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Bernadette Lafont

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Bernadette Lafont
Bernadette Lafont aux rencontres cinématographiques de Cannes en 2012.
Fonction
Présidente
Ateliers de création audiovisuelle de Sommières(d)
-
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Bernadette Paule Anne Lafont
Nationalité
Activités
Période d'activité
Père
Roger Lafont(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoints
Gérard Blain(de à)
Diourka Medveczky(de à)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Autres informations
Distinctions
Films notables

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

Bernadette Lafont, née le àNîmes et morte le dans la même ville, est uneactricefrançaise.

Grâce à ses rôles dansLes Mistons (1957) deFrançois Truffaut[1],Les Bonnes Femmes (1960) deClaude Chabrol,La Fiancée du pirate deNelly Kaplan (1969), ou encoreLa Maman et la Putain (1973) deJean Eustache, cette vedette populaire est considérée comme l’une deségéries de laNouvelle Vague[2].

Biographie

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Origines familiales et formation

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Issue d'une famille protestante desCévennes, elle nait à lamaison de santé protestante de Nîmes[3].

Elle est la fille de Roger Lafont, pharmacien àSaint-Geniès-de-Malgoirès, et de son épouse Simone Illaire[4].

Elle fait ses études secondaires aulycée de jeunes filles (actuel collège Feuchères) deNîmes, où sa famille s'installe dans les années suivantes[5],[6].Bernadette, qui se destine à ladanse, suit aussi des cours de danse à l'opéra-théâtre de Nîmes[7], et elle rêve de cinéma en regardant les premiers films deBrigitte Bardot[8].Elle est reçue au baccalauréat (première partie) à16 ans.

Mariage et premiers pas au cinéma

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En1955, alors en vacances, elle fait la connaissance de l'acteurGérard Blain, qui répète la pièce de ShakespeareJules César[9],[10] auxarènes de Nîmes. Elle l'épouse âgée de18 ans[2] et le suit à Paris.

François Truffaut lui offre son premier rôle dans son court-métrageLes Mistons (1957), tourné la même année à Nîmes. Pour ce premier film, Truffaut, qui dispose de peu de moyens financiers,l'engage ainsi que Gérard Blain, à la grande surprise de Bernadette, car son mari refuse qu'elle devienne actrice[pas clair][3].

Actrice fétiche de la Nouvelle Vague

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Prenant goût au cinéma, elle devient rapidement une figure représentative de laNouvelle Vague notamment après deux films deClaude Chabrol essentiels dans ce mouvement,Le Beau Serge en 1957[11] avec son mari, puisLes Bonnes Femmes en 1960.

Elle va également travailler avecJacques Doniol-Valcroze,Édouard Molinaro,Costa-Gavras,Georges Lautner etLouis Malle,Philippe Garrel,Michel Drach etMoshé Mizrahi,Jean-Daniel Pollet etMarc'O, montrant sa prédilection pour uncinéma d'auteur exigeant.

Divorce et repli sur la famille aux côtés de Diourka Medveczky

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Divorcée de Gérard Blain[Quand ?], elle devient en 1959 la compagne du sculpteur et cinéaste hongroisDiourka Medveczky qui en faitsa muse[réf. nécessaire]. Elle met au monde trois enfants en trois ans :Élisabeth, David etPauline (1963)[12].

En, elle fait une des trois voix provençales accompagnant la représentation deMireille dans le cadre de lafélibrée de Sceaux[13].

Elle vit alors à la campagne et sa carrière connaît un creux mais cela lui est égal, carelle fait de la phrase deJean Cocteau sa devise[réf. nécessaire] :

« Les premières places ne m'intéressent pas spécialement ; celles que j'aime, ce sont les places à part. »

Retour au cinéma

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En 1969, elle tourne dans un film de son épouxPaul, uniquelong métrage de celui-ci, qui malgréd'excellentes critiques[réf. nécessaire], n'est pas distribué (il n'est paru qu'en 2012 en DVD[14]).

La Fiancée du pirate deNelly Kaplan, en 1969 également, lui permet de renouer avec le succès. Alors que la mode est aux actrices blondes, cette brune de type méditerranéen détonne et se fait qualifier de « Bardot nègre » dansLe Monde par l'écrivainHervé Guibert[12].

Bernadette Lafont lors dufestival de Cannes 2007.

En 1971, elle est l'une des femmes dumanifeste des 343, publié le 5 avril 1971 par leNouvel Observateur en faveur dudroit à l'avortement[15].

Elle est ensuite l'héroïne deUne belle fille comme moi (1972) deFrançois Truffaut et joue le rôle de Marie dansLa Maman et la Putain (1973) deJean Eustache[10] qui marquent sa filmographie. Lafont enchaîne avec des films signésLászló Szabó (Zig-Zig),Jacques Bral,Jacques Rivette (Noroît), l'italienPasquale Festa Campanile (Le Larron),Jacques Davila etJuliet Berto, ainsi que des comédies et « nanars » réalisés parGérard Pirès,Jean-Marie Poiré voireMax Pécas, où sa voix gouailleuse et son ton décalé la rendent populaire[8].

Dans les années 1980, elle apparaît dans plusieurs films deJean-Pierre Mocky (dontLe Pactole avec sa fille Pauline) etClaude Chabrol (dontInspecteur Lavardin etMasques), mais surtout dansL'Effrontée deClaude Miller en 1985 qui lui vaut leCésar de la meilleure actrice dans un second rôle[8]. C'est aussi durant cette décennie qu'elle intensifie son activité sur le petit écran, où elle avait débuté dès 1961 : elle participera au fil des ans aux sériesMerci Bernard deJean-Michel Ribes,Maigret face àBruno Cremer,Pepe Carvalho,Les Enquêtes d'Éloïse Rome,La Minute vieille, jusqu'àScènes de ménages en 2013 ; elle sera dirigée parLiliane de Kermadec,Paul Vecchiali,Élisabeth Rappeneau,Bruno Garcia, et retrouveraNelly Kaplan pour un téléfilm en 1985 ; elle interprétera même la gouvernante duPère Noël en 1997.

En 1988, sa fillePauline, elle aussi actrice, meurt accidentellement[2]. Elle surmonte son chagrin en multipliant les films et lespièces de théâtre[15]. Elle rencontre alorsMarion Vernoux etPierre-Henri Salfati,Raoul Ruiz,Pascal Bonitzer,Claude Zidi,Julie Delpy,Zoe Cassavetes… Tout au long de sa carrière, non contente de multiplier les collaborations avec des cinéastes souvent prestigieux et confidentiels, elle aura eu les partenaires les plus brillants et les plus diversifiés :Eddie Constantine,Laurent Terzieff chez Garrel,Ugo Tognazzi,Jean-Paul Belmondo chez Malle,Jean-Pierre Léaud,Jean-Pierre Kalfon,Jean-Louis Trintignant,Daniel Duval,Michel Bouquet,Alain Cuny,Michel Duchaussoy,André Dussollier chez Truffaut,Michel Galabru,Francis Blanche,Peter Ustinov,Michel Serrault (La Gueule de l'autre),Miles Davis,Richard Bohringer,Victor Lanoux,Jean Lefebvre etBernard Ménez, sans oublierAnna Karina,Bulle Ogier,Micheline Presle,Jane Birkin etCharlotte Gainsbourg… Elle retrouvera cette dernière dans la comédie à succèsPrête-moi ta main d'Éric Lartigau en 2006. Deux ans plus tard, elle incarne la mère deMichel Blanc dansNos 18 ans.

Carrière théâtrale

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Bernadette Lafont a débuté au théâtre en 1963 mais ce n'est qu'en 1978, en jouant la comtesse Bathory dans « Bathory Erzsebet » deMarie-Françoise Egret, que l'amour des planches la saisit. Elle s'illustre ensuite, entre autres, dansLa Tour de la défense deCopi,Désiré deSacha Guitry mis en scène et interprété parJean-Claude Brialy avec aussiMarie-José Nat,L'Arlésienne d'Alphonse Daudet aux côtés deJean Marais,Monsieur Amédée (1999) avec son cher Galabru qu'elle retrouve dansLa Femme du boulanger deMarcel Pagnol (où elle interprète la bonne du curé),Un beau salaud avecBernard Tapie,Les Monologues du vagin d'Eve Ensler,Si c'était à refaire deLaurent Ruquier,L’Amour, la mort, les fringues deNora et Delia Ephron, mis en scène parDanièle Thompson avecKarin Viard,Géraldine Pailhas etValérie Bonneton dans la distribution, des lectures deClaude Bourgeyx etMarcel Proust notamment ; sa dernière apparition sur scène s'effectue dans l'opéretteCiboulette où figureJérôme Deschamps.

De 1990 à 1996, elle préside les Ateliers de création audiovisuelle deSommières, une petite structure de formation, délocalisée àSaint-André-de-Valborgne la dernière année[16].

En 2005, lefestival du film de Belfort - Entrevues lui consacre une rétrospective.

Ses derniers films,Paulette etAttila Marcel, sortis en 2013, reçoivent un très bon accueil du public[8]. Elle déclare à cette époque« vivre depuis plus de trente ans dans le même appartement, dansle Marais, avec son chat », alors que son compagnon, le peintre figuratifPierre de Chevilly, vit principalement à la campagne[12], acquéreur de l'ancienne école de garçons de la commune d'Argenton-Château[17] ; sur sa suggestion elle achète, en 2006, une petite maison dans ce lieu calme, sa « thalasso mentale », où elle offre gracieusement son concours de conteuse lors de manifestations culturelles locales en 2011 et 2013. À partir de 2004, elle séjoure ponctuellement àArgenton-les-Vallées, bourgade poitevine, avec son dernier compagnon le peintre Pierre de Chevilly, et depuis 2001 aime participer bénévolement aux animations locales.

Mort et funérailles

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Partie se reposer dans sa maison familiale deSaint-André-de-Valborgne, elle est victime d’unaccident vasculaire cérébral le. Au cours de sa convalescence aucentre héliomarin duGrau-du-Roi, elle subit unmalaise cardiaque le en fin d'après-midi. Transportée par le SAMU aucentre hospitalier universitaire de Nîmes, elle y meurt le[8] à l'âge de 74 ans[18].

Sa mort coïncide avec la tenue dufestival de Vebron, dont elle est la marraine depuis ses origines en1988[19] et qui lui rend hommage.

La cérémonie religieuse des obsèques a eu lieu autemple protestant de Saint-André-de-Valborgne le en présence de 250 personnes. Le réalisateurJean-Pierre Mocky, qui participait à Nîmes au Festival « Un réalisateur dans la ville », est présent, aux côtés deLionnel Astier etMarianne Denicourt[20]. Il déplore ensuite l'absence de la profession et du gouvernement[21].

Selon la tradition des cimetières protestants des Cévennes, Bernadette Lafont est inhumée dans le caveau funéraire de la propriété familiale, aux côtés de ses parents et de sa fille Pauline.

En 2013, le cinéasteGérard Courant lui rend hommage avec un filmIn Memoriam Bernadette Lafont, dans lequelAlexandra Stewart,Stéphane Audran etGuillaume Gouix lisent des lettres de Bernadette Lafont et des textes deFrançois Truffaut et deClaude Chabrol[22].

Filmographie

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Cinéma

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Courts métrages

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Longs métrages

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Années 1950
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Années 1960
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Années 1970
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Années 1980
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Années 1990
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Années 2000
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Années 2010
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Télévision

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Théâtre

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Livre audio

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Hommages

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  • « Si je devais la comparer à un autre personnage, ce serait à Michel Simon dansBoudu », affirmait François Truffaut dans le portrait téléviséProfil : Bernadette Lafont dePhilippe Laïk (première diffusion le 18 mai 1967). Leurs points communs : une truculence dans l'expression et une présence explosive à l'écran.
  • François Truffaut a écrit :« Quand je pense à Bernadette Lafont, actrice française, je vois un symbole en mouvement, le symbole de la vitalité, donc de la vie » (Vagabondages Bernadette Lafont. Studio 43, 1984).
  • Coluche a écrit :« Déjà, les actrices de cinéma, j'aime bien, mais Bernadette je la préfère. Chaque fois que je vois un film avec une actrice, je me dis : “Je vais regarder le film en pensant que c'est Bernadette qui joue le rôle”, et du coup, je passe un bon moment » (Pariscope, 1981).
  • L'écrivain Hervé Guibert lui a rendu hommage en 1984, à l'occasion de sa rétrospective au Studio 43 (Paris) :« Un peu chinoise par le maquillage, andalouse par la coiffure, gitane blanche, Bardot nègre, garce sublime, pépée de tous les diables, fée du bagout, enquiquineuse de choc. Une “nature” décuplée : plutôt un phénomène » (Fée Bernadette en odeur de rétrospective,Le Monde, 1-2 juillet 1984).
  • Le théâtre municipal de Nîmes, sa ville natale, porte son nom depuis le à l'initiative deJean-Paul Fournier, sénateur-maire de Nîmes[23].
  • La39e cérémonie des César du a honoré sa mémoire dans la rubrique « Hommage aux disparus ».
  • Le, dans le cadre du Festival cinéma d'Alès-Itinérances a été remis le premier prix Bernadette-Lafont de la meilleure comédienne récompensant Agathe Schencker dansCanada, court métrage de Sophie Thouvenin et Nicolas Leborgne, en compétition. Doté par Univam d'un montant de 1 500 euros, le prix souligne l’engagement constant de Bernadette Lafont pour le court métrage et les jeunes talents.
  • La bibliothèque de la communauté de communes duBocage bressuirais àArgenton-les-Vallées[24], a été nommée Bernadette-Lafont le, en présence de ses proches et de nombreux amis et admirateurs d'Argenton et d'ailleurs.
  • En, le rosiériste Sauvageot donne le nom de Bernadette Lafont à un rosier buisson à grandes fleurs rose foncé et au parfum puissant (grand prix du Parfum à Bagatelle en 2004)[25].
  • Du au, répondant à l'invitation de Marie Losier, Bernadette Lafont était l'invitée du French Institute / Alliance française (Fiaf) de New York pour un hommage intitulé :Bernadette Lafont : Une belle fille comme elle. Au programme : rétrospective de ses films (Les Mistons, Les Bonnes Femmes, Une belle fille comme moi, La Maman et la Putain, La Fiancée du pirate, Les Petites Vacances), lecture (correspondance Truffaut) et rencontre avec le public.
  • Catherine Deneuve, en promotion pourElle s'en va surFrance Inter dans l'émission Eclectik le dimanche, alors que la journaliste lui proposait de faire une minute de solitude, a choisi de parler de Bernadette Lafont :« Je pense que je pourrais en profiter pour faire une minute de silence, pour penser aux gens qu'on aime, aux gens qu'on a aimés. Je voudrais une minute de silence en pensant à une femme, une actrice que j'aime beaucoup, dont je ne peux pas parler à l'imparfait, qui est Bernadette Lafont, qui est partie il y a quelques semaines assez brutalement et dont on n'a pas beaucoup parlé finalement. […] Voilà, je pense souvent à elle depuis qu'elle est partie cet été. »
  • Dans une lettre datée du,Brigitte Bardot écrit :« La mort de Bernadette Lafont m'a provoqué un immense choc et un profond chagrin, [elle] était un exemple de joie de vivre malgré les terribles épreuves que la vie lui a fait subir. […] Pétillante, rigolote, avec un zeste d'insolence mais jamais vulgaire, pleine de spontanéité, de charme et d'une beauté qu'elle a gardé jusqu'au bout du chemin de sa vie ! »
  • LaCinémathèque française lui a rendu hommage du au à travers des projections et rencontres durant lesquelles ont été évoquées sa mémoire et la place unique qu'elle occupe dans le patrimoine du septième art hexagonal. La soirée de lancement le 13 au soir consiste en la projection deZig-Zig de Laszlo Szabo en présence de Catherine Deneuve.
  • En, le cinéasteGérard Courant lui rend hommage dansIn Memoriam Bernadette Lafont, avec les comédiennesAlexandra Stewart etStéphane Audran et le comédienGuillaume Gouix. Le film est édité en DVD en 2016 aux éditionsL'Harmattan[26].
  • En, lepont tournant de larue Dieu àParis devient lepont Bernadette-Lafont.

Distinctions

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Récompenses

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Nominations

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Décorations

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Publications

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Bernadette Lafont a publié plusieurs ouvrages dont :

Bibliographie

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Notes et références

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  1. « Les Mistons », surÉcran large(consulté le)
  2. ab etcSabrinaChampenois, « Bernadette Lafont, sans vague à l’âme »,Libération,‎(lire en ligne)
  3. a etbHervé Denyons et Christine Rigollet, « Mon Nîmes à moi », surLe Point,
  4. « Bernadette Lafont »,Who's who in France.
  5. « Bernadette LAFONT », surMelody.tv(consulté le)
  6. Prisma Média, « Bernadette Lafont: sa dernière rencontre avec Gala - Gala »,Gala.fr,‎(lire en ligne, consulté le)
  7. Détruit en 1952 par un incendie (Un peu d'histoire sur le site du théâtre de Nîmes). Un nouveau théâtre a été inauguré en 1988, mais sur un autre site.
  8. abcde etfGilles Kerdreux, « Bernadette Lafont, actrice frondeuse et populaire »,Ouest-France,no 20973,‎,p. 27
  9. Bruno Icher, « Lafont, sacrée bonne flamme », surLibération.fr,
  10. a etbDocumentaire de Véronique Aubouy, « Une sacré bonne femme », 2012, 52 minutes
  11. « Mort de l'actrice Bernadette Lafont », surlavoixdunord.fr,
  12. ab etcSabrina Champenois, « Bernadette Lafont, sans vague à l’âme », surLibération.fr,
  13. Jean Fourié,Le Félibrige parisien après la Deuxième Guerre mondiale (1944-1976), Paris, Les Amis de la langue d'oc, 1987, p. 42(SUDOC008671095).
  14. Coffret « Diourka-Lafont » chez Filmedia.
  15. a etbJean-Baptiste Morain, « Bernadette Lafont (1938-2013). L'actrice s'est éteinte le 25 juillet, à Nîmes, où elle était née », surLes Inrocks,.
  16. Bastide et Durand 1999,p. 21.
  17. Deux-Sèvres - depuis Argenton-les-Vallées.
  18. « L'actrice Bernadette Lafont est morte à l'âge de 74 ans »,Franceinfo,‎(lire en ligne, consulté le)
  19. Fabien Hisbacq, « Bernadette Lafont : l'hommage de Vebron », surmidilibre.fr,
  20. Le Point, 30 juillet 2013.
  21. Déclaration de Jean-Pierre Mocky sur RMC le 6 août 2013
  22. Ce film a été édité en DVD en 2016 auxéditions L'Harmattan.
  23. « Bernadette Lafont: un théâtre portera son nom à Nîmes », surL'Express,(consulté le).
  24. « Ici, Bernadette Lafont fait sa thalasso mentale », surlanouvellerepublique.fr,(consulté le).
  25. « Rosier 'Bernadette Lafont' : Rosa 'Bernadette Lafont' », surnature.jardin.free.fr(consulté le).
  26. « film-documentaire.fr - Portail du film documentaire », surwww.film-documentaire.fr(consulté le)
  27. Décret du 31 décembre 1997 portant promotion et nomination
  28. Décret du 13 juillet 2009 portant promotion et nomination
  29. « Remise de décorations à Bernadette Lafont, Firmine Richard et Mei-Chen Chalais par Frédéric Mitterrand - Ministère de la Culture », surculture.gouv.fr,(consulté le).
  30. Décret du 15 novembre 2004 portant promotion et nomination
  31. Archives des nominations et promotions dans l'ordre des Arts et des Lettres.
  32. Renaud Machart, « TV – « Bernadette Lafont : et Dieu créa la femme libre » »,Le Monde,‎(lire en ligne)

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Précédée parSuivie par
Caroline Cellier pourL'Année des méduses
Bernadette Lafont pourL'Effrontée
1986
Emmanuelle Béart pourManon des sources
v ·m
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Années 1980
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