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Bruno Cohen est unréalisateur et unscénographe français né en 1953 àStrasbourg. Il participe avec d'autres à la réintroduction duthéâtre optique en France à la fin des années 1980.
Diplômé de sociologie de l'Université de Lorraine, il est Docteur en sciences de l'information et de la communication (Cnam/Paris)[1]. Formé à l'audiovisuel et au mime, il développe plus particulièrement depuis 1988 un travail de recherche et de création autour des théâtres optiques ou théâtres virtuels. Plusieurs de ces dispositifs ont été présentés dans les musées français ou étrangers : laCité des sciences et de l'industrie à Paris, laCitadelle basse deVerdun, leMuséum national d'histoire naturelle, laCorderie Royale à Rochefort, leThéâtre antique d'Orange… Ces travaux ont été couronnés de nombreux prix tels que le prix de l'innovation muséographique (SITEM), le prix de la communication (Entreprise communique), le "Faust" des sciences et techniques (F.A.U.S.T).
Le travail de Bruno Cohen se développe autour de projets de recherche vidéo et scénographique associantthéâtres optiques et réseau de communication autour de dispositifs spectaculaires mettant en relation des espaces partagés (expérimentation réalisée entre les écoles d'art de Nancy et de Nantes).
En tant que réalisateur, il signe par ailleurs le web documentaireDom Loupvent[2] et obtient le prix du meilleur web documentaire universitaire (FFUP 2013) en lien avec les universités de Lorraine et de Lyon 2.
De 2013 à 2018, il est directeur de la mission nouvelles intelligence du territoire au sein de la Métropole du Grand Nancy. Il est également directeur de la Fondation Humanisme numérique 2019-2020 et à ce titre contribue à la réflexion sur les conséquences de la révolution numérique[3].
Il co-écrit un essai avec Samuel Nowakowski sur les transformations liées au monde numérique "Demain est-il ailleurs ? Odyssée urbaine autour de la transition numérique" aux Éditions FYP 2020[4].
Certaines de ses œuvres ont été acquises par des musées tels que le Musée des Médias duZKM àKarlsruhe ou présentées dans des festivals multimédias comme la Multimédiale àPrague (2000), l'exposition nationale Suisse à Bienne (2002), le Centre des Écritures Contemporaines à Mons en Belgique (2005) ou encore au Ars Numerica à Montbéliard (2008).