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Bethléem

31° 42′ 11″ nord, 35° 11′ 46″ est
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Page d’aide sur la paronymie

Cet article possède desparonymes, voirBelém etBelén.

Page d’aide sur l’homonymie

Cet article concerne la ville dePalestine. Pour les autres significations et pour Bethlehem, voirBethléem (homonymie).

Bethléem
(ar)بَيْت لَحْم
Bethléem
Un quartier de Bethléem.
Administration
PaysDrapeau de la PalestineÉtat de Palestine
MaireHanna Hanania
Démographie
Population28 591 hab.[1](2017)
Population de l'agglomération200 000 hab.(2015)
Géographie
Coordonnées31° 42′ 11″ nord, 35° 11′ 46″ est
Altitude775 m
Localisation
Géolocalisation sur la carte :Palestine
Voir sur la carte administrative de Palestine
Bethléem
Liens
Site webwww.bethlehem-city.org
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Vue de Bethléem de nos jours.

Bethléem (enhébreu :בֵּית לֶחֶם,Bet Lekhem ; enarabe :بَيْت لَحْم,Bayt Laḥm) est une ville située enCisjordanie, enPalestine, à environ 10 km au sud deJérusalem. Sa superficie est de 10,61 km2. Cette ville comptait 28 591 habitants en 2017[1], principalement desPalestiniensmusulmans. Elle abrite aussi une petite communauté dechrétiens palestiniens, une des plus anciennes communautéschrétiennes au monde. L'agglomération de Bethléem s'étend aux villes deBeit Jala etBeit Sahour.

La ville est un important centre religieux. Latradition juive, qui l'appelle aussiÉphrata, en fait le lieu de naissance deDavid,roi d'Israël. Elle est également le siège d'unlieu saint dujudaïsme, letombeau de Rachel, situé à l'entrée de la ville. D'après laBible, c'est aussi le lieu de naissance deJésus de Nazareth. C'est un lieu depèlerinage qui génère une activité économique importante à la période deNoël.

Depuis 1995, aux termes desaccords d'Oslo, la ville est théoriquement sous administration de l'Autorité palestinienne, bien que la majeure partie de l'agglomération (85 %) soit en réalité administrée parIsraël.

Étymologie

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Le nom « Bethléem » dérive de l'hébreubayit « maison », dénotant un sitecultuel, et du nom dedivinités agricolesmésopotamiennesLahmu etLahamu qui apparaissent dans l'Enuma Elish[2]. Mais selon latradition populaire[3] largement répandue, le nom vient de l'hébreuבית לחם,beth leḥem : « maison du pain ».

En raison d'une évolution phonétique différente, le nomarabeبيت لحم,bayt laḥm a donné lieu à une autre étymologie populaire : sibayt correspond à l'hébreubeth et désigne la « maison »,laḥm a lui le sens de « viande » au contraire de l'hébreuleḥem, « pain ».

Religion

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Dans laGenèse, Bethléem est le lieu où meurtRachel et où naîtBenjamin[4], second fils de Rachel et le benjamin des fils deJacob. La formule « Bethléem sur le chemin d'Ephrata » revient plusieurs fois dans les textes bibliques.

Dans lelivre de Ruth,Boaz, un riche propriétaire terrien de Bethléem, épouse la pauvre veuveRuth qui vient glaner dans ses champs. De leur descendance naîtra leroi d'Israël, David.

Dans leslivres de Samuel, le Roi David est le fils deJessé de Bethléem, c'est pourquoi leprophèteMichée en fait la patrie du futurMessie :« Et toi, Bethléem, Ephrata, bien que tu sois petite entre les milliers deJuda, de toi sortira pour moi celui qui doit dominer en Israël, et duquel les origines ont été d'ancienneté, dès les jours d'éternité »[5].

Dans leNouveau Testament, selonMatthieu etLuc, Bethléem enJudée est le lieu de naissance deJésus ; sous legouvernorat dePublius Sulpicius Quirinius, ses parents s'y rendent pour s'y faire recenser,Joseph, descendant de David, en étant originaire[6].

AuXIe siècle,Bernard de Clairvaux prolonge l'étymologie hébraïqueBethléem (maison du pain) dans une utilisation chrétienne : Jésus (né à Bethléem) devientle Pain vivant descendu du Ciel[7].

Plusieurslieux saints se trouvent à Bethléem : letombeau de Rachel, labasilique de la Nativité, lagrotte du Lait.

Époque contemporaine

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De nos jours, la part deschrétiens dans la population est en baisse dans toute la Palestine, notamment à Bethléem qui compte une communauté de plus de 11 000 chrétiens, ce qui équivaut à 20 % de la population de la ville et parmi eux, 40 % sontcatholiques[8],[9]. En 2016, les chrétiens représentent 12 % des habitants, selon le maire[9]. En 1950, 86 % de la population de Bethléem et des villages environnants était chrétienne[10],[9].

Histoire

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Article détaillé :Histoire de la Palestine.

Lieu de naissance de Jésus

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Concernant la localité qui aurait vu naître Jésus, les historiens[11] hésitent entre le berceau familial deNazareth, où il passera toute sa jeunesse, le village deCapharnaüm[a] (kfar Nahum, village de Nahum) qui apparaît dans lesÉvangiles comme le centre de sa mission, voire la bourgade deChorazeïn à laquelle Jésus semble particulièrement attaché[12].

Les récits deLuc etMatthieu situant chacun la naissance de Jésus à Bethléem enJudée[b] font pencher lesexégètes pour une rédaction plutôtthéologique que factuelle[13],[14] - Bethléem étant la ville duroi David de la lignée duquel leMessie attendu par lesjuifs doit descendre, selon la prophétie deMichée[c][14].

Dans leur récit de lanaissance de Jésus, lesévangélistes réalisent ainsi, par une réinterprétation tardive (la tradition de Bethléem ne remontant pas avant la fin duIer siècle), une construction littéraire donnant uneétiologie sur lamessianité de Jésus[15],[14].

Si les évangiles attribués à Luc et à Matthieu rapportent que Bethléem est le lieu de naissance de Jésus, ceux de Marc et de Jean commençant avec la vie publique deJean le Baptiste, puis de Jésus, ne disent rien deson enfance.

L'étoile de la Nativité dans la basilique.

D'aprèsJérôme de Stridon (Epistola, 58, 3), qui vécut à Bethléem à la fin duIVe siècle, la grotte de laNativité duChrist aurait été vénérée déjà du temps d'Hadrien, qui pour empêcher cette vénération y fit édifier un temple consacré àAdonis ; l'Empereur romain aurait procédé de même à Jérusalem avec leTemple de Jérusalem et leSaint-Sépulcre.

Si elles sont avérées dans le cas du Saint-Sépulcre, les affirmations de l'apologète chrétien ne sont pas corroborées par les découvertes archéologiques à Bethléem où aucune trace d'habitat contemporain de Jésus n'a été mise au jour jusqu'à présent[16]. Par ailleurs, un autre endroit de culte de laNativité/Épiphanie du Christ, avant la basilique constantinienne, semble avoir existé[d], cela en dépit des allusions des apologètesJustin de Naplouse etOrigène.

Entre 1992 et 2003, l'archéologue israélien Aviram Oshri a conduit des fouilles de sauvetage dans levillage homonyme de Bethléem en Galilée, à six kilomètres à l'ouest deNazareth. Il y a mis au jour les vestiges d'une occupation juive d'époque hérodienne (Ier siècles av. et ap. J.-C.) et, auVIe siècle, ceux d'une basilique chrétienne, associée à unmonastère et unehôtellerie. De ces indices, il a conclu à l'existence d'unpèlerinage chrétien et émis l'hypothèse que le village galiléen de Bethléem serait le véritable berceau de Jésus[17].

Basilique de la Nativité

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Article détaillé : Basilique de la Nativité.
Basilique de la Nativité en 1620.

Après les exécutions deCrispus et de l'impératrice romaineFausta par son filsConstantinIer, l'impératriceHélène (mère de Constantin) visite le lieu saint et son fils y fait construire laBasilique de la Nativité de Bethléem.Jérôme de Stridon se retire dans une grotte voisine et y traduit laBible hébraïque enlatin, dans une version connue sous le nom deVulgate.

La basilique de la Nativité est restaurée parJustinien et est le seul sanctuaire épargné par lesPerses lorsqu'ils envahissent laPalestine. Elle est encore restaurée par lescroisés, auXIIe siècle.

Mosquée d'Omar

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Article détaillé :Mosquée d'Omar (Bethléem).
« Pas de paix avec lescolonies (israéliennes) », bannière sur lamosquée d'Omar, Bethléem, 2008.

La mosquée est construite en 1860 et est dédiée aucalifeOmar ibn al-Khattâb qui a conquisJérusalem et s'est rendu à Bethléem en l'an 637, selon la tradition musulmane[18][réf. incomplète]. Elle est rénovée dans les années 1950.

Histoire contemporaine

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À la suite de l'Intifada et des nombreux attentats contre les civilsisraéliens desannées 2000, la ville est aujourd'hui partiellement entourée par labarrière de séparation israélienne sous la forme d'un mur de 8 mètres de haut construit par les autorités israéliennes.

Lemur de séparation israélien à la sortie de Bethléem, 2011.

Les habitants de Bethléem prennent le plus souvent position en faveur de la lutte palestinienne contre Israël ou l'établissement decolonies juives[9].

Bethléem a reçu en 2000 la visite dupapeJean-Paul II[e] pour commémorer le bimillénaire de la naissance duChrist et fut accueilli par la population chrétienne locale. À l'image de cette visite, les papes suivants se rendront aussi à Bethléem :Benoît XVI visite la ville durant le mois de mai 2009[19] et cinq ans plus tard, en mai 2014, le papeFrançois se rend aussi dans la ville[20].

Population

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En 1886, la ville comptait 5 600 habitants selon Pierre Auguste Raboisson, dont 5 000 chrétiens (3 000 catholiques, 1 600 Grecsschismatiques et 400Arméniens)[21].

En 2017, la population s'élève à près de 31 000 habitants avec une part chrétienne (12 %) qui ne cesse de s'étioler[9],[8],[22].

Économie

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Article détaillé :Économie palestinienne.
Inauguration de l'hôtelYMCA à Bethléem, avril 1944.
Fermephotovoltaïque de Bethléem, 2015.

« Le tourisme joue un rôle capital dans le développement de l'économie locale. Plus de 20 % de la main-d'œuvre est employée dans le secteur du tourisme »[22]. Selon le ministère palestinien du Tourisme, 1,16 million d'étrangers ont visité l'église de la Nativité, place Manger, en 2013[9]. « La ville compte 14 églises et 7 mosquées qui attirent des touristes de tous les pays en raison de son importance historique religieuse »[22]. « Tous les touristes à Bethléem arrivent d'Israël via l'un des 29points de contrôle qui mènent à la ville et aux villages environnants »[9]. 55 hôtels peuvent accueillir les visiteurs à Bethléem[9].

« Les activités industrielles produisant des objets d'art orientaux, les carrières de pierre, le béton et le textile, en plus des activités commerciales, jouent un rôle majeur dans le développement de l'économie locale »[22].

Selon le maire de la ville, letaux de chômage à Bethléem s'élève à 27% en 2016 et touche les secteurs du tourisme, de l'industrie, ducommerce et de l'agriculture[9],[22].

En 2025, en conséquence de la multiplication des checkpoints qui empêchent la population de se déplacer et de la suppression des permis de travail en Israël, le taux de chômage est de près de 50 %. Le maire de la ville témoigne par ailleurs d'une « explosion de la pauvreté »[23].

Environnement

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« Les citoyens bénéficient de tous les services et infrastructures ». Cependant, le réseau d'eau est confronté à de graves problèmes de vétusté[22].

Éducation

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Article détaillé :Université de Bethléem.
Femme de Bethléem et la ville en arrière-plan, 1934-1939.

Selon leBureau central palestinien des statistiques (PCBS), environ 84 % de la population de Bethléem âgée de plus de 10 ans savaient lire et écrire en 1997 et environ 14 % des élèves du secondaire possédaient un diplôme. En 2006, il y avait 135 écoles dans legouvernorat de Bethléem : 100 fonctionnant sous l'égide du Ministère de l'Éducation de l'Autorité palestinienne, sept par le biais de l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient UNRWA) et 28 étaient privées[24].

Bethléem abrite l'Université de Bethléem, la plus ancienne université deCisjordanie, qui fut fondée en 1973 bien que le site était occupé par une école catholique depuis 1893.

S'y trouve aussi un institut catholique de co-éducation chrétienne d'enseignement supérieur fondé en 1973 dans la tradition lasallienne (Frères des écoles chrétiennes), ouvert aux étudiants de toutes confessions ; les Frères chrétiens de La Salle ont fondé des écoles dans toute laPalestine et enÉgypte auXIXe siècle.

Art et culture

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Tombeau de Rachel.
Monastère de Saint-Georges.

La ville de Bethléem bénéficie d'une étude pour la préservation de sonpatrimoine[25] et est inscrite à l'inventaire du patrimoine mondial de l'UNESCO.

L'église de la Nativité n'est pas le seul site culturel de la ville mais il est celui qui attire le plus de touristes chaque année principalement des pèlerins chrétiens, ce qui aide à l'économie de la cité dont c'est la ressource principale. Il y a donc une cinquantaine d'hôtels pour accueillir les touristes. La ville qui était à majorité chrétienne, il y a 50 ans, est aujourd'hui à majorité musulmane[10],[26],[9].

Sur la route de Bethléem, juste à l'extérieur de la ville, se trouve letombeau de Rachel, l'épouse duJacob biblique. C'est le troisième lieu saint dujudaïsme après lemont du Temple àJérusalem et lecaveau des Patriarches àHébron. Ce tombeau est aussi vénéré par les musulmans en tant quemosquée, comme les autres lieux cités[26].

Les rites deNoël ont lieu à Bethléem sur trois dates différentes : le 25 décembre, date traditionnelle par l'Église catholique romaine etprotestante mais les grecs, coptes et orthodoxes syriens chrétiens fêtent Noël le 6 janvier et les orthodoxes arméniens chrétiens le 19 janvier. La plupart desprocessions de Noël passent par la place de la Mangeoire où trône un imposant sapin illuminé. Les offices catholiques ont lieu dans l'église Sainte-Catherine et les protestants se chargent souvent des services aux champs des Bergers. D'autres établissements catholiques existent tels que le monastèremaroniteSaint-Charbel dans le quartier de Wadi Maali.

D'autressaints sont fêtés lors de la fête annuelle de Saint-George (al-Khadr) les 5 et 6 mai. Pendant les célébrations, les chrétiensgrecs orthodoxes de la ville défilent en procession à la ville voisine deal-Khader pour les nouveau-nésbaptisés dans les eaux près du monastère de Saint-Georges où un mouton sera sacrifié. La fête deSaint-Élie est commémorée par une procession aumonastère orthodoxe grec de Mar Elias, au nord de Bethléem.

Bethléem est aussi réputé pour la qualité de sesbroderies et son travail artisanal sur les pierres et autres incrustations.

Administration

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Manifestation de partisans duHamas à Bethléem, 2006.

Depuis 1995, aux termes desaccords d'Oslo, la ville de 35 000 habitants est théoriquement sous administration de l'Autorité palestinienne. Pratiquement, à la suite de ces accords, Bethléem a été divisée, à l'instar de toute laCisjordanie, en 3 zones administratives : la zone A est entièrement aux mains des Palestiniens, qu'il s'agisse de l'administration ou de la sécurité. Dans la zone B, les Palestiniens sont chargés de l'administration, tandis que la sécurité est assurée par les Israéliens. La zone C est entièrement gérée par les Israéliens. La définition des zones est telle qu'au total, les Israéliens ont le contrôle exclusif de 82 % de la ville[27], 85 % du gouvernorat de Bethléem (650 km2, 200 000 habitants) se trouvant en zone C[28]. La ville compte une vingtaine deChecks Points[9].

Les branches de différents partis sont représentés au Conseil de la ville :communiste,islamiste etlaïque. S'y trouvent l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), leFront populaire de libération de la Palestine (FPLP) et le PPP qui dominent généralement les sièges réservés. En 2005, leHamas a gagné la majorité des sièges ouverts auxélections municipales palestiniennes.

En 2012, la chrétienne palestinienneVera Baboun est élue au conseil municipal de la ville et choisie comme mairesse; c'est la première femme à occuper ce poste[29],[30]. Elle est remplacée en 2017 par Anton Salman.Le 14 avril 2022, Hanna Hanania succède à Anton Salman. Nader Rahil devient le nouveau maire adjoint.

Galerie

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Personnalités liées à Bethléem

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Naissance à Bethléem

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Personnes ayant vécu à Bethléem

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Jumelages

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Bethléem estjumelée avec[31] :

Notes et références

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Notes

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  1. Dans cette hypothèse, la localité de Nazareth y aurait été substitué, à partir du pseudo-texte bibliqueMt 2. 23. Source :(en) J. S. Kennard, « Was Capernaum the Home of Jesus ? »,Journal of Biblical Literature,vol. LXV,‎,p. 131-141.
  2. D'après les évangiles selon LucLc 2. 4 et MatthieuMt 2. 1-.
  3. Prophétie deMichée sur la naissance du Messie à BethléemMi 5. 2-4
  4. VoirKathisme et village de Betebre.
  5. Il fut accueilli selon le protocole par le Président palestinienYasser Arafat

Références

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  1. a etb(en) Palestinian Central Bureau of Statistics,Preliminary Results of the Population, Housing and Establishments State of Palestine : Census 2017(lire en ligne[PDF]),p. 76.
  2. (en) David NoelFreedman et Allen C.Myers (dirs.),Eerdmans Dictionary of the Bible,Amsterdam University Press,,p. 172.
  3. DanielMarguerat,La Bible en récits : L'exégèse biblique à l'heure du lecteur, Labor et Fides,, 461 p.(ISBN 978-2-8309-1106-0,présentation en ligne),p. 54.
  4. Gn 35. 16-18.
  5. Mi 5. 1.
  6. Cf.Mt 2. 1 etLc 2. 4.
  7. (la) Bernard de Clairvaux,De laude Novae Militiae [« Éloge de la nouvelle milice »],(lire en ligne[PDF]), chapitre VI, 21.
  8. a etb« Sur la terre foulée par Jésus, les chrétiens palestiniens s'étiolent - cath.ch », surcath.ch(consulté le).
  9. abcdefghij etk(en) Melanie Lidman, « Bethlehem's declining Christian population casts shadow over Christmas », surNational Catholic Reporter,(consulté le).
  10. a etbLa-Croix.com, « Le nombre de chrétiens en Israël a augmenté en 2015 », surLa Croix,(consulté le).
  11. Michel Quesnel, « Jésus et le témoignage des évangiles », dansAux origines du christianisme, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000,p. 201–202.
  12. (en)Raymond Edward Brown,The birth of the Messiah. A Commentary on the Infancy Narratives in the Gospels of Matthew and Luke, Anchor Bible,,p. 513.
  13. Alain Houziaux, Corina Combet-Galland,Gérard Mordillat,Michel Quesnel,Jésus-Christ, de quoi est-on sûr ?, Éditions de l'Atelier,,p. 52.
  14. ab etc« Jésus n'est né ni an l'an 0, ni à Bethléem »,Le Temps,‎(lire en ligne, consulté le).
  15. Simon Claude Mimouni,Pierre Maraval,Le christianisme des origines à Constantin, Presses universitaires de France,,p. 54.
  16. Estelle Villeneuve, « Quand l'archéologie s'en mêle », dansLe Monde de la Bibleno 185, septembre/octobre 2008,p. 44-45 ; Michael Avi-Yonah, « Bethlehem », dansNew Encyclopedia of Archaeological Excavations in the Holy Land, vol. 1, Israel Exploration Society ed., Jerusalem, 1993.
  17. (en) Aviram Oshri, « Where was Jesus Born? », dansArcheology, vol.no 6, novembre/décembre 2005extrait en ligne.
  18. Dominique Auzias, Jean-Paul Labourdette, Petit Futé, 2008,p.  307.
  19. « Pèlerinage en Terre-Sainte (8-15 mai 2009) »[html],2009 : Voyages apostoliques en dehors de l'Italie, survatican.va,(consulté le).
  20. « À Bethléem le pape François évoque le « droit de deux États à exister et à jouir de la paix » »,Le Monde,‎(lire en ligne, consulté le).
  21. Pierre Auguste Raboisson,En Orient ; récits et notes d'un voyage en Palestine et en Syrie par l'Égypte et le Sinaï, 2de partie, Paris : Librairie catholique de l'oeuvre de Saint-Paul, 1886, p. 142 (lire en ligne).
  22. abcde etf« Bethléhem », surClima-Med(consulté le).
  23. Luc Bronner, « A Bethléem, la tristesse d’une ville palestinienne ruinée par la guerre et ses conséquences »,Le Monde,‎(lire en ligne, consulté le)
  24. (en)« Wayback Machine », surMinistry of Education and Higher Education,(version du surInternet Archive).
  25. (en) Kirova, TatianaK. et StochinoMonica, « L'analyse des éléments qui caractérisent la ville historique. Le cas de Bethléem, d'après les suggestions pour la conservation intégrée aux actions de suivi et de gestion », suropenarchive.icomos.org,(consulté le)
  26. a etb« Cinq choses à savoir sur Bethléem, berceau du christianisme »,Le Parisien,‎(lire en ligne, consulté le).
  27. Entretien deMme Vera Baboun par Aurelio Molé - traduit de l'italien par C. Perfumo, mensuelNouvelle Cité - La fraternité au quotidien, novembre-décembre 2016,p. 38.
  28. Ville de Paris-APUR« Paris-Bethléem - Rapport de mission », juin 2015,p. 4.
  29. (en) Lauren E. Bohn (AP), « New female mayor gears Bethlehem up for Christmas »,The Times of Israel,‎(lire en ligne, consulté le).
  30. (en) Daoud Kuttab, « Bethlehem Has New Female Mayor, Yet Same Old Problems »,Al-Monitor,‎(lire en ligne, consulté le).
  31. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sursite du ministère des Affaires étrangères(consulté le).
  32. Annuaire des Villes Jumelées > Pays : _ > Région : RHONE-ALPES > Collectivité : ISERE, sur le site de l'AFCCRE, consulté le 15 novembre 2014.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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