Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Bienwald

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le Bienwald vu de l'espace.

LeBienwald (« bois de l'essaim d'abeilles » enfrançais) est unmassif forestier qui se trouve à peu près au milieu dufossé rhénan, à cheval sur laLauter et donc sur l'actuellefrontière franco-allemande.

D'une superficie d'environ 120 km2, la partie allemande, située au sud-ouest de laRhénanie-Palatinat, est majoritairement uneforêt domaniale comprise dans un périmètre deconservation de la nature (Landschaftsschutzgebiet)[1].La partie française, laforêt de Wissembourg, bien que morphologiquement un prolongement du Bienwald, est considérée comme étant à part.

Lemarathon du Bienwald (de) y est organisé tous les ans fin mars depuis 1976.

Géographie

[modifier |modifier le code]

Situation

[modifier |modifier le code]
Carte localisant le Bienwald.

Cemassif forestier est situé dans legraben duRhin Supérieur, dans le sud duPalatinat-Sud-Est et en majeure partie dans le district deGermersheim (seule sa pointe la plus occidentale est dans l'arrondissement de la Route-du-Vin-du-Sud).

En forme de triangle irrégulier, le Bienwald s'étend à l'est de laDeutsche Weinstraße.Son côté nord-ouest, le plus long des trois (20 km), forme une ligne deSchweighofen àRheinzabern jusqu'au« Viehstrich ».Le côté est-sud-est (17 km) suit la limite de laterrasse alluviale duRhin, formant une ligne passant parJockgrim,Hagenbach etBerg.Le côté sud-ouest (16 km) se confond avec lafrontière entre l'Allemagne et la France où coule laLauter.

La forêt dépend principalement du district[pas clair] deWörth am Rhein. La partie la plus occidentale du Bienwald est une partie de l'Untermundat (« forêt du Mundat inférieur » enallemand) qui a la particularité d'être la seule forêt domaniale française située à l'étranger (l'autre partie de l'Untermundat étant laforêt de Wissembourg, sur la rive droite de la Lauter).

Le Bienwald est d'allure assez plate ; il descend presque imperceptiblement d'unealtitude d'environ 130 m à l'ouest à 105 m au nord-est, ce qui implique sur une distance d'environ 20 km une pente d'un peu plus d'1 m/km.On y trouve de petites collines, considérées comme desdunes déposées par le vent, et d'autre éminences comme dans l'Untermundat (altitude 141 m), à la lisière nord (135 m) et à l'est du centre (152 m) du Bienwald.Les berges abruptes du Rhin (en arrivant à laripisylve) et de la Lauter forment ses derniers et notablesescarpements[1].

La Lauter près deScheibenhardt, en lisière sud du Bienwald.

On trouve dans les environs des forêts comparables telles laforêt de Spire (de) oucelle de Bellheim (de).

Géologie

[modifier |modifier le code]

De nombreux cours d'eau provenant dumassif palatin ont dû se frayer un passage vers le Rhin, donc dans une direction générale est-nord-est.Lors du déclin de ladernière période glaciaire, l'eau defonte disponible en grande quantité a pu excaver et déplacer de grandes quantités de débris de roche jusqu'à la plaine du Rhin.Arrivée en plaine et du fait de son ralentissement, l'eau s'est délestée pardécantation des matériaux transportés, y formant d'abord deséboulisgraveleux puis, de plus en plus loin des points hauts, des dépôtsalluvionnaires desables et delimons.Les sols résultant en amont, à dominante sablo-graveleuse, ne permettant pas de gros rendements agricoles, ils ont été réservés aux zones boisées tandis que les zones couvertes delœss en aval ont été défrichées et cultivées tôt.

Hydrologie

[modifier |modifier le code]
LeHeilbach (à sec) dans le Bienwald.

LaLauter, qui coule sur la frontière franco-allemaande, forme la limite sud-ouest du Bienwald.Sur son cours supérieur (de sa source àNiederschlettenbach à la frontière), son nom allemand estWieslauter.Prenant sa source dans laforêt palatine et arrivée non loin deNeuburg après un cours d'environ 74 km, elle conflue en rive gauche duRhin.Son cours est préservé à l'état naturel et sinue dans sonlit majeur le long du Bienwald.Lesembâcles, provoqués notamment par des arbres tombés ou des branchages, provoquent de fréquents changements dulit mineur.

De nombreux cours d'eau, ruisseaux et fossés traversent le Bienwald principalement dans la direction ouest-est.Les principaux cours d'eau sont leSchmerbach, leHeilbach, leWiebelsbach et leHessbach.Comme ils ne sont pas alimentés par des affluents ou des sources, leurdébit change considérablement selon les conditions météorologiques.En période de fortes précipitations, les eaux souterraines peuvent remonter à la surface du sol et inonder de vastes zones.Dans les mois d'été, les petits cours d'eau s'assèchent souvent.

On distingue dans le Bienwald deux zones sensiblement différentes : le« Bienwald humide » à l'ouest et le« Bienwald sec » à l'est[2].En raison des couches imperméables d'argiles et demarnes, les courants d'eau souterraine suivent différentesstrates depuis laforêt palatine jusqu'auRhin.À l'ouest, les couches d'argile sont proches de la surface et empêchent l'infiltration deseaux météoriques.Le Bienwald humide s'y caractérise par une forte alternance de l'humidité du sol : saturé en hiver, sec en été.Par contre à l'est, où le niveau des berges, plus bas d'environ dix mètres, draine les eaux souterraines, les sols sont très secs.

Histoire

[modifier |modifier le code]

Toponymie

[modifier |modifier le code]

L'origine du nom est contestée.Vers 670, ce lieu était appelé« Biwalt », plus tard« Byewalt »,« Biewalt »,« Bewald » et auXVIIIe siècle« Böhnwald ». Depuis le début duXIXe siècle on l'écrit comme aujourd'hui« Bienwald ».Le « bi » est probablement une ancienne racine de nom menant àBien (« essaim » enallemand) ouBiene (« abeille »), d'où l'appellation« forêt de l'essaim » ou« forêt des abeilles ».Quant à la racine qui viendrait du motceltique« behe » ou« beje » qui signifie « forêt », rien n'a pas été prouvé jusqu'à présent[3],[4].

Préhistoire

[modifier |modifier le code]

Au bord de laterrasse alluviale, l'actuelWörth am Rhein-« Dorschberg » s'étend sur unchamp funéraire datant de l'âge du bronze.Lestumuli sont datés de 1500 à 1200 av. J.-C.

Antiquité

[modifier |modifier le code]

Les chênes et les hêtres puissants, les sous-bois denses et les zones marécageuses rendaient le Bienwald difficilement pénétrable.Lefourré était traversé uniquement par une piste muletière en rive haute.Cette piste a par la suite été remplacée par unevoie romaine.Les Romains ont également fondéRheinzabern (« Tabernae » à l'époque) autour de 10 apr. J.-C. ; elle s'est développée en raison des riches dépôts d'argile et est devenue la plus importante colonie depotiers de l'Empire romain au nord des Alpes.

Moyen Âge

[modifier |modifier le code]

Non loin des tumuli cités ci-avant se dresse unemotte castrale dénommée« Affelderle ».Une fortification de défense en terre et bois y aurait été érigée auXe siècle et peut-être reconstruite en pierre auXIe ou XIIe siècle[5].

Vers 670, l'évêqueThéodard de Maastricht aurait été attaqué et assassiné lors d'un voyage à« Biwalt » près deRülzheim.« Les habitants de la région ont enterré les morts sur place. Mais quand il se produisit des miracles près de cette tombe, il fut considéré comme un saint, et beaucoup vinrent des villages avoisinants pour le prier et obtenir de l'aide[6]. »Maisle nouvel évêque de Maastricht fit transporter le cadavre àLiège.On suppose qu'une chapelle a été construite sur les lieux dénommésDieterskirchel (de). Cette église fut rénovée auXIVe siècle ; elle avait auXVIe siècle sa propre aumônerie.Elle a été l'objet de pèlerinages jusqu'à sa démolition en 1824 à cause de son délabrement et d'autres raisons financières.Elle a été reconstruite en 1957 sur la route deRülzheim àRheinzabern.

Époque moderne

[modifier |modifier le code]
Bunker allemand en ruines dans le Bienwald

Le Bienwald est exploité intensivement depuis leVIIIe siècle, notamment pour seschênes.Dans les temps difficiles duXVIIe au XIXe siècle qui ont été marqués par de nombreuses guerres, la forêt a subi de lourds prélèvements, de sorte que les arbres à feuilles caduques se sont raréfiés.Le bois de chêne étant recherché comme bois d'œuvre notamment dans la construction navale, ce phénomène s'est accentué après laguerre de Trente Ans dans le Bienwald.Par conséquent, il fut interdit dès 1718« de couper plus d'un chêne dans un endroit. »

AuXVIIIe siècle un maillage de voies rectilignes a été érigé pour la chasse, le transport du bois et d'autres utilisations diverses de la forêt.Le réseau routier actuel avec sa structure en treillis a été construit auXIXe siècle et parcourt 470 km.

Du fait de sa situation frontalière, le Bienwald a parfois été le théâtre de batailles pendant les conflits.En 1793, au cours de la guerre de lapremière coalition, plusieurs combats eurent lieu entre les troupes autrichiennes du maréchalDagobert Sigmund von Wurmser et des unités françaises.Des éclats dans les troncs d'arbres témoignent encore de laSeconde Guerre mondiale, notamment lors de l'opération Undertone ; enmémorial, le« sentier de laligne Siegfried » a été créé àSchaidt.

De 1883 à 1972, latuilerie Ludowici (de) a exploité de grands gisements d'argile au sud deJockgrim. Dans les fosses abandonnées à la lisière de la forêt, unedécharge avait été envisagée mais elle a été empêchée[7].AuXXIe siècle, la plus grande partie de la superficie forestière (10 275 hectares) appartient à l'État deRhénanie-Palatinat en tant queforêt domaniale.Dans les alentours se trouvent1 691 hectares de forêts communautaires (ville deKandel, municipalités deRheinzabern,Hatzenbühl,Erlenbach,Freckenfeld,Steinfeld,Kapsweyer,Schweighofen,Winden,Minfeld) et187 hectares de forêt privée[3].

Un« chêne deBismarck » dans le Bienwald.

Biologie

[modifier |modifier le code]

Flore

[modifier |modifier le code]

Lecône de déjection de la Lauter est parcouru par un enchevêtrement de fossés, ruisseaux et cours d'eau qui s'assèchent partiellement durant l'été.De ce fait alternent étroitement les endroits secs et humides, pauvres et riches.Les rares forêts d'aulnes et de broussailles se développent sur les zones fréquemment humides sur l'année tandis que les forêts dechênes et depins sont typiques desdunes qui peuvent l'élever jusqu'à 3 m.Dans l'aire protégée, plus de trois cents types debiotopes etzones de végétation homogène différentes ont été cartographiés[8].

Lesconifères prospèrent (56 % de la surface boisée en 2011) dans les sols pauvres majoritairementsableux que constituent les cônes de déjection des cours d'eau, dont lespins qui ont été plantés à partir de 1576 et qui occupent à eux seuls 48 % de la surface boisée, de préférence la plus sèche.Lesfeuillus (44 % de la surface boisée), préexistants et représentés par leschênes (25 %), leshêtres et lescharmes, partagent le même espace tout en préférant les zones plus humides[1].

151 espèces végétales menacées ou rares ont été détectées dans le Bienwald. Parmi celles-ci, 86 sont en voie de disparition enRhénanie-Palatinat et 72 sur toute l'Allemagne[8].

Faune

[modifier |modifier le code]
Une grenouille agile,bioindicateur du Bienwald.

Les plus gros mammifères du Bienwald sont lesanglier et lechevreuil ; lecerf ne s'y trouve plus.Quant aux prédateurs, les plus répandus sont lerenard et lamartre ; lechat sauvage est également devenu indigène au cours des dernières décennies.Leur effectif de 45 à 60 animaux en plaine est le seul connu en Europe[8].

120 espèces d'oiseaux se reproduisent dans le Bienwald et 143 ont été observées.Grâce aux efforts de l'Aktion Pfalzstorch (de), lacigogne blanche a pu être réintroduite dans les prairies, en particulier sur la lisière nord-ouest, dans le« Viestrich », d'où sa forte population dans lePalatinat-Sud-Est.

Le Bienwald abrite les 16 espèces d'amphibiens présentes en Rhénanie-Palatinat, soit 75 % de toutes les espèces indigènes en Allemagne.Parmi celles-ci, lagrenouille agile est reconnue comme uneespèce indicatrice du Bienwald.

2 200 espèces decoléoptères ont été détectées dans le Bienwald, dont 190 coléoptères terrestres, ce qui correspond à un tiers des espèces trouvées en Allemagne.670 espèces de coléoptèressaproxylophages ont été détectées, plus que dans toute autre forêt en Europe.Les espèces de libellules sont exceptionnellement variées : 46 ont été trouvées dans le Bienwald.

Dans le milieu aquatique du Bienwald, 254 groupes d'espèces ou espèces dubenthos sont visibles, y compris la plus forte population demoule de ruisseau de la plaine Bruchbach-Otterbach.La limite méridionale de l'aire de distribution dubranchipe de Grube, une écrevisse primitive menacée d'extinction à l'échelle nationale, passe dans le Bienwald.

Économie et infrastructures

[modifier |modifier le code]

Colonisation

[modifier |modifier le code]

Ce n'est que vers 1700 que le village deBüchelberg (de) fut fondé au milieu du Bienwald, sur une colline calcaire.On y a aussi trouvé des traces d'occupation romaine[9].

Cependant, les sols sont majoritairement pauvres en nutriments autour de Büchelberg ; les rendements agricoles y sont faibles.De ce fait, la surface cultivée y a diminué depuis les années 1970 et celle enfriche s'y est étendue.À partir des années 1990, les terres cultivées ont été converties enbiotopes pour les espèces animales et végétales en voie de disparition.Ainsi, une roselière de sept hectares a été transformée en unezone humide ; lesécologues entretiennent les zones sèches et broussailleuses ; des prairies defauche et des vergers sont créés ; même unepommeraie produisant des variétés ancestrales a été créée.

Moulin de Bienwald

En 1979, Büchelberg a été incorporé àWörth am Rhein en tant quequartier de la ville. Celle-ci, qui se situe dans le fossé rhénan sur la lisière orientale du Bienwald, est plutôt tournée vers la région deKarlsruhe, de l'autre côté du Rhin, principalement à cause de sonindustrie automobile. C'est pourquoi la petite ville deKandel, en lisière nord, est généralement considérée comme la ville principale de la région du Bienwald, comme« la porte du Bienwald » voire« la ville du Bienwald ».

Leparc d'aventure« Fun Forest » est vraisemblablement l'attraction touristique principale du Bienwald[10]. Uncimetière naturel,« le repos du Bienwald », a été créé à Kandel en 2007.

Transports

[modifier |modifier le code]

Transports routiers

[modifier |modifier le code]

À deux exceptions près seules des routes secondaires traversaient le Bienwald. L'autoroute 65 (Landau-Karlsruhe) traverse sur 4 km son extrémité nord-est.Le tronçon de laroute fédérale 9 entre la frontière àLauterbourg au sud etKandel au nord est une section àpéage depuis janvier 2007, suivant une décision duConseil fédéral.

Il existe un projet controversé d'interconnexion autoroutière entre l'A35 depuis Lauterbourg jusqu'à l'A65 àKandel ou Wörth am Rhein qui permettrait de décharger l'A5 (Francfort-Bâle) très fréquentée sur la rive droite du Rhin.Cependant, une telle route (à quatre voies) couperait la zone forestière sur environ 12 km, pourrait augmenter considérablement le trafic à travers le Bienwald et y aurait un impact bien plus sensible que les deux voies de l'actuelleB9.

Transports ferroviaires

[modifier |modifier le code]
Train de la Bienwaldbahn engare de Maximiliansau Im Rüsten, à l'est du Bienwald et au sud de Wörth am Rhein.

Une ligne de chemin de fer, laBienwaldbahn, relie la ville deLauterbourg àWörth am Rhein depuis sa réactivation en 2002 en longeant sa lisère orientale.AuXXIe siècle, la ligne n'est plus utilisée que pour du transport régional et, plus occasionnellement, pour le transport dedéchets radioactifs enCastor.

Une autre ligne transfrontalière, laPfälzische Maximiliansbahn (parfois désignée sous le nom de Maxbahn) relieWissembourg àNeustadt an der Weinstraße viaWinden en passant à l'ouest du Bienwald. Bien que Winden soit également reliée àKarlsruhe, son trafic commercial est arrêté depuis 1945.

Gestion et conservation

[modifier |modifier le code]

Le Bienwald est administré et géré par l'office des forêts du Bienwald qui a un service àKandel.En 2011, le stock de bois du Bienwald s'élèvait à environ 2,5 millions de mètres cubes, soit environ 210 m³ par hectare. La croissance annuelle totale était d'environ 72 000 m3, ce qui correspond à 6 m3/ha, avec une exploitation annuelle d'environ 40 000 m3 correspondant à 4,5 m3/ha[1].

En 2004, legouvernement fédéral a approuvé le projet de conservation de la nature du Bienwald pour la constitution et la protection des aires protégées d'importance nationale[11].

Notes et références

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

  1. abc etd(de)Histoire et géographie du Bienwald sur storchenverein.de.
  2. (de)[PDF]Fossé et cours d'eau dans le Bienwald sur wald-rlp.de
  3. a etbAnke Sommer :Baumgesichter im Bienwald. Wörth/Karlsruhe 2015,(ISBN 978-3-9816744-9-1).
  4. Siegfried Vater :Der Herkunft des Namens Bienwald. In:Landkreis Südliche Weinstraße (Hrsg.): Heimatjahrbuch des Landkreises Südliche Weinstraße. Landau 2001.
  5. Manfred Bader, Albert Ritter, Albert Schwarz :Wörth am Rhein, Ortschronik. Hrsg.: Stadt Wörth am Rhein. Wörth 1983.
  6. Karl Geeck :Immer ist es die Legende vom Dieterskirchel, die bewegt. Sankt Theodard und das Dieterskirchel bei Rülzheim 2013.
  7. Rolf-Ulrich Roesler (Hrsg.) :Das Landschaftsschutzgebiet Bienwald in der Südpfalz (= Pollichia. Nr.3).Bad Dürkheim 1982.
  8. ab etcKreisverwaltung Germersheim, Fachbereich 32: Naturschutzgroßprojekt Bienwald – Besonderheiten (lien mort)
  9. Albert Ritter :Büchelberg, Leben im Bienwald. Hrsg.: Stadt Wörth am Rhein. Wörth 2005.
  10. (de)Site du parc d'aventure kandel.funforest.de
  11. (de)Projet de conservation de la nature du Bienwald sur bienwald.info.

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

Bibliographie

[modifier |modifier le code]
v ·m
Union européenne
Reste de l'Europe
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Bienwald&oldid=229191399 ».
Catégorie :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp