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Bernes

49° 54′ 35″ nord, 3° 05′ 58″ est
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirBernes (homonymie).

Page d’aide sur l’homonymie

Pour l’article ayant un titre homophone, voirBerne.

Bernes
Bernes
La mairie, avec le monument aux morts,
dans la cour.
Blason de Bernes
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionHauts-de-France
DépartementSomme
ArrondissementPéronne
IntercommunalitéCC de la Haute Somme
Maire
Mandat
Jean Trujillo
2020-2026
Code postal80240
Code commune80088
Démographie
GentiléBernois
Population
municipale
354 hab.(2022en évolution de +0,28 % par rapport à 2016)
Densité47 hab./km2
Géographie
Coordonnées49° 54′ 35″ nord, 3° 05′ 58″ est
AltitudeMin. 77 m
Max. 114 
m
Superficie7,61 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionSaint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Péronne
Législatives5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Bernes
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Bernes
Géolocalisation sur la carte :Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Bernes
Géolocalisation sur la carte :Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Bernes
Liens
Site webhttp://mairie-bernes.fr
modifier 

Bernes est unecommune française située dans ledépartement de laSomme, enrégionHauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Limitrophe du département de l'Aisne, ce village du Vermandois, tourné vers l'agriculture, est traversé par la route départementale 15 (RD 15).

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbainTrans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés (ligneno 49, Péronne - Roisel - Saint-Quentin)[1].

Le territoire s'étale sur un plateau argileux très favorable aux exploitations agricoles, entre les vallées de laCologne et de l'Omignon[2].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sontHancourt,Hervilly,Pœuilly,Roisel,Vendelles etVermand.

Carte
Les limites communales de Bernes et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes deBernes
RoiselHervilly
HancourtBernesVendelles(Aisne)
PœuillyVermand(Aisne)

Hydrographie

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La commune est située dans lebassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Bernes[Note 1].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat des Hauts-de-France etClimat de la Somme.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[3]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[4]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique[5] et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6]. Elle est en outre dans lazone H1a au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[7],[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,3 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 721 mm, avec11,1 jours de précipitations en janvier et9,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune d'Estrées-Mons à7 km àvol d'oiseau[9], est de11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[10],[11]. La température maximale relevée sur cette station est de41,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de−15,8 °C, atteinte le[Note 2].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Bernes est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12].Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d'occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (95,2 %), zones urbanisées (4,8 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Lieux-dits, hameaux et écarts

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Le hameau de Fléchin, composé de 2 fermes et d'une quinzaine de maisons, est situé à 1 km au sud sur la route dePœuilly.

  • Fléchin
  • Vue du hameau de Fléchin.
    Vue du hameau de Fléchin.
  • Entrée du hameau de Fléchin.
    Entrée du hameau de Fléchin.

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total delogements dans la commune était de 155, alors qu'il était de 152 en 2013 et de 133 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 86,5 % étaient desrésidences principales, 2,6 % des résidences secondaires et 11 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux desmaisons individuelles et pour 0 % desappartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bernes en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion derésidences secondaires et logements occasionnels (2,6 %) inférieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 92,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (91,5 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 % pour la France entière[I 3].

Le logement à Bernes en 2018.
TypologieBernes[I 2]Somme[I 4]France entière[I 5]
Résidences principales (en %)86,583,382,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)2,68,39,7
Logements vacants (en %)118,48,2

Toponymie

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Les noms deBagerna en 820, deBaierna en 1100 et celui deBaerne sont relevés au fil du temps[16].

Sa signification pourrait se rapprocher deBernil, avec le sens de fort, puissant à l'époque romane[16],[2].

Histoire

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Moyen Âge

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Mathieu de Béthencourt, chanoine de lacollégiale de Saint-Quentin, donne son fief seigneurial de Bernes au chapitre de son établissement religieux en 1204.

La famille primitive de Bernes en conserve la partie restante[16].

Le château se trouvait en face de l'église, il n'en subsiste que des traces de souterrains[16].

Temps modernes

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Carte de Cassini du secteur
(vers 1750).

Sur laCarte de Cassini ci-contre (vers 1750], les deux symboles situés à droite de Berne signifient que le village est une paroisse et qu'il possède un château. Au sud du village, il existait un moulin à vent en bois et deux hameauxFleschin comportant une ferme et une dizaine de maisons de nos jours etAix , hameau aujourd'hui disparu et dont la présence est rappelée sur le cadastre par "le Chemin d'Aix", la "Vallée d'Aix"", le "Fossé d'Aix'.'

Époque contemporaine

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En 1898, le village compte une sucrerie de moyenne importance, quelques ouvriers tissent encore la toile et le rideau[2].

  • Bernes au tout début duXXe siècle
  • La mairie et l'église vers 1914.
    La mairie et l'église vers 1914.

Première Guerre mondiale

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Comme d'autres villages de la région, Bernes est sorti meurtri de la Grande Guerre car le village a été entièrement rasé en 1917 par les Allemands. Des 23 communes qui composaient le canton de Roisel, seules 2 ont échappé à la destruction : Vraignes-en-Vermandois et Tincourt-Boucly qui ont servi à héberger la population évacuée des autres villages avant leur destruction[17].

Le 28 août 1914, soit moins d'un mois après la déclaration de guerre, l'armée française bat en retraite vers l'ouest et les Allemands arrivent à Bernes[18]. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en mars 1917. Le front se situant à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Péronne, l'activité des occupants consistait principalement à assurer le logement des combattants et l'approvisionnement en nourriture. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien. En février 1917, le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages seraient détruits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. Dès le 15 février les habitants furent évacués, emmenés à Vraignes. En mars 1917, avant le retrait des troupes allemandes sur laligne Hindenburg, le long du canal de Saint-Quentin, les maisons sont pillées et incendiées, le village est systématiquement détruit. L'église, la mairie, les écoles et toutes les maisons sont dynamitées et les arbres sciés à 1 m de hauteur[19].

Bernes, où près de 600 habitants vivaient paisiblement avant la guerre, est totalement détruit. L'église n'est plus qu'un amas de ruines; Les maisons, les granges ont été minées, dynamitées , incendiées. Près du cimetière civil,reposent plus de 250 soldats allemands[20]".

Le village, vidé de ses habitants, reste occupé par les Allemands ; il sera le théâtre de nombreux combats en mars-avril 1917. Les ruines du village seront plusieurs fois reprises par chaque camp et ce n'est qu'aux alentours du 10 septembre 1918, lors de labataille de la ligne Hindenburg que Bernes et Fléchin seront définitivement libérés par les britanniques[21].

Les habitants revinrent s'installer dans le village et alors démarra une phase de reconstruction, qui durera presque une décennie, menée par une coopérative de reconstruction, administrant la perception des droits de guerre. De 590 habitants avant la guerre en 1911, Bernes n'en comptait plus que 336 en 1921.
Les noms des 24 soldats bernois morts durant ce conflit figurent sur le monument aux morts[22].
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions[23], la commune s'est vu décerner laCroix de guerre 1914-1918 (France) le 27 octobre 1920[24].

  • Carte montrant l'étendue des destructions de Bernes
    Carte montrant l'étendue des destructions de Bernes
  • Carte postale du village détruit vers 1920.
    Carte postale du village détruit vers 1920.
  • Inauguration du Monument aux Morts de Bernes en présence notamment de la fanfare de Jeancourt à droite.
    Inauguration du Monument aux Morts de Bernes en présence notamment de la fanfare deJeancourt à droite.

Politique et administration

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Liste des maires

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L'articlehistoire des maires de France retrace l'évolution des modalités d'élection ou de nomination desmaires de la commune.
Liste des maires successifs[25]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Maires avant 1945
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
     
Les données manquantes sont à compléter.
18451848Alexis Thurotte  
18481857Jean-Baptiste Durosoy  
18571871Pierre Lenain  
18711888Léon Dehaussy  
18881904Clément Carpeza  
19041920Charles François  
19201940Gaston Boinet  
19401944Ciani Duflot  
19441945Gaston Boinet  
 
19451947Charles François  
19471954Maurice Isebe  
19541956Pierre Brugneaux  
19561968Georges Carpeza  
19681989Jean Carpeza  
19892005Robert Leroy  
20052008Daniel Canel  
mars 2008[26]en cours
(au 25 juillet 2020)
Jean Trujillo Vice-président de laCC de la Haute-Somme(2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[27]

Distinctions et labels

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La commune a été primée à plusieurs reprises[Quand ?] auconcours des villes et villages fleuris.

Équipements et services publics

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Enseignement

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Pour l'année scolaire 2016-2017, la commune gère une école maternelle et élémentaire de46 élèves, située en zone B[28].

Les communes deVillers-Faucon,Roisel et Bernes se sont organisées en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) pour la gestion de l'enseignement primaire local. À la rentrée de septembre 2019, l'école de Villers-Faucon n'accueille plus d'élèves[29].

En 2020, l'aspect financier est géré par le syndicat scolaire de la Haute Somme (Sisco) concernant huit communes : Bernes, Pœuilly, Hancourt, Hervilly-Montigny, Hesbécourt, Vraignes-en-Vermandois, Villers-Faucon et Roisel. Le syndicat a la responsabilité de deux sites, avec deux classes maternelles à Bernes, et surtout neuf classes à Roisel, trois en maternelle et six en primaire[30].

Population et société

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Démographie

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Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2022, la commune comptait 354 habitants[Note 4], en évolution de +0,28 % par rapport à 2016 (Somme : −1,26 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
688589651668670686683691703
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
707691712709735680640586598
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
614665590336356363375318338
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620082013
315321277306349331302294346
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20182022-------
352354-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puisInsee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Martin. L'église primitive se trouvait dans le cimetière. Elle a été détruite en 1917 et reconstruite à l'identique après les hostilités, dans le centre du village[35].
  • La Vierge du souvenir. À la mémoire de deux habitants du village[36].
  • Monument aux morts. Il se trouve devant la mairie, dans la cour qui, fermée par une grille, est aussi la cour de récréation de l'école.
  • Vue du village depuis la route de Vendelles.
    Vue du village depuis la route de Vendelles.
  • Entrée du village.
    Entrée du village.
  • L'église Saint-Martin.
    L'église Saint-Martin.
  • La mairie.
    La mairie.
  • Le monument aux morts.
    Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Pour un article plus général, voirArmorial des communes de la Somme.

Sarbazan
Blason de SarbazanBlason
D'azur à la tête delion d'or, arrachée degueules[37].
Détails
La commune ne porte, ni n'a porté officiellement ces armes, qui ne sont pas davantage celles d'une famille suzeraine du lieu. Mais elles sont avérées par l'usage, et conservent le mystère de leurs origines.

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Échos de Bernes, bulletin municipal, Jean-Paul Prévot, conseiller municipal.
  • Ech'Bernois, gazette municipale (remplaçant Les Echos de Bernes depuis décembre 2020), commission communication, mairie de Bernes.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

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  1. « Réseau hydrographique de Bernes » surGéoportail(consulté le 25 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a etbInsee, « Métadonnées de la commune de Bernes ».
  2. ab etc« Chiffres-clés - Logement en 2018 à Bernes - Section LOG T2 »(consulté le).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Bernes - Section LOG T7 »(consulté le).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Somme - Section LOG T2 »(consulté le).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 »(consulté le).

Autres sources

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  1. « Les horaires des lignes » Lignes du réseau Trans'80 », surtrans80.hautsdefrance.fr).
  2. ab etcNotice historique et géographique réalisée par l'instituteur, M. Brieux, 1898, Archives départementales de la Somme, Amiens.Lire la notice en ligne sur le site des archives départementales.
  3. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  4. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  5. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  7. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le).
  8. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  9. « Orthodromie entre Bernes et Estrées-Mons », surfr.distance.to(consulté le).
  10. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra », sur la commune d'Estrées-Mons - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le).
  11. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra », sur la commune d'Estrées-Mons - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  12. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », surle site de l'Insee(consulté le).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  16. abc etdSite communal.
  17. « La guerre en 1917 : les crimes allemands : dans la Picardie dévastée / Maurice Thiéry ; préface de S. Pichon,... », surGallica,(consulté le).
  18. (en) « Cartographie 1914-1918 - Carte des positions au 28 aout 1914 », surcarto1418.fr(consulté le).
  19. « Carte des positions 16 mars 1917 », surcarto1418.fr(consulté le).
  20. « La Somme sous l'occupation allemande, 27 août 1914-19 mars 1917 / abbé Charles Calippe ; préface de S. G. Mgr de La Villerabel,... », surGallica,(consulté le).
  21. « Le Populaire : journal-revue hebdomadaire de propagande socialiste et internationaliste ["puis" socialiste-internationaliste] », surGallica,(consulté le).
  22. « Rechercher dans le fonds iconographique - Geneanet », surgeneanet.org(consulté le).
  23. « Carte spéciale des régions dévastées. 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest] / [Service géographique de l'armée] », surGallica,(consulté le).
  24. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  25. « Les différents Maires qui ont administré la commune de Bernes depuis 1845 à aujourd'hui »,Mairie, surbernes-80.fr(consulté le).
  26. « Liste des maires de la Somme », sursomme.pref.gouv.fr,(consulté le).
  27. « Bernes:3e mandat pour Jean Trujillo »,Le Courrier picard,‎(lire en ligne, consulté le)« Élu au sein d'une équipe renouvelée à 50 % avec cinq nouvelles têtes, Jean Trujillo débute un 3e mandat ».
  28. L'école sur le site de l'Éducation nationale.
  29. Gaël Rivallain, Anne Kanaan, « Une ultime classe sauvée : L'académie est revenue mardi sur la suppression à Bouchoir, de nouveaux postes sont prévus à Abbeville. »,Courrier picard, éditiion Picardie maritime,‎,p. 11.
  30. « Roisel claque la porte du syndicat scolaire »,Courrier pixcard,‎,p. 20.
  31. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  35. Des éléments Art Déco dans l'église.
  36. André Guerville,Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart,coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p.,p. 259.
  37. « L'Armorial des Villes et des Villages de France - Bernes, Somme ».
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