Leréseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué deZones spéciales de conservation (ZSC) et deZones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune, tant au titre de la « directive Habitats » que de la « directive Oiseaux » : le « Massif de Fontainebleau »[27]. Cet espace constitue le plus ancien exemple français de protection de la nature. Les alignements de buttes gréseuses alternent avec les vallées sèches. Les conditions de sols, d'humidité et d'expositions sont très variées. Laforêt de Fontainebleau est réputée pour sa remarquable biodiversité animale et végétale. Ainsi, elle abrite la faune d'arthropodes la plus riche d'Europe (3 300 espèces decoléoptères, 1 200 delépidoptères) ainsi qu'une soixantaine d'espèces végétales protégées[28].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Au, Bois-le-Roi est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[32].Elle appartient à l'unité urbaine de Bois-le-Roi[Note 6], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle estville-centre[Note 7],[33],[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 8],[1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[34],[35].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (63 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (60,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zonesurbanisées (52,37 %),forêts (27,87 %), espaces verts artificialisés non agricoles (10,67 %),eaux continentales[Note 9] (8,60 %), milieux à végétation arbusive et/ou herbacée[Note 10] (0,50 %)[36].
Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
Parallèlement,L'Institut Paris Région,agence d'urbanisme de la régionÎle-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle deCorine Land Cover[37],[38],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre1949 et2018[Carte 3].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Les ancienshameaux rattachés à la commune pour créer Bois-le-Roi forment des îlots de constructions indépendants au sein de la commune, séparés par des zones boisées ou de constructions plus récentes. Ces quartiers dont les noms sont encore usités par les Bacots telBrolles qui abrite l'ensemble le plus typique, était traditionnellement composés d'un château autour duquel prenait place des constructions plus modestes, généralement basses et de la forme d'un rectangle allongé. La pierre utilisée était puisée enforêt de Fontainebleau qui possédait d'importantes carrières.
Le quartier ditde la Cité possède le vestige d'un mur d'enceinte qui semble témoigner de l'existence d'une cité dont il est de nos jours difficile de trouver l'origine et de déterminer l'exacte importance. D'anciennes cartes de la commune montre en outre un ensemble de ruines qui, selon la légende, aurait servi à l'édification de la ville de Melun. Cette hypothèse demeure en l'état en l'absence de sources historiques probantes.
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 2 645 dont 87,1 % de maisons et 12,7 % d’appartements.
Parmi ces logements, 87 % étaient des résidences principales, 6,9 % des résidences secondaires et 6,1 % des logements vacants.
La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 80,7 % contre 16,2 % de locataires[41], dont 1,1 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 12] et 3,2 % logés gratuitement.
laD 115, à Chartrettes au nord ; et à Fontainebleau, au nord-ouest ;
laD 137, à Fontainebleau, au sud-est.
Le territoire de la commune est traversé par lesentier de grande randonnéeGR 1 qui se prolonge vers Chartrettes au nord-est et vers Fontainebleau au sud-ouest ainsi que par leGR 2. Les deux sentiers se chevauchent sur quelques centaines de mètres entre l'écluse et le pont menant à Chartrettes.
La ville est également traversée par la voie cyclistela Scandibérique qui emprunte, sur le territoire communal, les anciens chemins dehalage de bord de Seine[42].
Le nom de la localité est mentionné pour la première fois sous la formeBoscus Regis en 1239[43]. Littéralement "le bois appartenant au roi".
On trouvera par la suite les formes suivantes :Lou Bois le Roi de Biere en 1278[44],[45] ;Boys le Roy en 1303[46],[45] ;Boys le Roy en Biere en 1380[47],[45] ;Boilleroy en vers 1380[48],[45] ;Bois le Roy en 1385[49],[45] ;Boyes le Roy auXVe siècle[50],[45] ;Bar le Roy en 1548[51],[45] ;Balleroy en Brie en 1656[52],[45].
Pendant la période révolutionnaire, Bois-le-Roi prend le nom deBois-la-Nation en1793[53],[45].
Un temple protestant trouvait place dans l'actuellerue de la Presche, sa démolition fut engagée à la demande du roiLouis XIV, il n'en demeure nulle trace hormis dans le nom de sa rue.
Le, un champ de course àSermaise est inauguré par le roiLouis XVI et la reineMarie-Antoinette d'Autriche. Lecomte d'Artois y fit courir un magnifique pur sang. Il s'agit du premier hippodrome permanent réalisé en France après celui des Sablons àNeuilly-sur-Seine. Bois-le-Roi a accueilli ainsi la première course équestre organisée en France. La proximité de la cour royale sise à Fontainebleau explique cette localisation.
À l'instar de 2002, la démission d'un tiers des conseillers municipaux intervenue début (élus de l’opposition et issus de la majorité) a provoqué l'organisation d'élections partielles dans le délai de trois mois imparti par leCode général des collectivités territoriales[61],[62],[63]
Le compte financier unique de la commune (document annuel qui rend compte des opérations budgétaires exécutées au cours de l'exercice) de 2024 était constitué tel que ci-dessous (chiffres arrondis)[64] :
Sur longue période, l'investissement annuel de la commune en dépenses d'équipement se compare comme suit par rapport à la moyenne des villes de sa strate démographique :
Dépenses communales annuelles en équipement public
taxe foncière sur les propriétés bâties : 56,76 % (taux des communes de la strate démographique : 40,11 %) ;
taxe foncière sur les propriétés non bâties : 74,88 % (taux des communes de la strate démographique : 53,09 %).
Bases fiscales et taux de taxes foncières simultanément plus élevés que la moyenne des villes de taille comparable se conjuguent pour générer un produit de fiscalité directe notablement supérieur à celui des communes de même strate :
Produit fiscal de taxe foncière sur bâti(après coefficient correcteur)
La signature des serments de jumelage s'effectue en àLangenargen et en à Bois-le-Roi[70]. En l'honneur de la ville jumelle allemande, le principal stade de Bois-le-Roi a pris le nom de « stade Langenargen »[71].
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. Laloi NOTRe de 2015 a accru le rôle desEPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au, mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au[72],[73].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Bois-le-Roi est assurée par lacommunauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le[74],[75],[76].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[77]. Lacommunauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) assure pour le compte de la commune leservice public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[74],[78],[79].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Lechangement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le, contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bière[81].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[82]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[83].
En 2022, la commune comptait 6 026 habitants[Note 13], en évolution de +4,15 % par rapport à 2016 (Seine-et-Marne : +3,92 %,France horsMayotte : +2,11 %).
En 2021, le nombre total d’emplois dans la zone était de 1 343, occupant 2 701 actifs résidants.
Le taux d'activité de lapopulation (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 73,6 % contre un taux de chômage de 4,9 %.
Les 21,5 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,8 % de retraités ou préretraités et 5,9 % pour les autres inactifs[87].
En 2021, le nombre d'établissements actifs était de 573 dont5 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 28 dans l’industrie, 40 dans la construction, 396 dans le commerce-transports-services divers et 109 étaient relatifs au secteur administratif[88].
La commune dispose d'un marché bi-hebdomadaire le jeudi et dimanche;
Château de Brolles, bâti en 1862 par Abel Laurent, agent de change à laCaisse des dépôts de Paris, aujourd’hui Centre de rééducation fonctionnelle infantile.
La commune a la particularité de disposer de fresques recouvrant la vingtaine de transformateurs électriques présents sur son territoire ; chacune étant en concordance avec la toponymie ou l'environnement du quartier où elle a été peinte[90].
Alfred Roll (1846-1919), artiste peintre y résida. L'avenue ou se situe sa résidence porte son nom.
Aimé Perret (1846-1927) y est mort. Une rue de la commune porte son nom.
Georges Moreau de Tours (1848-1901), artiste peintre, y résida, y est décédé et enterré. Une rue de la commune porte son nom.
Étienne Charavay (1848-1899), historien, éditeur, y résida et y est mort.
Carl Fredrik Hill (1849-1911), peintre suédois qui, à Bois-le-Roi, peignit le pont de Chartrettes.
Émile Rochard (1850-1918), auteur dramatique, romancier et poète, fit construire à Bois-le-Roi deux des « Affolantes » des bords de Seine : la « Ruelle » et le « Vieux Logis »[91].
Louis Létang (1855-1938), écrivain, y est né. Une rue de la commune porte son nom.
Joseph Bail (1862-1921), artiste peintre, il eut un atelier à Bois-le-Roi. Une rue de la commune porte son nom.
Guido Sigriste (1864-1915), peintre, il s'établit à Bois-le-Roi et y est inhumé. Une rue de la commune porte son nom.
Robert Noir (1864-1931), peintre, fils deLouis Noir (1838-1901) (cf. ci-dessus) y vécut.
Louis Couturat (1868-1914), philosophe, logicien et mathématicien, y vécut (« Villa Graziella »).
Louis Périn (1871-1940), architecte et peintre français connu pour ses constructions d'espritnéo-gothique etArt nouveau ditesAffolantes du bord de Seine dont beaucoup furent édifiées à Bois-le-Roi, notamment les villas « Clos Barbeau » et « Chantemerle ». Une rue de la commune porte son nom.
Paul Langevin (1872-1946), physicien, professeur auCollège de France et sa compagne, la physicienneÉliane Montel (1898-1993), possédaient une villa à Bois-le-Roi, rue de la Croix de Vitry, au lieu-dit de Brolles. Elle a été vendue à une communauté religieuse en 1987.
Louis de Monard (1873-1939), sculpteur et peintre, s'établit à Bois-le-Roi en 1919.
Albert Varloteau (1909-1978), et sa femme, Madeleine Langevin, fille de Paul Langevin, y ont fait construire une maison après la guerre, sise avenue de la Forêt.
Paul-Gilbert Langevin (1933-1986), musicologue, fils de Paul Langevin et d'Éliane Montel, a grandi dans la maison de ses parents à Brolles, puis y a séjourné régulièrement.
Raphaël Hadas-Lebel (1940- ), chef d'entreprise, haut fonctionnaire, adjoint au maire de la commune (1977-1989) et son épouseMireille Hadas-Lebel (1940- ), historienne, professeur à laSorbonne spécialiste de l'antiquité, y habitèrent.
Patrice Beust (1944- ), joueur de tennis international, spécialiste du double avecDaniel Contet, y est né.
Darie Boutboul (1958- ), première femme française titulaire d'une licence de jockey amateur à avoir gagné une course de tiercé, y a habité[réf. nécessaire].
Nour Azzam (1984- ), chanteuse, auteure compositrice y réside.
Marie Reno (1986- ), humoriste, musicienne, y séjourna.
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
C. Parisot (instituteur),Notice historique et géographique sur Bois-le-Roi, Melun, édition financée par la commune selon l'arrêté municipal du 25 août 1878, Imprimerie D. Charriou,.
Collectif d’historiens,Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic,, 1507 p.(ISBN2-84234-100-7), « Bois-le-Roi »,p. 565–568
Robert Lesourd (ancien maire),Bois-Le-Roi, ma commune, Commune de Bois-le-Roi,.
Association Bois-le-Roi Audiovisuel et Patrimoine,Les Bacots racontent Bois-le-Roi 1920-2020, Paris, Asso. BLR A&P,, 288 p.(ISBN9-782956159315)
MoniqueRiccardi-Cubitt, « Bois-le-Roi, Village d’art. Les artistes de la Bohème dans la collection de la mairie »,Fontainebleau, la revue d’histoire de la ville & de sa région, Société d'histoire de Fontainebleau et de sa région,no 22,,p. 56-59
MoniqueRiccardi-Cubitt,La vie de Bohème à Bois-le-Roi. Art, politique et naturalisme, Éditions du Puits Fleuri,, 160 p.(ISBN978-2867397219)
PierretteMarne (coordination),Artistes parisiens à la campagne. « Les beaux jours de Bois-le-Roi », Bois-le-Roi audiovisuel et patrimoine,, 185 p.(ISBN978-2-9561593-3-9)
MarcGirault, FrançoiseParize et MichèleSaliot,Bois-le-Roi 1939-1945. Évènements et souvenirs, Bois-le-Roi audiovisuel et patrimoine,, 80 p.(ISBN978-2-9561593-4-6)
↑Les ZNIEFF detype 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF detype 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Bois-le-Roi comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Pelouses, pâturages naturels, landes et broussailles, végétationsclérophylle, forêt et végétation arbustive en mutation.
↑Contrairement auhameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155).
↑Pascal Villebeuf, « Le maire seul contre tous »,Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,(lire en ligne, consulté le)« Nicole Delporte, adjointe au maire, fait part de sa « tristesse » : « Vous auriez pu présenter un nouveau budget avant le 15 avril. Il suffisait de quelques modifications, notamment pour le projet de centre de loisirs. Au lieu de cela, vous annoncez ne pas vouloir vous représenter aux élections municipales de 2001 et vous laissez tomber ».
↑Pascal Villebeuf, « Règlements de comptes à la mairie »,Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,(lire en ligne, consulté le).
↑Sophie Bordier, « Quatre candidats pour un seul fauteuil de maire »,Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,(lire en ligne, consulté le)« L'origine de ce nouveau scrutin ordonné par la préfecture de Seine-et-Marne, la démission du groupe d'opposition Pour Bois-le-Roi, conduit par Nicole Delporte. Un acte pour que « la parole soit redonnée aux électeurs », après la démission de onze élus du groupe majoritaire ».
↑Sophie Bordier, « Le candidat malheureux accuse le maire d'irrégularités »,Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,(lire en ligne, consulté le)« Quatre jours après l'élection de Nicole Delporte au fauteuil de maire, son prédécesseur à la tête de la commune François Danel (DVD) a déposé hier un recours en annulation au tribunal administratif de Melun. Battu, avec dix-neuf voix d'écart, il explique son geste par des irrégularités constatées ».
↑Sylvain Deleuze, « Bois-le-Roi : de nouvelles élections à la rentrée après les démissions en série : Un tiers des élus de la majorité ont décidé de quitter le conseil municipal, entraînant de fait de nouvelles élections municipales »,Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,(lire en ligne, consulté le).
↑Sylvain Deleuze, « Bois-le-Roi : les élections municipales prévues les 7 et 18 octobre »,Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,(lire en ligne, consulté le).