La commune est dans lebassin versant du Rhin au sein dubassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Rupt de Mad, le ruisseau de Molentin, le ruisseau de Pinceron, le ruisseau de l'Étang de Refure, le ruisseau de l'Étang de Wargevau et le ruisseau de l'Étang de Maux la Chevre[5],[Carte 1].
Au, Bouconville-sur-Madt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18].Elle est située hors unité urbaine[19] et hors attraction des villes[20],[21].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :prairies (32,1 %),terres arables (31,9 %), forêts (20,8 %), eaux continentales[Note 3] (10,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Par délibération en date du 14 décembre 2021, la Communauté de communes Côtes de Meuse Woëvre a prescrit l’élaboration de son Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi) qui couvrira le territoire des 25 communes qui la composent[23].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
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Le nom de la localité est attesté sous les formesBoconis-villa super Maticum (921) ;Buconis-villa (1106) ;Bucconis-villa (XIIe siècle) ;Bouconville (1269) ;Beconis-villa (1707) ;Buconisvilla (1749) ;Bocconis-villa,Boconis-villa (1756)[24].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].
En 2022, la commune comptait 100 habitants[Note 4], en évolution de −9,91 % par rapport à 2016 (Meuse : −4,4 %,France horsMayotte : +2,11 %).
D’or à la libellule de gueules ; au chef bastillé d’azur, chargé d’un trèfle d’argent accosté de deux croisettes recroisetées au pied fiché d’or[44].
Détails
La libellule de gueules (rouge) évoque les libellules écarlates et toute la faune qui hantent les étangs, les marais, les ruisseaux et le Rupt de Madt sur le finage de Bouconville.
Michel Hérold, Françoise Gatouillat,Les vitraux de Lorraine et d'Alsace, Corpus vitrearum, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Paris, CNRS Editions Inventaire général,, 330 p.(ISBN2-271-05154-1)
Recensement des vitraux anciens de la France, Volume V, Bouconville-sur-Madt, Vitrzux disparus (repérés dans la documentation et vérifiés non en place), page 86
(fr)Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel duministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155).