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Beaurières

44° 34′ 18″ nord, 5° 33′ 34″ est
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Beaurières
Beaurières
Vue aérienne de Beaurières en août 2010.
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionAuvergne-Rhône-Alpes
DépartementDrôme
ArrondissementDie
IntercommunalitéCommunauté de communes du Diois
Maire
Mandat
Gabriella Molina
2020-2026
Code postal26310
Code commune26040
Démographie
GentiléBeauriérois, Beauriéroises
Population
municipale
78 hab.(2022en évolution de +6,85 % par rapport à 2016)
Densité3,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées44° 34′ 18″ nord, 5° 33′ 34″ est
AltitudeMin. 641 m
Max. 1 440 
m
Superficie24,58 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionHors attraction des villes
Élections
DépartementalesCanton du Diois
LégislativesTroisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Beaurières
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Beaurières
Géolocalisation sur la carte :Drôme
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Beaurières
Géolocalisation sur la carte :Auvergne-Rhône-Alpes
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Beaurières
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Beaurières est unecommune française située dans ledépartement de laDrôme, enrégionAuvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitantssont dénommés les Beauriérois.

Géographie

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Localisation

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La commune de Beaurières est située au sud-est de Die. Elle est limitrophe du département des Hautes-Alpes.

Communes limitrophes

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Rose des ventsLesches-en-DioisLesches-en-Diois,
Val-Maravel
Val-Maravel,
La Beaume(Hautes-Alpes)
Rose des vents
CharensNLa Beaume
(Hautes-Alpes)
O   Beaurières   E
S
CharensValdrômeLes Prés

Relief et géologie

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La commune est située au fond d'une vallée. Le relief est accidenté et les plaines sont rares.

Sites particuliers :

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Géologie

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Hydrographie

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Deux cours d’eau se rejoignent en aval du village :

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat d'Auvergne-Rhône-Alpes etClimat de la Drôme.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat méditerranéen altéré, selon une étude duCNRS s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[4]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de9,7 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 997 mm, avec 8,2 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deValdrôme à 7 km àvol d'oiseau[6], est de10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 065,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Beaurières est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10].Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (78,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,7 %), prairies (3,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Quartiers, hameaux et lieux-dits

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Site Géoportail (carteIGN)[15] :

Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :

  • En 1891, le rocherl'Aiglier est attesté[16].

Logement

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Projets d'aménagement

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Voies de communication et transports

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Le territoire communal est traversé par la route ducol de Cabre qui relieValence etDie auxHautes-Alpes et auBriançonnais vers l'Italie, correspondant à laroute départementale 93.

Au sud-ouest, laRD 306 relie la route Valence – Gap aux sources de la Drôme, versLes Prés etValdrôme. LaRD 150 relie le centre du village à Val-Maravel et laRD 175 à Lesches-en-Diois[17].

La ligne ferroviaire deLivron à Aspres-sur-Buëch traverse la commune. À l'est, un tunnel, creusé entre 1886 et 1891 et long de 3 764 m, permet de passer de la Drôme aux Hautes-Alpes[18].

Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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Article connexe :Risque sismique dans la Drôme.
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Autres risques

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Toponymie

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Attestations

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[19] :

Étymologie

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Ce toponyme dériverait de l'ancienoccitanbevre lui-même dérivé du gauloisbebros signifiant « castor », le lieu étant propice pour les colonies de castors[réf. nécessaire].

Histoire

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Article connexe :Histoire de la Drôme.

Préhistoire et protohistoire

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Trouvailles de l'Âge du Bronze[21].

Du Moyen Âge à la Révolution

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La seigneurie[19] :

  • Au point de vue féodal, Beaurières était une terre (ou seigneurie) du fief des comtes du Diois puis des évêques de Die.
  • Elle faisait partie de la seigneurie de la vallée de Thorane (voir plus bas : Les Tours) appelée par la suite baronnie de Beaurières.
  • MilieuXIIe siècle : elle passe (par alliance) auxAgoult.
  • 1603 : Beaurières est vendue aux Armand de Lus.
  • Elle est léguée aux La Tour.
  • 1675 : elle est vendue aux Ponnat, derniers seigneurs.

Dès le milieu du seizième siècle, la réforme s'installe à Beaurières, en même temps qu'à Lesches, Fourcinet, La Bâtie Crémesin et Valdrôme (où une église est fondée dès 1561[22]). Ainsi à l'époque de l'Édit de Nantes, 100% de la population du village était protestante[23]. Le village souffre du sursaut catholique conduisant à larévocation de l'Édit de Nantes et le culte protestant y est interdit dès 1684[24]. Sa population protestante diminue alors de moitié en 70 ans (100% de «nouveaux convertis» en 1689, 47% de protestants en 1760[25]).

Avant 1790, Beaurières était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die. Son église, dédiée à saint Pierre, fut remplacée auXVIIe siècle par celle du prieuré dont le titulaire avait les trois cinquièmes des dîmes ; le surplus appartenait à l'évêque diocésain (voir plus bas : Le Prieuré-Notre-Dame)[19].

Le Prieuré Notre-Dame

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[26] :

Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoît, sous le vocable de Notre-Dame-d'Auton. Son titulaire était collateur et décimateur dans la paroisse de Beaurières[26].

Les Tours

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[27] :

Ces ruines sont celles de l'ancien chef-lieu féodal du mandement deTouranne ('Toranne,la Val do Thoranne) qui ne comprenait auXIIe siècle que la paroisse de Beaurières, et dans lequel entrèrent ensuite celles de la Bâtie-Cramezin, Fourcinet et le Pilhon.

La seigneurie :

De la Révolution à nos jours

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En 1790, la commune est comprise dans le canton de Valdrôme. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans celui de Luc-en-Diois[19].

Entre 1885 et 1894, la construction de laligne de chemin de fer entre Die et Aspres-sur-Buëch conduit à un afflux d'étrangers, principalement piémontais. S'installent alors le long du parcours plusieurs camps de chantiers notamment à Beaurières. Cet afflux d'étrangers ne se fait pas toujours sans heurts, entre ouvriers et population locale mais aussi entre ouvriers piemontais et ouvriers ardéchois[28]. Les mauvaises conditions d'hygiène favorisent les épidémies. Ainsi la commune de Beaurières fait état de cent quatre décès pour la seule année de 1887[29]. En juin de cette même année, une explosion dans letunnel du col de Cabre fait plusieurs blessés dont une vingtaine graves et 7 morts[30].

Politique et administration

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Tendance politique et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Article connexe :Élections municipales en France.
Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
17901871?  
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
18711874?  
18741878?  
18781884?  
18841888?  
18881892?  
18921896?  
18961900?  
19001904?  
19041908?  
19081912Alfred Eydoux  
19121919?  
19191925?  
19251929?  
19291935?  
19351945?  
19451947?  
19471953?  
19531959Pierre Nal  
19591965André Reynaud  
19651971André Reynaud  
19711977André Reynaud  
19771983prénom? Lévy  
19831989Lévy  
19891995Lévy puis Pascal Eydoux  
19952001Pascal Eydoux  
20012008Pascal Eydoux  
20082009 (oct.) (décès)Hélène Veyrier  
2009 (oct.)
(élection ?)
2010Pascal Eydoux  
2010 (mars)
(élection ?)
2014Pascal Eydoux  
20142020Bernard Russier(sans étiquette)expert-comptable
2020En cours
(au 22 janvier 2021)
Gabriella Molina[31][source insuffisante]  

Rattachements administratifs et électoraux

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Politique environnementale

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Finances locales

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Jumelages

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2022, la commune comptait 78 habitants[Note 1], en évolution de +6,85 % par rapport à 2016 (Drôme : +2,64 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
259272333273300375377390371
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
3603963903744054261 498768425
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
410395339310304325270261200
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620072012
1431601011149765838586
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20172022-------
6778-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puisInsee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le pic observé en 1886 et, dans une moindre mesure en 1891, provient de la construction durant cette période de laligne de chemin de fer de Die à Veynes[36].

Services et équipements

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Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Santé

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Manifestations culturelles et festivités

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  • Fête : le second dimanche de juin[21].
  • Fête : le premier samedi après le 15 août.

Loisirs

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  • Des dizaines de kilomètres de sentiers existent, pour la marche ou le VTT. Le trial, encore pratiqué il y a quelques années sur les nombreux sentiers et parties de GR, y est désormais interdit[réf. nécessaire].
Depuis le village, il est possible d'emprunter l'ancien chemin qui conduisait au village de Fourcinet, et qui traverse le site du prieuré où subsistent derrière les ruines d'une antique demeure, les vestiges de l'abside de l'église du monastère disparu[réf. nécessaire].
Plus haut, la route du relais vers la Fontaine de l'Ange traverse de grandes forêts de résineux, pour déboucher tout en haut sur les crêtes[réf. nécessaire].

Sports

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Médias

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Le village a été raccordé au réseau ADSL. Il est également couvert par les réseaux de téléphones mobiles depuis 2009[réf. nécessaire].

Cultes

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L'église et la communauté catholique de Beaurières sont rattachées à laparoisse Saint-Marcel en Diois, laquele couvre 37 communes et dépend duDiocèse de Valence[37].

Beaurières sonne deux fois l'heure : une fois avec la cloche de l'église et une fois avec celle du temple[réf. nécessaire].

Économie

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Agriculture

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En 1992 : bois, pâturages (ovins)[21].

  • Foires : les 26 avril et 1er septembre[21].

Le dernier agriculteur traditionnel a cessé son activité au début des années 1990[réf. nécessaire].

La commune compte un élevage de moutons en « agriculture biologique » et un éleveur de chèvres en production fromagère[réf. nécessaire].

Commerce

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La commune a déployé beaucoup d'efforts pour maintenir l'activité du boulanger. Après plusieurs échecs, un nouveau boulanger s'est installé en 2007. Il offre outre le pain, des produits d'épicerie, et maintient ainsi une indispensable animation commerciale. Il assure également des livraisons à domicile dans le Haut-Diois et dans les communes voisines des Hautes-Alpes[réf. nécessaire].

Artisanat

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La commune possède un artisan maçon[réf. nécessaire].

Industrie

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La commune possède une entreprise de bâtiment et travaux publics[réf. nécessaire].

Tourisme

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  • Village pittoresque sur le Maraval[21].
  • Site au confluent du Maraval et de la Chauranne[21].
  • Route pittoresque et vues du col de Cabre (1180 m)[21].
  • La commune, dans les années 1990, créa un centre de vacances situé en bordure est de son territoire. À l'origine destiné principalement à l'accueil des handicapés, il s'adressa très vite à une clientèle plus large, tout en conservant sa vocation première. La SARL Chanteduc propose désormais l'accueil et l'hébergement dans 12 chalets de loisirs et un camping de 22 emplacements ombragés[réf. nécessaire].

Revenus de la population et fiscalité

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Emploi

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le Temple
  • Château, en partie détruit. Les trois tours restantes, coupées par la pente du toit reconstruit, donnent à la bâtisse un aspect solide. Au milieu du château existe un escalier en colimaçon avec des marches d'une grande portée[réf. nécessaire].
  • Église catholique Sainte-Anne de Beaurières (origine gothique)[21]), en surplomb du village.
  • Temple protestant (style classique)[21]), en son centre, construit par le pasteur Roman[réf. nécessaire].
  • Relais des Hospitaliers au col de Cabre[21].
  • Ruines du prieuré Notre-Dame d'Auton[21].

Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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  • Le marais des Bouligons (espace naturel sensible géré par les services du Conseil Général de la Drôme) s'étend sur près de deux kilomètres le long de la rivière Drôme. Jadis l'éboulement d'énormes blocs rocheux au site du « claps » provoqua la formation de deux lacs que les habitants du lieu mirent plusieurs siècles à assécher, le marais en est le vestige et reste aujourd'hui une réserve naturelle[réf. nécessaire].
  • Des sentiers balisés traversent une forêt de hêtres sur le côté sud de la commune[réf. nécessaire].
  • Les marnes calcaires, et leur paysage lunaire, font aussi partie des curiosités locales[réf. nécessaire].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Beaurières possède des armoiries dont l'origine et leblasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Maravel (V4200640) »(consulté le).
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Chauranne (V4200660) »(consulté le).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau du Tuile (V4201160) »(consulté le).
  4. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  6. « Orthodromie entre Beaurières et Valdrôme », surfr.distance.to(consulté le).
  7. « Station Météo-France « Valdrôme », sur la commune de Valdrôme - fiche climatologique - période 1991-2020 », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  8. « Station Météo-France « Valdrôme », sur la commune de Valdrôme - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.fr,(consulté le).
  10. « La grille communale de densité », surle site de l’Insee,(consulté le).
  11. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », surinsee.fr,(consulté le).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surinsee.fr,(consulté le).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  15. https://www.geoportail.gouv.fr/
  16. J. Brun-Durand,Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale,(lire en ligne), page 2 (L'Aiglier).
  17. Carte de Beaurières surGéoportail.
  18. « Inventaire des Tunnels Ferroviaires de France : Col de Cabre »[PDF], surtunnels-ferroviaires.org(consulté le).
  19. abc etdJ. Brun-Durand,Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale,(lire en ligne), page 30 (Beaurières).
  20. Ernest Nègre,Toponymie générale de la France, page 266,(ISBN 2600028838).
  21. abcdefghij etkMichel de la Torre,Drôme, le guide complet de ses 371 acommunes, Paris, Deslogis-Lacoste,(ISBN 2-7399-5026-8), Beaurières.
  22. M. Dubesset, « Un résumé de l'histoire de la haute vallée de la Drôme jusque vers 1800 »,Bulletin trimestriel de l'association universitaire d'étude drômoise,no 43,‎,p. 18(lire en ligne)
  23. Richard Maltby, « La résistance, une tradition protestante dans la Drôme de 1545 à 1793 »,Études Drômoises,no 16,‎,p. 4(lire en ligne)
  24. Par arrêté du 17 janvier 1684 (Pierre Blet, « Le conseil d'État et les protestants de 1680 à 1685 »,Bibliothèque de l'École des chartes,nos 130-1,‎,p. 153(lire en ligne)
  25. Dubesset 1977.
  26. a etbJ. Brun-Durand,Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale,(lire en ligne), page 291 (Le Prieuré-Notre-Dame).
  27. J. Brun-Durand,Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale,(lire en ligne), page 393 (Les Tours).
  28. Christian Rey, « De sang et de sueur : Quelques aspects particuliers de la construction du chemin de fer auXIXe siècle »,Chroniques du Diois,no 3,‎(lire en ligne), p. 6 et 7
  29. Rey 2005,p. 8.
  30. Rey 2005,p. 9.
  31. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », surmairesdeladrome.fr.
  32. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  36. E. Sauvan, « L'évolution économique du Haut-Diois »,Revue de Géographie Alpine,nos 9-4,‎,p. 554(lire en ligne)
  37. Site valence.cef.fr, page sur la paroisse Paroisse Saint Marcel en Diois.
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