Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Bourecq

50° 34′ 17″ nord, 2° 26′ 10″ est
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bourecq
Bourecq
La mairie.
Blason de Bourecq
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionHauts-de-France
DépartementPas-de-Calais
ArrondissementBéthune
IntercommunalitéCA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Alain Barrois
2020-2026
Code postal62190
Code commune62162
Démographie
GentiléBourecquois
Population
municipale
575 hab.(2022en évolution de −6,66 % par rapport à 2016)
Densité143 hab./km2
Géographie
Coordonnées50° 34′ 17″ nord, 2° 26′ 10″ est
AltitudeMin. 22 m
Max. 49 
m
Superficie4,02 km2
Typecommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineNorrent-Fontes
(banlieue)
Aire d'attractiond'Aire-sur-la-Lys
(commune de la couronne)
Élections
Départementalescanton de Lillers
Législatives8e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Bourecq
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Bourecq
Géolocalisation sur la carte :Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Bourecq
Géolocalisation sur la carte :Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Bourecq
modifier 

Bourecq est unecommune française située dans ledépartement duPas-de-Calais, enrégion desHauts-de-France. Ses habitantssont appelés lesBourecquois. Sa population est de 575 habitants au dernier recensement de 2022. La commune est membre de lacommunauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.

Géographie

[modifier |modifier le code]

Localisation

[modifier |modifier le code]

Localisée dans le centre-est du département duPas-de-Calais et dans la vallée de la Nave, Bourecq, limitrophe, à l'est, de la commune deLillers, est située,à vol d'oiseau, à 15 km au nord-ouest de la commune deBéthune (chef-lieu d'arrondissement)[1].

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes.Les communes limitrophes sontEcquedecques,Ham-en-Artois,Lespesses,Lillers,Norrent-Fontes etSaint-Hilaire-Cottes.

Carte
Le territoire de la commune et ses communes limitrophes[Note 1].

Géologie et relief

[modifier |modifier le code]

La superficie de la commune est de 4,02 km2 ; son altitude varie de22 à 49 m[2].

On distingue, localement, dans la commune[3], quelques affleurements tertiaires, comme aussi dans la proche région àAumerval,Burbure,Divion,Fléchin. Ces affleurements duCénozoïque peuvent abriter une flore originale.

Hydrographie

[modifier |modifier le code]
Article connexe :liste des cours d'eau du Pas-de-Calais.

Le territoire de la commune est situé dans lebassin Artois-Picardie[4].

Il est traversé par quatre cours d'eau :

  • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseau hydrographique de Bourecq[Note 2].
  • La Nave à Bourecq.
    La Nave à Bourecq.

Climat

[modifier |modifier le code]

Pour des articles plus généraux, voirClimat des Hauts-de-France etClimat du Nord-Pas-de-Calais.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique altéré, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[10]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[11]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique[12] et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[13]. Elle est en outre dans lazone H1a au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[14],[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,3 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 804 mm, avec12,4 jours de précipitations en janvier et8,7 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deLillers à3 km àvol d'oiseau[16], est de11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[17],[18]. La température maximale relevée sur cette station est de41 °C, atteinte le ; la température minimale est de−16,3 °C, atteinte le[Note 3].

Urbanisme

[modifier |modifier le code]

Typologie

[modifier |modifier le code]

Au, Bourecq est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19].Elle appartient à l'unité urbaine de Norrent-Fontes[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 5],[20],[21]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aire-sur-la-Lys, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[21]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols

[modifier |modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (66,9 %), zones agricoles hétérogènes (17,6 %), prairies (8,2 %), zones urbanisées (7,3 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

[modifier |modifier le code]

Voies de communication

[modifier |modifier le code]
Article connexe :réseau routier du Pas-de-Calais.

La commune est desservie par lesroutes départementales D 94, D 94E3 et D 943 (ancienneRN 43) reliantBéthune àAire-sur-la-Lys[25].

Elle bénéficie de la facilité d'accès, avec la sortieno 5, à l'autoroute A26 (4 km).

Transport ferroviaire

[modifier |modifier le code]
Article connexe :liste des gares du Nord-Pas-de-Calais.

La commune se trouve à 4 km de lagare de Lillers, située sur laligne d'Arras à Dunkerque-Locale, desservie par des trainsTER Hauts-de-France[26].

Toponymie

[modifier |modifier le code]
Article connexe :toponymie française.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Le nom de la localité est attesté sous les formesBotritium in pago terragoneusium (XIIe siècle),Botricium etBorrec (1093),Borrech (1160),Bosrech (1200),Borecht (1249),Bourrech (1512),Bourets (1720)[27],Bouret (1793),Bouret etBourecq depuis 1801[2].

Histoire

[modifier |modifier le code]

Le site a été parcouru ou même sans doute habité à l'époquegallo-romaine, comme l'a attesté la découverte d'une pièce de monnaie (unantoninien) près de l'église[28].

En 831, une petite communauté de dixchanoines, relevant de l'abbaye de Saint-Riquier, y était installée et disposait d'une petite bibliothèque ainsi que de divers objets liturgiques d'une certaine valeur, dont un « scyphus » (gobelet) en argent et unedalmatique[29].

Bourecq avait pour dépendances deux domaines et leur église respective,Thiennes etNedon[30]. Celle-ci disparut probablement dès la fin duIXe siècle ou auIXe siècle[31].

AuXIIIe siècle, le château appartenait aux Malaunoy[32]. En 1204, le seigneur de Malanoi, Hugo de Malo-Alneto, fut l'un des garants au nom du roi de France de l'observation de la capitulation de Rouen et, cinq ans plus tard (en 1209), jura àPhilippe Auguste de l'aider contre toute personne, sauf la dame de Lillers et le comte de Flandres[33].

En 1520, cet important château deMalannoy appartenait àCharles de Croy, comte deChimay, parrain deCharles Quint[34]. Il fut détruit en 1543 par l'armée du duc de Vendôme.

La seigneurie de Bourecq passe après le décès de Jean d'Isque, écuyer, à son neveu, Jean Lesquevistre, qui en « paierelief » à l'évêque deThérouanne en janvier 1548[35].

Au centre du village, près de l'église, le manoir féodal, fortifié auXVIe siècle, fut agrandi.

François Perrochel,évêque deBoulogne-sur-Mer (de 1643 à 1675), après sa visite de laparoisse, refusa l'invitation du châtelain malgré l'orage menaçant, ce qui fut l'occasion d'une anecdote de plus à propos de ce dignitaire estimé de l'Église[36].

En mars 1790, lors de laRévolution française, « laCommunauté de Bourecq-en-Artois annonce que lesdéclarations patriotiques des habitants s'élèvent à 1192 livres 17 sols, quoiqu'il y en ait à peine trois qui jouissent de 400 livres de revenu »[37]. Sous laRévolution de 1789, Pierre Paul Saligot, « curé jureur », se rendit « fameux pour s'être toujours montré anti-évêque et anti-religieux »[38].

Vers 1830, les fontaines de Bourecq et des villages environnants sont comparées à « de véritables jets d'eau naturels »[39].

Vers 1860-1870, l'école primaire de Louis Vendeuse[40] dispose dejardins scolaires, dans le style desjardins ouvriers[41].

Politique et administration

[modifier |modifier le code]

Découpage territorial

[modifier |modifier le code]
Article connexe :arrondissements du Pas-de-Calais.

La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune dudépartement duPas-de-Calais depuis 1801[2].

Commune et intercommunalités

[modifier |modifier le code]
Article connexe :liste des intercommunalités du Pas-de-Calais.

La commune est membre de lacommunauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 275 327 habitants en 2021.

Circonscriptions administratives

[modifier |modifier le code]
Articles connexes :redécoupage cantonal de 2014 en France,liste des cantons du Pas-de-Calais,Conseil départemental du Pas-de-Calais etliste des conseillers départementaux du Pas-de-Calais.

La commune est rattachée aucanton de Norrent-Fontes de 1801[2] à 2014, puis, depuis 2015, aucanton de Lillers.

Circonscriptions électorales

[modifier |modifier le code]
Articles connexes :liste des circonscriptions législatives du Pas-de-Calais etliste des députés du Pas-de-Calais.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de lahuitième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

[modifier |modifier le code]
Articles connexes :élections municipales de 2020 dans le Pas-de-Calais,Histoire des maires de France etnomination des maires sous la Troisième République française.

Liste des maires

[modifier |modifier le code]
Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
1804 Pigouche[42]  
vers 1865 M. de Saint-Laurent[43]  
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995mars 2008Francis Hernu  
mars 2008mai 2020Paul-André Défossez[44] retraité
23 mai 2020en cours
(au 27 mai 2020)
Alain Barrois ancien ouvrier[45],[46],[47]

Équipements et services publics

[modifier |modifier le code]

Justice, sécurité, secours et défense

[modifier |modifier le code]

La commune dépend dutribunal judiciaire deBéthune, duconseil de prud'hommes de Béthune, de lacour d'appel deDouai, dutribunal de commerce d'Arras, dutribunal administratif de Lille, de lacour administrative d'appel de Douai et dutribunal pour enfants de Béthune[48].

Population et société

[modifier |modifier le code]

Démographie

[modifier |modifier le code]

Les habitants de la communesont appelés lesBourecquois[49].

Évolution démographique

[modifier |modifier le code]
Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etdémographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[51].

En 2022, la commune comptait 575 habitants[Note 7], en évolution de −6,66 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
460412421492518517487505540
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
551596599607591576560514515
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
532549539565550544539540556
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200520062010
578565607556560517519518571
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
201520202022------
604589575------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puisInsee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier |modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 37,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 24,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait304 hommes pour318 femmes, soit un taux de 51,13 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[53]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,0 
5,9 
75-89 ans
6,0 
17,7 
60-74 ans
17,3 
17,4 
45-59 ans
20,9 
20,5 
30-44 ans
17,9 
19,1 
15-29 ans
16,6 
18,8 
0-14 ans
20,3 
Pyramide des âges du département duPas-de-Calais en 2021 en pourcentage[54]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Économie

[modifier |modifier le code]

L'activité économique est animée par quelques commerces de proximité et artisans ainsi que par des exploitants agricoles (traiteur, menuisier ébéniste, vente directe de produits de la ferme, surface commerciale).

Culture locale et patrimoine

[modifier |modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier |modifier le code]
  • L'ancien manoir fortifié duXVIe siècle[55],[56], situé sur la place centrale du village : ce manoir (« avec donjon, meurtrières et mâchicoulis »[57]) a des douves, des écuries, et derrière le bâtiment une immense terre allant jusqu'à la rivièreNave. Le pont-levis a disparu, mais la porte monumentale, d'époque médiévale, et les grilles de l'entrée précèdent un parc planté de conifères qui protège l'habitation principale. Les murs ont, par endroits, plus de sept mètres d'épaisseur, la salle de garde subsiste avec son imposante cheminée d'époque. La demeure, dont les trois quarts ne sont pas habités et restent en l'état, dispose d'une imposante cour intérieure.
  • L'égliseSaint-Riquier[58], datant de 1723[57]. La paroisse possède des reliques de ce saint, qui y fut invoqué (comme dans bien d'autres paroisses) pour des infirmités infantiles[59]
  • Le Malannoy, lieu-dit à l'écart (au nord) du village et à l'est deNorrent-Fontes, est aujourd'hui une ferme isolée occupant le site de l'ancienchâteau fort, qui aurait été équipé de douze tours. Il n'en subsiste que le « tronçon » inférieur d'une seule d'entre elles[60]. Une vue aérienne ou par satellite permet de visualiser encore parfaitement le tracé circulaire de cette forteresse qui fut rasée en 1543.
  • Lemonument aux morts, dont le sommet est orné d'une croix latine[61].
  • Le Malannoy, lieu-dit à l'écart (au nord) du village.
    Le Malannoy, lieu-dit à l'écart (au nord) du village.
  • L'ancien manoir fortifié du XVIe siècle.
    L'ancien manoir fortifié duXVIe siècle.
  • Le monument aux morts.
    Le monument aux morts.
  • L'église.
    L'église.
  • La chapelle, 1 rue de l'église.
    La chapelle, 1 rue de l'église.

Personnalités liées à la commune

[modifier |modifier le code]

Héraldique

[modifier |modifier le code]
Article connexe :armorial des communes du Pas-de-Calais.
Blason de BourecqBlason
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

Bases de données, dictionnaires et encyclopédies

[modifier |modifier le code]

Notes et références

[modifier |modifier le code]

Notes

[modifier |modifier le code]
  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Les records sont établis sur la période du au.
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Norrent-Fontes comprend deux villes-centres (Norrent-Fontes etSaint-Hilaire-Cottes) et une commune de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  8. Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune, le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
  9. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes :carte de Cassini (XVIIIe siècle),carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes

[modifier |modifier le code]
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

[modifier |modifier le code]
  1. « Distance, à vol d'oiseau, entre deux communes », après avoir lancé la recherche de la commune, sur la droite de la page d'accueil, choisir : Accéder aux outils cartographiques/Mesures/Mesurer une distance, surle siteGéoportail(consulté le).
  2. abcd eteDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. Également visible sur la carte géologique.
  4. « Données de la commune », surle site duservice d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre)(consulté le).
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Nave (E3640630) »(consulté le).
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - petite Nave (E3641021) »(consulté le).
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau le warrenghem (E3631010) »(consulté le).
  8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Manqueville (E3641010) »(consulté le).
  9. Sandre, « Fiche cours d'eau - toponyme hydrographique inconnu (E3639999) »(consulté le).
  10. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  11. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  12. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  14. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le).
  15. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le1er novembre 2025)
  16. « Orthodromie entre Bourecq et Lillers », surfr.distance.to(consulté le).
  17. « Station Météo-France « Lillers », sur la commune de Lillers - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le).
  18. « Station Météo-France « Lillers », sur la commune de Lillers - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  19. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  20. « Unité urbaine 2020 de Norrent-Fontes », surle site de l'Insee(consulté le).
  21. a etbInsee, « Métadonnées de la commune de Bourecq ».
  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Aire-sur-la-Lys », surle site de l'Insee(consulté le).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  25. « La commune sur le site OpenStreetMap », surle siteOpenStreetMap(consulté le).
  26. « Distance entre la commune et la gare de Lillers », surle siteOpenStreetMap(consulté le).
  27. Auguste de Loisne,Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris,, 499 p.(lire en ligne surGallica),p. 64.
  28. (page 208)Revue du Nord, Volume 67, Numéros 264 à 267, éd. Université de Lille, 1985.
  29. (pages 231 et 267) Émile Lesne,Histoire de la propriété ecclésiastique en France, volume 3, 1936.
  30. (page 258) Charles Mériaux,Gallia irradiata : Saints et sanctuaires dans le nord de la Gaule du haut Moyen Âge, éd. Franz Steiner Verlag, 2006, 428 pages.
  31. (pages 20-21)Revue d'histoire ecclésiastique, volume 97, numéro 1, éd. Université catholique de Louvain, 2002.
  32. (page 289) C. Klincksieck,Mémoires de la Société nationale des antiquaires de France, 1889.
  33. (page 55) Société de l'histoire de France, volumes 303 à 304, 1901.
  34. (page 174)Liber amicorum : Études historiques offertes à Pierre Bougard, Commission départementale d'histoire et d'archéologie du Pas-de-Calais, 1987 - 358 pages.
  35. (page 852) Louis Eugène de La Gorgue-Rosny,Recherches généalogiques sur les comtés de Ponthieu, de Boulogne, de Guines et pays circonvoisins, volume 2, 1875.
  36. (p. 134-135) Eugène Van Drival,Histoire des évêques de Boulogne, éd. Berger frères, 1852.
  37. (page 17) Procès-verbal de l'Assemblée Nationale Constituante, volume 15, séance du 13 mars 1790 au soir.
  38. (pages 177 et 387) Augustin Victor Deramecourt,Le clergé du diocèse d'Arras, Boulogne & Saint-Omer pendant la Révolution (1789-1802), 1885.
  39. (page 44) Richard,Guide classique du voyageur en France, éd. Audin, 1830-1831.
  40. (page 28) Recueil des lois et actes de l'instruction publique, éd. Delalain frères, 1882.
  41. (page 706) Bulletin médical, 1904.
  42. (page 129) Annuaire statistique du département du Pas-de-Calais pour l'anXII de la République Française (1803-1804).
  43. (colonne 965, page ?) Louis Paris,État présent de la noblesse française, éd. Bachelin-Deflorenne, 1866, 1230 pages.
  44. Reno Vatin, « Projet des maires, Bourecq : Paul-André Defossez annonce uncity-stade et un jardin d’enfants. : Second mandat pour Paul-André Defossez, à Bourecq. Où il sera question d’un city-stade, d’un jardin pour enfants, de l’élargissement du trottoir qui longe l’école, de rénovation du toit de la sacristie et de la salle des fêtes. »,La Voix du Nord,‎(lire en ligne, consulté le).
  45. Camille Janik, « Bourecq : un nouveau maire en la personne d’Alain Barrois : Le nouveau conseil municipal a été installé samedi 23 mai »,L'Écho de la Lys,‎(lire en ligne, consulté le)« aul-André Défossez a rendu son écharpe de maire, celui-ci ne se représentant pas aux élections municipales. C’est Alain Barrois, 65 ans, qui prend sa suite et qui a été élu maire ».
  46. « Répertoire national des maires »[txt],Répertoire national des élus, surdata.gouv.fr,(consulté le).
  47. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », surLe site duMinistère de l'Intérieur(consulté le).
  48. « Tribunaux dont la commune dépend », surjustice.fr(consulté le).
  49. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », surtresordesregions.mgm.fr(consulté le).
  50. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  51. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  52. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  53. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bourecq (62162) »,(consulté le).
  54. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) »,(consulté le).
  55. Page "tourisme" du site de la communauté de communes.
  56. L'Écho du Pas-de-Calaisno 110 (juillet/août 2010).
  57. a etb(page 251) Bulletin trimestriel de la Société académique des antiquaires de la Morinie, volume 11, partie 1, 1902.
  58. Page dédiée de la communauté de communes.
  59. (page 552) Société des antiquaires de Picardie, 1883.
  60. Page spécifique du site de la communauté de communes.
  61. « Le monument aux morts », surmonuments-aux-morts.fr(consulté le).
  62. « Blason », surarmorialdefrance.fr(consulté le).
v ·m
v ·m
Canton d’Aire-sur-la-Lys
Canton d’Auchel
Canton de Béthune
Canton de Beuvry
Canton de Bruay-la-Buissière
Canton de Douvrin
Canton de Lillers
Canton de Nœux-les-Mines
v ·m
Géographie
Géologie et relief
Hydrographie
Climat
Paysages
Milieux naturels et biodiversité
Divers
Urbanisme
Typologie
Hameaux
Voies de communication
Transport routier
Transport ferroviaire
Transport aérien
Transport maritime
Risques naturels et technologiques
Toponymie
Histoire
Comtés, pays et provinces
Divers
Politique et administration
Équipements et services publics
Espaces publics
Enseignement
Culture
Sécurité
Population et société
Population
Manifestations culturelles et festivités
Sports
Loisirs
Cultes
Médias
Économie
Histoire
Entreprises et commerces
Agriculture
Tourisme
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine culturel
Gastronomie
Le Pas-de-Calais dans les arts
Personnalités liées au Pas-de-Calais
Héraldique
v ·m
A
B
C
D
E
F
G
H
I
J
L
M
N
O
P
Q
R
S
T
V
W
Y
Z
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Bourecq&oldid=230599243 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp