Ne doit pas être confondu avecThé noir.
| Réalisation | Abderrahmane Sissako |
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| Scénario | Abderrahmane Sissako Kessen Tall |
| Acteurs principaux | Nina Mélo Chāng Hàn Wu Ke-xi |
| Pays de production | |
| Genre | Drame |
| Durée | 110 minutes |
| Sortie | 2024 |
Pour plus de détails, voirFiche technique etDistribution.
Black Tea est un filmromantique etdramatiquemauritanien coécrit etréalisé parAbderrahmane Sissako, sorti en2024.
Le film, mettant en vedetteNina Mélo etChāng Hàn, raconte l'histoire d'une jeune Ivoirienne qui émigre enChine et tombe amoureuse d'un Chinois plus âgé[1],[2].
Coproduction internationale entre la France, la Mauritanie, leLuxembourg,Taiwan et laCôte d'Ivoire, le film est sélectionné en compétition au74e Festival international du film de Berlin qui s'est déroulé du 15 au, où il a concouru pour l'Ours d'or. La première projection mondiale a eu lieu le auBerlinale Palast[3].
La sortie en salles enFrance date du[4].
Le jour de son mariage, Aya, une jeunefemme d'une trentaine d'années originaire deCôte d'Ivoire, choque tout le monde en rejetant son époux. Elle déménage àCanton, en Chine et trouve un emploi dans un magasin d'exportation de thé, où elle rencontre Cai, un Chinois de 45 ans. Ils tombent amoureux, mais leur relation est confrontée aux défis de leur histoire et des préjugés des autres.

Le film, précédemment intituléLa Colline parfumée, réalisé et coécrit parAbderrahmane Sissako met en vedetteNina Mélo, Chang Han etWu Ke-xi. Il est produit par les studios Cinéfrance, Archipel 35 et Dune Vision. Les droits de distribution française et de vente internationale appartiennent àGaumont SA. Le réalisateur a eu l'inspiration pour écrire cette histoire après avoir découvert un restaurant appelé« La Colline Parfumée » tenu par un couple afro-chinois[5].
Black Tea fera sa première mondiale le, dans le cadre du74e Festival international du film de Berlin, en compétition[6],[7].
Il est sorti dans les salles françaises le 28 février 2024[8].
PourVogue :« Tout n’est que maîtrise et délicatesse, à l’image des rituels soigneusement prodigués autour d’une table basse ».« Abderrahmane Sissako [nous emporte] dans l’étrange poésie de Black Tea. Rien n’est avoué, tout tient de l’ordre de l’onirique. Les rencontres tant espérées sont évanescentes ; la pluie torrentielle est la voix du tumulte. »
| Réalisateur |
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