-parti de Bruno Le Maire,Avec BLM, à la suite d'un signalement de laCommission nationale des comptes de campagne et des financements politiques. Le parti n'aurait pas payé les factures de prestataires depuis 2016, ce qui pourrait constituer un financement illégal de campagne[128],[129]. L'enquête est classée sans suite en pour cause d’absence d’infraction, la justice considérant que les abandons de créances ne sont pas des financements illicites[130].

Synthèse des résultats électoraux

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Primaire présidentielle

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AnnéeParti1er tour
Voix%RangIssue
2016[131]LR102 1682,385eÉliminé

Élections législatives

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AnnéePartiCirconscription1er tour2d tourIssue
Voix%RangVoix%Rang
[132]UMP1re de l'Eure18 11437,511er26 83858,271erÉlu
[133]19 90641,351er26 96157,971erÉlu
[134]LREM17 96744,461er21 39864,531erÉlu

En, Bruno Le Maire annonce qu'il ne briguera pas de quatrième mandat auxélections législatives, ayant promis qu'il n'en ferait pas plus de trois[135].

Élections régionales

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Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où il est tête de liste.

AnnéePartiRégion1er tour2d tourSièges obtenus
Voix%RangVoix%Rang
2010[136]MAJHaute-Normandie142 92725,002e193 12630,702e
12  / 55

Présidence de l'UMP

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AnnéeParti1er tourIssueAdversaires
Voix%Rang
2014[33]UMP45 31729,182eBattuNicolas Sarkozy (élu),Hervé Mariton

Décorations et distinctions

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Françaises

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Étrangères

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Prix satiriques

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Publications

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Bruno Le Maire au Salon du Livre en 2013.

Apparition dans des œuvres de fiction

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Le Maire apparait dans plusieurs œuvres de fiction, que ce soit sous son nom ou sous les traits d’un personnage fictif.

Dans lefilm biographiqueLa Conquête (2011) deXavier Durringer, qui retrace lacampagne présidentielle française de 2007 de Nicolas Sarkozy, il est interprété par l'acteurEmmanuel Noblet[152].

Il apparaît dans le filmQuai d'Orsay (2013) deBertrand Tavernier, jouant son propre rôle[153].

Dans le romanAnéantir deMichel Houellebecq (Flammarion, 2022), le personnage Bruno Juge, ministre de l'Économie et des Finances, est inspiré de Bruno Le Maire[154],[155].

Notes et références

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Notes

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  1. Il est successivement ministre de l'Économie du au, ministre de l'Économie et des Finances du au, ministre de l'Économie, des Finances et de la Relance du au, puis ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique du au.
  2. Portefeuille de la Ruralité et de l'Aménagement du territoire ajouté le 14 novembre 2010.

Références

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  155. Marie-LaureDelorme, « Bruno Le Maire : héros littéraire », surLe Point,(consulté le)

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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v ·m
GouvernementFrançois FillonII()après leremaniement du et jusqu'auremaniement du
Sous laprésidence deNicolas Sarkozy
Écologie, Énergie, Développement durable
etAménagement du territoire
Jean-Louis Borloo,ministre d'État
Secrétaire d'État chargé des Transports :Dominique Bussereau
Secrétaire d'État chargée de l'Écologie :Nathalie Kosciusko-MorizetpuisChantal Jouanno (5)
Secrétaire d'État chargé de la Région capitale :Christian Blanc
Secrétaire d'État chargé de l'Aménagement du territoire :Hubert Falco

François Fillon
Premier ministre
Intérieur,Outre-mer etCollectivités territoriales
Michèle Alliot-Marie
Secrétaire d'État chargé de l'Outre-mer :Yves Jégo
secrétaire d'État à l'Intérieur etaux Collectivités territoriales :Alain Marleix
Affaires étrangères eteuropéennes
Bernard Kouchner
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes :Jean-Pierre JouyetpuisBruno Le Maire (2)
Secrétaire d'État chargé de la Coopération etde la Francophonie :Alain Joyandet
Secrétaire d'État chargée des Affaires étrangères et des Droits de l'homme :Rama Yade
Économie,Industrie etEmploi
Christine Lagarde
Secrétaire d'État chargé de l'Emploi :Laurent Wauquiez
Secrétaire d'État chargé de l'Industrie etde la Consommation :Luc Chatel,porte-parole du Gouvernement
Secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, duTourisme et des Services :Hervé Novelli
Secrétaire d'État chargée du Commerce extérieur :Anne-Marie Idrac
Immigration, Intégration, Identité nationale
et Développement solidaire
Brice HortefeuxpuisÉric Besson (4)
Justice,garde des sceauxRachida Dati
Agriculture et PêcheMichel Barnier
Travail, Relations sociales,Famille etSolidarité
puisTravail, Relations sociales,Famille,Solidarité
etVille (4)
Xavier BertrandpuisBrice Hortefeux (4)
Secrétaire d'État chargée de la Solidarité :Valérie Létard
Secrétaire d'État chargée de la Famille :Nadine Morano
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville, changement de ministre de tutelle (4) :Fadela Amara
Éducation nationaleXavier Darcos
Enseignement supérieur etRechercheValérie Pécresse
Défense
Hervé Morin
Secrétaire d'État à la Défense etaux Anciens Combattants :Jean-Marie Bockel
Santé,Jeunesse, Sports et Vie associative
puisSanté etSports (3)
Roselyne Bachelot-Narquin
Secrétaire d'État chargé des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative, puissecrétaire d'État chargé des Sports (3) :Bernard Laporte
Logement etVille
puisLogement (4)
Christine Boutin
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville, puis changement de ministre de tutelle (4) :Fadela Amara
Culture et CommunicationChristine Albanel
Budget, Comptes publics etFonction publique
Éric Woerth
Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique :André Santini
Ministre,secrétaires d'État et haut-commissaire
auprès duPremier ministre
Ministre chargé de la Mise en œuvre du plan de relance (1) :Patrick Devedjian
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement :Roger Karoutchi
Secrétaire d'État chargé de la Prospective, de l'Évaluation des politiques publiques etdu Développement de l'économie numérique puis secrétaire d'État chargé de la Prospective etdu Développement de l'économie numérique (4) :Éric BessonpuisNathalie Kosciusko-Morizet (4)
Haut-commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté puis égalementhaut-commissaire à la Jeunesse (3) :Martin Hirsch
  • Ordonnancement parordre de préséance
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Ajustement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
( FILLON I) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (FILLON III)
v ·m
Sous laprésidence deNicolas Sarkozy
Écologie, Énergie, Développement durable
etMer, en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le climat
Jean-Louis Borloo,ministre d'État
Secrétaire d'État chargé des Transports :Dominique Bussereau
Secrétaire d'État chargée de l'Écologie :Chantal Jouanno
Secrétaire d'État chargé du Logement etde l'Urbanisme :Benoist Apparu
Secrétaire d'État chargée des Technologies vertes et des Négociations sur le climat :Valérie Létard

François Fillon
Premier ministre
Justice et Libertés,garde des sceaux
Michèle Alliot-Marie,ministre d'État
Secrétaire d'État à la Justice :Jean-Marie Bockel
Affaires étrangères eteuropéennes
Bernard Kouchner
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes :Pierre Lellouche
Secrétaire d'État chargé de la Coopération etde la Francophonie, puis supprimé (3) :Alain Joyandet (dém) (3)
Intérieur,Outre-mer etCollectivités territoriales
Brice Hortefeux
Secrétaire d'État puis ministre (1) chargée de l'Outre-mer :Marie-Luce Penchard
Secrétaire d'État à l'Intérieur etaux Collectivités territoriales :Alain Marleix
Travail, Relations sociales,Famille,Solidarité
etVille
puisTravail,Solidarité etFonction publique (2)
Xavier Darcos puisÉric Woerth (2)
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville :Fadela Amara
Secrétaire d'État chargée de la Famille etde la Solidarité :Nadine Morano
Secrétaire d'État chargée des Aînés :Nora Berra
Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique (2) :Georges Tron
Économie,Industrie etEmploi
Christine Lagarde
Ministre chargé de l'Industrie :Christian Estrosi
Secrétaire d'État chargé de l'Emploi :Laurent Wauquiez
Secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises,du Tourisme, des Services etde la Consommation :Hervé Novelli
Secrétaire d'État chargée du Commerce extérieur :Anne-Marie Idrac
Budget, Comptes publics,Fonction publique
etRéforme de l'ÉtatpuisBudget, Comptes publics
etRéforme de l'État (2)
Éric WoerthpuisFrançois Baroin (2)
Éducation nationaleLuc Chatel,porte-parole du Gouvernement
Alimentation, Agriculture et PêcheBruno Le Maire
Culture et CommunicationFrédéric Mitterrand
Espace rural etAménagement du territoireMichel Mercier
Enseignement supérieur etRechercheValérie Pécresse
Défense
Hervé Morin
Secrétaire d'État à la Défense etaux Anciens Combattants :Hubert Falco
Santé etSports
Roselyne Bachelot-Narquin
Secrétaire d'État chargée des Sports :Rama Yade
Immigration, Intégration, Identité nationale
et Développement solidaire
Éric Besson
Jeunesse et Solidarités actives (2)Marc-Philippe Daubresse
Ministre,secrétaires d'État et haut-commissaire
auprès duPremier ministre
Ministre chargé de la Mise en œuvre du plan de relance :Patrick Devedjian
Ministre chargé des Relations avec le Parlement :Henri de Raincourt
Secrétaire d'État chargé de la Prospective etdu Développement de l'économie numérique :Nathalie Kosciusko-Morizet
Secrétaire d'État chargé du Développement de la région capitale, puis supprimé (3) :Christian Blanc (dém) (3)
Haut-commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté ethaut-commissaire à la Jeunesse, puis supprimés (2) :Martin Hirsch (dém) (2)
  • Ordonnancement parordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Ajustement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
( FILLON I) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (FILLON III)
v ·m
Gouvernement FillonIII()
Sous laprésidence deNicolas Sarkozy
Défense etAnciens Combattants
Alain Juppé,ministre d'État puisGérard Longuet (1)
Secrétaire d'État (3) :Marc Laffineur

François Fillon
Premier ministre
Affaires étrangères eteuropéennes
Michèle Alliot-Marie,ministre d'État (dém) (1)puisAlain Juppé,ministre d'État (1)
Ministre chargé de la Coopération :Henri de Raincourt
Ministre chargé des Affaires européennes :Laurent WauquiezpuisJean Leonetti (3)
Secrétaire d'État chargé des Français de l'étranger (3) :David DouilletpuisÉdouard Courtial (4)
Écologie, Développement durable,Transports etLogement
Nathalie Kosciusko-MorizetpuisFrançois Fillon (5)
Secrétaire d'État chargé du Logement puisministre chargé du Logement (5) :Benoist Apparu
Secrétaire d'État chargé des Transports puisministre chargé des Transports (3) :Thierry Mariani
Justice et Libertés,garde des sceauxMichel Mercier
Intérieur,Outre-mer,Collectivités territoriales etImmigration
Brice HortefeuxpuisClaude Guéant (1)
Ministre chargé des Collectivités territoriales :Philippe Richert
Ministre chargée de l'Outre-mer :Marie-Luce Penchard
Économie, Finances etIndustrie
Christine LagardepuisFrançois Baroin (3)
Ministre chargé de l'Industrie,de l'Énergie etde l'Économie numérique :Éric Besson
Secrétaire d'État chargé du Commerce extérieur :Pierre Lellouche
Secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises,du Tourisme, des Services, des Professions libérales etde la Consommation :Frédéric Lefebvre
Travail, Emploi etSanté
Xavier Bertrand
Ministre chargée de l'Apprentissage et de la Formation professionnelle :Nadine Morano
Secrétaire d'État chargée de la Santé :Nora Berra
Éducation nationale,Jeunesse
et Vie associative
Luc Chatel
Secrétaire d'État chargée de la Jeunesse et de la Vie associative :Jeannette Bougrab
Budget, Comptes publics,Fonction publique
etRéforme de l'État
puisBudget, Comptes publics etRéforme de l'État (3)
François Baroin,porte-parole du Gouvernement,puisValérie Pécresse,porte-parole du Gouvernement (3)
Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique :Georges Tron (dém) (2)
Enseignement supérieur etRechercheValérie PécressepuisLaurent Wauquiez (3)
Agriculture, Alimentation, Pêche,Ruralité
etAménagement du territoire
Bruno Le Maire
Culture et CommunicationFrédéric Mitterrand
Solidarités et Cohésion sociale
Roselyne Bachelot-Narquin
Secrétaire d'État :Marie-Anne Montchamp
Secrétaire d'État chargée de la Famille (3) :Claude Greff
VilleMaurice Leroy
SportsChantal JouannopuisDavid Douillet (4)
Fonction publique (3)François Sauvadet
Ministre auprès duPremier ministre
Ministre chargé des Relations avec le Parlement :Patrick Ollier
  • Ordonnancement parordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement des et
  • (5) Remaniement du
( FILLON II) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (AYRAULT I)
v ·m
Gouvernement Philippe I(15 mai –)
Sous laprésidence d'Emmanuel Macron
IntérieurGérard Collomb,ministre d'État
Édouard Philippe
Premier ministre
Transition écologique et solidaire
Nicolas Hulot,ministre d'État
Ministre chargée des Transports :Élisabeth Borne
Justice,garde des sceauxFrançois Bayrou,ministre d'État
ArméesSylvie Goulard
Europe etAffaires étrangères
Jean-Yves Le Drian
Ministre chargée des Affaires européennes :Marielle de Sarnez
Cohésion des TerritoiresRichard Ferrand
Solidarités et SantéAgnès Buzyn
CultureFrançoise Nyssen
ÉconomieBruno Le Maire
TravailMuriel Pénicaud
Éducation nationaleJean-Michel Blanquer
Agriculture et AlimentationJacques Mézard
Action et Comptes publicsGérald Darmanin
Enseignement supérieur,Recherche et InnovationFrédérique Vidal
Outre-MerAnnick Girardin
SportsLaura Flessel
Secrétaires d'État auprès duPremier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement :Christophe Castaner,porte-parole du Gouvernement
Secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes :Marlène Schiappa
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées :Sophie Cluzel
Secrétaire d'État chargé du Numérique :Mounir Mahjoubi
Ordonnancement parordre de préséance
( CAZENEUVE) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (PHILIPPE II)
v ·m
Gouvernement Philippe II()jusqu'auremaniement du 16 octobre 2018
Sous laprésidence d'Emmanuel Macron
Intérieur
Gérard Collomb,ministre d'État (dém) (3)puis par intérimÉdouard Philippe (3)
Ministre :Jacqueline Gourault

Édouard Philippe
Premier ministre
Transition écologique et solidaire
Nicolas Hulot,ministre d'État (dém) (2)puisFrançois de Rugy,ministre d'État (2)
Ministre chargée des Transports :Élisabeth Borne
Secrétaire d'État :Sébastien Lecornu
Secrétaire d'État :Brune Poirson
Justice,garde des sceauxNicole Belloubet
Europe etAffaires étrangères
Jean-Yves Le Drian
Ministre chargée des Affaires européennes :Nathalie Loiseau
Secrétaire d'État :Jean-Baptiste Lemoyne
Armées
Florence Parly
Secrétaire d'État :Geneviève Darrieussecq
Cohésion des territoires
Jacques Mézard
Secrétaire d'État :Julien Denormandie
Solidarités et SantéAgnès Buzyn
Économie et Finances
Bruno Le Maire
Secrétaire d'État :Benjamin GriveauxpuisDelphine Gény-Stephann (1)
CultureFrançoise Nyssen
TravailMuriel Pénicaud
Éducation nationaleJean-Michel Blanquer
Agriculture et AlimentationStéphane Travert
Action et Comptes publics
Gérald Darmanin
Secrétaire d'État (1) :Olivier Dussopt (1)
Enseignement supérieur,Recherche et InnovationFrédérique Vidal
Outre-MerAnnick Girardin
SportsLaura FlesselpuisRoxana Maracineanu (2)
Secrétaires d'État auprès duPremier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement :Christophe Castaner,porte-parole du Gouvernementjusqu'au (1)
Secrétaire d'État (1) :Benjamin Griveaux,porte-parole du Gouvernementà partir du (1)
Secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes :Marlène Schiappa
Secrétaire d'État chargée des personnes handicapées :Sophie Cluzel
Secrétaire d'État chargé du Numérique :Mounir Mahjoubi
  • Ordonnancement parordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
( PHILIPPE I) Gouvernement précédent ••••
v ·m
Gouvernement Philippe II()après leremaniement du
Sous laprésidence d'Emmanuel Macron
Transition écologique et solidaire
François de Rugy,ministre d'État (dém), puisÉlisabeth Borne
Ministre puis secrétaire d'État chargé des Transports :Élisabeth Borne, puisJean-Baptiste Djebbari
Secrétaire d'État :Brune Poirson
Secrétaire d'État :Emmanuelle Wargon

Édouard Philippe
Premier ministre
Justice,garde des sceauxNicole Belloubet
Europe etAffaires étrangères
Jean-Yves Le Drian
Ministre puis secrétaire d'État chargée des Affaires européennes :Nathalie Loiseau (dém), puisAmélie de Montchalin
Secrétaire d'État :Jean-Baptiste Lemoyne
Armées
Florence Parly
Secrétaire d'État :Geneviève Darrieussecq
Solidarités et Santé
Agnès Buzyn(dém), puisOlivier Véran
Haut-commissaire auxRetraites :Jean-Paul Delevoye (dém)
Secrétaire d'État chargé des Retraites :Laurent Pietraszewski
Secrétaire d'État :Christelle Dubos
Secrétaire d'État :Adrien Taquet
Économie et Finances
Bruno Le Maire
Secrétaire d'État chargé du Numérique (délégué également auprès duministre de l'Action et des Comptes publics) :Mounir Mahjoubi (dém), puisCédric O
Secrétaire d'État :Agnès Pannier-Runacher
Travail
Muriel Pénicaud
Secrétaire d'État chargé de la Protection de la santé des salariés contre l'épidémie de Covid-19 :Laurent Pietraszewski
Éducation nationale etJeunesse
Jean-Michel Blanquer
Secrétaire d'État :Gabriel Attal
Action et Comptes publics
Gérald Darmanin
Secrétaire d'État chargé du Numérique (délégué également auprès duministre de l'Économie et des Finances) :Mounir Mahjoubi (dém), puisCédric O
Secrétaire d'État :Olivier Dussopt
Intérieur
Christophe Castaner
Secrétaire d'État :Laurent Nuñez
Enseignement supérieur,Recherche et InnovationFrédérique Vidal
Cohésion des territoires etRelations
avec les collectivités territoriales
Jacqueline Gourault
Ministre chargé des Collectivités territoriales :Sébastien Lecornu
Ministre chargé de la Ville etdu Logement :Julien Denormandie
Outre-MerAnnick Girardin
CultureFranck Riester
Agriculture et AlimentationDidier Guillaume
SportsRoxana Maracineanu
Ministre etsecrétaires d'État
auprès duPremier ministre
Ministre chargé des Relations avec le Parlement :Marc Fesneau
Secrétaire d'État :Benjamin Griveaux,Sibeth Ndiaye,porte-parole du Gouvernement
Secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations :Marlène Schiappa
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées :Sophie Cluzel
Ordonnancement parordre de préséance
( PHILIPPE I) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant ( CASTEX)
v ·m
Gouvernement Castex()
Sous laprésidence d’Emmanuel Macron
Europe et Affaires étrangères
Jean-Yves Le Drian
Ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l'Attractivité :Franck Riester
Secrétaire d'État chargé du Tourisme,des Français de l'étranger etde la Francophonie :Jean-Baptiste Lemoyne
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes :Clément Beaune



Jean Castex
Premier ministre
Transition écologique
Barbara Pompili
Ministre déléguée chargée du Logement :Emmanuelle Wargon
Ministre délégué chargé des Transports :Jean-Baptiste Djebbari
Secrétaire d'État chargée de la Biodiversité :Bérangère Abba
Éducation nationale,Jeunesse etSports
Jean-Michel Blanquer
Ministre déléguée chargée des Sports :Roxana Maracineanu
Secrétaire d'État chargée de l'Éducation prioritaire :Nathalie Élimas
Secrétaire d'État chargée de la Jeunesse et de l'Engagement :Sarah El Haïry
Économie, Finances et Relance
Bruno Le Maire
Ministre délégué chargé des Comptes publics :Olivier Dussopt
Ministre déléguée chargée de l'Industrie :Agnès Pannier-Runacher
Ministre délégué chargé des Petites et moyennes entreprises :Alain Griset
Secrétaire d'État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques :Cédric O(1)
Secrétaire d'État chargée de l'Économie sociale, solidaire et responsable :Olivia Grégoire
Armées
Florence Parly
Ministre déléguée chargée de la Mémoire et des Anciens Combattants :Geneviève Darrieussecq
Intérieur
Gérald Darmanin
Ministre déléguée chargée de la Citoyenneté :Marlène Schiappa
Travail,Emploi et Insertion
Élisabeth Borne
Ministre déléguée chargée de l'Insertion :Brigitte Klinkert
Secrétaire d'État chargé des Retraites et de la Santé au travail :Laurent Pietraszewski
Outre-merSébastien Lecornu
Cohésion des territoires etRelations avec les collectivités territoriales
Jacqueline Gourault
Ministre déléguée chargée de la Ville :Nadia Hai
Secrétaire d'État chargé de la Ruralité :Joël Giraud
Justice,garde des sceauxÉric Dupond-Moretti
CultureRoselyne Bachelot
Solidarités et Santé
Olivier Véran
Ministre déléguée chargée de l'Autonomie :Brigitte Bourguignon
Secrétaire d'État chargé de l'Enfance et des Familles :Adrien Taquet
MerAnnick Girardin
Enseignement supérieur,Recherche et InnovationFrédérique Vidal
Agriculture et AlimentationJulien Denormandie
Transformation et Fonction publiquesAmélie de Montchalin
Ministres délégués etsecrétaires d'État auprès duPremier ministre
Ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement et de la Participation citoyenne :Marc Fesneau
Ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l'Égalité des chances :Élisabeth Moreno
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées :Sophie Cluzel
Secrétaire d'État, porte-parole du gouvernement :Gabriel Attal
(← PHILIPPEII) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant ( BORNE)
v ·m
Gouvernement Borne() jusqu'auremaniement du
Sous laprésidence d'Emmanuel Macron
Économie, Finances et Souveraineté industrielle et numérique
Bruno Le Maire
Ministre délégué chargé des Comptes publics :Gabriel Attal

Élisabeth Borne
Première ministre
Intérieur
Gérald Darmanin
Ministre délégué chargé des Collectivités territoriales :Christophe Béchu
Europe et Affaires étrangères
Catherine Colonna
Ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l'Attractivité :Franck Riester
Ministre délégué chargé de l'Europe :Clément Beaune
Secrétaire d'État chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux :Chrysoula Zacharopoulou
Justice,garde des sceauxÉric Dupond-Moretti
Transition écologique etCohésion des territoires
Amélie de Montchalin
Ministre délégué chargé des Collectivités territoriales :Christophe Béchu
Éducation nationale etJeunessePap Ndiaye
ArméesSébastien Lecornu
Santé et PréventionBrigitte Bourguignon
Travail,Plein emploi et InsertionOlivier Dussopt
Solidarités, Autonomie et Personnes handicapéesDamien Abad
Enseignement supérieur etRechercheSylvie Retailleau
Agriculture et Souveraineté alimentaireMarc Fesneau
Transformation et Fonction publiquesStanislas Guerini
Outre-merYaël Braun-Pivet (dém)puis par intérimÉlisabeth Borne(1)
CultureRima Abdul Malak
Transition énergétiqueAgnès Pannier-Runacher
Sports et Jeux olympiques et paralympiquesAmélie Oudéa-Castéra
Ministres délégués etsecrétaires d'État auprès de laPremière ministre
Ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement et de la Vie démocratique :Olivier Véran
Ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l'Égalité des chances :Isabelle Rome
Secrétaire d'État, porte-parole du gouvernement :Olivia Grégoire
Secrétaire d'État chargée de la Mer :Justine Benin
Secrétaire d'État chargée de l'Enfance :Charlotte Caubel
(← CASTEX) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant ( ATTAL)
v ·m
Gouvernement Borne() après leremaniement du et jusqu'auremaniement du
Sous laprésidence d'Emmanuel Macron
Économie, Finances et Souveraineté industrielle et numérique
Bruno Le Maire
Ministre délégué chargé des Comptes publics :Gabriel Attal
Ministre délégué chargé de l'Industrie :Roland Lescure
Ministre délégué chargé de la Transition numérique etdes Télécommunications :Jean-Noël Barrot
Ministre déléguée chargée des Petites et moyennes entreprises,du Commerce,de l'Artisanat etdu Tourisme :Olivia Grégoire

Élisabeth Borne
Première ministre
Intérieur etOutre-mer
Gérald Darmanin
Ministre déléguée chargé des Collectivités territoriales etde la Ruralité :Dominique Faure
Ministre délégué chargé des Outre-mer :Jean-François Carenco
Secrétaire d'État chargée de la Citoyenneté :Sonia Backès
Europe et Affaires étrangères
Catherine Colonna
Ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l'Attractivité :Olivier Becht
Secrétaire d'État chargée de l'Europe :Laurence Boone
Secrétaire d'État chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux :Chrysoula Zacharopoulou
Justice,garde des sceauxÉric Dupond-Moretti
Armées
Sébastien Lecornu
Secrétaire d'État chargée de la Jeunesse et du Service national universel :Sarah El Haïry
Secrétaire d'État chargée des Anciens combattants et de la Mémoire :Patricia Mirallès
Travail,Plein emploi et Insertion
Olivier Dussopt
Ministre déléguée chargée de l'Enseignement et de la Formation professionnels :Carole Grandjean
Éducation nationale etJeunesse
Pap Ndiaye
Ministre déléguée chargée de l'Enseignement et de la Formation professionnels :Carole Grandjean
Secrétaire d'État chargée de la Jeunesse et du Service national universel :Sarah El Haïry
Enseignement supérieur etRechercheSylvie Retailleau
Agriculture et Souveraineté alimentaireMarc Fesneau
Transition écologique etCohésion des territoires
Christophe Béchu
Ministre déléguée chargé des Collectivités territoriales etde la Ruralité :Dominique Faure
Ministre délégué chargé des Transports :Clément Beaune
Ministre délégué chargé de la Ville etdu Logement :Olivier Klein
Secrétaire d'État chargée de l'Écologie :Bérangère Couillard
Transition énergétiqueAgnès Pannier-Runacher
CultureRima Abdul Malak
Santé et PréventionFrançois Braun
Solidarités, Autonomie et Personnes handicapées
Jean-Christophe Combe
Ministre déléguée chargée de l'Organisation territoriale et des Professions de santé :Agnès Firmin-Le Bodo
Ministre déléguée chargée des Personnes handicapées :Geneviève Darrieussecq
Transformation et Fonction publiquesStanislas Guerini
Sports et Jeux olympiques et paralympiquesAmélie Oudéa-Castéra
Ministres délégués etsecrétaires d'État auprès de laPremière ministre
Ministre délégué chargé du Renouveau démocratique, porte-parole du gouvernement :Olivier Véran
Ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement :Franck Riester
Ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l'Égalité des chances :Isabelle Rome
Secrétaire d'État chargée de l'Enfance :Charlotte Caubel
Secrétaire d'État chargé de la Mer :Hervé Berville
Secrétaire d'État chargée de l'Économie sociale et solidaire et de la Vie associative :Marlène Schiappa
(← CASTEX) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant ( ATTAL)
v ·m
Gouvernement Borne() après leremaniement du
Sous laprésidence d'Emmanuel Macron
Économie, Finances et Souveraineté industrielle et numérique
Bruno Le Maire
Ministre délégué chargé de l'Industrie :Roland Lescure
Ministre délégué chargé du Numérique :Jean-Noël Barrot
Ministre déléguée chargée des Petites et moyennes entreprises,du Commerce,de l'Artisanat etdu Tourisme :Olivia Grégoire
Ministre délégué chargé des Comptes publics :Thomas Cazenave

Élisabeth Borne
Première ministre
Intérieur etOutre-mer
Gérald Darmanin
Ministre déléguée chargé des Collectivités territoriales etde la Ruralité :Dominique Faure
Ministre délégué chargé des Outre-mer :Philippe Vigier
Secrétaire d'État chargée de la Ville :Sabrina Agresti-Roubache
Secrétaire d'État chargée de la Citoyenneté :Sonia Backèsjusqu’au (dém)
Europe et Affaires étrangères
Catherine Colonna
Ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l'Attractivité :Olivier Becht
Secrétaire d'État chargée de l'Europe :Laurence Boone
Secrétaire d'État chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux :Chrysoula Zacharopoulou
Justice,garde des sceauxÉric Dupond-Moretti
Armées
Sébastien Lecornu
Secrétaire d'État chargée de la Jeunesse et du Service national universel :Prisca Thevenot
Secrétaire d'État chargée des Anciens combattants et de la Mémoire :Patricia Mirallès
Travail,Plein emploi et Insertion
Olivier Dussopt
Ministre déléguée chargée de l'Enseignement et de la Formation professionnels :Carole Grandjean
Éducation nationale etJeunesse
Gabriel Attal
Ministre déléguée chargée de l'Enseignement et de la Formation professionnels :Carole Grandjean
Secrétaire d'État chargée de la Jeunesse et du Service national universel :Prisca Thevenot
Enseignement supérieur etRechercheSylvie Retailleau
Agriculture et Souveraineté alimentaireMarc Fesneau
Transition écologique etCohésion des territoires
Christophe Béchu
Ministre déléguée chargé des Collectivités territoriales etde la Ruralité :Dominique Faure
Ministre délégué chargé des Transports :Clément Beaune
Ministre délégué chargé du Logement :Patrice Vergriete
Secrétaire d'État chargée de la Ville :Sabrina Agresti-Roubache
Secrétaire d'État chargée de la Biodiversité :Sarah El Haïry
Transition énergétiqueAgnès Pannier-Runacher
CultureRima Abdul Malak
Santé et Prévention
Aurélien Rousseau (dém) puisAgnès Firmin-Le Bodo
Ministre déléguée chargée de l'Organisation territoriale et des Professions de santé :Agnès Firmin-Le Bodo
Solidarités etFamilles
Aurore Bergé
Ministre déléguée chargée des Personnes handicapées :Fadila Khattabi
Transformation et Fonction publiquesStanislas Guerini
Sports et Jeux olympiques et paralympiquesAmélie Oudéa-Castéra
Ministres délégués etsecrétaires d'État auprès de laPremière ministre
Ministre délégué chargé du Renouveau démocratique, porte-parole du gouvernement :Olivier Véran
Ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement :Franck Riester
Ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations :Bérangère Couillard
Secrétaire d'État chargée de l'Enfance :Charlotte Caubel
Secrétaire d'État chargé de la Mer :Hervé Berville
(← CASTEX) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant ( ATTAL)
v ·m
Gouvernement Attal()
Sous laprésidence d'Emmanuel Macron
Économie, Finances et Souveraineté industrielle et numérique
Bruno Le Maire
Ministre délégué chargé de l'Industrie etde l'Énergie :Roland Lescure
Ministre déléguée chargée des Entreprises,du Tourismeet de la Consommation :Olivia Grégoire
Ministre délégué chargé des Comptes publics :Thomas Cazenave
Secrétaire d'État chargée du Numérique :Marina Ferrari

Gabriel Attal
Premier ministre
Intérieur etOutre-mer
Gérald Darmanin
Ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales etde la Ruralité :Dominique Faure
Ministre déléguée chargée des Outre-mer :Marie Guévenoux
Secrétaire d'État chargée de la Ville etde la Citoyenneté :Sabrina Agresti-Roubache
Travail,Santé etSolidarités
Catherine Vautrin
Ministre déléguée chargée de l'Enfance,de la Jeunesse etdes Familles :Sarah El Haïry
Ministre déléguée chargée des Personnes âgées et des Personnes handicapées :Fadila Khattabi
Ministre délégué chargé de la Santé et de la Prévention :Frédéric Valletoux
Éducation nationale etJeunesse
Nicole Belloubet
Ministre déléguée chargée de l'Enfance,de la Jeunesse etdes Familles :Sarah El Haïry
Agriculture et Souveraineté alimentaire
Marc Fesneau
Ministre déléguée :Agnès Pannier-Runacher
CultureRachida Dati
Armées
Sébastien Lecornu
Secrétaire d'État chargée des Anciens combattants et de la Mémoire :Patricia Mirallès
Justice,garde des sceaux
Éric Dupond-Moretti
Ministre déléguée chargée de l'Enfance,de la Jeunesse etdes Familles :Sarah El Haïry
Europe et Affaires étrangères
Stéphane Séjourné
Ministre délégué chargé du Commerce extérieur, de l'Attractivité, de la Francophonie et des Français de l'étranger :Franck Riester
Ministre délégué chargé de l'Europe :Jean-Noël Barrot
Secrétaire d'État chargée du Développement et des Partenariats internationaux :Chrysoula Zacharopoulou
Transition écologique etCohésion des territoires
Christophe Béchu
Ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales etde la Ruralité :Dominique Faure
Ministre délégué chargé des Transports :Patrice Vergriete
Ministre délégué chargé du Logement :Guillaume Kasbarian
Secrétaire d'État chargée de la Ville :Sabrina Agresti-Roubache
Secrétaire d'État chargé de la Mer etde la Biodiversité :Hervé Berville
Transformation et Fonction publiquesStanislas Guerini
Sports et Jeux olympiques et paralympiquesAmélie Oudéa-Castéra
Enseignement supérieur etRechercheSylvie Retailleau
Ministres délégués etsecrétaires d'État auprès duPremier ministre
Ministre déléguée chargée du Renouveau démocratique, porte-parole du gouvernement :Prisca Thevenot
Ministre déléguée chargée des Relations avec le Parlement :Marie Lebec
Ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations :Aurore Bergé
(← BORNE) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant ( BARNIER)
v ·m
Gouvernement LecornuI()
Sous laprésidence d'Emmanuel Macron
Éducation nationale,Enseignement supérieur et RechercheÉlisabeth Borne(ministre d'État)
Sébastien Lecornu
Premier ministre
Outre-merManuel Valls(ministre d'État)
Justice,garde des sceauxGérald Darmanin(ministre d'État)
IntérieurBruno Retailleau(ministre d'État)
Armées etAnciens CombattantsBruno Le Maire(ministre d'État)
Travail,Santé, Solidarité,Familles,Autonomie et Personnes handicapéesCatherine Vautrin
CultureRachida Dati
Économie, Finances, Souveraineté industrielle et énergétiqueRoland Lescure
Europe et Affaires étrangèresJean-Noël Barrot
Aménagement du territoire, Décentralisation etLogementÉric Woerth
Transition écologique, Biodiversité, Forêt,Mer et PêcheAgnès Pannier-Runacher
Agriculture et Souveraineté alimentaireAnnie Genevard
Comptes publicsAmélie de Montchalin
Transformation et Fonction publiques,Intelligence artificielle et NumériqueNaïma Moutchou
TransportsPhilippe Tabarot
Sports, Jeunesse et Vie associativeMarina Ferrari
Ministres délégués auprès duPremier ministre
Ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes etde la Lutte contre les discrimitations,porte-parole du Gouvernement :Aurore Bergé
Ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement :Mathieu Lefèvre
(← BAYROU) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant ( LECORNU II)
v ·m
IIIe République
(1871-1940)
Régime de Vichy
(1940-1944)
IVe République
(1946-1959)
Ve République
(depuis1959)
v ·m
Ministère de la Défense
IIIe République
(1871 -1940)
Gouvernement provisoire
(1944 -1946)
IVe République
(1946 -1958)
Ve République
(depuis1958)
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