Pour les articles homonymes, voirPons.
| Bernard Pons | |
Bernard Pons en 1969. | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Député français | |
| – (5 ans et 6 jours) | |
| Élection | 25 mai 1997 |
| Circonscription | 16e de Paris |
| Législature | XIe(Cinquième République) |
| Groupe politique | RPR |
| Prédécesseur | Pierre Rémond |
| Successeur | Françoise de Panafieu |
| – (6 ans, 11 mois et 26 jours) | |
| Élection | 5 juin 1988 |
| Réélection | 21 mars 1993 |
| Circonscription | 16e de Paris |
| Législature | IXe etXe(Cinquième République) |
| Groupe politique | RPR |
| Prédécesseur | Proportionnelle par département |
| Successeur | Pierre Rémond son suppléant |
| – (4 ans et 9 mois) | |
| Élection | 14 juin 1981 |
| Réélection | 16 mars 1986 |
| Circonscription | 22e de Paris(1981-1986) Paris(1986) |
| Législature | VIIe etVIIIe(Cinquième République) |
| Groupe politique | RPR |
| Prédécesseur | Maurice Druon |
| Successeur | René Béguet |
| – (3 ans, 1 mois et 19 jours) | |
| Élection | 19 mars 1978 |
| Circonscription | 2e de l'Essonne |
| Législature | VIe(Cinquième République) |
| Groupe politique | RPR |
| Prédécesseur | Michel Boscher |
| Successeur | Jacques Guyard |
| – (5 ans) | |
| Élection | 11 mars 1973 |
| Circonscription | 2e du Lot |
| Législature | Ve(Cinquième République) |
| Groupe politique | UDR(1973-1976) RPR(1976-1978) |
| Prédécesseur | Guy Murat |
| Successeur | Martin Malvy |
| – (2 ans, 3 mois et 19 jours) | |
| Élection | 12 mars 1967 |
| Réélection | 30 juin 1968 |
| Circonscription | 2e du Lot |
| Législature | IIIe etIVe(Cinquième République) |
| Groupe politique | UD-Ve(1967-1968) UDR(1968-1969) |
| Prédécesseur | Georges Juskiewenski |
| Successeur | Guy Murat |
| Ministre de l'Équipement, duLogement, desTransports, et duTourisme | |
| – (2 ans et 15 jours) | |
| Président | Jacques Chirac |
| Gouvernement | Juppé I etII |
| Prédécesseur | Bernard Bosson |
| Successeur | Jean-Claude Gayssot |
| Président dugroupe RPR à l'Assemblée nationale | |
| – (6 ans, 11 mois et 28 jours) | |
| Prédécesseur | Pierre Messmer |
| Successeur | Michel Péricard |
| Ministre desDépartements et territoires d'outre-mer | |
| – (2 ans, 1 mois et 19 jours) | |
| Président | François Mitterrand |
| Gouvernement | Chirac II |
| Prédécesseur | Georges Lemoine |
| Successeur | Olivier Stirn |
| Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Agriculture | |
| – (3 ans, 9 mois et 6 jours) | |
| Président | Georges Pompidou |
| Gouvernement | Chaban-Delmas Messmer I |
| Biographie | |
| Nom de naissance | Bernard Claude Pons |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Béziers (France) |
| Date de décès | (à 95 ans) |
| Lieu de décès | Aigues-Mortes (France) |
| Nationalité | Française |
| Parti politique | UNR(1967) UD-Ve(1967-1968) UDR(1968-1976) RPR(1976-2002) UMP(2002-2008) |
| Diplômé de | Faculté de médecine de Montpellier |
| Profession | Médecin généraliste |
| modifier | |
Bernard Pons, né le àBéziers (Hérault) et mort le àAigues-Mortes (Gard), est unhomme politiquefrançais.
Membre successivement de l’Union des démocrates pour la République (UDR) et duRassemblement pour la République (RPR), il occupa plusieurs fois les fonctions desecrétaire d'État etministre et les mandats dedéputé dans leLot, l’Essonne et àParis,conseiller général ducanton de Cajarc etconseiller de Paris. Il est également secrétaire général du RPR de 1979 à 1984.
Bernard Claude Pons est né le àBéziers dans l’Hérault[1],[2]. Son père, Claude Pons, était agrégé d'espagnol et censeur puis proviseur de divers lycées, dont lelycée Henri-IV (Béziers) et ensuite lelycée Thiers de Marseille.
Il a quatre filles avec sa femme qu'il a connue lorsqu'il était étudiant à Montpellier, dont Isabelle Secrétan, femme politique[3], et Frédérique Pons, avocate[4].
Bernard Pons est élève aulycée Thiers lorsque son père y est proviseur[5]. Engagé volontaire en mars 1944 dans lesFFI, il a été dans la résistance et pris le maquis dans lesFTPF deLauzès (Lot).
Élève de première au lycée deCahors en 1944, il a suivi en mars 1944 ses frères Jacques et André, plus âgés que lui et réfractaires au STO (Service du travail obligatoire) pour s’engager avec eux dans laRésistance. Ils ont intégré tous les trois le maquis FTP du causse de Lauzès dans le Lot[6], sous les ordres du capitaine François (André du Bois de Gaudusson) puis après la libération de Cahors, le 17 août 1944, ont été regroupés avec d’autres maquis, au camp Saint-Georges à Cahors puis transférés à lacaserne Niel, à Toulouse avant, pour Jacques et André, d’être envoyés à lapointe de Grave.
Bernard Pons a été hospitalisé fin août 1944 à l’hôpital militaire Larrey àToulouse puis démobilisé. Il a repris ses études le 2 octobre 1944 comme pensionnaire élève de première au collège de Revel, Haute-Garonne. En février 1945, il a été admis au titre de résistant à se présenter au lycée d'Albi à la première partie du baccalauréat en « session spéciale » réservée aux anciens résistants ayant arrêté leurs études. Après avoir obtenu la première partie du baccalauréat, il est entré en classe de philo au lycée de Tarbes et a présenté avec succès la deuxième partie à la fin de l’année scolaire. En novembre 1945, il intégrait la faculté des sciences de Toulouse pour préparer sonPCB. En 1946, il entrait en première année de médecine à lafaculté de médecine de Montpellier.
Étudiant à Montpellier, il a été un an président de l'Association générale des étudiants de Montpellier (Agem), puis vice-président de l'UNEF[7],[8]. Il a passé sa thèse de docteur en médecine en 1952, puis s’est installé comme médecin généraliste dans le Lot. En 1965, il a été élu adjoint au maire de Cahors (Lucien Bénac) et en 1967 député de la2e circonscription du Lot[6] (Figeac) puis quelques mois plus tard conseiller général de Cajarc.
Bernard Pons estmédecin généraliste dans le département duLot de 1952 à 1967.
Proche du Premier ministreGeorges Pompidou, un tempsconseiller municipal deCajarc, Bernard Pons s’engage en politique en1967 en devenantdéputé de la2e circonscription duLot (Figeac -Souillac) etconseiller général ducanton de Cajarc. Il est avecJacques Chirac l'un des deux « jeunes loups » élus dans le Centre-ouest à cette occasion ; ils deviennent amis[6].
Il est nommé en juin1969secrétaire d'État à l’Agriculture dans legouvernement Chaban-Delmas, puis reconduit dans ces mêmes fonctions dans lepremier gouvernement Messmer de juillet1972 à avril1973, alors que Chirac est son ministère de tutelle[6].
Réélu en 1968 et 1973 député du Lot, il défend le projet deloi Veil sur l’interruption volontaire de grossesse.
C'est à Souillac, qu'Alain Chastagnol a commencé sa carrière politique en 1977, pour ravir à 32 ans la mairie jusqu'alors communiste, qui comptait parmi ses conseillers d'opposition Bernard Pons, alors secrétaire d'État à l'Agriculture et qui avait appuyé la création du lycée hôtelier[9].
Fidèle deJacques Chirac, il participe à la fondation duRPR et en devient le secrétaire général entre1979 et1984[6]. Député de l’Essonne en1978, il se fait élire àParis comme député en juin1981 etconseiller de Paris en mars1983. Lorsque Jacques Chirac devientPremier ministre, il confie à Bernard Pons le ministère desDépartements et Territoires d’Outre-Mer. Il attache alors son nom à la loi pour encourager l’investissement dans les DOM-TOM en1986. Il est chargé par le ministre de l'IntérieurCharles Pasqua de la redéfinition des circonscriptions électorales des DOM-TOM cette même année[10].
Il est envoyé àNouméa pour gérer laprise d’otages de la grotte d’Ouvéa. Le journal d'investigationMediapart le considère comme l'incarnation de la « raison d’État » et du « mensonge officiel » qui ont à l'époque couvert « tortures, atrocités et sévices » et assassinats commis par leGIGN en mai 1988, actes que le journal qualifie de « crime d'État »[11].
Jacques Chirac éluprésident de la République en mai1995, Bernard Pons intègre legouvernement Juppé comme ministre de l’Aménagement du Territoire, de l’Équipement et des Transports, puis de l’Équipement, du Logement, des Transports et du Tourisme.
Il est le seul député dedroite élu au premier tour deslégislatives de 1997, après l’échec de la majorité sortante.
Il se retire de la vie politique nationale en2002 à la suite de la candidature dissidente dans sa circonscription (la16e de Paris) deFrançoise de Panafieu, députée sortanteRPR de la moitié nord du17e arrondissement de Paris (17e circonscription) et menacée de ne pas être réélue (le candidatPatrick Stefanini sera d'ailleurs battu en deux temps par lasocialisteAnnick Lepetit), et qui le devance au premier tour (40 % pour elle contre 20 % pour lui). Françoise de Panafieu est élue[6].
Il demeure conseillerUMP de Paris jusqu'en2008.
Il est le président-fondateur de l’Association des Amis de Jacques Chirac fondée le 18 juin 1988[12],[13].
En 2010, il s'installe àAigues-Mortes, auprès de sa fille Isabelle Secrétan[14].
En 2011, il sort momentanément de sa retraite politique pour exprimer« son indignation »[15] dans les médias du traitement non véridique selon lui du réalisateurMathieu Kassovitz dans son filmL'Ordre et la Morale, qui narre les événements tragiques de la grotte d'Ouvéa.
Il fut éludéputé européen lors desélections européennes de 1984 mais abandonna son poste en avril1985. Le suivant de liste,Alain Marleix, reprend son poste.
Bernard Pons fut nommésecrétaire d'État auprès duministre de l’Agriculture le, auprès deJacques Duhamel puis deMichel Cointat, dans legouvernement Chaban-Delmas. Il fut confirmé dans ces fonctions dans legouvernement Messmer le jusqu’au[16].
À la suite de la victoire de la droite aux législatives de 1986, Bernard Pons est nomméministre desDépartements et Territoires d’Outre-Mer le dans legouvernement Chirac et occupe sa fonction jusqu'au 10 mai 1988, date de la réélection du présidentFrançois Mitterrand[16]. Il conteste le « statut Pisani-Fabius » voté en 1985 qui créait notamment unconseil exécutif de Nouvelle-Calédonie et prévoyait un référendum d’autodétermination en 1987. Il affirme dans un discours au Sénat qu'« il n’y a pas de peuple Kanak » et que « la notion de peuple Kanak est un sous-produit de la dialectique marxiste et de l’idéologie tiers-mondiste », ce qui contribue à faire montée les tensions[17]. Bernard Pons fut envoyé àNouméa le 25 avril 1986 pour « régler » laprise d’otages de la grotte d’Ouvéa[18]. Dès son arrivée sur l'île, il déclare : « Je ne tiendrai absolument pas compte des revendications de terroristes et de criminels ». Le 5 mai, refusant de négocier, le gouvernement ordonne l’assaut contre la grotte où sont retenus les otages ; dix-neuf indépendantistes et deux gendarmes sont tués[17].
Il fait passer la première loi de défiscalisation dédiée à l'outre-mer. À l'origine de détournements, elle est abrogée en 2000[6].
Bernard Pons est nommé ministre del’Aménagement du territoire,de l’Équipement etdes Transports le dans legouvernement Juppé[19]. Il conserve ses fonctions avec les attributions de ministre de l’Équipement, du Logement, des Transports et du Tourisme à partir du dans lesecond gouvernement Juppé[20] jusqu’au[16].
Au cours de cette période, il signa les décrets de concession à laCofiroute fixant les conditions financières et industrielles de réalisation des autoroutesA28 entreAlençon etTours,A85 entre Tours etVierzon et le duduplex A86[21] et renouvela les concessions de lasociété des Autoroutes Rhône-Alpes, de lasociété des autoroutes du Nord et de l'Est de la France, de lasociété des autoroutes Paris-Normandie[22] et desautoroutes Paris-Rhin-Rhône[23]. Il participa à la convention bilatéralefranco-italienne pour la réalisation de laligne ferroviaire à grande vitesse Lyon-Turin[24] et à la convention franco-espagnole pour la réalisation de laligne de Perpignan à Figueras[25]. Il négocia l'accord entre la France et laBulgarie sur les transports routiers[26]. Le 15 juillet 1996, Bernard Pons, ministre de l’Équipement, annonce à la presse qu’il vient d’entériner la décision du jury présidé parChristian Leyrit, directeur des routes, qui a choisi pour la construction duviaduc de Millau le projet à piles multi haubanées de Sogelec et du cabinet d’architectesNorman Foster and Partner.
Bernard Pons fut élu ledéputé de ladeuxième circonscription du Lot pour laIIIe législature[27], il fut réélu le pour laIVe législature et conserva son mandat jusqu’à sa nomination au gouvernement le[28]. Il fut réélu le pour laVe législature[29]. Lors de cette mandature, il a défendu à l'Assemblée nationale le texte visant à légaliser l'IVG en prononçant le discours suivant : « Je suis confronté quotidiennement au drame de l'avortement » ; il y dénonçait également « l'archaïsme de l'ordre des médecins créé par Pétain, l'ordre des médecins est une chapelle et un clergé qui n'a plus de fidèles, 1 000 femmes par jour se font avorter, sur ces 1000 une femme en meurt, depuis que le garde des SceauxTaittinger a présenté son projet de loi, 349 jours se sont écoulés 349 femmes sont mortes, comment réagiriez vous si une de ces femmes mortes vous touchait de près ? ».
Bernard Pons fut élu député de ladeuxième circonscription de l’Essonne le pour laVIe législature et conserva son siège jusqu’au[30].
Bernard Pons fut élu député de lavingt-deuxième circonscription de Paris le pour laVIIe législature[31], il fut réélu le pour laVIIIe législature et conserva son mandat jusqu’à sa démission le à la suite de sa nomination au gouvernement[32].
Bernard Pons fut élu député de la nouvelleseizième circonscription de Paris le pour laIXe législature[33], il fut réélu le pour laXe législature[34] puis le pour laXIe législature jusqu’au.
À l'Assemblée nationale, il était membre de lacommission des Affaires culturelles, familiales et sociales de1988 à 1993, de lacommission de la Défense nationale et des Forces armées de 1993 à 1995, de lacommission des Lois constitutionnelles, de la Législation et de l'Administration générale de la République en1992 et de lacommission de la production et des échanges[16]. En décembre1990, il participa à la saisine duConseil constitutionnel concernant la loi de finances pour 1991[35]. En avril1991, il fit partie des parlementaires qui saisirent le Conseil constitutionnel concernant la loi portant statut de laCollectivité territoriale de Corse[36]. En décembre1997, il faisait partie des parlementaires qui saisirent le Conseil constitutionnel concernant laloi de financement de la sécurité sociale[37] et laloi de finances pour1998[38]. En juillet1998, il participa à la saisine du Conseil constitutionnel concernant la loi d’orientation relative à la lutte contre les exclusions[39]. En décembre1998, il participa à la saisine du Conseil constitutionnel concernant la loi de financement de la sécurité sociale[40] et la loi de finances pour1999[41]. En octobre 1999, il saisit le même conseil concernant la loi relative auPacte civil de solidarité[42]. En décembre 1999, il participa à la saisine concernant la loi de finance de la sécurité sociale[43] et la loi de finances pour 2000[44] et à laloi relative à la réduction négociée du temps de travail[45]. En novembre 2000, il saisit le conseil constitutionnel concernant laloi relative à la solidarité et au renouvellement urbains[46] et en décembre 2000 concernant les la loi de financement de la sécurité sociale[47] et la loi de finances pour 2001[48]. Il participa en2001 à la saisine concernant la loi de finances pour 2002[49] et concernant laloi de modernisation sociale[50].
Bernard Pons fut de 1988 à 1995 président dugroupe parlementaire duRassemblement pour la République à l’Assemblée nationale[6],[51].
Bernard Pons fut éluconseiller général ducanton de Cajarc le, puis réélu en1973 jusqu’en 1978, après avoir démissionné pour se présenter aux élections législatives dans l'Essonne.
Bernard Pons fut éluconseiller de Paris le puis en1989,1995 et2001 jusqu’au.
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