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Bayonvillers

49° 51′ 44″ nord, 2° 37′ 40″ est
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bayonvillers
Bayonvillers
La mairie.
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionHauts-de-France
DépartementSomme
ArrondissementPéronne
IntercommunalitéCC Terre de Picardie
Maire
Mandat
Xavier Palpied
2020-2026
Code postal80170
Code commune80058
Démographie
GentiléBayonvillois
Population
municipale
337 hab.(2022en évolution de −2,6 % par rapport à 2016)
Densité42 hab./km2
Géographie
Coordonnées49° 51′ 44″ nord, 2° 37′ 40″ est
AltitudeMin. 82 m
Max. 95 
m
Superficie8,1 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionAmiens
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Moreuil
Législatives5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Bayonvillers
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Bayonvillers
Géolocalisation sur la carte :Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Bayonvillers
Géolocalisation sur la carte :Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Bayonvillers
Liens
Site webhttp://www.bayonvillers.fr
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Bayonvillers est unecommune française située dans ledépartement de laSomme enrégionHauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Bayonvillers est un villagepicard de l'Amiénois et de la région naturelle duSanterre.

À vol d'oiseau[Note 1], la commune est située à 8 km au nord-ouest deRosières-en-Santerre[1], 8 km à l'est deVillers-Bretonneux[2], 10 km au sud-est deCorbie[3], 16 km au sud d'Albert[4], 24 km à l'est d'Amiens[5], 47 km à l'ouest deSaint-Quentin[6] et à 49 km au sud-ouest d'Arras[7].

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes.

Les communes limitrophes sontCerisy,Guillaucourt,Harbonnières,Lamotte-Warfusée,Morcourt etWiencourt-l'Équipée.

Carte
Le territoire de la commune et ses communes limitrophes[Note 2].

Géologie et relief

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La plus grande partie du territoire est constituée des couches argileuses dulimon des plateaux. En dessous, se trouve unecraie blanche ou jaune selon les endroits[8],[9].

Le pays est plat, légèrement ondulé au sud[8].

Hydrographie

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La commune est située dans lebassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Bayonvillers[Note 3].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat des Hauts-de-France etClimat de la Somme.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[10]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[11]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique[12] et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[13]. Elle est en outre dans lazone H1a au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[14],[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,3 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 682 mm, avec11,4 jours de précipitations en janvier et8,5 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deRouvroy-en-Santerre à12 km àvol d'oiseau[16], est de10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[17],[18]. La température maximale relevée sur cette station est de41,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de−17,5 °C, atteinte le[Note 4].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Bayonvillers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19].Elle est située hors unité urbaine[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[20]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d'occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (94,5 %), zones urbanisées (5,5 %)[23]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voie de communication et transports

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La commune est desservie par l'ancienneroute nationale 29 (actuelle RD 1029), elle est traversée par l'Autoroute A29 (France)

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbainTrans'80, Hauts-de-France (ligneno 47)[24].

Toponymie

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Baienvillers est produit en 1147,Baconvillers etBayenvillers en 1301. Puis,Bayonvilliers en 1567 ; la forme actuelle,Bayonvillers, est attestée dès 1710[8].

Le nom Bayonvillers est de formation germano-romane, Villers provient de nom latin,villa signifiant domaine rural puisvillare signifiant une partie d'un domaine démembré. Bayo (Baio) dérivait du nom germanique d'un propriétaire du domaine[25].

D'après la légende, Bayonvillers tirerait son nom d'un seigneur nommé Bayon quesaint Quentin aurait guéri de lalèpre[26],[8].

Histoire

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Antiquité

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Des armes de pierre et des monnaiesgallo-romaines ont été trouvées sur le territoire[8].

Lavoie romaine Amiens - Saint-Quentin traverse le village (RD 1029)[27]. Les traces d'unevilla gallo-romaine ont été retrouvées au lieu-ditle Chêne[28].

Selon la tradition catholique,saint Quentin qui parcourait la région à la fin duIIIe siècle, rencontra une femme qui lui proposa de porter la tunique de son maître nommé Bayon. Saint Quentin accepta et du fait, Bayon fut guéri de la lèpre[29].

Moyen Âge

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Dès 1171, l'église est mentionnée[8].

La collégialeSaint-Firmin d'Amiens nommait à lacure. Nicolas Quesnel, bienfaiteur des pauvres, tient la cure en 1599[8].

Laseigneurie dépendait duchapitre deSaint-Quentin[8].

Époque moderne

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Des souterrains oumuches ont servi de refuge aux habitants en 1636, lors des invasions espagnoles[8].

Dès 1701 et peut-être même avant, le village a son école[8].

Époque contemporaine

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Les biens du clergé vendus à laRévolution française commebiens nationaux sont alors achetés par les fermiers locaux[8].

À la fin de l'épopée napoléonienne, lesCosaques ont occupé le pays en 1814-1815[8].

Article connexe :Occupation de la France à la fin du Premier Empire.

Lors de laGuerre franco-allemande de 1870 et pendant l'occupation qui a suivi, l'armée allemande a effectué de nombreuses réquisitions. Sur les 30 jeunes du village qui ont combattu, deux sont morts, un a été blessé[8].

Durement éprouvé pendant laPremière Guerre mondiale[30], le village a été décoré de laCroix de guerre 1914-1918 le[31].

Article détaillé :Croix de guerre 1914-1918 des communes de la Somme.

Des vestiges de la guerre sont encore retrouvés de nos jours dans le village[32].

Articles connexes :Croix de guerre 1914-1918 des communes de la Somme etReconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.

Politique et administration

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Rattachement administratifs et électoraux

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La commune se trouvait de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier dudépartement de la Somme. Par arrêté préfectoral du, la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Péronne[33]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de lacinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1801 ducanton de Rosières-en-Santerre[34]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée aucanton de Moreuil.

Intercommunalité

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La commune faisait partie de lacommunauté de communes du Santerre créée le.

Dans le cadre des dispositions de laloi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveauschéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[35].

Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et duSanterre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[36],[37],[38]. À la suite de l'avis favorable de lacommission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[39], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le[40].

Cette procédure aboutit à la création au de lacommunauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[41].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[42]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 20012008Jean-François Dessaint  
mars 2008[43]2014Dominique Terrier  
2014[44]mai 2020[45]Mme France Chlon-David responsable communication et événementiel aupôle métropolitain du Grand Amiénois
mai 2020[46]en cours
(au 31 mars 2021)
Xavier Palpied  

Population et société

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Démographie

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Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[48].

En 2022, la commune comptait 337 habitants[Note 6], en évolution de −2,6 % par rapport à 2016 (Somme : −1,26 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
762495792831880910943937925
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
885877853858849846805712682
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
624601520462457457434401399
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620072012
391368288295269345355357355
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20172022-------
340337-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puisInsee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique
Article connexe :Exode rural dans la Somme.

Enseignement

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Les communes de Bayonvillers,Lamotte-Warfusée etGuillaucourt se sont associées au sein d'unregroupement pédagogique intercommunal qui gère le fonctionnement des écoles primaires[50].

À la fin de l'année scolaire 2018-2019, l'école de Bayonvillers a fermé[51]. Fin 2020 et début 2021, le mobilier est vendu sur internet, la commune envisage de vendre l'école et le logement communal[52],[53].

Culture

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L'estaminet est un lieu associatif destiné à rassembler les habitants autour de projets artistiques et de rendre accessibles toutes les créations artistiques[54].Depuis 2005, ce café associatif maintient du lien social dans le village[55].

Autres équipements

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  • La salle communale.
    La salle communale.
  • Plateau sportif communal.
    Plateau sportif communal.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Étienne[56]: au chevet de l'église, se trouve un calvaire en bois peint au décor sculpté représentant, entre autres, les instruments de la passion. Le christ en croix duXVIe siècle[57] est abrité par un demi-dôme en forme de cloche. Le calvaire est protégé en tant quemonument historique au titre d'objet : classement par arrêté du 12 janvier 2004[58]. Le clocher en brique flanque le côté nord de la nef. À l'intérieur se trouvent un maître-autel en bois sculpté avec unretable destyle Louis XIV, des fonts baptismaux en marbre blanc...
Article détaillé :Église Saint-Étienne de Bayonvillers.
  • Monument aux morts
Article connexe :Liste de monuments aux morts français surmontés d'un coq.
  • Chapelle Notre-Dame-de-Liesse: reconstruite en 1840 et 1938. Elle aurait marqué le passage des pèlerins se rendant à Liesse, dès le Moyen Âge[59].
  • L'église Saint-Étienne et le cimetière.
    L'église Saint-Étienne et le cimetière.
  • Monument aux morts
    Monument aux morts

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • AbbéPaul Decagny,Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, Amiens, Société des Antiquaires de Picardie, 1865, réédition partielleBray-sur-Somme et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse, Res Universis,p. 149 à 151(ISBN 2 - 87 760 - 446 - 2).
  • Léon Gaudefroy,Monographie de Bayonvillers, 1905, Yvert et Tellier , rééd. la Vague verte,(ISBN 978 2 35637 054 9)

Articles connexes

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Liens externes

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  • Carte spéciale des régions dévastées : 12 SE, Amiens [Nord-Est], Service géographique de l'armée,(lire en ligne), lire en ligne surGallica.

Notes et références

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Notes

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  1. Du centre du chef-lieu de la commune.
  2. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  3. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  4. Les records sont établis sur la période du au.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

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  1. « Réseau hydrographique de Bayonvillers » surGéoportail(consulté le 25 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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  1. « Orthodromie entre Bayonvillers et Rosières-en-Santerre », surfr.distance.to(consulté le)
  2. « Orthodromie entre Bayonvillers et Villers-Bretonneux », surfr.distance.to(consulté le)
  3. « Orthodromie entre Bayonvillers et Corbie », surfr.distance.to(consulté le)
  4. « Orthodromie entre Bayonvillers et Albert »
  5. « Orthodromie entre Bayonvillers et Amiens », surfr.distance.to(consulté le)
  6. « Orthodromie entre Bayonvillers et Saint-Quentin », surfr.distance.to(consulté le)
  7. « Orthodromie entre Bayonvillers et Arras », surfr.distance.to(consulté le)
  8. abcdefghijkl etmNotice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Douay,1er mars 1899,Archives départementales de la Somme, Amiens
  9. La notice de M. Douay, instituteur, sur le site des Archives départementales de la Somme.
  10. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  11. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  12. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  14. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le).
  15. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  16. « Orthodromie entre Bayonvillers et Rouvroy-en-Santerre », surfr.distance.to(consulté le).
  17. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre », sur la commune de Rouvroy-en-Santerre - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le).
  18. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre », sur la commune de Rouvroy-en-Santerre - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  19. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  20. a etbInsee, « Métadonnées de la commune de Bayonvillers ».
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », surle site de l'Insee(consulté le).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  24. « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  25. Charles Rostaing,Les Noms de lieux, Paris, Presses universitaires de France, 1969,p. 71 à 76
  26. Léon Gaudefroy,Monographie de Bayonvillers, 1905.
  27. « Photo aérienne de Roger Agache, 1964 », noticeno ARR22_6480852ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mémoire,ministère français de la Culture.
  28. « Photo aérienne de Roger Agache, 1964 », noticeno ARR22_6480855ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mémoire,ministère français de la Culture.
  29. AbbéPaul Decagny,Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, Amiens, Société des Antiquaires de Picardie, 1865, réédition partielleBray-sur-Somme et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse, Res Universis,p. 149-150
  30. Carte spéciale des régions dévastées,document mentionné en liens externes, 1920.
  31. Journal officiel du.
  32. « Munitions retrouvées à Bayonvillers : Description des objets retrouvés dans le jardin de Charlotte Macczak », surblogs.ac-amiens.fr,(consulté le).
  33. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », surprefectures-regions.gouv.fr,(consulté le).
  34. a etbDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s'est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l'occasion d'annoncer la volonté de l'intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre »,Le Courrier picard,‎(lire en ligne).
  36. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental »[doc],Communiqué de presse, Préfecture de la Somme,(consulté le).
  37. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits »,Le Courrier picard,‎(lire en ligne).
  38. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L'annonce a été faite jeudi1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments »,Le Courrier picard, édition du Santerre,‎(lire en ligne).
  39. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI »,Décideurs en région,‎(lire en ligne).
  40. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre »,Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme,nos 2016-031,‎,p. 78-79(lire en ligne[PDF]).
  41. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) »,Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur,(consulté le).
  42. « Les maires de Bayonvillers », surfrancegenweb.org(consulté le).
  43. « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sursomme.pref.gouv.fr,(consulté le).
  44. Ludovic Lascombe, « Quand on est maire, surtout d'un petit village, il faut apprendre à être po-ly-va-lent... et avoir la gnaque » : Haute-Somme - Ils ont été élus en 2014. Trois ans après, ils dressent un 1er bilan. Exemple à Bayonvillers »,Le Courrier picard,‎(lire en ligne, consulté le).
  45. Adeline Collet, « France Chlon-David a présenté ses derniers vœux à la tête de Bayonvillers »,Le Courrier picard,‎(lire en ligne, consulté le)« France Chlon-David, 44 ans, responsable communication et événementiel au pôle métropolitain du Grand Amiénois, a commencé sa carrière politique à Bayonvillers dès son arrivée dans la commune, il y a 12 ans. « Le maire m'a tout de suite proposé d'entrer au conseil municipal et d'être adjointe », rapporte-t-elle. En 2014, elle se présente pour être édile et est élue ».
  46. « Liste des élus de la Somme » [ods],Listes des élus, Préfecture de la Somme,(consulté le).
  47. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  48. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  49. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  50. LeCourrier Picard, « Carte scolaire, ils restent mobilisés », dimanche 25 février 2018,p. 8.
  51. « Vent de tristesse à Bayonvillers et Guillaucourt : C'est fini. Les deux communes ont perdu la bataille de leur école. L'émotion était à son comble en ce dernier jour de classe, vendredi 5 juillet »,Le Courrier picard,‎(lire en ligne, consulté le).
  52. Martin Levissse, « L'ancienne école de Bayonvillers est mise en vente : Alors que les enfants ne viennent plus entre les murs de l'école de Bayonvillers depuis 2019, la mairie a décidé d'organiser une visite collective ce 23 janvier. L'objectif : retrouver les anciens élèves et faire visiter les murs aux potentiels acquéreurs »,Le Courrier picard,‎(lire en ligne, consulté le).
  53. « Nouvelle vente aux enchères à Bayonvillers : Cette fois, les acheteurs trouveront du mobilier, mais aussi des livres »,Le Courrier picard,‎(lire en ligne, consulté le).
  54. Aude Colina, « L'estaminet de Bayonvillers change de mains : Devenu le point de rencontre du village de 350 habitants, l'Estaminet soufflera ses huit bougies avec les membres de l'association La Cerise sur le plateau, et plus sous l'égide des Pêcheurs de lune »,Le Courrier picard,‎(lire en ligne, consulté le).
  55. Carla Bastoni, « Quand les cafés associatifs redonnent vie aux villages »,Courrier picard,‎,p. 16.
  56. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Bayonvillers (Canton de Rosières). d'après nature, 26 sept. 1867 »,Documents numérisés, fonds Macqueron,, Bibliothèque municipale d'Abbeville(consulté le).
  57. « Croix : Christ en croix », noticeno PM80001636, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Palissy,ministère français de la Culture.
  58. « Base Palissy ».
  59. André Guerville,Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart,coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p.,p. 243.
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