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Beynes (Alpes-de-Haute-Provence)

43° 59′ 30″ nord, 6° 13′ 27″ est
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirBeynes.

Page d’aide sur l’homonymie

Ne doit pas être confondu avecVeynes.

Beynes
Beynes (Alpes-de-Haute-Provence)
Vieux village de Beynes.
Blason de Beynes
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionProvence-Alpes-Côte d’Azur
DépartementAlpes-de-Haute-Provence
ArrondissementDigne-les-Bains
IntercommunalitéCommunauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Sylvain Flores
2020-2026
Code postal04270
Code commune04028
Démographie
GentiléBeynois
Population
municipale
121 hab.(2022en évolution de −5,47 % par rapport à 2016)
Densité2,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées43° 59′ 30″ nord, 6° 13′ 27″ est
AltitudeMin. 537 m
Max. 1 601 
m
Superficie41,24 km2
TypeCommune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionDigne-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Riez
LégislativesPremière circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Beynes
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Beynes
Géolocalisation sur la carte :Alpes-de-Haute-Provence
Voir sur la carte topographique des Alpes-de-Haute-Provence
Beynes
Géolocalisation sur la carte :Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
Beynes
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Beynes (Beinas enoccitan vivaro-alpin) est unecommune française, située dans ledépartement desAlpes-de-Haute-Provence, dans larégionProvence-Alpes-Côte d'Azur.

Lenom de ses habitants est Beynois[1].

Géographie

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Le vieux village est situé à 793 m d’altitude[2], dans un vallon affluent de l’Asse, dans lemassif du Montdenier. Il se trouve à environ 12 km (à vol d'oiseau) au sud deDigne-les-Bains.

Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Beynes et les communes voisines (cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Les communes limitrophes de Beynes sontEntrages,Chaudon-Norante,Senez (enclave du Poil),Estoublon,Mézel,Châteauredon.

Hameaux :

Relief

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Montagne de Beynes, au fond (1 601 m).

Sommets et cols :

Environnement

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La commune compte1 181 ha de bois et forêts, soit 28 % de sa superficie[1].

Transports

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Route départementale RD 17 de Beynes à Majastres.

Risques naturels et technologiques

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Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Lecanton de Mézel auquel appartient Beynes est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur lesséismes historiques[3], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[4]. La commune de Beynes est également exposée à trois autres risques naturels[4] :

  • feu de forêt,
  • inondation (dans la vallée de laBléone),
  • mouvement de terrain : la commune est concernée par un aléa moyen à fort[5].

La commune de Beynes est également exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[6]. Ladépartementale RD 907 (ancienneroute nationale 207) peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[7].

Aucunplan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[6] et leDicrim n’existe pas non plus[8].

La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle en1994 pour des inondations, des glissements de terrain et des coulées de boue[4].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de Provence-Alpes-Côte d'Azur etClimat des Alpes-de-Haute-Provence.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat méditerranéen altéré, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[9]. En 2020, le climat prédominant est classé Csa, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été chaud et sec[10]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat de montagne ou de marges de montagne[11] et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[12]. Elle est en outre dans lazone H2d au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[13],[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,5 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de11,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 863 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 4,6 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deSaint-Jurs à 11 km àvol d'oiseau[15], est de12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 828,9 mm[16],[17]. La température maximale relevée sur cette station est de38 °C, atteinte le ; la température minimale est de−16,5 °C, atteinte le[Note 1].

Pour afficher une liste d’indicateurs climatiques caractérisant la commune aux horizons 2030, 2050 et 2100 et pouvoir ainsi s'adapter aux changements climatiques, entrer son nom dans Climadiag-commune[18], un site de Météo-France élaboré à partir des nouvellesprojections climatiques de référence DRIAS-2020.

Urbanisme

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Typologie

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Au, Beynes est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[19].Elle est située hors unité urbaine[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[20]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :forêts (50,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,7 %), zones agricoles hétérogènes (8,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7,3 %), prairies (1,8 %)[23].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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La localité apparaît pour la première fois dans les textes vers 1200 (de Bezenas, ouBedenis[24]). SelonCharles Rostaing, le nom est formé de la racine oronymique (désignant une montagne)* BeD, qui s’est appliqué à l’éperon rocheux sur lequel le village est construit, racine qui serait antérieure aux Gaulois.Ernest Nègre lui attribue la même racine, sans lui donner de sens particulier[25],[26],[27].

Le nom de l’ancienne commune de Creysset (citée en1274,de Greissello, est issu du nom préceltique*kr-isc-ellu, désignant un terrain caillouteux[28] et celui de Trévans (de Trevano, cité en1157) est formé sur la racineoronymique préceltique[29].

Histoire

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Les territoires de Creysset et de Beynes ont été occupés très tôt, comme l’attestent les nombreux vestiges datant de l’âge du fer retrouvés[30].

De la période de présenceromaine datent quelques vestiges. En 1981, des travaux ont mis au jour un four de potier à canaux latéraux[31].

Au Moyen Âge, les deux communautés de Creysset et de Beynes relevaient de laviguerie deDigne[30]. Le hameau de Saint-Pierre, situé près de la clue de Chabrières, peut correspondre à unprieuréSaint-Pierre-d’Arcançon.

Lesligueurs assiègent le château en1591, avant qu’il soit démoli.

Un marquisat de Beynes est créé en 1673 pour Pierre de Castillon[24].

Lecoup d'État du 2 décembre 1851 commis parLouis-Napoléon Bonaparte contre laDeuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République :4 habitants de Beynes sont traduits devant la commission mixte[32].

Comme de nombreuses communes du département, Beynes et Creisset se dotent d’écoles bien avant leslois Jules Ferry : en 1863, Beynes en possède deux, installées au chef-lieu et au hameau de Palus, et Creisset possède aussi la sienne, qui dispensent uneinstruction primaire aux garçons[33]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni laloi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de800 habitants[34], ni la premièreloi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à500 habitants, ne concernent les deux communes[35]. La commune de Creisset profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour rénover son école[36], et ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles des deux communes sont régulièrement scolarisées.

La commune deCreisset est absorbée par celle de Beynes en 1925[37]. La communauté de Creisset est signalée auXIIIe siècle, sous le nom deCreissellum[38]. Elle comptait 21feux en1315 et 6 après la crise duXIVe siècle (peste noire etguerre de Cent Ans) ; en 1765, sa population était de168 habitants[38].

  • Monuments aux morts
  • Plaque-monument aux morts sur la mairie de Beynes.
    Plaque-monument aux morts sur la mairie de Beynes.
  • Plaque-monument aux morts sur l’église du vieux village de Beynes.
    Plaque-monument aux morts sur l’église du vieux village de Beynes.

Lalibération de Beynes a lieu lors du passage d’une colonne de la36e division d’infanterie (US), le matin du, sur laroute nationale 207. Mais, venant deRiez et se dirigeant surDigne, elle n’est pas passée au village[39].

Jusqu’au milieu duXXe siècle, lavigne était cultivée à Beynes, Saint-Pierre, et Creisset. Levin produit, était destiné à l’autoconsommation. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[40].

Héraldique

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Article détaillé :Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.
Blason de BeynesBlason
De gueules à la lettre B capitale d'or accompagnée de trois annelets d'argent[41].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Alias du blason de Beynes
Alias du blason de Beynes
D'azur, à un croissant d'argent, surmonté d'un soleil d'or.
Creisset (ancienne commune rattachée en 1925)[41].

Politique et administration

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La mairie (une partie du bâtiment sert de logements).

Liste des maires

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
mai 1945 Louis Trabuc[42]  
     
mars 2001mars 2008Julien Beuil  
mars 2008en cours
(au 21 octobre 2014)
Sylvain Flores[43],[44],[45]DVGAgriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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Fontaine-lavoir du vieux village (1871).

Beynes a fait partie, de 2005 à 2012, de lacommunauté de communes de l'Asse et de ses Affluents, puis de 2013 à 2016 de lacommunauté de communes Asse Bléone Verdon. Cette dernière a fusionné avec d'autres communautés de communes pour constituer la communauté d'agglomérationProvence-Alpes Agglomération, existant depuis le.

Démographie

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Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[47].

En 2022, la commune comptait 121 habitants[Note 3], en évolution de −5,47 % par rapport à 2016 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,84 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
176517931800180618211831183618411846
173357326365349417406364401
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185118561861186618721876188118861891
373351340315319326333309306
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
189619011906191119211926193119361946
279266223233162161149146109
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
195419621968197519821990199920062011
876351547593114119124
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
201620212022------
128121121------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puisInsee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique avant 1765
13151471
73feux36 feux

L’histoire démographique de Beynes, après la saignée desXIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début duXIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1811 à 1851. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse de la population de longue durée. En 1921, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1831[49]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt que dans lesannées 1970. Depuis, la population a plus que doublé.

Économie

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Aperçu général

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En 2009, la population active s’élevait à59 personnes, dont neuf chômeurs[50] (huit fin 2011[51]). Ces travailleurs sont majoritairementsalariés (31 sur 50)[52] et travaillent majoritairement hors de la commune (37 actifs sur 50)[52]. Plus de la moitié des établissements de la commune se trouvent dans l’agriculture (15 sur 28 en 2010)[53].

Agriculture

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Fin 2010, lesecteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait15 établissements actifs au sens de l’Insee et un emploi salarié[53].

Le nombre d’exploitations, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est en légère augmentation dans lesannées 2000, passant de 11 à 12, essentiellement des élevagesovins (sept). Lapolyculture a disparu de la commune dans les années 2000, les exploitants restants pratiquant soit les grandes cultures, soit lemaraîchage[54]. De 1988 à 2000, lasurface agricole utile (SAU) a augmenté, de654 ha à710 ha, alors que le nombre d’exploitations baissait (de 15 à 11)[55]. Cette augmentation de la SAU a continué lors de la dernière décennie, pour arriver à738 ha[54].

Industrie

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Fin 2010, lesecteur secondaire (industrie et construction) comptait trois établissements, employant huitsalariés[53].

Activités de service

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Fin 2010, lesecteur tertiaire (commerces, services) comptait sept établissements (sans aucun emploisalarié), auxquels s’ajoutent les trois établissements du secteur administratif, sanitaire et social, salariant une personne[53].

D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est importante pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[56], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant marchande[57]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune :

Les résidences secondaires apportent un appoint non négligeable à la capacité d’accueil[62] (un logement sur trois, soit 36, sont des résidences secondaires[63]).

Pont dit romain, dans un vallon adjacent aux gorges de Trévans (la clef de voûte est gravée 1851).
Église Saint-Pierre-et-Saint-Martin de Beynes.

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Les records sont établis sur la période du au.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

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  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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  1. a etbRoger Brunet, « Canton de Mézel », surLe Trésor des régions(consulté le).
  2. a etbMichel deLa Torre,Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste,coll. « Villes et villages de France »,, 72 p.(ISBN 2-7399-5004-7).
  3. Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence, Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence,(lire en ligne), p.39.
  4. ab etcMinistère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement,Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 11 juillet 2011, consultée le 2 juillet 2012.
  5. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008,p. 37.
  6. a etbDossier départemental sur les risques majeurs 2008,p. 95.
  7. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008,p. 80.
  8. Formulaire de recherche,base Dicrim, consultée le 2 juillet 2011.
  9. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  10. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012,lire en ligne, consulté le)
  11. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le)
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le)
  13. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le)
  14. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  15. « Orthodromie entre Beynes et Saint-Jurs », surfr.distance.to(consulté le).
  16. « Station Météo-France « St Jurs », sur la commune de Saint-Jurs - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le)
  17. « Station Météo-France « St Jurs », sur la commune de Saint-Jurs - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le)
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surMétéo-France,(consulté le)
  19. « La grille communale de densité », surle site de l’Insee,(consulté le).
  20. a etbInsee, « Métadonnées de la commune ».
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Digne-les-Bains », surinsee.fr(consulté le).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surinsee.fr,(consulté le).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  24. a etbSous la direction d'Édouard Baratier,Georges Duby etErnest Hildesheimer,Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris,Librairie Armand Colin,(BNF 35450017),p. 165.
  25. Charles Rostaing,Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Marseille, Laffite Reprints, (1re éd. 1950), p.76.
  26. ErnestNègre,Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux,vol. 1 :Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève,Librairie Droz,coll. « Publications romanes et françaises » (no 193),, 1869 p.(ISBN 978-2-600-02884-4,lire en ligne). § 1135,p. 54.
  27. Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise »inBaratier, Duby et Hildesheimer 1969, carte 11 et commentaire.
  28. Bénédicte et Jean-JacquesFénié,Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest,coll. « Sud Ouest Université »,, 128 p.(ISBN 978-2-87901-442-5),p. 20.
  29. Fenié et Fenié 2002,p. 26.
  30. ab etcDaniel Thiery, « Beynes »,Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 13 décembre 2010, mis à jour le 14 décembre 2010, consulté le 2 juillet 2012.
  31. Marc Gauthier, « Provence-Alpes-Côte-d'Azur »,Gallia,vol. 43,no 22,‎, p.515(lire en ligne).
  32. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations »,1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001,p. 72.
  33. Jean-Christophe Labadie (dir.),Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence,(ISBN 978-2-86-004-015-0), p.9.
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  36. Labadie 2013,p. 11.
  37. a etbDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. a etbBaratier, Duby et Hildesheimer 1969,p. 172.
  39. Henri Julien (directeur de publication),Guide du débarquement de Provence, 15 août 1944, Digne-les-Bains, Éditions de Haute-Provence, 1994,(ISBN 2-909800-68-7),p. 126.
  40. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-ProvenceXIXe – XXIe siècles »,Méditerranée,no 109,‎, p.56 et 59(lire en ligne).
  41. a etbLouis de Bresc,Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994.
  42. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération »,Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
  43. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence,D’Aiglun à Braux (liste 1), consulté le 6 mars 2013.
  44. Sylvain Florès est l’un des 500 élus qui ont parrainéPhilippe Poutou (NPA) à l’élection présidentielle de 2012, Conseil constitutionnel, « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République »,Journal officiel, 31 mars 2012.
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  47. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  48. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  49. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début duXIXe siècle. »,Provence historique, tome 21,no 85, 1971,p. 287.
  50. Dossier local - Commune : Banon (04018), Insee(lire en ligne), p.5.
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  52. a etbDossier local,p. 7.
  53. abc etdDossier local,p. 16.
  54. a etbMinistère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation »,Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio).
  55. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio).
  56. Observatoire départemental du tourisme,Atlas de l'hébergement touristique,(lire en ligne), p.6.
  57. Atlas de l'hébergement touristique 2008,p. 7.
  58. Atlas de l'hébergement touristique 2008,p. 21, 23 et 26.
  59. Dossier local,p. 18.
  60. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio).
  61. Atlas de l'hébergement touristique 2008,p. 32.
  62. Atlas de l'hébergement touristique 2008,p. 44.
  63. Dossier local,p. 17.
  64. Collier 1986,p. 270.
  65. Collier 1986,p. 272.
  66. a etbNotice qui lui est consacrée par Philippe Autran et Guy Barruolin Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch,D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006,p. 58.
  67. Notice qui lui est consacrée par Guy Barruolin Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch,D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006,p. 59.
  68. Collier 1986,p. 218.
  69. Collier 1986,p. 468.
  70. Arrêté du 11 décembre 1980,Noticeno PM04000046, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Palissy,ministère français de la Culture, consultée le 28 octobre 2008.
  71. Arrêté du 30 janvier 1995,Noticeno PM04000650, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Palissy,ministère français de la Culture, consultée le 28 octobre 2008.
  72. Arrêté du 11 décembre 1980,Noticeno PM04000047, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Palissy,ministère français de la Culture, consultée le 28 octobre 2008.
  73. Collier 1986,p. 486.
v ·m
Durance-Luberon-Verdon Agglomération
Provence-Alpes Agglomération
CC Sisteronais Buëch
CC Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
CC Haute-Provence Pays de Banon
CC du pays de Forcalquier et montagne de Lure
CC Vallée de l'Ubaye Serre-Ponçon
CC Jabron Lure Vançon Durance
CA Gap-Tallard-Durance
CC Pays d'Apt-Luberon
CC de Serre-Ponçon
CC Serre-Ponçon Val d'Avance
v ·m
Découpage de 2017
Canton de Château-Arnoux-Saint-Auban
Canton de Digne-les-Bains-1
Canton de Digne-les-Bains-2
Canton d'OraisonLes Mées
Canton de Riez
Canton de Seyne
Canton de ValensoleSainte-Croix-du-Verdon
v ·m
Liste des intercommunalités des Alpes-de-Haute-Provence
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