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Bataille de Budapest

47° 29′ 54″ nord, 19° 02′ 27″ est
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Bataille de Budapest
Description de cette image, également commentée ci-après
Soldats soviétiques à Budapest après la bataille.
Informations générales
DateDu29décembre 1944 au13février 1945
LieuBudapest,Hongrie
IssueVictoire soviétique
Belligérants
Drapeau de l'Allemagne nazie Reich allemand
Drapeau de la Hongrie Royaume de Hongrie
Drapeau de l'URSSUnion soviétique
Drapeau de la Roumanie Royaume de Roumanie
Commandants
Drapeau de l'AllemagneKarl Pfeffer-Wildenbruch
Drapeau de la HongrieIván Hindy
Drapeau de l'URSSRodion Malinovski
Drapeau de l'URSSFiodor Tolboukhine
Drapeau de l'URSSIvan Afonine
Drapeau de la RoumanieTeodor Tulaş
Forces en présence
180 000 (90 000 pour la défense de la ville) entre militaires hongrois et allemands500 000 (170 000 pour l'assaut de la ville) entre Soviétiques et Roumains
Pertes
~ 40 000 civils tués
Estimation basse :
~ 48 000 morts,
~ 51 000 prisonniers,
Estimation haute :
~ 150 000 tués ou prisonniers

Estimation basse :
~ 70 000 tués,
Estimation haute :
~ 160 000 tués

Seconde Guerre mondiale

Batailles

Front de l’Est
Prémices :

Guerre germano-soviétique :

  • 1941 : l'invasion de l'URSS

Front nord :

Front central :

Front sud :

  • 1941-1942 : la contre-offensive soviétique

Front nord :

Front central :

Front sud :

Front nord :

Front central :

Front sud :

  • 1943-1944 : libération de l'Ukraine et de la Biélorussie

Front central :

Front sud :

  • 1944-1945 : campagnes d'Europe centrale et d'Allemagne

Allemagne :

Front nord et Finlande :

Europe orientale :


Front d’Europe de l’Ouest


Campagnes d'Afrique, du Moyen-Orient et de Méditerranée


Bataille de l’Atlantique


Guerre du Pacifique


Guerre sino-japonaise


Théâtre américain

Données clés
Coordonnées47° 29′ 54″ nord, 19° 02′ 27″ est

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Labataille de Budapest (enhongrois :Budapest ostroma) est un siège qui se déroula du29décembre 1944 au13février 1945, au terme duquel lesforces soviétiques etroumaines prirent la ville deBudapest aux soldats de laWehrmacht, auxSSallemands et aux forceshongroises, lors de laSeconde Guerre mondiale. Ce fut l'un des sièges les plus sanglants de la guerre, comparable, du point de vue du nombre de morts, aux sièges deBerlin et deStalingrad. Il s'accompagne dumassacre d'une grande partie de la communauté juive par lesCroix fléchées, alliés hongrois des Nazis.

Situation générale

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Articles connexes :Royaume de Hongrie (1920-1946) etGouvernement d'unité nationale (Hongrie).

À la fin de 1944, la Hongrie demeure l'un des seuls alliés duTroisième Reich. Des efforts désespérés sont donc entrepris pour conserver dans l'alliance allemande ce pays dont les richesses sont nécessaires au Reich et à son effort de guerre, d'autant plus que la dernière raffinerie de pétrole de l'Axe encore intacte se trouve dans le sud-ouest du pays.

Le, l'Allemagne force le régentMiklós Horthy à abdiquer, et à appelerFerenc Szálasi, chef duParti des Croix fléchées (Nyilaskereszt), pour le remplacer.

Ordre de bataille

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Ordre de bataille soviétique

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Les armées soviétiques qui participèrent à cette bataille sont:

- La6e armée de chars de la Garde, sous le commandement de Kravchenko. Elle se trouve au Nord duDanube et mènera une offensive en direction deKomarno entre le 1er et le 12 janvier, ce qui provoquera un repli de la96e division d'infanterie allemande au sud duDanube. Mais l'attaque n'aboutira pas et les forcessoviétiques seront contraintes de retraiter d'une quizaine dekilomètres vers l'Est en raison de contres-attaques allemandes, menées notamment par la20e Panzerdivision.

- La46e armée soviétique, sous le commandement de Chlemine. Elle combat dans le secteur allant deBicske jusqu'auSud duDanube. Elle contrera l'offensive du 4e SS-Panzerkorps deGille autour deBicske et contraindera lesSS au repli de laville dePilisszentkereszt durant l'opération Konrad I. Elle tiendra également le côtéOuest deBudapest durant le siège deBudapest.

- La4e armée de la Garde commandée par Zakharov qui combattra les allemands dans le secteur allant deBicske aZamoly ainsi qu'autour dulac Velence durant l'opération Konrad III (offensive du 18 janvier). Malgré de lourdes pertes et menacée sur ses flancs, la4e armée tiendra la dragée haute aux forces du 4e SS-Panzerkorps et de la6e armée deBalck.

- La57e armée soviétique commandée par Charokine qui combattra les forces allemandes notamment la3e Panzerdivision autour d'Enying.

- La26e armée soviétique avec a sa têteHagen et qui combat les forces allemandes durant l'opération Konrad III autour deSeregelyes qui tombe le20 janvier aux mains desSS avant d'être repoussée auSud de Dunapentele.

- La27e armée soviétique commandée parTrofimenko qui "gardera" la riveEst duDanube face auxAllemands durant l'opération Konrad III.

- Le Groupe d'assaut Budapest sous le commandement d'Afonine qui sera le principalacteur de laconquête deBudapest et de sareddition le13 février 1945.

Ordre de bataille germano-hongrois

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La majeure partie de l'armée royale hongroise s'étant ralliée aurégime qui se met en place à partir du, les troupes qui défendent laville et ses abords sont composées d'unités mixtesallemandes ethongroises.

Unchar allemand àBudapest en.

Elles comptent, sous le commandement deKarl Pfeffer-Wildenbruch,42 divisions d'infanterie, 4 decavalerie, 2brigades mixtescavalerie et engins motorisées, 9divisions blindées et 4divisions motorisées. Ces unités sont renforcées endécembre 1944 par leIVe PanzerkorpsSS, prélevé sur lefront de la Vistule[1], puis, le, par quatre divisions, prélevées sur lefront de l'Ouest[2]. Ces multiples prélèvements sur le front de la Vistule ont des conséquences préjudiciables pour les autres fronts : lesSoviétiques sont ainsi informés du renforcement du front deBudapest par des éléments transférés depuis laVistule dès le lendemain du début du transfert[3].

À ces unités terrestres s'ajoutent les forces aériennes duroyaume de Hongrie, recomposées entre l'automne et l'hiver1944, puis renforcées au fil des mois. Ainsi, le royaume aligne 32 escadrilles de chasse dans la défense de sacapitale[4].

Budapest, enjeu politique

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Objectif soviétique

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Budapest constitue une cible majeure pour les Soviétiques. Dès la fin du mois d'octobre, une consigne de la Stavka ordonne la prise de la ville[5].

En effet, laconférence de Yalta approche etStaline souhaite montrer sa puissance àWinston Churchill etFranklin D. Roosevelt. Il envoie donc des directives au généralRodion Malinovski, lui ordonnant de prendre la ville le plus vite possible.

Le, Rodion Malinovski envoie deux émissaires pour négocier la capitulation de la ville. Ces émissaires ne reviendront jamais. Plusieurs hypothèses sont envisagées. Certains historiens anglais et hongrois pensent que les émissaires ont été exécutés. D'autres pensent qu'ils ont été accidentellement tués sur le chemin du retour. En tout cas, les commandants soviétiques considèrent cet acte comme un refus et commencent le siège de la ville.

Budapest et les Allemands

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Pour le Reich, le contrôle de la Hongrie, appuyé sur un régime totalement soumis, constitue un élément stratégique pour la conduite de la guerre.

La plaine hongroise est en effet productrice d'hydrocarbures et constitue, à l'automne 1944, la dernière source d'approvisionnement accessible pour le Reich. En effet, depuis la perte des gisements roumains duPloesti, en, leroyaume de Hongrie fournit la majeure partie des hydrocarbures nécessaires à l'effort de guerre du Reich[6].

De plus, Budapest et la Hongrie occidentale constituent le dernier rempart avant la conquête de l'Autriche, que Hitler et Jodl privilégient, au détriment de la Prusse et de l'Allemagne orientale, chères àGuderian[7].

Opérations autour de la ville

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Article détaillé :Offensive de Budapest.

Le, l'Armée rouge et lesforces roumaines commencent leur offensive surBudapest. Les troupes germano-hongroises multiplient les contre-offensives afin de tenter d'éloigner l'Armée rouge de la capitale hongroise[5]. Plus de 1 000 000 d'hommes se divisent en deux corps se ruant en direction de la ville, dans le but de la couper du reste des troupes germano-hongroises, concentrées dans l'Ouest du pays. Le caractère massif de ces opérations menées par les Soviétiques et les Roumains en Hongrie induit les services de renseignement allemands en erreur : enoctobre, puis ennovembre 1944,Gehlen propose une analyse faisant de la poussée soviétique dans la plaine hongroise l'une des tenailles destinées à écraser le Reich dans les délais les plus rapides[8].

Le, les troupes alliées entrent dansBudapest par les faubourgs est, à 20 km de la Vieille Ville, puis se mettent en défense. Très peu d'habitants décident de quitter la ville.

Le19 décembre, après une pause, les Alliés reprennent leur offensive. Le26 décembre, la route reliantVienne àBudapest est coupée par l'Armée rouge, encerclant ainsi la ville.

Le sort des Juifs dans Budapest menacée puis encerclée

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Plaque commémorative du ghetto de Budapest voué à la famine et à l'extermination par l'occupant nazi et les Croix Fléchées, libéré par l'Armée rouge le 18 janvier 1945. Plaque apposée pour lacommémoration de la Shoah le 16 avril 2018.

Les Juifs ayant survécu aux déportations du printemps et de l'été précédent vivent regroupés dans deux ghettos, l'un peuplé de 32 000 Juifs hongrois, l'autre, le ghetto international, peuplé de 150 000 Juifs officiellement ressortissants d’États neutres, placé sous la protection précaire de diplomates suisses, suédois, portugais et espagnols[9].

Cinquante mille Juifs sont alors évacués vers Vienne au cours de marches forcées, encadrées par des gendarmes hongrois, puis, dans le Reich, des SS allemands, dans le but d'ériger des fortifications dansVienne, elle aussi menacée par l'Armée rouge[10]. Organisés en bataillons de travail, 35 000 Juifs et plusieurs milliers deRoms restant à Budapest sont alors affectés à la construction de lignes de défense ; ces Juifs et Roms deviennent alors la cible privilégiée des Croix fléchées, qui les assassinent en grand nombre lors de leur retraite vers la ville[11], malgré des velléités de protection de la part du gouvernement militaire de la cité assiégée[10]. Rendus furieux par les défaites essuyées par les armées allemandes et hongroises, les escadrons du parti des Croix fléchées assassinent par fusillade, sur les berges du Danube, ou par noyade les Juifs de la ville assiégée, ainsi que les Roms, les opposants au régime fasciste et les soldats qui refusent de combattre ; les corps sont abandonnés sur place ou jetés dans le fleuve[12].

Les offensives allemandes de dégagement

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362 050 soldats soviétiques reçurent cette médaille (Pour la Capture de Budapest) établie le par décret duPræsidium du Soviet suprême.

L'offensive soviéto-roumaine débute dans les quartiers est, avançant à traversPest, profitant des larges avenues centrales pour accélérer la progression. Les défenseurs allemands et hongrois, écrasés, essayent de gagner du temps. Finalement ils se retirent pour raccourcir leurs lignes, en espérant tirer profit de la nature accidentée deBuda.

Après l'offensive des Ardennes, le haut-commandement allemand procède à un dernier renversement des priorités, redéployant ainsi ses troupes face aux Soviétiques. Dans le cadre de ce changement stratégique, les unités demandées par Guderian depuis l'automne sont déployées en Hongrie[N 2],[13]. Les Allemands décident d'organiser plusieurs offensives pour débloquer Budapest et sécuriser les puits de pétrole hongrois, dernière source d'approvisionnement du Reich en hydrocarbures[13]. Au mois dejanvier 1945, les Allemands lancent trois offensives successives, sous le nom d'opération Konrad. Les opérations Konrad I, II et III constituent des tentatives germano-hongroises pour libérer la garnison encerclée deBudapest.

Les opérationsKonrad I etKonrad II

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Le1er janvier, l'opération Konrad I est lancée. La3e Panzerdivision SS Totenkopf allemand attaque deTata à travers le terrain accidenté du nord deBudapest pour briser le siège soviétique. Simultanément, des forcesWaffen-SS frappent à l'ouest deBudapest tentant d'obtenir un avantage tactique. Le, le commandement soviétique envoie quatre divisions de plus pour contenir la menace. Cette action soviétique bloque l'offensive près deBicske, à moins de20 kilomètres au nord deBudapest. Le 12 janvier, les Allemands sont forcés de reculer.

Le7 janvier, les Allemands lancent l'opération Konrad II. La3e Panzerdivision SS Totenkopf allemand attaque depuisEsztergom vers l'aéroport deBudapest. Elle essaie de capturer celui-ci pour améliorer le ravitaillement aérien de la cité. L'offensive est arrêtée à proximité de l'aéroport.

L'opérationKonrad III

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Après l'échec de ces deux tentatives, les Allemands ne s'avouent pas encore vaincus. À partir du 11 janvier, dans le plus grand secret, le IV.SS.Panzer Korps du général Gille est envoyé un peu plus au sud pour lancer une dernière offensive pour sauver la garnison de Budapest, Konrad III. A priori, l'Axe a regroupé un ensemble de troupes impressionnant pour lancer son offensive, il regroupe ainsi 3 corps d'armée :

Cet ensemble est renforcé avant l'offensive par deuxSchwere Panzer-Abteilung (littéralement bataillon de chars lourds), composés deTiger II, de plusieurs unités d'artillerie et des divisions hongroises du8e Corps d'armée hongrois. Mais cette liste ne doit pas cacher la force réelle des unités engagées dans cette opération : au total, pour Konrad III, les forces allemandes alignent 6 000 fantassins et 300 blindés, soit deux fois moins que les Soviétiques.

L'offensive est lancée le 18 janvier, au matin, par une aube froide et brumeuse. Contre toute attente, les assaillants ouvrent rapidement une brèche à travers les champs de mines, les combats sont âpres, notamment autour de la ville deSzékesfehérvár. Le lendemain l'offensive se poursuit. Le premier moment de surprise passé, les Soviétiques se ressaisissent et préparent des contre-attaques. Mais le 20, leur contre-attaque blindée échoue et les forces de l'Axe continuent de progresser vers le Danube, qui est atteint ce même jour par la3e Panzerdivision, semant la panique dans les arrières soviétiques. Le 22, Szekesfehérvar finit par tomber, mais la garnison réussit à s'échapper. Cependant ces succès ne peuvent masquer l'état déplorable des unités allemandes, déjà en sous-effectif avant le début de l'offensive. Le 22, elles ne comptent plus que 123 blindés pour toutes les unités engagées, dont 27 pour les deux divisions SS, sans compter les charsTigre. Néanmoins les Allemands reçoivent le renfort d'une petiteAbteilung de 36 charsPanther qui vient renforcer les SS et leur permet de poursuivre leur offensive vers Budapest. Mais les Soviétiques ont rassemblé des réserves et contre-attaquent avec 2 corps mécanisés de la Garde et un corps blindé composé de chars soviétiques T-34/76.

Les troupes allemandes sont à bout de souffle, mais le 24 les SS parviennent à repousser les assauts soviétiques. Même incomplètes, les unités allemandes gardent une impressionnante efficacité guerrière qui leur permet de continuer à avancer. Ladivision SS Wiking s'empare de deux têtes de pont sur la rivière Vali, mais ne peut les exploiter immédiatement, faute de réserves. Les Allemands ne sont plus qu'à 30 km de Budapest et de sa garnison encerclée. Le 25, laTotenkopf et la1re Panzerdivision percent les lignes soviétiques à Petend, mais doivent reculer dès le 26, car les positions conquises sont la cible de contre-attaques puissantes.

Chute de la ville

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Les Allemands sont à bout de force et le 27, les Soviétiques lancent une offensive qui force les Allemands à abandonner les positions conquises durant Konrad III. La garnison de Budapest, qui ne tient plus que Buda[14], sans plus aucun espoir de secours, se rend le 13 février. L'Axe perd ainsi près de 190 000 soldats aguerris : 138 000 partent en captivité, 50 000 ont été tués dans les combats à l'extérieur et l'intérieur de la ville assiégée[15]. Seuls 750 survivants arrivent à s'échapper de la ville.

Quelques jours après avoir pris la ville, les soviétiques décrètent un moratoire de trois jours durant lesquels la loi ne s'applique plus, et ce afin que les populations affamées puissent prendre ce qu'ils veulent dans les magasins et les entrepôts. L'armée rouge se lance quant à elle à la recherche de bijoux et autres richesses. Le pillage continue ensuite plusieurs jours[16].

Dans les jours et les semaines qui suivent la prise de la ville, des civils sont capturés par les soldats soviétiques, qui leur annoncent avoir besoin d'eux pour faire dumalenkirobot (du « petit travail »)[17]. Il s'agit en fait de les emmener vers l'Union soviétique, où ils sont mis au travail forcé afin de reconstruire le pays[18].

Notes et références

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Notes

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  1. La Roumanie avait rejoint les Alliés le.
  2. Le chef de l'OKH aurait souhaité que ces unités fussent utilisées pour étayer le front de la Vistule.

Références

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  1. Lopez 2010,p. 17.
  2. Lopez 2010,p. 18.
  3. Lopez 2010,p. 142.
  4. Olasz 2013,p. 238.
  5. a etbKershaw 2012,p. 179.
  6. Lopez 2010,p. 30.
  7. Lopez 2010,p. 19.
  8. Lopez 2010,p. 145.
  9. Friedländer 2008,p. 784.
  10. a etbFriedländer 2008,p. 783.
  11. Evans 2009,p. 761.
  12. Friedländer 2008,p. 785.
  13. a etbKershaw 2012,p. 229.
  14. Masson 1994,p. 459.
  15. Kershaw 2012,p. 329.
  16. The Holocaust Survivor Memoirs Program, « Surviving The Siege of Budapest », surmedium.com,(consulté le)
  17. Ce qui est la forme distordue en hongrois de l'expression russe malenkaya rabota.
  18. (en) « Hnm Malenki Robot Memorial », surhungarian national museum(consulté le)

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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v ·m
Participants
Alliés
Axe
Résistance
Chronologie
1939
1940
1941
1942
1943
1944
1945
Aspects
Généralités
Théâtres
Après-guerre
Crimes
Viols
Prisonniers
Shoah
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