Les « pas canadiens » confinent les grands animaux dans les zones moins fréquentées par le public, ici dans leparc national De Hoge Veluwe (Pays-Bas) où plus de 500 grands animaux vivent en liberté.Passage canadien aucol du Pradel (France) destiné à contenir les troupeaux pendant l'estive.Barrière canadienne près deVík í Mýrdal, sur la côte méridionale d'Islande.
Labarrière canadienne, aussi appeléepassage canadien,pas canadien ougrille à bétail, également désignée par lemot-valisebovistop, est un système de confinement des grands animaux (sauvages ou domestiques) qui permet de se passer debarrière mobile, en laissant, dans un système declôture, une ouverture permettant la libre circulation despiétons et desvéhicules. Dans la province canadienne d'Alberta, le système est appeléTexas gate (« portail texan » ou « porte texane »)[1],[2].
Elle est constituée de solides barres arrondies ou de section rectangulaire alignées au-dessus d'une fosse. La plupart des animaux sont effrayés par cette structure qu'ils ne connaissent pas et le vide qui est dessous. Ils ne franchissent généralement pas l'aménagement[3],[4]. Leschevaux le passent s'ils y sont encouragés.
Ces dispositifs doivent être équipés d'échappatoires pour éviter que les petits animaux (lapins, grenouilles, lézards par exemple) ne meurent piégés dans la fosse[5].
sur les routes d'alpage fréquentées par les randonneurs et les membres du personnel d'exploitation ;
aux entrées et sorties de grandsparcs nationauxcanadiens, clôturés pour limiter les dégâts que de grands herbivores ou carnivores pourraient faire dans les champs, élevages ou jardins ;
en zones d'élevage de grands animaux (wapitis,bisons, etc.) ou dans les zoos où il est facile à intégrer dans lepaysage.