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Batoumi

41° 39′ nord, 41° 39′ est
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Batoumi
ბათუმი
Blason de Batoumi
Héraldique
Drapeau de Batoumi
Drapeau
Administration
PaysDrapeau de la GéorgieGéorgie
SubdivisionAdjarie
MaireGuiorgui Ermakov
Indicatif téléphonique+995
Démographie
Population152 839 hab.(2014[1])
Densité2 354 hab./km2
Géographie
Coordonnées41° 39′ nord, 41° 39′ est
Altitudem
Superficie6 494 ha = 64,94 km2
Histoire
FondationVIIIe siècle av. J.-C.
Première mentionIVe siècle av. J.-C.
StatutVille depuis 1866
Ancien(s) nom(s)Bathys
Localisation
Géolocalisation sur la carte :Géorgie
Voir sur la carte topographique de Géorgie
Batoumi
Géolocalisation sur la carte :Géorgie
Voir sur la carte administrative de Géorgie
Batoumi
Géolocalisation sur la carte :Adjarie
Voir sur la carte administrative d'Adjarie
Batoumi
Liens
Site webwww.batumi.ge
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Le port de Batoumi en 1881.
Le port de Batoumi en 2006.
Baie de Batoumi et mer Noire.

Batoumi (engéorgien :ბათუმი,/bɑ.tʰu.mi/) est une ville deGéorgie, capitale de larépublique autonome d'Adjarie détachée de l'ancienne région historique deGourie, et ayant le statut de ville depuis 1878, avec une population estimée à 154 600 habitants le selon l'Office national des statistiques de Géorgie[2].

Géographie

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Elle est située à 5 m d'altitude et à 372 km à l'ouest deTbilissi, sur les rives de la mer Noire. Sonclimat pontique est doux et humide. C'est le principalportgéorgien, servant de débouché et de porte d'entrée de l'axe ferroviaire et routier qui va jusqu'àBakou et qui relie lamer Noire à lamer Caspienne.

Histoire

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Muraille de laforteresse byzantine de Gonios (« en coin »).
Georges Mazniachvili, président de la « République de Batoumi » proclamée fin 1919 et qui s'unit à la Géorgie après quelques semaines.
Rarissimes timbres de la Poste batoumiote surchargés par l'armée britannique début 1920.

Antiquité

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Bathys (« profonde », engrec),colonieionienne vers500av. J.-C., était autrefois l'une des villes principales deLazique (partie maritime occidentale de la Géorgie) et fut durant lapériode romaine le plus grand port de laprovince du même nom.

Moyen Âge

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À l'époque de lachristianisation, Bathys-Batoumi appartient à la fois à lacivilisation byzantine et aux principautés et royaumescolchidiques etivériens, comme l'on appelait alors les états de la Géorgie.

Période turco-ottomane

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Batoumi est prise par l'Empire ottoman auXVIe siècle ; commence alors son islamisation, qui n'empêche pas la majorité des Batoumiotes de rester chrétiens, de languespontique,laze ougéorgienne.

AuXVIIe siècle, la côte est infestée de piratescircassiens que le pouvoir tente vainement de juguler auXVIIIe siècle sous le commandement du général Ferah Ali Pacha[3].

Période russe

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Le,au début de laguerre de Crimée, le généralottomanAbdi Pacha s'empare de la forteresse russe de Saint-Nicolas située au nord de la ville.

À la suite de laguerre russo-turque de 1877-1878, Batoumi, l'Adjarie et la région deKars deviennentrusses par letraité de San Stefano, et un échange de population a lieu : des dizaines de milliers de musulmans quittent la région cédée pour l'Empire ottoman, tandis que 100 000 Grecspontiques s'installent dans l'empire russe, dont à Batoumi, où ils se consacrent au commerce maritime de céréales et de produits miniers[4].

La population arménienne aussi prend une place particulière dans la ville au début de l'ère russe : c'est un lieu d'immigration ouvert grâce au développement du commerce. Dans l'industrie citadine tout comme dans le commerce, apparait une bourgeoisie commerçante arménienne. Les paysans de cette nation rejoignent aussi la ville, et une classe ouvrière s'y forme, qui constitue une des bases du mouvement révolutionnaire et national arménien (le mouvementhintchak s'y implante en 1890)[5]. Au début duXXe siècle, du pétrole est extrait près de la ville[6], et 20 % à 30 % des ouvriers de ce secteur seraient arméniens[5].

La période russe marque le début du développement du tourisme dans la ville, tout comme le long de l'ensemble de la « Riviera » de lamer Noire[7]. La récolte de thé compte aussi parmi les activités de la ville[8].

La fondation du fameuxjardin botanique de Batoum par lebotanisteAndreï Krasnov date de 1880. Il joue un rôle essentiel pour l'acclimatation de plantes subtropicales dans la région.

Le port de Batoumi, vu par le peintre géorgienNiko Pirosmani.

Depuis l'annexion de l'Asie centrale par la Russie, Batoumi devient un des points de passage pour les Juifs venant de cette région et voulant se rendre enTerre promise[9].

En 1907, Batoumi devient le débouché portuaire de l'oléoduc de Bakou à Batoumi et un des principaux ports pétroliers du monde.

Première Guerre mondiale

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Avec le délitement des empires russe et ottoman, et le retrait des troupes russes de la région duPont en 1917, peu avant legénocide grec pontique : plusieurs dizaines de milliers deGrecs deKars-Andachan fuient vers Batoumi, craignant la volonté des autorités turques de chasser ou exterminer les populations chrétiennes[4]. Batoumi devient alors une ville à majoritépontique.

Au cours de laPremière Guerre mondiale, les Ottomans revendiquent la région de Batoumi afin de revenir à leurs frontières de 1877, mais lesAllemands sont réticents à cette exigence, et envoient dans la ville legénéral von Lossow afin de dissuader leur allié turc[10]. En effet, les Allemands préfèrent avoir une Géorgie indépendante mais alliée du Reich, plutôt qu'un contact direct entre l'Empire ottoman et la Russie dont l'avenir est incertain depuis laRévolution. Cela n'empêche pas les Ottomans de profiter de laGuerre civile russe pour occuper Batoumi en 1918, ce qui amène les Arméniens et les Pontiques à fuir pour se réfugier enAbkhazie[11]. Le 4 juin 1918, l'empire ottoman y signe avec laRépublique démocratique d'Arménie leTraité de Batoumi qui laisse à la seconde un tout petit territoire autour d'Erevan[12]. Batoumi est évacuée par les Ottomans et les Allemands fin 1919, puis occupée par les Britanniques : une partie des Arméniens et des Pontiques y reviennent. S'établit alors dans la ville un gouvernement connu sous le nom de « République de Batoumi » jusqu'à son union quelques mois plus tard avec laGéorgie.

Période soviétique

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La ville passe sous le contrôle de laRussie soviétique lorsque celle-ci annexe laRépublique démocratique de Géorgie en1921. Ville considérée comme stratégique durant laSeconde Guerre mondiale, l'Allemagne nazie envisageait son annexion directe auTroisième Reich, mais laWehrmacht ne parvint jamais jusqu'à Batoumi. Cela n'empêcha pasStaline dedéporter enAsie centrale lesMeskhètes et lesPontiques de la ville « à titre préventif » : il leur faudra attendre l'année 1986 avec laglasnost et laperestroïka deMikhaïl Gorbatchev pour être autorisés à y revenir ; par ailleurs, au fil des années, lesJuifs batoumiotes quittent la ville pourIsraël, profitant de laloi du retour de ce pays[13]. Bien que la grande synagogue continue à être fréquentée, le recensement de 2002 n'en décompte plus aucun[2].

Depuis l'indépendance

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Lors de ladislocation de l'Union soviétique, en1991, Batoumi devient une villegéorgienne mais reste unebase navale russe : laflotte russe stationnée dans le port le quitte le 13 novembre 2007, selon l'accord convenu lors dusommet de l'OTAN à Istanbul en 2004[14] et signé le 30 mai 2005, avec 2008 pour échéance[15].

En 2011, le président géorgienMikheil Saakachvili annonce vouloir créer plus au nord uneville nouvelle dont l'importance portuaire et la population surpasseraient celles de Batoumi[16],[17] : Lazika.

Cette même année, Batoumi devient le siège de laCour constitutionnelle dans le cadre du déplacement des institutions géorgiennes, qui voit aussiKoutaïssi abriter leParlement[18]. Et de nouvelles constructions, futuristes, apparaissent[19].

Le au soir, unincendie se déclare dans un hôtel 5 étoiles faisant onze morts.

Population

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Évolution démographique

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Recensements (*) ou estimations de la population[20],[2] :

Évolution démographique de Batoumi
1897*1923*1926*1939*1959*
28 50860 81045 45070 01982 328
Évolution démographique de Batoumi, suite (1)
1970*1979*1989*2002*2012
100 603122 815136 609121 806125 800
Évolution démographique de Batoumi, suite (2)
201320142015*2021-
160 000152 839154 100172 100-
Sources[20],[2],[21] :

En 2013, un redécoupage administratif intervient entre Batoumi etKhelvatchaouri. Les données à partir de 2013 concernent Batoumi dans son nouveau découpage. Sans cet évènement, Batoumi aurait 152 839 habitants (2014).

Composition ethnique

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Composition ethnique de Batoumi
AnnéeGéorgiensArméniensRussesGrecsAutresTotalRéf.
1886251817%3 45823.4%2 98220.1%1 66011.2%4 18528.3%14 803
18976 08721.4%6 83924%6 22421.8%2 7649.7%6 59423.1%28 508[22],[23]
19166 48132.4%5 52427.6%4 82524.1%3,19015.9%20 020[24]
192617 80436.7%10 23321.1%8 76018.1%2 8445.9%8 83318.2%48 474
195940 18148.8%12 74315.5%20 85725.3%1 6682%6 8798.4%82 328
2002104 31385.6%7 5176.2%6 3005.2%5870.5%3 0892.5%121 806[25]
2014142 69193.4%4 6363.0%2 8891.9%2890.2%2 3341.5%152 839[26]
Sources[27]:

Économie

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Batoumi est le terminus de la ligne ferroviaire partant deTbilissi. La ville est également unterminal pétrolier d'une capacité de 9 millions de tonnes par an, pour le brut venant des riveskazakhes etturkmènes de lamer Caspienne. Cette situation en fait le principal port géorgien, dont le terminal a conduit au financement par lafamille Rothschild duchemin de fer la reliant àBakou, via Tbilissi, et à son ouverture en 1883[28].

La société Greenoak Holdings Ltd, basée dans lesÎles Vierges britanniques, détenait en 2004 la Compagnie maritime de Batoumi et la majorité des parts du terminal pétrolier de Batoumi[29].

Le secteur de la construction est représenté par la société allemandeHeidelbergCement qui y dispose depuis 2013 d'une unité de production de béton[30].

Tourisme

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L'essor du tourisme des « novoritchis » (nouvellebourgeoisie russe post-soviétique) à Batoumi et Kobouleti a encouragé la construction d'hôtels, casinos et autres lieux de loisirs avec souvent des audaces architecturales modernes qui multiplient lesgratte-ciels et les innovations, à qui se distinguera le mieux dans le paysage urbain.

Religions

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Batoumi est majoritairement orthodoxe mais il y a des minorités musulmane, juive, catholique romaine et arménienne apostolique[31].Tous possèdent des lieux de culte, par exemple : cathédrale de la Vierge Marie, églises duroi Pharnabaze, deSte-Barbe et d'autres plus petites pour les orthodoxes géorgiens, Saint-Nicolas pour les orthodoxes russes, du Saint-Esprit pour les catholiques romains

Transports

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Aéroport International de Batoumi.
Le port de Batoumi.

Batoumi est desservie par l’aéroport international de Batoumi-Alexandre-Kartveli (code AITA), l'un des trois aéroports internationaux du pays.Le nouvel édifice a été inauguré en 2007[32].Il a été construit et il est géré par la sociétéTAV Airports Holding (en) duGroupe ADP.

La ville est équipée d'un système devélos en libre service, le Batumvélo.

Les principaux types de transports publics sont les bus, les minibus et les taxis. Batoumi dispose de bus électriques modernes. L'utilisation du service est possible par BATUMICARD, carte de transport ou cartes de débit/crédit. Les bus relient presque tous les quartiers de la ville.

Leport de Batoumi se trouve sur l'une des routes dupont terrestre eurasien (en) qui fait partie de lanouvelle route de la soie, qui comprendrait une liaison de transport de marchandises vers laChine via l'Azerbaïdjan et lamer Caspienne, et une liaison occidentale par bateau vers L'Ukraine et l'Europe[33].

Culture

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La ville de Batoumi possède un importantjardin botanique et parmi ses monuments la forteresse de Tamara (XIe et XIIIe siècles).

À l'époque soviétique, le théâtre dramatique (1952), l'hôtel Intourist (1939) et le cinéma Tbilissi (1964) sont construits. La ville possède aussi des statues dePouchkine, du poète géorgienVaja Pshavela et deChota Roustaveli.

La ville Batoumi à la fin des années 1920 sous administration soviétique est le cadre du romanLes Gens d'en face deGeorges Simenon paru en1933.

Batoum etLes Menchéviks en Géorgie d'Ossip Mandeldstam évoquent la ville au début des années 1920[34].

Batoumi abrite trois universités, dont l'Université d'État Shota Rustaveli (en).Batoumi a aussi une école d'art et une académie navale.La ville compte de nombreux théâtres et musées.

Sport

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LeFC Dinamo Batoumi, basé dans la ville, joue dans la plus haute ligue du pays, laLigue Erovnuli.

Entre 2018 et 2020, un nouveau stade de football a été construit pour leDinamo Batoumi car l'ancien stade central de Batoumi n'était plus utilisable depuis 2006.Le stade de Batoumi peut accueillir 20 035 personnes[35].

Personnalités liées à la ville

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Personnalités issues de la culture

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Personnalités issues de l'économie

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  • Alexandre Ebralidze, homme d'affaires soviétique puis russe, d'origine géorgienne, y est né en 1955.

Personnalités issues de la politique

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  • Herbert Backe, ministre allemand, y est né en 1896.
  • Aslan Abachidze, homme politique soviétique puis géorgien, ancien président de l'Adjarie, y est né en 1938.
  • Levan Varchalomidze, homme politique géorgien, président de l'Adjarie, y est né en 1972.
  • Irakli Alassania, homme politique géorgien, ancien ministre, y est né en 1973.

Personnalités issues des sciences

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Personnalités issues du sport

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Jumelages

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La ville de Batoumi est jumelée avec[36] :

Carte
Jumelages et partenariats de Batoumi.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Batoumi.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
ArtvinTurquie
Ashdod[37],[38],[39]Israëldepuis le
Ağcabədi[40]Azerbaïdjan
Bari[38]Italiedepuis
Bourgas[38],[41],[42]Bulgariedepuis le
Brest[43],[38],[44]Biélorussiedepuis le
Charm el-Cheikh[38]Égyptedepuis le
Daugavpils[38],[45],[46]Lettoniedepuis le
Donetsk[47],[38]Ukrainedepuis le
Jurmala[38]Lettoniedepuis le
Kislovodsk[38]Russiedepuis le
Kuşadası[38]Turquiedepuis le
La Nouvelle-Orléans[48],[38]États-Unisdepuis le
Le Pirée[38]Grècedepuis le
Marbella[38]Espagnedepuis le
MykolaïvUkraine
Nakhitchevan[38],[49],[50]Azerbaïdjandepuis le
Netanya[38],[51]Israëldepuis
Nysa[38]Polognedepuis
Ordu[38]Turquiedepuis le
Paphos[38]Chypredepuis
Prague 1[38]Tchéquiedepuis
Rio de JaneiroBrésil
Rostock[38],[52]Allemagnedepuis
Saint-Sébastien[38]Espagnedepuis le
Savannah[38]États-Unisdepuis
Ternopil[38]Ukrainedepuis le
Trébizonde[38]Turquiedepuis le
Vanadzor[38],[53],[54],[55]Arméniedepuis le
Vérone[38]Italiedepuis le
Vólos[38]Grècedepuis le
Yalova[38]Turquiedepuis le
Yalta[38]Ukrainedepuis le
ZiboChine
Ürümqi[56],[38]Chinedepuis

Notes et références

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  1. « მოსახლეობის საყოველთაო აღწერა 2014 », საქართველოს სტატისტიკის ეროვნული სამსახური,‎(consulté le)
  2. abc etdOffice national des statistiques de Géorgie : « Population », consulté le 22 novembre 2016
  3. Georges Charachidzé, « Les pirates de la mer Noire »,Comptes-rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres,no 1,‎,p. 261-270(DOI 10.3406/crai.1998.15856,lire en ligne, consulté le)
  4. a etb(fr)Michel Bruneau, « « Territoires de la diaspora grecque pontique ». In:Espace géographique. Tome 23no 3. pp. 203-216 »,(consulté le)
  5. a etbAnahide Ter Minassian, « « Le mouvement révolutionnaire arménien, 1890-1903 ». In:Cahiers du monde russe et soviétique. Vol. 14no 4. pp. 536-607 »,(consulté le)
  6. Zimmermann Maurice, « « Les gisements et la production actuelle du pétrole. » In:Annales de Géographie, t. 19,no 106. pp. 359-366 »,(consulté le)
  7. Durbiano Claudine, Radvanyi Jean, « « Aspects des systèmes touristiques et récréatifs du littoral soviétique de la mer Noire et de la mer Caspienne. Étude comparative avec le littoral méditerranéen français », inMéditerranée, Troisième série, Tome 61, 2-3-1987. Alpes - Caucase. Alpes du sud • Caucase oriental • Crimée. À la mémoire de l'académicien I.P. Gerasimov. pp. 133-147 »,(consulté le)
  8. Durbiano Claudine, Radvanyi Jean, « « Russie d'Europe ». In:Annales de Géographie.XIe Bibliographie Géographique Annuelle, 1901. pp. 137-143 »,(consulté le)
  9. Catherine Poujol, « « Les relations entre l'Asie Centrale et la Palestine ou les voies d'un sionisme affectif : 1793-1917 », inCahiers du monde russe et soviétique, vol. 32no 1. En Asie Centrale soviétique Ethnies, nations, États. pp. 33-42 »,(consulté le)
  10. Igor Delanoë, « « Le bassin de la mer Noire, un enjeu de la Grande Guerre en Méditerranée »,Cahiers de la Méditerranée, 81 », 15 juin 2011 (mise en ligne)(consulté le)
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  12. Claude Mutafian et Éric Van Lauwe,Atlas historique de l'Arménie, Autrement, coll. « Atlas / Mémoires », 2005(ISBN 978-2746701007).
  13. Бугай Н. Ф., Мамаев М. И. (Nikolaï Feodorovitch Bougaï et M.I. Mamaïev) Турки-месхетинцы: Грузия, Узбекистан, Россия, США 2009|(ISBN 978-5-8125-1210-1) et(ru) « В Госдуму внесён законопроект о дополнительной помощи репрессированным народам »,Взгляд.ru,‎(consulté le) (Projet de loi déposé à la Douma sur l'aide aux peuples déportés).
  14. Florence Mardirossian, « Géopolitique du Sud-Caucase : risques d'exacerbation des rivalités aux confins de la Géorgie, de la Turquie et de l'Arménie »,Outre-Terre, 2/2007, (no 19),pp. 283-302.
  15. Silvia Serrano et Michèle Kahn, « Géorgie 2005 »,Le Courrier des pays de l'Est, 1/2006, (no 1053),pp. 121-134.
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  17. « regard-est.com/home/breve_cont… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  18. Sébastien Maillard, « La Géorgie, une démocratie en chantier », La Croix,(consulté le)
  19. « L’architecture futuriste s’enracine aussi en Géorgie », survice.com(consulté le).
  20. a etb« Recensements et estimations de la population depuis 1897 », surpop-stat.mashke.org
  21. (ka) « მოსახლეობის რიცხოვნობა რეგიონების და თვითმმართველი ერთეულების მიხედვით », Service national de statistique de Géorgie,‎(consulté le)
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  23. « Батумский округ 1897 »[archive du](consulté le)
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  30. (en) « HeidelbergCement opened a new concrete plant in Batumi », surheidelbergcement.com(consulté le)
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  32. Silvia Serrano et Michèle Kahn « L'heure des désillusions »,Le Courrier des pays de l'Est 1/2008 (no 1065),p. 106-119.
  33. ZhaziraDyussembekova, « Silk Road Renewed With Launch of New Commercial Transit Route »,The Astana Times,‎(lire en ligne[archive du], consulté le)
  34. Ossip Mandelstam,Œuvres complètes Tome 2, Paris, Le Bruit du temps / La Dogana,, 735 p.(ISBN 978-2-35873-120-1), p. 127-135 et 167-172
  35. (en) « Batumi Stadium », surstadiumdb.com(consulté le)
  36. Sister Cities
  37. « У Ашдода появился новый город-побратим — Батуми »
  38. abcdefghijklmnopqrstuvwxyzaaabac etad« https://batumi.ge/ge/?page=show&sec=5 »
  39. « https://www.ashdodnet.com/article/49257 »
  40. ზოგადი ინფორმაცია / დამეგობრებული ქალაქები,[lire en ligne].Voir et modifier les données sur Wikidata
  41. « https://www.burgas.bg/index.php?/en/info/index/218 »
  42. « https://www.burgas.bg/bg/pobratimeni-gradove-1 »
  43. « Брест и Батуми стали городами-побратимами »
  44. « https://city-brest.gov.by/города-побратимы-партнеры-бреста/ »
  45. « https://www.daugavpils.lv/en/assets/upload/Daugavpils_majas_lapai_EN_18.pdf »
  46. « https://old.daugavpils.lv/en/46 »
  47. « Город Батуми стал побратимом Донецка »
  48. « https://nola.gov/mayor/news/archive/2018/20180105-pr-mayor-landrieu,-orleans,-france-mayor/ »
  49. « http://e-kitab.nakhchivan.az/QezetSekilleri/PDFQezet%2031.10.2015.pdf »
  50. « http://www.dmfa.nakhchivan.az/index.php/en/english-news/98-013-2017en »
  51. « https://new.netanya.muni.il/News/Pages/Article197.aspx »
  52. « https://rathaus.rostock.de/de/batumi_georgien/278757 »
  53. « https://vanadzor.am/batum/ »
  54. « https://vanadzor.am/qur-qaxaqner/ »
  55. « https://batumi.gov.ge/cities »
  56. « Грузинский Батуми побратался с китайским Урумчи »

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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v ·m
Municipalités
Villes autonomes
Districts d'Abkhazie
1 :Échappe à la souveraineté de la République de Géorgie au profit de la République autoproclamée d'Ossétie du Sud non reconnue par la communauté internationale.
1bis :Échappe en partie à la souveraineté de la République de Géorgie au profit de la République autoproclamée d'Ossétie du Sud non reconnue par la communauté internationale.
2 :Échappe à la souveraineté de la République de Géorgie au profit de la République autoproclamée d’Abkhazie non reconnue par la communauté internationale.
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