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Bougarber

43° 23′ 54″ nord, 0° 28′ 16″ ouest
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bougarber
Bougarber
Le centre bourg.
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionNouvelle-Aquitaine
DépartementPyrénées-Atlantiques
ArrondissementPau
IntercommunalitéCommunauté d'agglomération Pau Béarn Pyrénées
Maire
Mandat
Corinne Hau
2020-2026
Code postal64230
Code commune64142
Démographie
Population
municipale
857 hab.(2022en évolution de −1,38 % par rapport à 2016)
Densité83 hab./km2
Géographie
Coordonnées43° 23′ 54″ nord, 0° 28′ 16″ ouest
AltitudeMin. 154 m
Max. 269 
m
Superficie10,29 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionPau
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton d'Artix et Pays de Soubestre
LégislativesPremière circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Bougarber
Géolocalisation sur la carte :France
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Bougarber
Géolocalisation sur la carte :Pyrénées-Atlantiques
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Bougarber
Géolocalisation sur la carte :Nouvelle-Aquitaine
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Bougarber
Liens
Site webwww.bougarber.frVoir et modifier les données sur Wikidata
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Bougarber (prononcé[buɡaʁbe] ; enbéarnaisBorg Garbèr ouBougarbè) est unecommune française, située dans ledépartement desPyrénées-Atlantiques enrégionNouvelle-Aquitaine.

Legentilé estBougarbersien[1].

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Bougarber se trouve dans ledépartement desPyrénées-Atlantiques, enrégionNouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 17 km par la route[Note 1] dePau[3],préfecture du département, et à 10 km d'Artix[4],bureau centralisateur ducanton d'Artix et Pays de Soubestre dont dépend la commune depuis 2015 pour lesélections départementales[2]. La commune fait en outre partie dubassin de vie de Pau[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] :Viellenave-d'Arthez (1,5 km),Viellenave-d'Arthez (2,7 km),Beyrie-en-Béarn (2,8 km),Uzein (3,2 km),Labastide-Monréjeau (4,3 km),Aussevielle (4,8 km),Casteide-Cami (4,8 km),Denguin (4,8 km).

Sur le plan historique et culturel, Bougarber fait partie de laprovince duBéarn, qui fut également unÉtat et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sontBeyrie-en-Béarn,Cescau,Denguin,Poey-de-Lescar,Uzein etViellenave-d'Arthez.

Carte
Les limites communales de Bougarber et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes deBougarber[7]
CescauViellenave-d'Arthez
BougarberUzein
DenguinBeyrie-en-BéarnPoey-de-Lescar

Au nord-est, le territoire deMomas n'est distant que d'une cinquantaine de mètres.

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Bougarber.

La commune est drainée par laGeüle, l'Aïgue Longue, l'Uzan, le Lata, un bras de l'Aygue Longue, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[8],[Carte 1].

LaGeüle, d'une longueur totale de 21,2 km, prend sa source dans la commune deDenguin et s'écoule d'est en ouest. Elle traverse la commune et se jette dans legave de Pau àMont, après avoir traversé 9 communes[9].

L'Aïgue Longue, d'une longueur totale de 24,4 km, prend sa source dans la commune dePau et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans leLuy du Béarn àMomas, après avoir traversé 13 communes[10].

L'Uzan, d'une longueur totale de 23,6 km, prend sa source dans la commune deLons et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans leLuy du Béarn àUzan, après avoir traversé 12 communes[11].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Nouvelle-Aquitaine etClimat des Pyrénées-Atlantiques.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique altéré, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[12]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[13]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat de montagne ou de marges de montagne[14] et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15]. Elle est en outre dans lazone H2c au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[16],[17].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de13,3 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 184 mm, avec11,8 jours de précipitations en janvier et7,7 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune d'Uzein à3 km àvol d'oiseau[18], est de13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 093,8 mm[19],[20]. La température maximale relevée sur cette station est de39,9 °C, atteinte le1er août 1947 ; la température minimale est de−15 °C, atteinte le[Note 3].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Leréseau Natura 2000 est unréseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué dezones spéciales de conservation (ZSC) et dezones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[22], d'une superficie de8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 5] encore vivace[23],[Carte 2].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Bougarber est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24].Elle est située hors unité urbaine[2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[2]. Cette aire, qui regroupe 227 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (91,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (66,4 %), prairies (13,5 %), zones agricoles hétérogènes (10 %), forêts (5,9 %), zones urbanisées (4,3 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Lieux-dits et hameaux

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  • Les Abésiaux
  • Affiusat
  • Arbus
  • Bédat
  • Casales
  • Cloutet
  • la Lanne
  • L'espiau
  • Liret
  • Luchane
  • Pétarrère
  • La Peyre
  • Pont-Long
  • la Serre
  • l'Uzan

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par les routes départementales D 208, D 233, D 733 etD 945.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Bougarber est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),inondations, mouvements de terrains etséisme (sismicité modérée). Il est également exposé à unrisque technologique, letransport de matières dangereuses[28]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Aygue longue, l'Uzan et laGeüle. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 2008 et 2009[30],[28].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[31]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuellescavités souterraines sur la commune[32].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bougarber.

Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie[33]. 38,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le, en application de laloi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[34].

Toponymie

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Bougarber est unebastidebéarnaise dont le nomBourg Garbè signifie 'bourg gerbier'.

Le toponymeBougarber apparaît sous les formesBorc-Garber etBorc-Garbe (respectivement 1385[35] etXIVe siècle[35],censier de Béarn[36]),Montgerbiel (XIVe siècle[35],Jean Froissart, livre IV),Borgarber (1402[35], censier de Béarn[36]),Mongarber (1538[35], réformation de Béarn[37]) etBourgarber (1625[35], titres deBéarn[38]).
Le toponyme provient de deux mots d'origine germaniqueborc /burk/ 'bourg' etgarbè (bas-latingarbarius) dérivé degarba 'gerbe de blé'[39].

LesAbésiaux, ancienne école, est mentionné sous la formela Bésiau (1778[35],terrier de Bougarber).

Affiusat, lande de la commune, est cité en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[35].

Le toponymeArbus apparaît sous la formeArbuus (1385[35], censier de Béarn[36]).

Espiau, ancien hôpital pour les pèlerins, est mentionné en 1170[35] (d'aprèsPierre de Marca[40]), et apparaît sous les formesLespiaup (1290[35], titres deBéarn[38]),Lespiaub (XIIIe siècle[35],fors de Béarn[36]),l'espitau de Lespiaub (1385[35], censier de Béarn[36]) etCommenda Sancti Jacobi de Spinalba (1527[35], titres desBarnabites deLescar[41]). Le toponymeSpinalba signifie 'épine blanche', une étymologie romane crédible, peut-être une réfection savante qu'il faut comparer avecEspiaubaig àAndrein en 1527.

Histoire

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Protohistoire

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Tumulus posthallstattiens

À environ 800 m au sud-est du château, un tumulus fouillé en 1913 par l'abbé André Pédebucq[42] a livré des débris de bronze ; une urne funéraire à col évasé, pied étroit et panse légèrementcarénée, recouverte d'une coupe ; et un vase rempli de cendres, recouvert d'une coupe ornée de gravures rectilignes. Fabre attribue ce mobilier au premierâge du fer[43].

En 1920, l'abbé Pédebucq continue les fouilles sur le premier tumulus et en fouille deux autres[44]. Ils ont livré des vases recouverts de coupes et remplis de cendres, de formes atypiques, qui peuvent aussi bien dater de l'âge du cuivre (Chalcolithique) que du post-Hallstatt. Une datation est cependant possible grâce à des fragments de fibules : une fibule en fer dont le pied courbé en angle droit se termine par un bouton et une fibule à arbalète dont l'axe en fer est orné de disques de bronze[43]. Ces vestiges sont comparables au mobilier équivalent d'Avezac-Prat et du Tursan. La fibule en fer à bouton est fréquente sur le plateau de Ger. Mais les modèles en forme d'arbalète et dont l'axe est orné de disques de bronze n'y ont pas été signalés, alors qu'ils sont très nombreux à Avezac et dans le Tursan où ils ont été trouvés avec une fibule de La Tène II. Ces formes appartiennent à la première ou à la deuxième période posthallstattienne, ou peut-être aux deux[45].

Moyen-Âge

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Paul Raymond[35] note qu'en 1385, Bougarber comptait cinquante-neuffeux et dépendait dubailliage dePau.

Les Hospitaliers

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L'Espiau était unecommanderie[35] de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, qui dépendait de Sainte-Christine (Espagne). L'hôpital était situé dans les landes duPont-Long, sur le cheminRomiu, nom qui s'appliquait à tous les chemins suivis depuis leXIe siècle par lespèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, couramment bordés de commanderies, d'hôpitaux ou auberges.

Temps modernes

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Beyrie a été unie à Bougarber de l'an XII à 1809[46].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
19952008Guy Weber  
20082014Guy Weber  
2014En coursCorinne Hau  

Intercommunalité

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La commune de Bougarber fait partie de quatre structures intercommunales[47] :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[49].

En 2022, la commune comptait 857 habitants[Note 8], en évolution de −1,38 % par rapport à 2016 (Pyrénées-Atlantiques : +3,78 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
345360458381444461441425398
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
375388378384351364377360332
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
314345300288258292295289273
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620082013
372376403469600650683697811
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20182022-------
834857-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puisInsee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau.

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Patrimoine civil

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Bougarber s'étend aujourd'hui au-delà des limites de la bastide, le long des voies perpendiculaires à la rue principale médiévale, la Carrère. La bâti s'est un peu densifié le long de cette voie. Les fossés ont été comblés. La porte nord duXIVe siècle, spécimen du système défensif des bastides béarnaises, reste visible. Cette porte[52] est inscrite auxmonuments historiques.

Patrimoine religieux

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L'église Notre-Dame[53] date partiellement duXVIIe siècle.

Équipements

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Éducation

La commune dispose d'une école primaire et maternelle[54].

Personnalités liées à la commune

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Marian Himner, archéologue polonais, y est mort le 22 juillet 1916.

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entrechefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes àvol d'oiseau.
  3. Les records sont établis sur la période du au.
  4. Dans les sites Natura 2000, lesÉtats membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  5. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Bougarber » surGéoportail(consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Bougarber », surgeoportail.gouv.fr.
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », surinfoterre.brgm.fr(consulté le).

Références

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  1. Gentilé sur habitants.fr
  2. abcd eteInsee, « Métadonnées de la commune de Bougarber ».
  3. Stephan Georg, « Distance entre Bougarber et Pau », surfr.distance.to(consulté le).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Bougarber et Artix », surfr.distance.to(consulté le).
  5. « Communes les plus proches de Bougarber », survillorama.com(consulté le).
  6. Frédéric Zégierman,Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard,(ISBN 2-213-59961-0),p. 30.
  7. Carte IGN sousGéoportail
  8. « Fiche communale de Bougarber », surle système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine(consulté le).
  9. Sandre, « la Geüle ».
  10. Sandre, « l'Aïgue Longue ».
  11. Sandre, « l'Uzan ».
  12. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  13. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  14. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  16. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le).
  17. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le1er novembre 2025)
  18. « Orthodromie entre Bougarber et Uzein », surfr.distance.to(consulté le).
  19. « Station Météo-France « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le).
  20. « Station Météo-France « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Bougarber », surle site de l'Inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  23. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  24. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
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  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  28. a etb« Les risques près de chez moi - commune de Bougarber », surGéorisques(consulté le).
  29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », surGéorisques(consulté le).
  30. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », surpyrenees-atlantiques.gouv.fr(consulté le), chapitre Risque inondation.
  31. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », surpyrenees-atlantiques.gouv.fr(consulté le), chapitre Mouvements de terrain.
  32. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bougarber », surgeorisques.gouv.fr(consulté le).
  33. « Retrait-gonflement des argiles », surle site de l'observatoire national des risques naturels(consulté le).
  34. « Sols argileux, sécheresse et construction », surecologie.gouv.fr(consulté le).
  35. abcdefghijklmno etpPaulRaymond,Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale,, 208 p.(BNF 31182570,lire en ligne)..
  36. abcd eteFors de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit duxive siècle(lire en ligne)..
  37. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques,coll. « manuscrits duXVIe au XVIIIe siècle ».
  38. a etbTitres de lavicomté de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  39. AlbertDauzat etCharlesRostaing,Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p.(ISBN 2-85023-076-6)..
  40. D'aprèsPierre de Marca,Histoire de Béarn
  41. Titres desBarnabites deLescar - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  42. [Pedebucq 1922] Abbé André Pedebucq, « Fouilles de trois tumuli à Bougarber »,Bulletin de la Société des Sciences, Lettres et Arts de Pau,t. 45,2e série,‎,p. 223-227(lire en ligne [surgallica]),p. 224-225. Cité dansFabre 1943,p. 59.
  43. a etb[Fabre 1943] Gabrielle Fabre, « Contribution à l'étude du protohistorique du Sud-Ouest de la France »,Gallia,vol. 1,no 1,‎,p. 43-79(lire en ligne [surpersee]),p. 59.
  44. Pedebucq 1922.
  45. Fabre 1943,p. 60.
  46. Site de la commune de Beyrie-en-Béarn
  47. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité »(consulté le).
  48. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  49. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  50. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  51. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  52. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la porte de ville
  53. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Notre-Dame
  54. Site du Miey de Béarn - Notice sur l'école de Bougarber
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