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Brune Poirson

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Pour les articles homonymes, voirPoirson.

Brune Poirson
Illustration.
Brune Poirson en 2017.
Fonctions
Députée française

(8 mois et 1 jour)
Circonscription3e de Vaucluse
LégislatureXVe(Cinquième République)
Groupe politiqueLREM
PrédécesseurAdrien Morenas
SuccesseurAdrien Morenas

(1 mois)
Élection18 juin 2017
Circonscription3e de Vaucluse
LégislatureXVe(Cinquième République)
Groupe politiqueLREM
PrédécesseurMarion Maréchal
SuccesseurAdrien Morenas
Vice-présidente de l'Assemblée des Nations unies pour l'environnement

(1 an, 3 mois et 13 jours)
PrédécesseurIbrahim Usman Jibril
SuccesseurBérangère Abba(indirectement)
Secrétaire d'État auprès duministre de la Transition écologique et solidaire

(3 ans et 12 jours)
PrésidentEmmanuel Macron
Premier ministreÉdouard Philippe
MinistreNicolas Hulot
François de Rugy
Élisabeth Borne
GouvernementPhilippe II
PrédécesseurFonction créée
SuccesseurFonction supprimée
Biographie
Date de naissance(43 ans)
Lieu de naissanceWashington D.C. (États-Unis)
NationalitéAméricaine
Française
Parti politiqueLREM
Diplômée deSciences Po Aix
London School of Economics
John F. Kennedy School of Government
ProfessionConsultante
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Brune Poirson, née le àWashington D.C. (États-Unis), est unecadre d'entreprise etfemme politiquefrançaise, également de nationalitéaméricaine.

Au cours des années 2000 et 2010, elle occupe différents postes de cadre auRoyaume-Uni, enInde et auxÉtats-Unis, notamment dans le domaine dudéveloppement durable au sein de l'Agence française de développement et deVeolia.

Membre deLa République en marche (LREM), elle est éluedéputée dans latroisième circonscription de Vaucluse lors desélections législatives de juin 2017. Peu après, elle est nomméesecrétaire d'État auprès duministre de la Transition écologique et solidaireNicolas Hulot dans ledeuxième gouvernement Édouard Philippe. Elle continue d'exercer cette fonction auprès deFrançois de Rugy etÉlisabeth Borne, et porte notamment la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire, adoptée et promulguée en 2020. Non reconduite au sein dugouvernement Jean Castex, elle revient à la députation puis cède son siège à son suppléantAdrien Morenas en avril 2021 pour devenir directrice du développement durable du groupeAccor.

De mars 2019 à octobre 2020, elle est vice-présidente de l'Assemblée des Nations unies pour l'environnement (ANUE). Elle est depuis chargée par le gouvernement d'une mission temporaire sur l'éducation audéveloppement durable, et responsable des relations internationales de LREM.

Famille et études

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Née en 1982 àWashington D.C.[1] d'un père travaillant pour laBanque mondiale, et d'une mère restauratrice de tableaux, elle grandit àApt, dans leVaucluse, avec deux frères cadets[2],[3].

Elle détient les nationalités américaine[4] et française. Brune Poirson est divorcée[5] de Nicolas Miailhe, un spécialiste de l'intelligence artificielle rencontré en Inde et qui a été son directeur de campagne en 2017[6]. De leur union est née une fille[7].

Elle passe son baccalauréat àMarseille en 2000[8] au sein dulycée Lacordaire. Après une classe préparatoire à Paris[9], elle étudie àSciences Po Aix (promotion 2005)[10] et à laLondon School of Economics[11],[12], dont elle est diplômée[8],[13].

En 2016, elle poursuit ses études à laJohn F. Kennedy School of Government, l'école d'administration publique de l'université Harvard, et y obtient un master en administration publique en 2017[14],[8],[15]. Elle s'investit dans la campagne d'Emmanuel Macron en parallèle[14].

Parcours professionnel

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Premier parcours professionnel

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Pendant un an, elle travaille auLaos sur l'éducation, en particulier des jeunes filles au sein desHmong[3]. À la fin de ses études, elle devientattachée parlementaire d'une députéetravailliste[13],[8]. Elle débute en tant que chargée de mission auNational Endowment for Science, Technology and the Arts (en) (fondation pour l’innovation britannique)[8]. Elle y rencontreSam Pitroda (en), ministre d’Etat chargé de l'Information, des Infrastructures et des Innovations du Premier ministre indienManmohan Singh[16],[17], et intègre son cabinet àNew Delhi en 2009[4],[8]. La même année, elle rejoint l’Agence française de développement au poste de coordonnatrice de développement à New Delhi, sur un projet de distribution d'eau potable dans les bidonvilles[15]. En 2012, elle crée avec son compagnon et Sam Pitroda lethink tank CITIX sur le thème dudéveloppement durable urbain[8],[18].

Elle est ensuite recrutée parVeolia en tant que directrice du développement durable et de la responsabilité sociale d’une de ses filiales, Veolia Water India, àDelhi[19]. Dans ce cadre, « elle coordonne les premiers projets écologiques, axés sur le développement urbain en accord avec la préservation de la biodiversité »[20] et travaille sur des projets de distribution d’eau potable dans les bidonvilles de grandesmégapolesindiennes, notamment dans leKarnataka et àNagpur[4],[21].Reporterre etLibération soulignent que Veolia a reçu pour ces projets qui relèveraient de laprivatisation de l'eau, en particulier à Nagpur, le « prix Pinocchio du développement durable » de l'associationLes Amis de la Terre dans la catégorie « Une pour tous, tout pour moi »[19],[4].Libération ajoute qu'« un long reportage en 2017 deThe Hindu, grand quotidien anglophone, montre que dans cette ville [Nagpur] la distribution s’est peu améliorée et les prix ont augmenté, provoquant une fronde des habitants et des politiques de tous bords »[4],[22].

En 2014, elle déménage auxÉtats-Unis, àBoston, tout en restant au sein de Veolia, et travaille au sein d'unincubateur detechnologies propres, sur des thématiques d'innovation sociale et de responsabilité sociale des entreprises[15],[8].

En 2016, elle monte unthink tank, nomméPeople for Global Transformation, sur ladurabilité, le changement social et les transformations technologiques[15].

Reconversion dans le privé

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En avril 2021, tout en poursuivant la mission que lui a confiée le gouvernement, elle annonce qu'elle cède son siège de députée pour se « tourner vers d'autres horizons » que la politique, mais toujours pour « agir en faveur de la transition écologique »[23]. Elle rejoint en fait le groupe hôtelierAccor, en qualité de« directrice du développement durable »[24]. Elle y rejoint notammentNicolas Sarkozy, qui y siège depuis quatre ans en qualité de« président du comité de la stratégie internationale »[25].

À cette occasion, son siège de députée devait normalement être remis en jeu par une élection législative partielle (dans une circonscription alors considérée comme risquant de revenir auRassemblement national[26],[27]) ; cependant,Jean Castex évite cette échéance en prolongeant de six mois sa mission gouvernementale consacrée à « l’éducation au développement durable », soit jusqu’à fin 2021 : en effet, selon lecode électoral, toute mission de plus de six mois d’un député entraîne son remplacement automatique par son suppléant à l’Assemblée nationale[28].

Ce retour dans le privé est critiqué aussi bien par des opposants que par certains membres dugroupe LREM, lui reprochant son absence répétée sur les bancs de l'hémicycle, ainsi qu'une trajectoire pouvant s'apparenter à dupantouflage[26],[29].Marianne estime en outre qu'« en creux, le message n’est pas des plus agréables : la politique, c’est chouette quand on est membre du gouvernement, mais pas question de s’abaisser à siéger à l’Assemblée nationale »[27]. SelonMarianne,« l’exécutif a tenté d’éviter cette image désastreuse en proposant en catastrophe d’autres postes (notamment diplomatiques) à l’intéressée. Sans succès »[27]. Le magazine explique la décision de Brune Poirson par le fait qu'elle n'ait« pas vraiment digéré son éviction du gouvernement », et indique qu'elle« n’était plus très en phase avec les orientations (certes fluctuantes) du macronisme »[27].

Elle est par ailleurs administratrice de la Fondation de la mer, qui soutient des associations et des programmes sur la biodiversité marine, et reste responsable des relations internationales de LREM[23].

Parcours politique

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Députée de laXVe législature

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Brune Poirson en débat avec ses concurrents lors de la campagne des élections législatives (face àHervé de Lépinau, FN).

En tant qu’électrice, Brune Poirson indique avoir« papillonné »,« plutôt au centre »,« sans jamais être convaincue »[4].

En 2016, elle s’engage au sein d'En marche.Hubert Védrine l'ayant recommandée àJean-Paul Delevoye, président de la commission d'investiture de LREM pour les législatives, sa candidature dans la3e circonscription du Vaucluse (dont la députée sortante estMarion Maréchal[30]) est rapidement validée[18].

Le, elle sort en tête du premier tour deslégislatives, avec 32,07 %. Le, elle gagne le duel contreHervé de Lépinau (Front national), avec 50,67 % des voix[31].

Secrétaire d'État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire

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Nomination

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Le 21 juin 2017, elle est nommée secrétaire d'État auprès du ministre d'État,ministre de la Transition écologique et solidaireNicolas Hulot, dans ledeuxième gouvernement Édouard Philippe. Après seulement trois jours comme députée, elle laisse alors son siège de députée à son suppléantAdrien Morenas[32]. DansL'Obs,Serge Raffy indique qu'elle est surnommée la« chouchou du président » et qu'elle a été« bombardée à son poste parEmmanuel Macron lui-même »[33].

Portefeuille

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Brune Poirson lors d'une réunion informelle de ministres de l'Environnement européens en 2017, en compagnie des commissaires européensMiguel Arias Cañete etKarmenu Vella.

À sa prise de fonction, Nicolas Hulot annonce qu'elle sera chargée de la mer, de la biodiversité et des océans[19]. En mars 2018,Contexte indique que Nicolas Hulot« lui a largement délégué les sujets européens » et qu'elle« a assisté à la grande majorité desConseils des ministres de l’Énergie et de l’Environnement, couvrant des sujets aussi divers que l’économie circulaire, la réforme du marché européen de l’électricité, la gouvernance de l’Union de l'énergie ou lemarché du carbone ».Contexte précise que sa mission est de nouer des contacts avec les autres ministres européens pour faire avancer l’agenda de la France en matière detransition écologique tout en défendant les intérêts de son industrie énergétique[34]. SelonCadre et dirigeant magazine,« elle aborde des thématiques variées, de l’économie circulaire en passant par le recyclage et la gestion des déchets, les émissions carbone, lesperturbateurs endocriniens »[8].

Elle contribue aux négociations européennes concernant la prolongation de l'autorisation d’exploitation duglyphosate[8],[35] ; élabore avecFrançois-Henri Pinault leFashion Pact, une série d'engagements en matière d'écologie que prennent plusieurs entreprises de lamode, présentés lors dusommet du G7 de 2019[36],[3] ; joue un rôle dans les négociations sur les menaces de sanctions américaines sur les taxes à l'importation des biens de luxe[37]. En janvier 2020,The New York Times la présente comme la« ministre officieuse de la mode » et considère qu'elle est« à la fois l'une des championnes de l'industrie et l'une de ses rares critiques »[37].

Loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire

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Brune Poirson en 2019.
Article détaillé :Loi anti-gaspillage pour une économie circulaire.

Elle porte le projet de loi « anti-gaspillage pour une économie circulaire » (AGEC)[38], qui est adopté et promulgué en février 2020[39]. Selon le résumé duMonde, celui-ci vise notamment à« [interdire] la destruction de matériel invendu, propose d’introduire un « indice de réparabilité » des appareils électriques et électroniques, ou d’obliger les vendeurs à indiquer si les pièces détachées pour les réparer sont disponibles ou non », prévoit« une meilleure organisation des filières de gestion des déchets dans le bâtiment, au cœur de la problématique des décharges sauvages, et crée six nouvelles filières de « responsabilité élargie du producteur » (REP), dont le tabac, les lingettes sanitaires, les articles de bricolage et de jardinage, ou encore de sport, comme les vélos »[40].The New York Times relève en particulier que la loi prévoit l'interdiction de l'incinération des produits neufs invendus, ce qui fait de la France la première à adopter une telle mesure selon le Premier ministreÉdouard Philippe[37].

Alors que Brune Poirson envisage, lors de son audition au Sénat le 10 septembre, de faire de laconsigne le« symbole » du projet de loi, elle déclare aux sénateurs, deux semaines plus tard, que celle-ci« n’est pas la mesure-phare du projet de loi » : selonLe Monde, le principe de la mesure, à savoir la mise en place d’un système permettant aux consommateurs de rapporter leurs bouteilles en plastique ou les canettes dans des points de collecte en échange de quelques centimes — comme c'est déjà le cas dans dix pays de l’Union européenne — est considérée« comme une perte de revenus pour les collectivités locales » et suscite la quasi-unanimité contre elle au Sénat[40].

En décembre 2019, l'adoption à l'Assemblée nationale d'un amendement au projet de loi ayant pour objectif d’interdire la« mise sur le marché des emballages plastiques à usage unique d’ici 2040 », suscite des critiques sur le délai choisi au sein de la classe politique et de la part de certains journalistes, alors que Brune Poirson évoque« un signal très fort et concret ». L'associationZero Waste France déplore le fait que« les amendements qui permettent de tenir l'objectif d'interdiction des plastiques à usage unique pour 2040 n'ont pas été votés en commission par la majorité »[41],[42].

Brune Poirson reconnaît l'action« d’énormes lobbys, parce que fabriquer du plastique rapporte énormément »[43],[44],[45].

Prises de position

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En février 2019, elle défend lataxe carbone, supprimée dans le contexte dumouvement des Gilets jaunes, comme un« outil en faveur de la transition écologique, qui a un vrai impact parce qu'il envoie un signal prix qui permet aux gens de changer leur comportement »[46].

En mars 2019, elle indique comprendre mais regretter le report de trois ans de l'interdiction de l'usage des pesticides, estimant que« c'est encore ce point noir-là que toutes nos oppositions vont utiliser pour faire croire qu'on ne fait rien sur les questions climatiques en France »[47].

Elle prend position pour l’interdiction du glyphosate au niveau européen[48],[49],[50].

Lors des débats sur le projet de loi relatif à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire, elle s'oppose à un amendement visant à interdire la publicité pour les vols intranationaux, jugeant« impossible d'interdire purement et simplement la publicité pour des consommations courantes, hors motifs particuliers, notamment de santé publique — c'est le cas du tabac »[51].

Autres

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En septembre 2017, elle intègre le programme des Young Leaders de la France China Foundation (FCF), institution qui vise à encourager le dialogue entre laFrance et laChine, après avoir été incitée à se porter candidate par Aurélien Lechevallier, adjoint dePhilippe Étienne au palais de l'Élysée[52].

Elle refuse d'être tête de liste auxélections européennes de 2019, alors qu'elle était publiquement évoquée parmi les choix possibles[53]. Un sondage IFOP la situe comme4e personnalité favorite des sympathisants LREM pour ce poste, derrièreJean-Yves Le Drian,Michel Barnier,Agnès Buzyn, et à égalité avecNathalie Loiseau (avec 7 %)[54].

Selon plusieurs articles de presse,Emmanuel Macron lui demande d'être tête de liste pour lesélections municipales de 2020 àAvignon, où la municipalité est dirigée parCécile Helle (PS), alors que le députéJean-François Cesarini et l'universitaire Sylvie Tavakoli se sont déjà portés candidats auprès de la commission nationale d'investiture[55],[56]. Elle dément l'information et affirme ne pas avoir l'intention de se présenter[56].

Vice-présidente de l'Assemblée des Nations unies pour l'environnement

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Le, Brune Poirson est élue vice-présidente de l'Assemblée des Nations unies pour l'environnement (ANUE), pour un mandat de deux ans. L'ANUE est l'organe décisionnel le plus important au monde sur les questions environnementales. Son rôle au sein de l'organisation est de définir le programme environnemental mondial et de favoriser sa mise en œuvre au sein du système desNations unies[57]. C'est la première fois qu'une personnalité politique française est élue à ce poste[58]. Elle est remplacée le parBérangère Abba, ancienne Secrétaire d'État française chargée de la biodiversité[59].

Retour à la députation

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Non reconduite au sein dugouvernement Jean Castex, elle retrouve ses fonctions de députée[60],[61]. D'aprèsMarianne, son éviction du gouvernement est due à son refus de se présenter aux élections municipales àAvignon, alors qu’Emmanuel Macron le lui avait demandé[27].

En octobre 2020,Jean Castex lui confie une mission temporaire consacrée à l’éducation audéveloppement durable[62], mission qui n'est assortie d'aucun budget[25] : plusieurs élus y voient« une mission sur mesure pour compenser son éviction »[26]. En mars 2021,La Provence remarque qu'elle« mène une action de terrain qu'elle médiatise peu »[63].

De fait, son absentéisme prononcé donne, selonLe Monde,« l’image d’une élue désintéressée de sa fonction », avec à peine cinq présences en séance sur près d'un an[26]. Sur cette période, la base de données« nosdeputes.fr » n'a recensé de sa part aucune prise de parole, question, proposition ou rapport[25].

Notes et références

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  2. « Brune Poirson (La République en marche) », surRevdem(consulté le).
  3. ab etc(en) Tina Isaac-Goizé, « France’s Unofficial Minister for Fashion Isn’t Afraid of a Redesign », surnytimes.com,(consulté le).
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  6. rédaction, « Brune Poirson : qui est son très discret mari, Nicolas ? », surcloser,
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  9. Quentin Girard, « Brune Poirson, le goût d’éclore »,Libération.fr,‎(lire en ligne, consulté le)« prépa lettres à Paris ».
  10. « Le réseau des diplômés et des étudiants de Sciences Po Aix », surAlumni Sciences Po Aix en Provence(consulté le)
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  17. « La croisade de Sam Pitroda contre le fossé numérique semble sans fin »,Le Temps,‎(ISSN 1423-3967,lire en ligne, consulté le)
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  25. ab etcJ-L P., "Poisson d'Avril",Le Canard Enchaîné n°5241, 21 avril 2021.
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  28. « L'astuce de Matignon pour éviter une législative partielle chez Brune Poirson », surlalettrea.fr,.
  29. « Anticor récompense l'Observatoire des multinationales, Julian Assange et le journalisme »Accès libre, surBasta !,(consulté le) :« L’ancienne secrétaire d’État à l’Écologie de Macron, Brune Poirson, a reçu une distinction « pour son vrai-faux départ du gouvernement avant la fin de son mandat : une démission de sa fonction de députée requalifiée en "mission temporaire" afin d’éviter un nouveau scrutin. » Elle avait démissionné de son poste au service de l’État pour rejoindre le groupe d’hôtels Accor. »
  30. Éric Hacquemand,« Brune Poirson, la "junior minister" de Nicolas Hulot »,Paris Match, semaine du 27 juillet au 2 août 2017, p. 26.
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  34. Samuel Le Goff, Simon Prigent, Diane de Fortanier et Hortense Goulard, « Les attributions informelles des secrétaires d’État « sans attribution », surcontexte.com,(consulté le).
  35. Antoine Izambard, « Brune Poirson, l'ambitieuse et discrète secrétaire d'Etat de Nicolas Hulot », surchallenges.fr,(consulté le).
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  50. « Brune Poirson : "Dire 'On est contre le glyphosate', ça ne suffit pas" », surFrance Inter,(consulté le)
  51. Justine Guitton-Boussion, « Convention climat : les propositions que le gouvernement a déjà refusées », surReporterre,(consulté le).
  52. Jean-Jérôme Bertolus, « Jeunes leaders d’En Marche! et Young Leaders », surL'Opinion.fr,(consulté le).
  53. Margaux Baralon, « Européennes : ces trois options pour la tête de liste LREM », sureurope1.fr,(consulté le).
  54. « Les Français et le choix de la tête de liste de La République en marche pour les élections européennes de 2019 », surifop.com,(consulté le).
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  58. « Brune Poirson élue à l’ONU pour l’environnement », surlemonde.fr,(consulté le)
  59. « Déclaration de Mme Bérangère Abba, secrétaire d'État chargée de la biodiversité, sur le rôle de la France en matière de financement et de coopération internationale pour la préservation de la biodiversité, à l'Assemblée nationale le 30 mars 2021. », survie-publique.fr.
  60. « La Vauclusienne Brune Poirson n’est pas reconduite au sein du gouvernement », surledauphine.com,(consulté le).
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  62. Barthélémy Philippe, « Brune Poirson recasée à son tour dans une mission parlementaire », surcapital.fr,(consulté le).
  63. Laurent Rugiero,« Vaucluse : la si discrète députée Brune Poirson », laprovence.com, 29 mars 2021.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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v ·m
Gouvernement Philippe II()jusqu'auremaniement du 16 octobre 2018
Sous laprésidence d'Emmanuel Macron
Intérieur
Gérard Collomb,ministre d'État (dém) (3)puis par intérimÉdouard Philippe (3)
Ministre :Jacqueline Gourault

Édouard Philippe
Premier ministre
Transition écologique et solidaire
Nicolas Hulot,ministre d'État (dém) (2)puisFrançois de Rugy,ministre d'État (2)
Ministre chargée des Transports :Élisabeth Borne
Secrétaire d'État :Sébastien Lecornu
Secrétaire d'État :Brune Poirson
Justice,garde des sceauxNicole Belloubet
Europe etAffaires étrangères
Jean-Yves Le Drian
Ministre chargée des Affaires européennes :Nathalie Loiseau
Secrétaire d'État :Jean-Baptiste Lemoyne
Armées
Florence Parly
Secrétaire d'État :Geneviève Darrieussecq
Cohésion des territoires
Jacques Mézard
Secrétaire d'État :Julien Denormandie
Solidarités et SantéAgnès Buzyn
Économie et Finances
Bruno Le Maire
Secrétaire d'État :Benjamin GriveauxpuisDelphine Gény-Stephann (1)
CultureFrançoise Nyssen
TravailMuriel Pénicaud
Éducation nationaleJean-Michel Blanquer
Agriculture et AlimentationStéphane Travert
Action et Comptes publics
Gérald Darmanin
Secrétaire d'État (1) :Olivier Dussopt (1)
Enseignement supérieur,Recherche et InnovationFrédérique Vidal
Outre-MerAnnick Girardin
SportsLaura FlesselpuisRoxana Maracineanu (2)
Secrétaires d'État auprès duPremier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement :Christophe Castaner,porte-parole du Gouvernementjusqu'au (1)
Secrétaire d'État (1) :Benjamin Griveaux,porte-parole du Gouvernementà partir du (1)
Secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes :Marlène Schiappa
Secrétaire d'État chargée des personnes handicapées :Sophie Cluzel
Secrétaire d'État chargé du Numérique :Mounir Mahjoubi
  • Ordonnancement parordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
( PHILIPPE I) Gouvernement précédent ••••
v ·m
Gouvernement Philippe II()après leremaniement du
Sous laprésidence d'Emmanuel Macron
Transition écologique et solidaire
François de Rugy,ministre d'État (dém), puisÉlisabeth Borne
Ministre puis secrétaire d'État chargé des Transports :Élisabeth Borne, puisJean-Baptiste Djebbari
Secrétaire d'État :Brune Poirson
Secrétaire d'État :Emmanuelle Wargon

Édouard Philippe
Premier ministre
Justice,garde des sceauxNicole Belloubet
Europe etAffaires étrangères
Jean-Yves Le Drian
Ministre puis secrétaire d'État chargée des Affaires européennes :Nathalie Loiseau (dém), puisAmélie de Montchalin
Secrétaire d'État :Jean-Baptiste Lemoyne
Armées
Florence Parly
Secrétaire d'État :Geneviève Darrieussecq
Solidarités et Santé
Agnès Buzyn(dém), puisOlivier Véran
Haut-commissaire auxRetraites :Jean-Paul Delevoye (dém)
Secrétaire d'État chargé des Retraites :Laurent Pietraszewski
Secrétaire d'État :Christelle Dubos
Secrétaire d'État :Adrien Taquet
Économie et Finances
Bruno Le Maire
Secrétaire d'État chargé du Numérique (délégué également auprès duministre de l'Action et des Comptes publics) :Mounir Mahjoubi (dém), puisCédric O
Secrétaire d'État :Agnès Pannier-Runacher
Travail
Muriel Pénicaud
Secrétaire d'État chargé de la Protection de la santé des salariés contre l'épidémie de Covid-19 :Laurent Pietraszewski
Éducation nationale etJeunesse
Jean-Michel Blanquer
Secrétaire d'État :Gabriel Attal
Action et Comptes publics
Gérald Darmanin
Secrétaire d'État chargé du Numérique (délégué également auprès duministre de l'Économie et des Finances) :Mounir Mahjoubi (dém), puisCédric O
Secrétaire d'État :Olivier Dussopt
Intérieur
Christophe Castaner
Secrétaire d'État :Laurent Nuñez
Enseignement supérieur,Recherche et InnovationFrédérique Vidal
Cohésion des territoires etRelations
avec les collectivités territoriales
Jacqueline Gourault
Ministre chargé des Collectivités territoriales :Sébastien Lecornu
Ministre chargé de la Ville etdu Logement :Julien Denormandie
Outre-MerAnnick Girardin
CultureFranck Riester
Agriculture et AlimentationDidier Guillaume
SportsRoxana Maracineanu
Ministre etsecrétaires d'État
auprès duPremier ministre
Ministre chargé des Relations avec le Parlement :Marc Fesneau
Secrétaire d'État :Benjamin Griveaux,Sibeth Ndiaye,porte-parole du Gouvernement
Secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations :Marlène Schiappa
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées :Sophie Cluzel
Ordonnancement parordre de préséance
( PHILIPPE I) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant ( CASTEX)
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