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Bernard Drainville

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Pour les articles homonymes, voirDrainville.

Bernard Drainville
Illustration.
Bernard Drainville en 2024.
Fonctions
Ministre de l'Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs
En fonction depuis le
(2 mois et 15 jours)
Premier ministreFrançois Legault
GouvernementLegault
PrédécesseurBenoit Charette
Ministre responsable de la Stratégie maritime
En fonction depuis le
(2 mois et 15 jours)
Premier ministreFrançois Legault
GouvernementLegault
PrédécesseurPoste crée
Ministre responsable de la région de laChaudière-Appalaches
En fonction depuis le
(3 ans, 1 mois et 5 jours)
Premier ministreFrançois Legault
GouvernementLegault
PrédécesseurAndré Lamontagne
Député à l'Assemblée nationale du Québec
En fonction depuis le
(3 ans, 1 mois et 22 jours)
Élection3 octobre 2022
CirconscriptionLévis
Législature43e
Groupe politiqueCoalition avenir Québec
PrédécesseurFrançois Paradis

(9 ans, 2 mois et 19 jours)
Élection26 mars 2007
Réélection8 décembre 2008
4 septembre 2012
7 avril 2014
CirconscriptionMarie-Victorin
Législature38e,39e,40e et41e
Groupe politiqueParti québécois
PrédécesseurCécile Vermette
SuccesseurCatherine Fournier
Ministre de l'Éducation

(2 ans, 10 mois et 21 jours)
Premier ministreFrançois Legault
GouvernementLegault
PrédécesseurJean-François Roberge
SuccesseurSonia LeBel
Ministre québécois responsable des Institutions démocratiques et de la Participation citoyenne

(1 an, 7 mois et 4 jours)
Premier ministrePauline Marois
GouvernementMarois
PrédécesseurPierre Moreau (Réforme des institutions démocratiques)
SuccesseurJean-Marc Fournier (Réforme des institutions démocratiques)
Biographie
Date de naissance(62 ans)
Lieu de naissanceLa Visitation-de-l'Île-Dupas (Québec,Canada)
NationalitéCanadienne
Parti politiqueCoalition avenir Québec(depuis 2022)
Parti québécois(2007 à 2022)
Diplômé deUniversité d'Ottawa
London School of Economics
ProfessionJournaliste
Animateur de radio
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Bernard Drainville, né le àLa Visitation-de-l'Île-Dupas, est unjournaliste,animateur de radio ethomme politiquequébécois.

Entre 1989 et 2007, il mène une carrière journalistique auprès de laSociété Radio-Canada où il occupe les rôles de correspondant international et parlementaire ainsi que d'animateur d'émissions d'affaires publiques. Il fait ensuite le saut en politique avec leParti québécois auxélections générales de 2007. Il siège commedéputé deMarie-Victorin à l'Assemblée nationale jusqu'en 2016. Ministre dans legouvernement Marois, il est le défendeur de la controverséeCharte des valeurs québécoises. Il démissionne en 2016 pour deveniranimateur de radio, avant d'annoncer son retour en politique dans le cadre desélections de 2022 sous la bannière de laCoalition avenir Québec lorsqu'il est élu député deLévis. Il obtient le poste deministre de l'Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs en 2025.

Biographie

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Jeunesse et études

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Né le àLa Visitation-de-l'Île-Dupas[1], entreBerthierville etSorel-Tracy, Bernard Drainville obtient, après ses études secondaires au Collège Champagneur de Rawdon (Clercs de St-Viateur), un baccalauréat ensciences politiques à l'Université d'Ottawa, puis sa maîtrise enrelations internationales à laLondon School of Economics en 1988. La même année, il reçoit une bourse du Commonwealth.

Carrière journalistique

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Il entreprend sa carrière de journaliste àRadio-Canada en 1989 à la radio deWindsor. Il intègre l'équipe du journal télévisé régional de Montréal, pour qui il couvre la scène politique municipale. La qualité de son travail lui mérite leprix Judith-Jasmin en 1997 après qu'il a révélé le financement irrégulier de la formation politique du maire deMontréal,Pierre Bourque[2]. Il devient ensuite correspondant parlementaire de Radio-Canada àOttawa, où il couvre le gouvernement deJean Chrétien. Il accompagne lepremier ministre canadien dans plusieurs périples à l'étranger[2].

En 2001, il devient le correspondant de Radio-Canada enAmérique latine. Basé à Mexico, il interviewe les présidentsEfraín Ríos Montt (Guatemala),Hugo Chávez (Venezuela) etEnrique Bolanos (Nicaragua)[2]. Il constate aussi la pauvreté et l'oppression quotidienne, qu'il présente en ondes aux téléspectateurs. À titre dejournaliste, sa sécurité est menacée à quelques reprises. À une occasion, il est arrêté par des policiers mexicains corrompus et pris à partie par une foule hostile. Il est finalement relâché après une intervention du bureau de la présidence mexicaine[3].

Il se rend enColombie pour rapporter les faits sur lemassacre de Bojayá (en) en 2002. Lors de ce voyage, un guide-interprète le mène à un village contrôlé par lesFARC qui vont le détenir avant de le relâcher avec son équipe. Il se rendra également dans la région deMedellin interviewer des combattants paramilitaires membres desAUC.

En raison de restrictions budgétaires au service de l'information, il est rapatrié à Montréal. On lui confie l'émission quotidiennela Part des choses auRéseau de l'information (RDI), en remplacement de l'émission dePierre Maisonneuve. Dans ce rendez-vous, il reçoit des acteurs de l'actualité qu'il interroge sans complaisance; en plus de donner la parole à ses téléspectateurs.

En, il critique publiquement, en compagnie de ses collèguesPaule Robitaille etJean-Michel Leprince, la décision de Radio-Canada de fermer le bureau de Mexico, une décision qui privera le public d'une information sur« la plus grande partie du continent, notre continent, largement négligé de tous les médias du monde occidental. »[4]. En2005, il anime le débat des chefs entre les candidats à la mairie deMontréal,Gérald Tremblay etPierre Bourque.

Carrière politique

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Annonce et réactions à sa candidature

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Le, six mois à peine après sa nomination à titre de chef du bureau de Radio-Canada à l'Assemblée nationale du Québec, Bernard Drainville annonce qu'il met sa carrière journalistique enhiatus et demande un congé sans solde de Radio-Canada pour entreprendre une carrière politique sous la bannière duParti québécois.

Lors de la conférence de presse qui suivit sa décision de se présenter dans la circonscription deMarie-Victorin àLongueuil, il confirme avoir été approché par l'ancien premier ministreJacques Parizeau.

Certains médias et commentateurs politiques souligneront la possibilité d'un manque à l'éthique journalistique étant donné qu'il aurait fait un certain nombre d'entrevues avec d'autres partis politiques peu avant sa décision. En outre, quelques jours avant d'annoncer sa candidature auParti québécois, il recevait en entrevue le chef de ce parti,André Boisclair[5]. Toutefois, il se défendra, durant une conférence de presse, d'avoir fait objectivement son métier et d'avoir pris la décision de se porter candidat à la suite d'une seconde offre survenue après l'entrevue avecAndré Boisclair.

Pour plusieurs[6],[7], il s'agit d'une tempête dans un verre d'eau puisque la colère entourant sa candidature est perçue davantage comme une certaine jalousie de la part des adversaires politiques plutôt qu'un réel manque à l'éthique.

Début de mandat et crise au Parti québécois

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Bernard Drainville en 2010.

Il est élu député à l'élection générale du 26 mars 2007.

Même s'il est à ses premières heures en politique, Drainville a été évoqué comme une possible solution de rechange àAndré Boisclair[8]. Toutefois, après la démission de Boisclair, le, Bernard Drainville ne tarde pas à appuyer la candidature dePauline Marois lors decette course à la direction.

Au début de l'été 2011, après la crise qui éclate au sein duParti québécois et qui voit quatre députés (Pierre Curzi,Lisette Lapointe,Louise Beaudoin etJean-Martin Aussant) démissionner du caucus, le nom de Bernard Drainville circule parmi les candidats putatifs pour remplacer Pauline Marois, dont le leadership sort très affaibli par cette crise.

Quelques semaines plus tard, il annonce sur son site Web qu'il lance une consultation citoyenne pour rapprocher son parti des Québécois. Selon lui, « le PQ doit changer ou mourir ». Le, les résultats de cette consultation sont publiés sur son site Web, sous le titre « 10 idées pour redonner confiance aux citoyens »[9]. Depuis ce temps, Bernard Drainville s'est fait le porte-parole d'une grande réforme démocratique, conditionsine qua non, selon lui, pour que les Québécois reprennent confiance dans la politique.

À l'automne 2011, la crise s'est accentuée au sein du Parti québécois. Le leadership de Pauline Marois étant d'autant plus fragile, le nom de Bernard Drainville a abondamment circulé dans les médias comme futur candidat à la chefferie du PQ.

Ministre responsable des Institutions démocratiques et de la Participation citoyenne

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Bernard Drainville participe à une rencontre avec des citoyens de Québec, en mai 2013.

Réélu pour un troisième mandat lors de l'élection générale du 4 septembre 2012, Bernard Drainville est nommé ministre responsable des Institutions démocratiques et de la Participation citoyenne et président du Comité sur l'identité dans legouvernement de Pauline Marois. Dans les mois qui suivent son assermentation, il dépose trois projets de loi visant à rétablir le lien de confiance entre la population québécoise et la classe politique. Ces réformes se retrouvent dans le texte « 10 idées pour redonner confiance aux citoyens », publié en août 2011 à la suite de la consultation citoyenne qu'il avait engagée[9].

Dès le début des travaux de la40e législature, Drainville dépose le projet de loi 2, modifiant laLoi électorale afin de réduire la limite des contributions par électeur, de diminuer le plafond des dépenses électorales et de rehausser le financement public des partis politiques du Québec[10] est venu changer de façon importante le financement politique au Québec. En adoptant un financement essentiellement public, le gouvernement duParti québécois a voulu mettre un terme au stratagème des prête-noms qui avait pour but de contourner la Loi deRené Lévesque sur le financement des partis politiques adoptée en 1977[11], ainsi qu’à l’influence des collecteurs de fonds sur le système démocratique[12]. Bien que ce nouveau modèle de financement des partis politiques soit essentiellement public, il demeure permis pour un électeur de contribuer à hauteur de 100 $ à la caisse d’un parti politique québécois[13]. Le projet de loi est adopté à l'unanimité le 6 décembre 2012[10].

Le ministre dépose également le projet de Loi 3, qui prévoit la tenue des prochaines élections québécoises à date fixe[14]. En mettant de l’avant cette réforme majeure des institutions démocratiques, Bernard Drainville a indiqué à plusieurs occasions vouloir mettre fin au pouvoir arbitraire du premier ministre de décider de la date des élections, question de «redonner au peuple l’appel aux urnes»[15]. Le projet de Loi 3 est adopté à l'unanimité par l'Assemblée nationale le 14 juin 2013[16].

Enfin, considérant que le niveau de participation au processus électoral des jeunes de 18 à 25 ans est des plus préoccupantes étant donné le plus faible taux de participation de ce groupe[17],[18], Drainville dépose le projet de loi 13 afin d'accroître la participation démocratique des jeunes Québécois[19]. En permettant aux étudiants descégeps, desuniversités et des centres de formation professionnelle de voter directement sur leur campus, le gouvernement du Parti québécois espère favoriser de façon significative de taux de participation électorale des jeunes. On estime à plus de 450 000, le nombre de jeunes Québécois qui pourront se prévaloir de cette nouvelle possibilité lors de la prochaine élection générale[20]. Le projet de loi a été adopté à l'unanimité le 23 avril 2013[19].

Charte des valeurs québécoises

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Article détaillé :Charte des valeurs québécoises.
Discours de Bernard Drainville en 2013.

À l'automne 2013, Bernard Drainville est chargé par la première ministre de piloter un projet de Loi sur la laïcité de l’État et sur l’encadrement des demandes d’accommodements religieux, conformément aux engagements électoraux du Parti québécois[21]. Le, il dépose les propositions gouvernementales en matière de neutralité religieuse de l’État et d’encadrement des accommodements religieux[22]. Il lance une vaste campagne de consultation sur les propositions gouvernementales par le biais d'Internet[23] à laquelle participent plus de 26 000 citoyens. Parmi les personnes qui ont communiqué leur avis dans le cadre de l'appel à commentaires, 47 % se sont prononcés en faveur du projet sans modification, alors que 21 % ont suggéré des changements au projet initial du gouvernement[24],[25].

Le, Drainville dépose le projet de loi 60. IntituléCharte affirmant les valeurs de laïcité et de neutralité religieuse de l’État ainsi que d’égalité entre les femmes et les hommes et encadrant les demandes d’accommodement[10], le projet de loi est conforme aux orientations du gouvernement. Il prévoit en outre que tous les organismes publics québécois devront faire preuve de neutralité en matière religieuse et refléter le caractère laïque de l'État. Il interdit notamment aux employés de l'État de porter tout « objet marquant ostensiblement une appartenance religieuse » et précise un cadre d'analyse pour juger des demandes d’accommodements religieux[26].

Drainville est réélu lors desélections générales québécoises de 2014. Dans l'opposition officielle, il occupe le poste de porte-parole en ressources naturelles et de développement nordique[27], et celui de critique en matière d'éthique et d'intégrité[28] . Il a participé à lacourse à la direction du Parti québécois de 2015, s'est qualifié en signatures et en argent, puis s'est désisté le. Le, peu après le début de lacourse à la direction du Parti québécois de 2016, il remet sa démission en tant que député et devient coanimateur de radio[29].

Un intermède de six ans à la radio

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Le, on annonce que Bernard Drainville amorce une nouvelle carrière d'animateur radio[30]. Dès le, Drainville se joint àÉric Duhaime remplaçantNathalie Normandeau à la coanimation de l'émission du midi sur les ondes duFM-93 à Québec. Un an plus tard, presque jour pour jour, on annonce en grande pompe qu'il sera le successeur deBenoît Dutrizac sur les ondes du98.5 FM dans la case horaire du midi[31]. Il est aussi collaborateur à l'émission matinalePuisqu'il faut se lever, animé parPaul Arcand ou il analyse l'actualité politique. Le, Bernard Drainville démissionne de son emploi d'animateur radio chezCogeco pour revenir à la vie politique.

Retour en politique

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Le, Bernard Drainville démissionne de son emploi d'animateur radio chezCogeco et les médias annoncent qu'il se présentera comme candidat à l'élection provinciale 2022 sous la bannière de laCoalition avenir Québec[32] dans la circonscription deLévis[33]. Il prend notamment la défense du3e lien[34]. Il est élu et prête serment le en tant que député, et le en tant que ministre de l’éducation[35],[36].

Le, il est muté à la tête duministère de l'Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, avec comme mission d'épurer les règles et réduire les délais d'autorisation[37].

Résultats électoraux

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Élection générale québécoise de 2022 dansLévis[38]
NomPartiNombre
de voix
%Maj.
    Bernard DrainvilleCoalition avenir18 05148,8 %10 374
    Karine LaflammeConservateur7 67720,8 %-
    Pierre-Gilles MorelParti québécois4 77512,9 %-
    Valérie Cayouette-GuilloteauQuébec solidaire4 24411,5 %-
    Richard GaronLibéral1 8995,1 %-
    Mehdi LahlouVert2130,6 %-
    André VoyerClimat Québec1380,4 %-
Total36 997100 % 
Le taux de participation lors de l'élection était de 73,7 % et 511 bulletins ont été rejetés.


Vie privée

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Drainville est impliqué, bien malgré lui, dans une controverse au sujet de sonmariage, célébré le. Dans une entrevue qu'il accorde à l'écrivain et biographeGeorges-Hébert Germain, publiée dansLe Devoir du 4 novembre, le chanteurJean-Pierre Ferland s'étonne que personne n'ait pris publiquement sa défense lorsqu'un journal à sensation a publié une photo de lui chantant au mariage d'un associé deMaurice« mom » Boucher, le chef desHells Angels au Québec, surtout qu'il a aussi chanté au mariage de Drainville le même soir[39]. Dans une réplique auDevoir, publiée le mardi suivant, Drainville confirme que Jean-Pierre Ferland avait chanté à son mariage, ajoutant que le chanteur populaire acceptait d'aller chanter aux mariages des gens de sa région qui le lui demandaient. Il a gardé le silence pendant trois mois afin de protéger sa vie privée et celle de ses proches[40].

Notes et références

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  1. « Bernard Drainville - Assemblée nationale du Québec », surwww.assnat.qc.ca(consulté le)
  2. ab etcThérèseParisien, « Bernard Drainville fait La part des choses »,La Presse,‎,p. 9
  3. LarryDufresne,« Un Canadien soupçonné de meurtre est tué au Pérou. - 98,5 fm Montréal »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur98,5 fm Montréal(consulté le).
  4. NathalieCollard, « L'Amérique existe-t-elle pour Radio-Canada? »,La Presse,‎.
  5. KatiaGagnon etDenisLessard, « Drainville confirme sa candidature »,La Presse,‎(lire en ligne).
  6. PatrickBourgeois, « «Le courageux Bernard Drainville choque les obséquieux! » »,Le Québécois,‎(lire en ligne, consulté le).
  7. Christian Charron. 2007.« Bernard Drainville, un des plus grands atouts du Parti Québécois ».Québec-Politique, le 28 mars 2007. Page consultée le 29 mars 2007.
  8. Christian Charron . 2007.« Bernard Drainville doit remplacer André Boisclair à la tête du Parti québécois ».Québec-Politique, le 28 mars 2007. Page consultée le 29 mars 2007.
  9. a etbBernardDrainville,« 10 idées pour redonner confiance aux citoyens »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?),(consulté le).
  10. ab etc Québec. « Loi modifiant la Loi électorale afin de réduire la limite des contributions par électeur, de diminuer le plafond des dépenses électorales et de rehausser le financement public des partis politiques du Québec », L.Q. 2012,chap. 26.(version en vigueur :1er janvier 2013)[lire en ligne (page consultée le 16 décembre 2013)]
  11. Radio-Canada, « La loi de René Lévesque »,Radio-Canada nouvelles,‎(lire en ligne, consulté le)
  12. DonaldRiendeau, « Indépendance des administrateurs - Des liens inquiétants avec les collecteurs de fonds »,Le Devoir, Montréal,‎(lire en ligne, consulté le)
  13. Radio-Canada, « Québec veut plafonner à 100 $ les dons individuels »,Radio-Canada Nouvelles,‎(lire en ligne, consulté le)
  14. Québec. « Loi modifiant la Loi électorale afin de prévoir des élections à date fixe », L.Q. 2013,chap. 13.(version en vigueur : 14 juin 2013)[lire en ligne (page consultée le 16 décembre 2013)]
  15. Radio-Canada, « Des élections à date fixe au Québec »,Radio-Canada nouvelles,‎(lire en ligne, consulté le)
  16. « Québec: adoption unanime du projet de loi sur les élections à date fixe | Martin Ouellet | Politique »(consulté le).
  17. Directeur général des élections du Québec, « Participation électorale aux élections générales de 2012 au Québec - Les électeurs de 18 – 44 ans sont retournés aux urnes en grand nombre lors de la dernière élection générale »,(consulté le).
  18. FrançoisGélineau, « Vote des jeunes en 2012 - Le printemps érable moins participatif que prévu »,Le Devoir,‎(lire en ligne, consulté le)
  19. a etb Québec. « Loi modifiant la Loi électorale concernant le vote des étudiants dans les locaux des centres de formation professionnelle et des établissements d’enseignement postsecondaire », L.Q. 2013,chap. 5.(version en vigueur : 24 avril 2013)[lire en ligne (page consultée le 17 décembre 2013)]
  20. Québec, « 450 000 jeunes pourront enfin voter dans leur établissement d’enseignement », surMinistère des Institutions démocratiques et de la Participation citoyenne,(consulté le).
  21. Parti québécois, « Programme »(consulté le).
  22. Québec, « Québec présente ses propositions en matière de neutralité religieuse de l’État et d’encadrement des accommodements religieux », surMinistère des Institutions démocratiques et de la Participation citoyenne,.
  23. Québec, « Parce que nos valeurs, on y croit », surnosvaleurs.gouv.qc.ca,(consulté le).
  24. Radio-Canada, « Charte des valeurs : Drainville satisfait des commentaires, l'opposition s'impatiente »,Radio-Canada nouvelles,‎(lire en ligne, consulté le)
  25. Québec, « Bilan de la campagne d’information sur la Charte des valeurs québécoises: « Une contribution exceptionnelle à un débat nécessaire » : Présentation du bilan des consultations sur les propositions gouvernementales en matière de neutralité religieuse de l’État et d’encadrement des accommodements religieux », surMinistère des Institutions démocratiques et de la Participation citoyenne,(consulté le).
  26. La Presse canadienne, « Charte des valeurs – Bernard Drainville a déposé son projet de loi »,Le Devoir,‎(lire en ligne, consulté le)
  27. « Point de presse de M. Bernard Drainville, porte-parole de l'opposition officielle en matière d'énergie, de ressources naturelles et de développement nordique », surAssemblée nationale du Québec,(consulté le).
  28. « Point de presse de M. Bernard Drainville, porte-parole de l'opposition officielle en matière d'éthique et d'intégrité », surAssemblée nationale du Québec,(consulté le).
  29. « Bernard Drainville quitte la vie politique pour coanimer une émission de radio à Québec », surLe Journal de Québec(consulté le).
  30. « Bernard Drainville nouvel animateur au FM93 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  31. « Bernard Drainville remplace Benoît Dutrizac ».
  32. Tommy Chouinard, « Bernard Drainville sera candidat pour la CAQ »,Lapresse,‎(lire en ligneInscription nécessaire)
  33. HugoPilon-Larose, « Coalition avenir Québec  | Bernard Drainville, un opportuniste selon l’opposition », surLa Presse,(consulté le).
  34. Marc-AndréGagnon, « 3e lien: «Lâchez-moi avec les GES», lance Bernard Drainville », surJournal de Québec,(consulté le).
  35. HugoPilon-Larose, TommyChouinard et CharlesLecavalier, « Appel à l’unité: Legault ne tolérera pas de « chicane » dans ses rangs »,La Presse,‎(lire en ligne, consulté le)
  36. « Voici le nouveau conseil des ministres », surLe Soleil,(consulté le).
  37. La Presse canadienne, « Remaniement ministériel : François Legault promet un « traitement choc » », surRadio-Canada,(consulté le)
  38. DGEQ, « Résultats élections Québec 2022 », surelectionsquebec.qc.ca(consulté le)
  39. Georges-HébertGermain, « Ferland, bienheureux insoumis/ »,Le Devoir,‎, A1.
  40. BernardDrainville, « Ferland et les mariages »,Le Devoir,‎, A-6(lire en ligne).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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