Au, Bessancourt est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8].Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant407 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 2],[9],[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[I 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].
Originellement organisé autour d'un ruisseau qui suivait le tracé de la Grande rue (aujourd'hui disparu), le village s'est au fil des ans développé le long de la route deParis àAuvers-sur-Oise, avant de gagner la plaine qui s'étend versPierrelaye. Suivant ce schéma, l'habitat individuel prédomine autour du centre ville, alors que l'on trouve des grands ensembles et des constructions récentes dans la plaine. Bessancourt fait partie de l'aire urbaine de Paris.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bessancourt en 2021 en comparaison avec celle du Val-d'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion desrésidences secondaires et logements occasionnels (0,8 %) par rapport au département (1,5 %) et à la France entière (9,7 %).
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
0,8
1,5
9,7
Logements vacants (en %)
6,6
6
8,1
La commune satisfait presque les obligations qui lui sont faites par l'article 55 de laloi SRU de disposer d'au moins 25 % de son parc de résidences principales constituées delogements sociaux. En effet, en 2019, ce ratio atteignait 24,77 % de son parc de résidences principales, contre 23,69 % en 2014[12].
Le plus ancien vestigearchéologique de Bessancourt est un pic en grès taillé remontant auMésolithique.
Le site de Bessancourt passe pour un des plus anciens lieux d’habitation du diocèse. Sa situation particulière, au creux d’un vallon niché au pied d’une colline boisée, présentant des pentes ensoleillées, ne pouvait que favoriser l’implantation humaine. Le village s’est d’abord développé au bord d’un ruisseau, le Menluce, dont le tracé suivait lethalweg de la Grande-Rue actuelle et du chemin de la Voie pour rejoindre la Liesse à Pierrelaye.
C’est sous le règne de Philippe-Auguste que Bessancourt en 1189, accède au rang deparoisse, par décision deMaurice de Sully,évêque de Paris. Des plus anciens contrats, on relève les noms suivants : Bercolcort (1189) - Bercencort (1204) - Berchoncourt (1231) - Bercendicuriam (1249) - in territorio Bercecurie (1253) - Bersincourt (1239) - Bessencourt (1299). De très vieux titres nous apprennent que les premiers seigneurs (les Tirel) percevaient à Bessancourt des droits de péage et des droits sur le moulin à vent, les fours à pain et les pressoirs.
Ce fut un territoire en partie très tôt mis en valeur que Blanche de Castille et Saint-Louis donnèrent à l’abbaye de Maubuisson, qui marque ensuite l’empreinte de sa puissance par la construction de l'église Saint-Gervais-et-Saint-Protais en 1250.
À la Révolution, le domaine de Maubuisson est vendu, et le premier conseil de la commune se tient le 7 février 1790.
Le 27 avril 1789, les députés Garnier et Meurger portent le cahier des plaintes et doléances des Bessancourtois aux États Généraux. Bessancourt perdra son statut de "bourg fermé" (pour traverser le village, il fallait acquitter un droit de péage) à la grande satisfaction des vignerons qui possédaient132 hectares de vignobles.
La première élection municipale aura lieu le 7 février 1790, Jacques Chéron sera le premier maire de Bessancourt.
À partir de 1815, d'importantescarrières de gypse sont mises en exploitation àTaverny et Bessancourt. En 1990, certaines de ces carrières situées en ville fermeront.
En 1862, mairie et écoles s’installent dans des bâtiments situés près de la place et de l’ancien cimetière. Ces bâtiments seront démolis et reconstruits en 1878, avec une nouvelle mairie et une nouvelle école.
Terre de laboureurs et de vignerons, riche de ses cultures, Bessancourt n’a cessé de se développer au cours des siècles, passant de240 habitants en 1470 à 1 124 habitants à la veille duXXe siècle.
Du fait de la position stratégique des carrières de gypse, notamment par la proximité du chemin de fer, et de leur superficie, ces dernières sont utilisées par les Allemands de1941 à1944 qui y stockent des munitions, y établissent un centre de défense aérienne de laLuftwaffe et en font un atelier de montage desmissiles V1, les mines étant inappropriées pour y fabriquer desmissiles V2.
En 1946, l'armée de l'air utilise à son tour les carrières.
En 1957, le Centre d'opérations de la défense aérienne s'installe à Taverny, suivi en1961 du Commandement air des forces de défense aérienne et en1963 du Commandement des forces aériennes stratégiques.
Avec le développement des transports et la proximité de Paris, Bessancourt a perdu au cours du dernier siècle sa situation agricole privilégiée qui en faisait un lieu de villégiature très apprécié. Riche de son passé et de son cadre privilégié, Bessancourt attire néanmoins de nouveaux habitants et connaît une expansion (2 153 habitants en 1936, 2 644 en 1960, 3 500 en 1968, 5 759 en 1975, 7 500 en 2000).
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loiMAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante en Île-de-France capables de dialoguer avec lamétropole du Grand Paris créée par la même loi, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le, lacommunauté d'agglomération Val Parisis dont est désormais membre la commune[I 2]
Lors du premier tour desélections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, la liste DVG menée par le maire sortant obtient lamajorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 654 voix (59,88 %, 23 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant celle DVD menée par Francis Balland, qui a obtenu 1 108 voix (40,12 %, 6 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire). Lors de ce scrutin, 40,08 % des électeurs se sont abstenus[17].
Lors du premier tour desélections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise, la liste DVG-ECO menée par le maire sortant Jean-Christophe Poulet obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 242 voix (68,46 %, 25 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), battant largement la liste DVG menée par Élie Domergue, qui a obtenu 572 voix (31,53 %, 4 conseillers municipaux élus). Lors de ce scrutin marqué par lapandémie de Covid-19 en France, 61,91 % des électeurs se sont abstenus[18].
La commune dispose d’une crèche familiale municipale située dans des locaux adjacents à la mairie permettant à des enfants de trois mois à trois ans de s’éveiller grâce à des activités éducatives ou familiales. Cette crèche est assistée par une halte-garderie située non loin dans la rue Madame. Ces structures, en favorisant l’éveil, permettent aux enfants d’entrer en douceur dans le monde de l’apprentissage qu’ils découvriront peu de temps après en entrant en école maternelle.
En 2011, il existe deux groupes scolaires contenant chacun une école maternelle et primaire. Un groupe se trouve dans le quartier des Brosses et Malais, le groupe scolaire Lamartine qui n'a ouvert qu'en1970 lors de la construction du quartier, et l’autre dans le quartier de la gare, le groupe scolaire Saint-Exupéry construit à partir des années 1930 pour remplacer les anciens locaux devenus trop petits.
Par la suite les élèves de primaire peuvent entrer au collège Maubuisson situé dans le quartier des Brosses et Malais depuis1979. Le collège accueille aujourd'hui environ500 élèves, soit cinq classes par niveau, et a subi un certain nombre de travaux ces dernières années pour le remettre au goût du jour.
En liaison avec les trajets domicile-école, un projet appeléPédibus animé par l'Agence régionale de l'environnement et des nouvelles énergies (ARENE) et la délégation régionale Île-de-France de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME), a pour but de favoriser l’usage des modes moins polluants que la voiture pour aller à l’école, en particulier la marche et le vélo. Comme le bus, il s’agit d’une ligne desservant un quartier, avec des arrêts matérialisés. Une "caravane" d’enfants, encadrés par des parents bénévoles, emprunte à pied cette ligne. Dans le cas de Bessancourt, il existe3 lignes différentes[réf. nécessaire].
Depuis 1948, laMaison des jeunes et de la culture (MJC) fonctionne grâce aux efforts de bénévoles qui proposent les activités traditionnels d’une MJC (théâtre, peinture, céramique…) dans les sous-sols de la mairie jusqu’à ce que la MJC s’installe dans le parc Keller au début des années 1970 sous l’impulsion de son premier directeur rémunéré, Rafael Lopez. À force d’activités nouvelles et de travail, la MJC devient l’une des plus fréquentées du Val-d’Oise dans les années 1980, mais elle a été dissoute en 2003.[réf. nécessaire].
Le 28 juin 2013 est inauguré « L'Espace Marc-Steckar » (en présence du musicien, jazzman, du même nom, habitant Bessancourt) qui est le nouvel Espace Culturel de la ville. Il y accueille « L'École de Musique » de la ville, ainsi que des expositions d'arts plastiques. On y donne donc des cours de musique (avec violon, batterie, flûte, piano, guitare, basse, guitare électrique, solfège), ainsi que des cours de théâtre.
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En 2011, il existe deux pharmacies à Bessancourt, l’une près du quartier des Brosses et Malais sur l’avenue de la République et l’autre proche de l’école Saint-Exupéry et de la gare. On dénombre par ailleurs quatre médecins presque tous situés sur laRD 928 qui traverse la ville.
La ville possède un centre de secours principal ultra-moderne qui couvre les villes de Bessancourt et Frépillon en limite de Frépillon, ce centre remplace l'ancien centre de Bessancourt qui se situait au pied de l'église et qui sert maintenant au service technique municipal.
Pour l’anecdote, jusqu’en 1960 il existait une petite clinique près du croisement de l’avenue de Paris et de la rue de la Gare.
Centre communal d'action sociale (CCAS) : Le CCAS de Bessancourt est un établissement public communal doté de la personnalité morale et de l'autonomie budgétaire qui se situe non loin de l'église. Il intervient à deux titres : l'aide sociale légale et l'aide sociale facultative. En ce qui concerne l'aide sociale légale, il intervient dans les domaines suivants : l'instruction des demandes d'aide sociale pour le compte du conseil général, à savoir : les dossiers de l'allocation personnalisée d'autonomie, les dossiers de demande de compensation du handicap, d'aides sociales, les demandes de RSA, et les demandes de Fonds Solidarité Logement, impayés d'énergie, d'eau...
La ville dispose d'unepolice municipale disposant d'un local permettant d'accueillir le public dans la Grande-Rue et d’une caserne de pompiers en bordure de la commune de Frépillon et du complexe sportif des Marboulus au nord-ouest de la ville[réf. nécessaire].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].
En 2022, la commune comptait 8 521 habitants[Note 4], en évolution de +20,61 % par rapport à 2016 (Val-d'Oise : +4 %,France horsMayotte : +2,11 %).
L’agriculture maraîchère se trouva facilitée par l’arrivée massive de gadoue et des eaux usées de Paris qui servirent d’engrais pour fertiliser les sols, ce qui pose aujourd’hui de graves problèmes de pollution.
Destyle gothique, elle a été bâtie à partir de 1250 sous l'impulsion de l'abbesse de l'abbaye de Maubuisson en remplacement d'une chapelle remontant au moins auXIe siècle. Deplan cruciforme, c'est un édifice haut et élancé, se composant d'unenef avec deuxbas-côtés ; d'untransept saillant et d'unchœur auchevet polygonal. Le clocher qui se dresse sur la première travée du bas-côté nord fait partie intégrante de la façade occidentale et a été construit auXIVe siècle. L'étage supérieur est ajouré de deux baiesabat-son gémelées par face, entourées d'une riche ornementation, mais lescontreforts se terminent ensuite d'une manière abrupte au niveau de la gouttière du toit. Il n'y a pas deflèche, mais un simple toit à quatre versants couvert d'ardoise. Le portail occidental avec sa riche ornementationflamboyante ainsi que leremplage de la fenêtre haute en forme defleur de lys ne datent que duXIXe siècle, mais l'illusion de l'architecture duXVIe siècle est presque parfaite. Pendant cette période, la nef et le transept ont été retouchés dans le cadre des réparations à la suite des dégâts de laguerre de Cent Ans. Troisarcs-boutants dans la prolongation des contreforts consolident les façades nord et sud de la nef, qui possède des fenêtres hautes sur les deuxième et troisième travées seulement. Elles ont un remplage flamboyant, alors que les baies des bas-côtés sont desogives àlancette simple. La grande verrière de la façade ducroisillon sud du transept est particulièrement remarquable ; elle se compose de quatre hautes lancettes aux têtes tréflées surmontées d'une rose à quatre festons. Le chœur, sanscollatéraux, possède des baies de deux lancettes de la même hauteur. À l'intérieur, l'on peut remarquer deux particularités dans le vitrage engrisaille : la représentation, à genoux, de Robert de Berceucort,chanoine de Paris en 1270, et juste au-dessus, sur un panneau ajouté, également à genoux, d'une abbesse deMaubuisson de 1594 dont les armes seraient celles d'Angélique d'Estrées. Cette observation permet l'hypothèse que l'église n'aurait été achevée que vers la fin duXVe siècle[33].
On peut également signaler :
Monument aux martyrs de la Résistance et de la Déportation, face au cimetière.
L'eau de cette source provient du vallon du Haut-Tertre. La source se présentait initialement comme une petite mare, où les habitants amenaient s'abreuver le bétail. Ce n'est qu'en 1862 que la source est captée sous un petit édicule voûté[33].
Parti : au premier de gueules à la bande d'argent, accompagnée de six croisettes recroisetées au pied fiché d'or, ordonnées en orle trois en chef et trois en pointe, au second d'or à la croix de gueules cantonnée de seize alérions d'azur ordonnés 2 et 2 ; au chef aussi d'azur chargé de deux fleurs de lys d'or ; à la crosse d'or brochant sur le tout de la partition et du chef.
Collectif d’historiens,Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 2, Paris, Éditions Flohic,, 1054 p.(ISBN2-84234-056-6), « Bessancourt »,p. 839–844
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et406 communes de banlieue.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑« Bessancourt »,Simulateur Solidarité et renouvellement urbain (SRU), Ministère de la Transition écologique et de la cohésion des territoires,(consulté le).
↑Hippolyte Cocheris,Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par leCorpus Etampois.
↑« Val-d'Oise (95) - Bessancourt »,Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur(consulté le).
↑Clarisse Fabre, « Dans le Val-d'Oise, le maire de Bessancourt essaie de « rester écologiste » en freinant l'urbanisation »,Le Monde,(lire en ligne, consulté le)« Élu en 2001 à la tête d'une liste essentiellement associative, il espère développer sa ville de 7 500 habitants autrement qu'en bétonnant : alors qu'une partie du territoire est traversée par la « ceinture verte » d'Ile-de-France, la « plaine » est salie par une décharge sauvage. Sans compter le problème de pollution des eaux ».
↑« Val d'Oise : le coup de gueule du maire de Bessancourt contre les déchets sauvages : Une « opération coup de propre dans la plaine » a été organisée ce jeudi 10 mai par Jean-Christophe Poulet, excédé de voir sa commune de Bessancourt (95) devenir une décharge à ciel ouvert »,CNews (journal),(lire en ligne, consulté le).
↑Julien Ducouret, « À Bessancourt, Jean-Christophe Poulet réélu tranquillement »,La gazette du Val-d'Oise,(lire en ligne).
↑Daniel Chollet, « Val-d'Oise. Municipales 2020. Le maire (dvg) de Bessancourt, Jean-Christophe Poulet, en piste pour un dernier mandat : Jean-Christophe Poulet, maire (dvg) de Bessancourt (Val-d'Oise) depuis 2001, est candidat à un quatrième mandat. Ce sera son dernier, explique-t-i »,La Gazette du Val-d'Oise,(lire en ligne, consulté le)« Militant chez les Verts dès 1993, avant d’en prendre la tête sur le Val-d’Oise et de devenir le premier maire Verts d’Île-de-France en 2001, Jean-Christophe Poulet a ensuite rejoint Europe Écologie – Les Verts, puis le Front démocrate, qu’il a lancé avec Jean-Luc Bennahmias. Il a soutenu Emmanuel Macron en 2017 et certains le poussaient à être candidat aux législatives, mais c’est sans étiquette qu’il se présente à cette élection locale. ».
↑abc etdClaudeAdam, Jean-ClaudeCavard, AmélieMarty et LaureSchauinger, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Bessancourt »,Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions,vol. II,,p. 839-844(ISBN2-84234-056-6).