Carte hydrographique et des infrastructures routières de la commune.
La commune est traversée par les Seynes, une rivière qui prend sa source sur la commune éponyme deSeynes et se jette dans l'Alzon (affluent duGardon) entre les communes d'Uzès etSaint-Maximin.
Les Seynes recueillent dans la commune les eaux de plusieurs ruisseaux.
Carte de la ZNIEFF detype 2 localisée sur la commune.
L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Au, Belvézet est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].
Elle est située horsunité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Uzès, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (73 %).
La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,7 %), cultures permanentes (18 %),terres arables (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %)[13].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Belvézet en 2022 en comparaison avec celle du Gard et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion derésidences secondaires et logements occasionnels (39,5 %) supérieure à celle du département (12,7 %) et à celle de la France entière (9,7 %).
Belvézet est desservi par la RD 218 et est tangenté à l'est par le tracé de l'ancienneroute nationale 579 qui lui donne un accès aisé àUzès etLussan.
Une partie de l'aérodrome d'Uzès se trouve sur la frange est de la commune. Il s'agit d'un aérodrome à usage restreint pouvant accueillir les appareils qui y sont basés, ceux qui sont basés sur les aérodromes voisins, et qui est utilisable par les hélicoptères dans des conditions définies par l'administration.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment Les Seynes. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1983, 1991, 1997, 1998 et 2002[18],[16].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Belvézet.
Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie. 64,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 218 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 216 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national auretrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site duBRGM[19],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national descavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1983[16].
Belvézet vient de l’occitanbèl etvezer, signifiant « bel aspect » ou « belle vue », indiquant un lieu élevé. C’est la mêmeétymologie que pour les communes nomméesBeauvezer etBelvèze. Le village porta différents noms au cours de son histoire :Locus de Bellovisu en 1272,Belvèze en 1622 ou encoreBelveset en 1715[21].
Un site potentiellementpaléolithique a été identifié à Belvézet, et il y a de nombreux sites aux alentours : Allègre, la Bastide d'Engras, Castillon, Collias, Fontarèches, Saint-Anastasie, Serviers et Saint-Quentin. Il est très probable qu'il y ait eu des humains dès le Paléolithique à Belvézet, mais les indices de leur présence restent à confirmer.
Un outil duMésolithique a été découvert à Belvézet. Il s'agit d'un outil desilex trouvé à la Combe des Grèzes (probablement dans la grotte des Grèzes) et qui date d'environ 9 000 ans.
Localement, leNéolithique débute il y a environ 7000 ans, âge probable de l'enceinte du Roc del Jas. Pendant le Néolithique et les périodes suivantes, les plateaux du Gard sont parmi les lieux les plus importants en Europe pour les peuples préhistoriques avec une densité de peuplement très forte.
Au cours duChalcolithique (5000 à 4500 ansBP), beaucoup desmégalithes sont érigés dont sans doute le menhir de Belvézet. C'est la période des pasteurs des plateaux. Avec la découverte de nouvelles matières pour réaliser les outils, les anciennes matières ne sont pas abandonnées pour autant : le silex continue à être employé pendant très longtemps.
Le problème avec cette exploration assez précoce de Belvézet est que les premiers curieux n'étaient pas toujours bien équipés pour tirer tout le potentiel de leurs explorations. Parfois, ils souhaitaient surtout ramener le plus d'outils ou de morceaux de céramique possible, et ce faisant détruisaient les informations stratigraphiques.
Les plus connus et les plus sérieux des chercheurs de cette époque sont les suivants :
Ulysse Dumas était un archéologue à Baron. Il a fait plusieurs fouilles à Belvézet au début duXXe siècle ;
Louis Capitan était un célèbre médecin et archéologue et collaborait fréquemment avec Ulysse Dumas. Il était Chargé de conférences d'anthropologie pathologique à l'École d'anthropologie ;
Paul Raymond était un médecin et archéologue. Comme Dumas, il a fait des fouilles à Belvézet. Il fut l'un des fondateurs laSociété préhistorique française en 1904 et de laRevue préhistorique. Annales de Paléontologie en 1906. Le musée municipal dePont-Saint-Esprit est nommé musée Paul-Raymond en son honneur.
La zone comptant apparemment le plus desites préhistoriques est la bordure sud du plateau. Les grottes sont fréquentes et les positions défensives aussi. Le silex y est relativement abondant ainsi que les pierres pour les mégalithes et enceintes. Les points d'eau issus du drainage souterrain du plateau au nord sont nombreux. Il est important de souligner que cette zone critique pour le patrimoine préhistorique (et aussi naturel) de Belvézet est largement la propriété de la commune qui peut ainsi en assurer la protection et l'accessibilité pour les futures générations.
Lemenhir de Belvézet est situé au quartier dePeiro Fico (« pierre fichée » enoccitan). Ce mégalithe mesure 2,20 mètres de haut par 1,20 m de large (celui de Lussan, le plus grand du Gard, mesure 5,60 mètres de hauteur). Il date sans doute de 5000 à 4000 ans avant le présent. Selon certains, il en existerait un autre, basculé et brisé, pas très loin.
La commune de Belvézet compte un certain nombre detumulus. Selon laDirection régionale des Affaires culturelles (DRAC), il en existe trois au bord sud du bois de la Vièle. Ce nombre semble très en dessous de la réalité. Les tumulus étaient plus faciles à identifier il y a cinquante ans ou plus, quand la végétation dans lagarrigue était moins dense par suite du pâturage, de la coupe de bois plus intensive, et des feux fréquents. Une présentation d'Ulysse Dumas dans leBulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques de 1905 indique : « M. Ulysse Dumas résume l'ensemble des recherches qu'il a fait dans plus de onze cents tumulus des environs de Belvézet (Gard). Ces tumulus sont d'époques très différentes. Les premiers recouvrent desdolmens avec beau mobilier néolithique et quelques traces de métal. Les seconds sont de l'époque dubronze. Enfin les derniers se rapportent à l'époquehallstattienne et mêmegauloise, et ont fourni de belles séries de bracelets de bronze, d'armes de fer et de très belles poteries avec ornements symétriques profondément incisés. L'auteur insiste sur la très grande variété de construction de ces monuments : tantôt dolmens, tantôt caissons, tantôt simples urnes ou encore amas d'os brûlés sur place. » Dumas évoque 1100 tumulus dans les environs de Belvézet, mais il faut souligner qu'il considérait même un petit tombeau comme un tumulus.
La plupart des tumulus semblent être situés au bord du plateau. C'est sans doute dans un de ces tumuli du bord de plateau que Paul Raymond a fait la découverte d'un superbe bracelet de bronze au siècle dernier. Sa découverte est décrite en détail dans son article « Tumulus de l'époque moeringienne ou launacienne (transition du bronze au fer) ». Ce bracelet fut le seul objet de ce type trouvé après l'exploration de 15 tumulus n'ayant livré que quelques tessons de céramique. Dans tous ces monuments, il n'a jamais trouvé d'ossements importants.
L'un des tumulus se trouve sur la colline du Mas Martin. Ulysse Dumas en décrit la découverte dans son article « Des temps intermédiaires entre la pierre polie et l'époque romaine ». Vers 1900, il fut appelé à venir voir la découverte d'un habitant qui avait ouvert une butte près de son mas pour en prendre la terre. Il découvrit un cercle de grosses pierres avec des débris de métal et de céramique au milieu. Ces tessons furent identifiés par Dumas comme étant de type dit « Ligure ». En cherchant au sein des déblais de la butte, il découvrit des restes de céramiques gauloises plus récentes. Au nord des Martines, il dit avoir trouvé des fragments de haches polies.
Il existe une enceinte préhistorique répertoriée par la DRAC au Roc del Jas[22], dans la partie ouest du bord sud du plateau. En fait il y a deux enceintes concentriques partielles qui protègent les côtés nord et est. Les côtés sud et ouest sont protégés naturellement par des parois à pic. Les murs étaient à l'origine très épais et il reste des parties où l'on peut encore voir les pierres posées. Une grotte accessible depuis le sommet était probablement aussi employée. Il s'agit du plus grand site préhistorique facilement visible à Belvézet. L'absence de traces de tuiles romaines suggère une occupation du site antérieure à la présence romaine.
Il y a plusieurs autres enceintes à Belvézet, de nouveau surtout sur la bordure sud du plateau. Beaucoup sont sans doute préhistoriques, mais il est souvent difficile de déterminer l'âge d'une enceinte ou d'un mur. Les techniques de construction en pierre sèche n'ont guère évolué. Parmi celles qui sont considérées comme préhistoriques, Ulysse Dumas cite celle du Roc de Vendème (Vendôme), associée avec une grotte. Il en dit que le mur d'enceinte est recouvert de terre. F. Mazauric dressa en 1907 une liste des enceintes préhistoriques du Languedoc et ajoute celle de La Mouliere à Belvézet, mais sa localisation n'est pas claire (corruption de Molières ?).
Elle faisait partie depuis 1801 ducanton de Lussan[1]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du, qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, celle-ci a fusionné avec lacommunauté de communes de l'Uzège pour former, le, lacommunauté de communes Pays d'Uzès dont est désormais membre la commune[I 2].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].
En 2022, la commune comptait 235 habitants[Note 5], en évolution de −7,48 % par rapport à 2016 (Gard : +2,97 %,France horsMayotte : +2,11 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 135 personnes, parmi lesquelles on compte 74,4 % d'actifs (67,7 % ayant un emploi et 6,8 % de chômeurs) et 25,6 % d'inactifs[Note 7],[I 11]. En 2018, letaux de chômage communal (au sens du recensement) des15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Uzès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 14]. Elle compte 38 emplois en 2018, contre 37 en 2013 et 38 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 95, soit unindicateur de concentration d'emploi de 40,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,6 %[I 15].
Sur ces 95 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 30 travaillent dans la commune, soit 32 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 84 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,3 % lestransports en commun, 3,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
38 établissements[Note 8] sont implantés à Belvézet au. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 18].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
38
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
9
23,7 %
(7,9 %)
Construction
6
15,8 %
(15,5 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
4
10,5 %
(30 %)
Activités immobilières
4
10,5 %
(4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
9
23,7 %
(14,9 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
2
5,3 %
(13,5 %)
Autres activités de services
4
10,5 %
(8,8 %)
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,7 % du nombre total d'établissements de la commune (9 sur les 38 entreprises implantées à Belvézet), contre 14,9 % au niveau départemental[I 19].
Installation d'une centrale photovoltaïque d'une puissance de 31,2 MWc, la puissance installée de l'ensemble du parc solaire et une production d'électricité renouvelable est équivalente à la consommation annuelle de 21 000 foyers[33].
Le CastellasInscrit MH(1998)[37] : construit entre 1144 et 1207, sa tour domine depuis le village et fait partie de son histoire. Selon les Monuments Historiques, quelques travaux seraient nécessaires, nettoyage des parcelles entourant le site, coupe des arbres qui en masquent la vue, arasement du haut de la tour en retirant les pierres branlantes du sommet, etc.
Ancienne école (actuellement salle polyvalente) : la cour a été aménagée pour la création de l'Arbousier.
Four à pain : l'ancienne municipalité a souhaité l'acquérir en 2008. Ce petit bâtiment ayant perdu toute sa valeur ancienne (il ne reste plus que 4 murs) le nouveau conseil municipal, après réflexion, a décidé de le remettre en vente.
La nouvelle église Saint-André , construite en 1879 dans le style en vogue « romano-gothique » en remplacement de l'ancienne jugée trop petite et abîmée. Elle présenteaujourd'hui[Quand ?] un état assez critique du point de vue de la toiture et des voûtes[réf. nécessaire].
La Draille des Seynes et le Sentier Art & Nature, deux parcours culturels aménagés dans la garrigue par l'association locale« de quoi je me mèle » et jalonnés de créations artistiques et d’informations sur l’écosystème de Belvézet[41].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement desfoyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à lataxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑Les données relatives à lasurface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[35].
↑Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune, le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155).
↑Le nom correct est probablementRoc del Jas ouRoc dau Jas (rocher de la bergerie) mais certaines cartes indiquentRoc d'Orgias. Dans le compois de 1635, conservé en Mairie jusque dans les années 1970 mais maintenant disparu, on lisait nettementLe Rauc d’Orgias.
↑Jean Noté, « À Belvezet, l'opposition municipale prête au dialogue »,Midi libre,(lire en ligne, consulté le)« Depuis dimanche soir et le premier tour des élections municipales partielles, le conseil municipal du village de Belvezet présente un tout autre visage. En effet, six nouveaux conseillers [...] ont obtenu la majorité des suffrages.Mieux, ils sont majoritaires au sein du nouveau conseil municipal, probablement installé en début d'année prochaine ».
↑Jean Noté, « La maire Aleth Robin décide de poursuivre les projets »,Midi libre,(lire en ligne, consulté le)« Depuis dimanche dernier et les élections municipales partielles à Belvezet, la maire Aleth Robin se trouve en minorité au sein de son conseil municipal. Elle ne compte que 'cinq' fidèles autour d'une table de onze élus. Malgré ce camouflet reçu le week-end dernier par les électeurs et les électrices du petit village, Aleth Robin a choisi de conserver son fauteuil de premier magistrat ».
↑Mathilde Roux, « Actif et élu de petite commune, le maire de Belvezet rend les armes »,Le Républicain d'Uzès et du Gard,(lire en ligne, consulté le)« En effet, Michel Lafont est toujours actif et indique même que sa situation personnelle et professionnelle l'éloigne chaque année de Belvezet d'avril à octobre ».
↑« Rodolphe Guillaumont a été élu maire de Belvezet lors du conseil municipal spécial »,Midi libre,(lire en ligne, consulté le)« Rodolphe Guillaumont, premier adjoint, était ce soir-là le seul candidat pour ce poste, après le dépôt des bulletins dans l’urne, élection à l’unanimité de Rodolphe Guillaumont a été élu maire ».