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Bataille du lac Régille

41° 52′ 55″ nord, 12° 41′ 50″ est
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Bataille du lac Régille
Description de cette image, également commentée ci-après
Gravure évoquant le lac Régille
Informations générales
Date499 ou
LieuLatium, près deTusculum, au bord du lac Régille
IssueVictoire romaine
Belligérants
République romaineLatins
Commandants
Aulus Postumius Albus
Titus Aebutius Helva
Titus Verginius Tricostus
Aulus Sempronius Atratinus
Titus Herminius Aquilinus
Marcus Valerius Volusus
Publius Valerius Publicola
Marcus Valerius Publicola
Octavius Mamilius[n 1]
Tarquin le Superbe[n 1]
Sextus Tarquin
Titus Tarquin
Lucius Tarquin
Forces en présence
27 000 hommes dont 3 000 cavaliers[n 2]43 000 hommes dont 3 000 cavaliers[n 2]
Pertes
InconnuesMoins de 10 000 survivants, 5 500 sont faits prisonniers[n 2].

Données clés
Coordonnées41° 52′ 55″ nord, 12° 41′ 50″ est

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Labataille du lac Régille est une bataille décisive du début duVe siècle av. J.-C. opposant laRépublique romaine auxLatins confédérés venus soutenir lesTarquins chassés de Rome quelques années plus tôt. La bataille est remportée par ledictateur romainAulus Postumius Albus qui reçoit lecognomen (surnom) deRegillensis. Les Latins vaincus sont contraints d'accepter les clauses d'un traité de paix favorable aux Romains, leFœdus Cassianum, qui réintègre Rome au sein de laLigue latine avec une position dominante.

Les sources

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Parmi les auteurs antiques,Tite-Live etDenys d'Halicarnasse sont les seuls à fournir un récit détaillé de la bataille, de son contexte et de ses conséquences, le premier dans sonHistoire romaine (Ab Urbe Condita), dans le livre II, et le deuxième dans le sixième livre de sesAntiquités romaines. Toutefois, leurs deux versions offrent de nombreuses différences, Denys d'Halicarnasse détaillant davantage les manœuvres durant la bataille et accordant plus de place aux faits légendaires.

Le récit antique

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La guerre contre les Latins

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SelonTite-Live, pendant leconsulat deTitus Aebutius Helva etCaius Veturius Geminus Cicurinus,Préneste, une villelatine, abandonne les Latins et s'allie à laRépublique romaine. Cette défection entraine la déclaration d'une guerre entre Rome et lesLatins, guerre qui se préparait déjà depuis quelques années[a 1]. SelonDenys d'Halicarnasse, la trêve d'une année conclue avec les Latins prend fin l'année du consulat d'Aulus Postumius et deTitus Verginius[a 2]. Le roi en exilTarquin le Superbe appelle son gendreOctavius Mamilius, dirigeant deTusculum, à prendre les armes contreRome[a 3].

Les préparatifs

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Undictateur est alors nommé àRome :Aulus Postumius Albus qui s'adjoint l'un desconsuls commemaître de cavalerie,Titus Aebutius Helva. Selon Denys d'Halicarnasse, l'armée romaine est divisée en quatre. Le dictateur prend la tête de la première partie, la deuxième est confiée à Titus Verginius, la troisième à Aebutius Helva et la dernière àAulus Sempronius. Ce dernier reçoit l'ordre de rester à Rome avec ses troupes en qualité de préfet de la ville[a 4].

Des nouvelles arrivent à Rome annonçant que les Latins se sont mis en campagne et ont pris d'assaut la place forte de Corbion dont la garnison a été massacrée. Les Latins s'en servent dorénavant comme base et lancent des raids depuis le fort. Ils reçoivent des renforts d'Antium et devilles volsques[a 5]. Aulus Postumius Albus prend alors la décision de mener l'infanterie en avant des troupes latines, la rencontre se fait près du lac Régille, sur le territoire deTusculum[a 1], où les Latins ont établi un campement sur un promontoire rocheux. Postumius fait camper son armée à peu de distance, sur une autre colline difficile d'accès[a 6].

Parmi les généraux latins, Denys d'Halicarnasse citeOctavius de Tusculum, gendre ou fils du gendre deTarquin le Superbe, etSextus Tarquin. Ces deux généraux campent d'abord séparément mais finissent par réunir leurs troupes à l'approche des Romains. Titus Verginius rejoint ensuite Postumius mais établit son campement à l'écart de celui du dictateur, comme pour assiéger les Latins[a 6]. Dans le même esprit, Postumius envoie Aebutius Helva prendre position sur les hauteurs sur les arrières des Latins afin de couper leur approvisionnement. Craignant d'être piégés, Sextus Tarquin tente un assaut sur le campement d'Helva mais échoue[a 7]. À la nouvelle de l'arrivée imminente de renfortsvolsque ethernique, Postumius décide de ne plus temporiser et les armées romaines et latines se rangent en ordre de bataille[a 8].Sextus Tarquin se place sur l'aile gauche des Latins et fait face à Titus Aebutius, Octavius Mamilius commande l'aile droite de l'armée latine, face à Titus Verginius et enfin Titus Tarquin se place au milieu, à la tête des exilés romains, face au dictateur Postumius. Les Latins ont divisé leur cavalerie en trois, répartie sur les deux ailes et au centre de leur armée. Denys d'Halicarnasse estime à 27 000 hommes les forces romaines (24 000 fantassins et 3 000 cavaliers) et à 43 000 hommes les forces latines (40 000 fantassins et 3 000 cavaliers)[a 9].

La bataille

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Selon le récit qu'en faitTite-Live, la bataille commence par une charge du vieux roiTarquin le Superbe sur les troupes dudictateur romainAulus Postumius Albus alors que ce dernier vient d'exhorter ses hommes. Tarquin est blessé et évacué du champ de bataille. PourDenys d'Halicarnasse, il ne s'agit pas du roi Tarquin, qui aurait près de 90 ans, mais d'un de ses fils, Titus Tarquin[a 10]. Sur l'autre aile, c'est lemaître de cavalerie qui s'élance contreOctavius Mamilius, les deux s'affrontent en duel. Octavius Mamilius est touché à la poitrine et quitte la bataille tandis queTitus Aebutius Helva est blessé au bras, ne pouvant plus tenir son arme, il doit retourner au camp[a 1],[a 11]. C'est le vieux Marcus Valerius, frère de Publicola, qui prend la place d'Aebutius Helva. Au début, les forces en présence sont équilibrées et la mêlée demeure incertaine[a 12].

Alors que lesLatins présents autour de Titus Tarquin et qui ont assisté à son duel faiblissent, les généraux latins font avancer les cohortes des exilés romains sous le commandement d'un autre fils deTarquin, Lucius Tarquin, ce qui permet de rééquilibrer le combat[a 1] et même de donner l'avantage aux Latins[a 13],[a 1],[a 12]. LeconsulaireMarcus Valerius Volusus, s'élance alors pour combattre le jeune Tarquin qui se trouve au milieu de ses hommes. Ce dernier se replie et Volusus se retrouve isolé au milieu de l'infanterie ennemie. Blessé, emporté par son cheval plus loin encore dans les rangs ennemis, il finit par succomber, ce qui redonne du courage aux cohortes des exilés[a 13]. Publius et Marcus, fils dePublicola et neveu de Marcus Valerius, défendent le corps de ce dernier pour éviter qu'il ne soit dépouillé. Ils sont tués tous les deux[a 14].

L'armée romaine est enfoncée depuis l'aile gauche jusqu'au centre de la ligne par la charge des Latins qui ont repris courage. Ledictateur Postumius, voyant ses troupes faiblir, ordonne à Titus Herminius sous les ordres duquel il place ses troupes d'élite chargées de sa défense et non engagées de traiter tout fuyard romain en ennemi. Une fois que lesRomains cessent de fuir et reforment les rangs, ce corps d'élite s'engage à son tour dans la bataille et encercle le corps des exilés romains qui est défait et mis en fuite[a 13],[a 15].

Le chef latinOctavius Mamilius répond en envoyant ses dernièresmanipules de réserve qu'il commande lui-même pour soutenir ses hommes et repousse les cohortes du dictateur romain. Le consulaireTitus Herminius Aquilinus attaque alors directementOctavius Mamilius qu'il a reconnu au milieu de la mêlée et le tue. Alors qu'il dépouille le général ennemi, il est blessé et ramené au camp où il finit par mourir[a 13],[a 16].

Sextus Tarquin, qui s'est porté sur l'aile gauche de l'armée latine, enfonce l'aile droite des Romains. Le dictateur Postumius rejoint alors la cavalerie romaine, composée de la jeunesse de l'élite romaine, et la persuade de mettre pied à terre afin de remplacer le premier rang et soutenir l'infanterie fatiguée. Les cavaliers obéissent et renversent la tendance, redonnant du courage à l'infanterie romaine. Sextus Tarquin, dans un geste de désespoir, se lance au milieu de la mêlée et est tué[a 16]. Tous ses généraux ayant été tués, l'armée latine ploie et prend la fuite, poursuivie par les cavaliers romains qui sont remontés sur leurs montures. Postumius promet alors des récompenses à qui entrera en premier dans le camp ennemi, vouant un temple à Castor s'il remporte la bataille. Le camp latin, abandonné, est pris rapidement[a 13],[a 17].

L'apparition des Dioscures

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Denys d'Halicarnasse rapporte que selon la tradition, durant la bataille, deux cavaliers d'une grande beauté sont apparus àPostumius et ses troupes. Avançant en avant de la cavalerie romaine, ils prennent part à la bataille contre lesLatins. Le soir même, deux cavaliers de même apparence, vêtus d'habits guerriers, sont aperçus à Rome, sur leForum. Ils mettent pied à terre et se lavent avec l'eau d'unefontaine proche dutemple de Vesta. Alors que des citoyens romains les questionnent sur l'issue de la bataille, ils annoncent la victoire romaine, puis quittent Rome sans qu'on ne les revoie plus. Le lendemain de l'apparition, leSénat reçoit les lettres du dictateur Postumius qui annonce sa victoire et mentionne les deux cavaliers qui sont alors identifiés àCastor et Pollux[a 18].

Les renforts volsques

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Le lendemain de la bataille, alors que Postumius distribue les récompenses aux soldats qui se sont distingués au combat et qu'il offre des sacrifices aux dieux en remerciements pour la victoire, les éclaireurs annoncent l'arrivée d'une arméevolsque, que lesLatins attendaient en renfort. Les soldats romains reprennent les armes et se retranchent dans leurs camps. Les Volsques s'installent sur une hauteur en vue des Romains. Informés de la défaite des Latins, ils tiennent conseil pour décider de la marche à suivre[a 19]. Deux partis s'opposent, l'un favorable à une bataille pour profiter de la fatigue des Romains, l'autre préférant le repli afin de ne pas s'exposer à une armée victorieuse[a 20]. Des ambassadeurs sont envoyés maisPostumius les chasse. Finalement les Volsques retournent dans leur pays sans avoir cherché le combat[a 21].

Les conséquences

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Article connexe :Foedus Cassianum.

LedictateurAulus Postumius Albus et sonmaître de cavalerieTitus Aebutius Helva rentrenttriomphant à Rome. Postumius reçoit lecognomen deRegillensis[a 13]. Il ramène 5 500 prisonniers et utilise le butin amassé pour organiser des jeux et financer la construction d'un temple dédié àCérès,Bacchus etProserpine[a 21].

Les villes latines envoient des ambassadeurs à Rome afin de traiter des clauses d'un nouveau traité. Plusieurs factions se forment parmi lessénateurs, certains prônant la sévérité commeSpurius Cassius Vecellinus, d'autres appellent à la clémence commeTitus Larcius Flavus[a 22]. Postumius opte finalement pour la clémence.Tarquin le Superbe abandonne ses prétentions au trône après cette défaite et, chassé des villes latines, trouve refuge àCumes. Il y meurt quelques années plus tard, en[a 23],[a 24].

Analyse moderne des événements

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Le lac Régille a aujourd'hui disparu, il se trouvait dans l'actuelle vallée de Prataporci.

Le contexte, la bataille et ses conséquences

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Selon la tradition antique, l'année voit l'expulsion desrois et l'institution de laRépublique. Contrairement à ce que laissent penser les versions fournies par les auteurs antiques, il est peu probable que cet événement n'ait concerné que les Romains. Il s'inscrit en fait comme un épisode d'un plus vaste conflit qui a pour théâtre leLatium et voit s'opposer diverses coalitions militaires, surtoutétrusques etlatines[2].

Selon les auteurs antiques,Tarquin le Superbe aurait été chassé de Rome à l'issue d'une crise politique intérieure. Dans son exil, il serait allé trouverPorsenna, chef de la ville étrusque deClusium, qui, en réponse, assiègeRome en. S'ensuivent les exploits légendaires d'Horatius Coclès, deMucius Scaevola et deClélie qui auraient permis à Rome de retrouver son indépendance. Une grande partie de ce récit a été remis en question par les historiens modernes. Bien que l'intervention de Porsenna demeure probable, il n'aurait pas répondu à l'appel de Tarquin. Au contraire, c'est l'offensive des Étrusques qui aurait eu pour conséquence le départ du roi de Rome[3],[4]. À la suite de ce départ, Porsenna occupe un temps la ville[5], avant que ses armées soient défaites dans leLatium face aux Latins aidés d'Aristodème de Cumes. ÀRome, la vacance du pouvoir permet l'institution d'une nouvelle forme de gouvernement qui deviendra laRépublique romaine. Ces événements fragilisent la position de Rome au sein de laligue latine dans laquelle elle occupait jusqu'à présent une position dominante. LesTarquins exilés en appellent alors aux cités latines qui viennent de battre les troupes de Porsenna et qui voient là une bonne occasion de reprendre l'avantage sur Rome[6]. Tarquin se tourne donc versOctavius Mamilius, chef deTusculum[7]. L'alliance, formée à l'aqua Ferentina entre 501 et 498[8], rassemble presque toutes les cités latines, peut-être même la totalité[9]. Il est possible queGabies, liée à Rome par un traité particulier, etPréneste, qui abandonne les Latins pour rejoindre Rome, n'en aient pas fait partie, entraînant peut-être avec elles d'autres villes[8].

Après sa défaite contre les Latins devantAricia, Porsenna s'est replié sur Rome qui accueille ses troupes[a 25] et ne renonce pas à établir son autorité sur le Latium. Aussi, lors de la bataille du lac Régille, les Romains semblent encore disposer de contingents étrusques mis à disposition par Porsenna pour renforcer leur armée, renforts sans lesquels ils n'auraient peut-être pas pu vaincre les Latins coalisés[3]. Cette présence étrusque à Rome pourrait expliquer la présence de noms typiquement étrusques dans lesFastes consulaires entre 506 et[3].

Le récit antique de la bataille mêle les faits épiques aux faits légendaires empruntés à d'autres peuples, laissant douter de son authenticité[10]. Néanmoins, il y a bien eu une confrontation décisive entre lesRomains et lesLatins dont les premiers sont sortis vainqueurs, puisque quelques années plus tard est conclu un traité entre Rome et les Latins, leFœdus Cassianum, par lequel Rome réaffirme sa position dominante au sein de laligue[11]. À la suite de la défaite de leurs alliés, lesTarquins abandonnent toute idée de se rétablir sur le trône et trouvent refuge àCumes[12].

Divergences des récits antiques

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L'année de la bataille diffère selon les auteurs.Tite-Live la situe en, l'année du consulat « de Titus Aebutius et de Caius Veturius »[a 26]. De son côté,Denys d'Halicarnasse donne, quand « Aulus Postumius et Titus Virginius furent faits consuls »[a 27].

Au-delà des problèmes de datations, Tite-Live et Denys d'Halicarnasse rapportent les faits de deux façons différentes. Tite-Live insiste davantage sur les duels à cheval entre les chefs et sur le symbole deconcordia ordinum (« l'entente entre les ordres ») que représente le fait que la cavalerie soit venue renforcer les lignes de l'infanterie. Lesproceres iuventis, en mettant pied à terre et se battant aux côtés des fantassins, partagent les mêmes dangers, acceptant cette égalisation des conditions afin de remporter la victoire pour Rome. Ce détail dans son récit, certainement fictionnel et anachronique, est à mettre en perspective par rapport aux problématiques de l'époque deTite-Live qui a vécu les temps de crise de la fin duIer siècle av. J.-C.[13]

En ce qui concerneDenys d'Halicarnasse, son récit tente de rapprocher la tactique romaine des coutumes helléniques. Il décrit par exemple davantage les escarmouches qui ont précédé la bataille et les manœuvres de la cavalerie qui rappellent celles employées dans l'armée d'Alexandre le Grand[13].

L'intervention légendaire des Dioscures

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L'apparition deCastor et Pollux lors de la bataille et sur leForum fait déjà débat du temps de Tite-Live et de Denys d'Halicarnasse. Deux écoles s'affrontent à ce sujet, les sceptiques et rationalistes d'un côté, parmi lesquels Tite-Live etCicéron[a 28], et les partisans de la religion traditionnelle défendus par Denys d'Halicarnasse[14]. La mention des Dioscures ne paraît pourtant pas anachronique, l'archéologie ayant par exemple confirmé la datation dutemple des Dioscures de Rome, situant sa construction au début duVe siècle av. J.-C.[15] On observe par ailleurs, à la fin duIVe siècle av. J.-C., une augmentation de représentations des jumeaux en Étrurie[16] et l'apparition à Rome au cours de ce même siècle d'une cérémonie annuelle organisée en leur honneur (latransvectio equitum)[17]. Denys d'Halicarnasse s'appuie d'ailleurs sur ce type d'indice pour convaincre de la réalité des faits rapportés[14].

Il est possible que le récit de l'apparition des Dioscures s'inspire de la bataille du fleuve Sagra qui s'est déroulée au milieu duVIe siècle av. J.-C. en Italie méridionale. Cette bataille voit s'affronter les habitants deLocres Epizéphyrienne et les Crotoniates. Ces derniers en appellent auxLacédémoniens qui auraient alors envoyé lesDioscures. Ceux-ci, en apparaissant dans les rangs de l'armée de Locres, décident de la victoire. Cette légende qui concerne laGrande-Grèce a pu être reprise et adaptée par les auteurs s'intéressant à l'histoire romaine[18].

Notes et références

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Notes

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  1. a etbIl paraît peu probable que Tarquin le Superbe ou son gendre Octavius ait pu participer à la bataille, le premier étant presque centenaire et le deuxième ayant au moins 83 ans, selon la chronologie de Varron.
  2. ab etcEstimations fournies par Denys d'Halicarnasse (voirAntiquités romaines, livres VI, VII et XXX).

Références

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  • Sources modernes :
  1. Massa-Pairault 1995,p. 42.
  2. Heurgon 1993,p. 261.
  3. ab etcHumbert 1978,p. 67.
  4. Heurgon 1993,p. 262.
  5. Briquel 2000,p. 143.
  6. Heurgon 1993,p. 262-263.
  7. Briquel 2000,p. 145.
  8. a etbHumbert 1978,p. 66.
  9. Heurgon 1993,p. 263.
  10. Humbert 1978,p. 68.
  11. Heurgon 1993,p. 291-292.
  12. Briquel 2000,p. 146.
  13. a etbMassa-Pairault 1995,p. 37.
  14. a etbSautel 2010,p. 375-390.
  15. Peyre 1962,p. 258.
  16. Massa-Pairault 1995,p. 33.
  17. Viola Siebert 2013.
  18. Peyre 1962,p. 262.
  1. abcd eteTite-Live,Histoire romaine,II, 19.
  2. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 1.
  3. Tite-Live,Histoire romaine,II, 18.
  4. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 2.
  5. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 3.
  6. a etbDenys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 4.
  7. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 5.
  8. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 6-7.
  9. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 7.
  10. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 14-15.
  11. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 16.
  12. a etbDenys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 15.
  13. abcde etfTite-Live,Histoire romaine,II, 20.
  14. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 17.
  15. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 18.
  16. a etbDenys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 19.
  17. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 20.
  18. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 21.
  19. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 23-24.
  20. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 25.
  21. a etbDenys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 30.
  22. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 32-37.
  23. Tite-Live,Histoire romaine,II, 21.
  24. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 40.
  25. Tite-Live,Histoire romaine,II, 14, 8.
  26. Tite-Live,Histoire romaine,II, 19-20.
  27. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,VI, 2-1.
  28. Cicéron,De Natura Deorum, III, 5

Bibliographie

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Auteurs antiques

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Ouvrages modernes

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Voir aussi

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v ·m
DuVe siècle jusqu'au sac de Rome
Du sac de Rome jusqu'au milieu duIVe siècle
Du milieu duIVe au milieu duIIIe siècle
Série Rome antique
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