La commune est dans lebassin versant du Rhin au sein dubassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Meurthe, le ruisseau de Romain, le ruisseau de Vigneulles, le ruisseau du Breuil et le ruisseau du Neuf Étang[1],[Carte 1].
Au, Barbonville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11].Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[12]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (79,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54,7 %),terres arables (18,6 %), forêts (16,2 %), eaux continentales[Note 5] (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %), zones urbanisées (2,7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
On trouve les graphies suivantes dans les documents historiques : Barbanvilla en 1114, Barunville en 1157, Barbonvila en 1261, Barbonvilla en 1288, Berbonvilla en 1357, Barba-villa au XIVe siècle, Borbonvilla en 1434[16].
Le toponyme se serait formé à partir du nom latin de personneBarbo ou d'un autre nom de personneBarbontius. Le substantifVilla signifie dans ce cas ; domaine agricole.
Les historiens s'accordent à dire que les toponymes composés d'un nom de personne et devilla ont été attribués aux époques fin du mérovingien et période carolingienne, soit lesVIIIe etIXe siècles de notre ère historique.
Les documents historiques mentionnent à plusieurs reprises, en même temps que Barbonville, une ferme ou village du nom deSancta-Maria[16]. On trouve plus tard la mention de ce qui semble être un hameau du nom deSainte-Marie.
En janvier 1262, Aubert de Damelevières abandonne tous ce qui lui appartient àSainte-Marie-devant-Barbonville en faveur de l'abbaye de Moyenmoutier[17]. PourHenri Lepage, il ne fait aucun doute que Barbonville et Sainte-Marie aient été deux seigneuries distinctes[18].
On ne trouve plus aucun écrit relatif à Sainte-Marie en tant que seigneurie ou communauté après laguerre de Trente Ans.
En 2021, Sainte-Marie est un écart rural sur le territoire de Barbonville.
Selon la légende, c'est au cours d'une bataille de laguerre de Trente Ans que la chapelle Notre-Dame-des-Aviots aurait été construite sur le territoire deVigneulles mais affectée à la cure de Barbonville. Un général lorrain aux prises avec les Suédois aurait eu l'idée de faire traverser la Meurthe à une partie de ses troupes pour prendre l'ennemi suédois à revers. La manœuvre ayant parfaitement fonctionné, le général lorrain aurait décidé l'érection de la chapelle en guise de remerciements.Aviot signifierait, toujours selon cette légende,avis aux eaux.
Ce nom, aviot, n'est pas rare en micro-toponymie. On est tenté de le rapprocher de celui du village meusienAvioth[19]. SelonÉmile Badel qui connaissait bien ledialecte lorrain,aviot signifieendroit où il y a de l'eau,ou bien une confluence ou unemare. Le même auteur fait un rapprochement intéressant entreaviot etauyot(rue de la croix d'Auyot à Nancy)[20]. Cette hypothèse est intéressante dans la mesure où elle permet de lui associer égalementauwyere(avec w muet) cité par Godefroy[21] qui lui donne une définition proche de celle que Badel donne à aviot.
SelonHenri Lepage, ce lieu-ditles aviots existait déjà au XIe siècle. On trouve un acte d'acquisition de la maison des aviots par l'abbaye de Moyenmoutier contre celle deBelchamp en 1288[17]. Dans les documents de la compagnie de Jésus de Nancy, il est écrit :la chapelle ou hermitage de Notre Dame Daviot située au ban de Vigneulle jadis possédé par l'abbaye de Beauchamps (Belchamp) ;elle lui avait été donnée en 1203 par Mathieu évêque de Toul ; et depuis laissé au sieur abbé de Moienmoustier (Moyenmoutier)[22]. En 1306, Thiebaut II duc de Lorraine fonde trois messes en l'ermitage de Notre-Dame des Aviots. Le, Dom Philippe Galavaux cède cette chapelle aux jésuites de Nancy[22].
Ces informations démontrent que la chapelle des aviots existait longtemps avant la guerre de Trente Ans.
La statue de la chapelle fut ramenée dans l'église de Barbonville auXVIIIe siècle. Une autre légende est née de ce transfert. Elle veut que les voisins deVigneulles n'aient pas du tout apprécié ce qu'ils considéraient comme un vol. Ils auraient alors poursuivi sans succès les habitants de Barbonville pendant ce transfert, ce qui aurait valu aux premiers le sobriquet patois de « poussaîs » (poursuiveurs)[23].
Au début duXXe siècle, il existait encore à Barbonville une foire des Aviots[24].
Dans son dictionnaire des toponymes,Henri Lepage notele moulin d'en haut et le moulin d'en bas sur la commune sans donner de date[16]. Dans un autre document, le même historien dit que le moulin d'en haut est nomméLe Mons dans des titres de 1291,1292 et 1293[18]. Toujours à propos de Barbonville en 1853, Lepage décrit lemoulin d'Alsine comprenant un seul bâtiment et cinq habitants à cette date. Sa construction décidée par les jésuites, seigneurs du lieu, s'est terminée en 1612[18].
Selon les chartes de Lorraine, l'abbaye de Belchamp possédait les dîmes de Barbonville en 1157[25].
En 1239, René sieur d'Haussonville confirme la donation faite par son père Vaultier en faveur de l'abbaye de Moyenmoutier de l'affouage du four banal et de la maison seigneuriale de Barbonville. Il approuve également, en tant que seigneur direct, la donation de Sainte-Marie faite audit monastère[18].
Au mois de janvier 1260, Aubert de Damelevières donne à l'église et aux religieux de Moyenmoutier tout ce qu'il possède à Sainte-Marie-devant-Barbonville en bois et endroitures ainsi que toutes ses possessions à Barbonville[18].
En mars 1261 est écrit en latin une confirmation des donations de Barbonville en faveur de l'abbaye de Moyenmoutier[26] par Gauthier seigneur de Haussonville qui donne ce qu'il possède sur les bans de Sainte-Marie et de Barbonville[18].
En 1281, un ordonnance de l'évêque de Toul unit les églises de Sainte-Marie et de Barbonville. Selon le même document, Barbonville et Sainte-Marie apparaissent comme deux seigneuries et deux bans distincts[18].
Le 2 juillet 1288, Henri, abbé de Belchamp, cède aux religieux de Moyenmoutier pour un cens de 65 sous toulois, ce que son abbaye possède à Barbonville[18].
En 1289, le ducFerry cède tout ce qu'il possède sur les bans de Barbonville et de Sainte-Marie à l'abbaye de Moyenmoutier[18].
Le 5 avril 1295, l'abbaye de Senones abandonne à celle de Moyenmoutier, moyennant redevance annuelle, toutes les terres de quartiers qu'elle possède sur les bans de Barbonville et de Sainte-Marie[18].
En vertu d'un titre de 1342, la seigneurie de Barbonville devait 130 chapons par an au prieur deFlavigny, et le double en cas de retard dans la livraison[18],[27].
Par lettres datées du, le ducCharles II prend sous sa sauvegarde et sa protection les habitants de Barbonville et de Ste-Marie moyennant unresal d'avoine et unegéline par conduit. Cette protection est renouvelée par le duc Jean en 1453[18].
En 1484, plusieurs arbalétriers deRosières s'étantingérés à prendre à la moitresse de Barbonville chars et chevaux pour mener leurs instruments belliqueux, il intervint une sentence confirmant les franchises de cettemoitresse et de ceux qui y résidaient[18].
Par lettres du, l'abbé de Moyenmoutier affranchit les habitants de Barbonville et Sainte-Marie de la servitude demorte main[28],[18].
Le,Catherine de Lorraine donne quittance à Claude Vuillermin pour l'achat de la terre de Barbonville. Le montant de la transaction est de 40 000 francs[29].
Une école est établie à Barbonville par les jésuites du noviciat de Nancy dès le début duXVIIe siècle. Les archives de l'ancienne paroisse de Barbonville ont permis de publier en 1911 un rapport sur le fonctionnement de cette école depuis sa fondation jusqu'à laRévolution[30]. D'un point de vue historique, ces informations sont intéressantes pour connaître le fonctionnement d'une école de village lorrain sous l'ancien régime.
En 1568, l'abbaye de Moyenmoutier obtient l'autorisation d'engager et d’aliéner la seigneurie de Barbonville en faveur deNicolas de Lorraine, comte deVaudémont, moyennant une somme de 40 000 francs. Quelques années plus tard, Eric de Lorraine, évêque de Verdun et abbé commendataire de Moyenmoutier rachète cette terre[18].
Le,Erric de Lorraine, évêque de Verdun et abbé deMoyenmoutier écrit à ses subalternes de l'abbaye pour les informer de son projet de création d'une maison de noviciat despères de Jésus àSt-Nicolas-de-Port. Afin de doter les jésuites, Erric dessaisit l'abbaye de toutes ses possessions à Barbonville. Les religieux s'opposèrent énergiquement à cette dépossession. L'affaire remonta jusqu'auVatican mais Erric y étantbien en cour, le papeClément VIII trancha en faveur de l'évêque de Verdun. Les abbés ne s'avouèrent pas vaincus. Ils tentèrent plusieurs démarches juridiques de récupération. La dernière date de 1648[29].
La dotation en faveur des jésuites comprenait aussi le droit de nommer le curé de Barbonville, de lever la dîme et d'innombrables droits féodaux[31], dont celui dehauts Justiciers.
Une sentence du bailliage de Nancy en date du est rendue en faveur du seigneur de Barbonville contre les habitants d'Haussonville. Elle confirme labanalité du pressoir de Barbonville pour lesforains ce qui signifie que lesdits forains d'Haussonville devront utiliser le pressoir de Barbonville pour les vignes qu'ils possèdent sur son ban[18] et, bien entendu, s'acquitter desdroits banaux qui en découlent.
Le, Eric de Lorraine cède les droits de patronage de la cure de Barbonville aux jésuites de St-Nicolas[18].
Dans les premières années du XVIIe siècle, plusieurs habitants de Barbonville et de Sainte-Marie furent brûlés pour sorcellerie. Un certain nombre de pièces de ces pseudo-procès sont conservées aux archives départementales[18]. En les lisant, on prend la mesure de l'iniquité et de la cruauté de ces pratiques.
En février 1608, les seigneurs de Barbonville protestent contre un empiétement commis sur leurs droits par la justice deRosières dans une affaire criminelle[18].
Le, un mandement est adressé au prévôt de rosières pour faire l'exécution de deux sorciers de Barbonville[18].
Le noviciat des jésuites de St-Nicolas entre en possession de la seigneurie de Barbonville seulement le, quand celle-ci estadmodiée à Claude Perrin bourgeois deChasteau(Châtel-sur-Moselle)[18].
En 1608, l'abbaye de Senones entre en procès contre les jésuites à propos d'une rente qu'elle avait sur des propriétés à Barbonville. L'abbaye de Moyenmoutier s'était acquitté de cette rente dès 1295[32], ce que contestaient les jésuites pour se justifier.
Un décret du à propos des frais des exécutions de criminels originaires de Barbonville et de Sainte-Marie ordonne que les seigneurs de Barbonville paient les charges de ces exécutions jugés par leurs juges sauf les vacations et dépenses de bouches du prévôt et des officiers de justice de Rosières chargés de ces exécutions[18].
Par suite des guerres et des épidémies, le village ne compte plus que quatre ménages en 1644[18].
Une ordonnance du interdit aux officiers de Rosières d'inclure les habitants de Barbonville dans leurs rôles de contributions attendu que ceux-ci en ont été exemptés dans le passé[18].
Plusieurs sentences rendues en 1668 établissent dans Barbonville ledroit de banvarderie que les seigneurs étaient autorisés à établir dans toute l'étendue de leur haute justice. Selon ce droit, les habitants étaient obligés de nommer à tour de rôle deux personnes chargées de la garde des fruits du territoire[18].
Par un traité fait pour 12 ans à compter du entre les seigneurs et les habitants, ces derniers obtiennent le droit d'avoir chez eux des fours pour cuire leur pâte ce qui les dispense d'utiliser le four banal et surtout de payer les droits y afférents. Ils devront cependant s'acquitter de frais moindres en fonction de leur qualité (laboureur ou manœuvre)[18].
Des lettres patentes du confirment les droits du noviciat de jésuites à distiller de l'eau de vie à Barbonville[18].
Par ordonnance du,Stanislasajoute à ses plaisirs la chasse sur le territoire de Barbonville appartenant aux jésuites, hauts justiciers du lieu. Ceux-ci reçurent en compensation le droit de chasse sur d'autres finages[27].
En 1774, un teinturier deNancy utilise dufenugrec pour obtenir la couleur jaune. Il se procure La plante sur le territoire de Barbonville mais à cette époque, la culture est très mal maîtrisée[33].
Le parait une ordonnance du roi qui distrait la commune de Barbonville du canton deGerbéviller pour la réunir à celui deBayon[34].
Du au, la cure de Barbonville est administrée par Charles Joseph Grand'Eury[35]. Ce prêtre au tempérament ombrageux eut d’innombrables démêlés pendant son passage dans la commune dont plusieurs procès avec celle-ci[36],[37]. Nommé ensuite àDommartemont, il amplifia encore ses excès[38].
En 1890, il y a à Barbonville deux aubergistes, un épicier et un maréchal-ferrant[39].
Entre 1891 et 1898, la commune a aborné 3008 parcelles dans 753 Ha et a créé 13,458 km de chemins[40].
Le, un orage de grêle s'abat sur le secteur et cause des dégâts pour 8 960 francs à Barbonville[41].
Dans lerapport sur le service départemental de l'assistance médicale et de la vaccine de 1895, le docteur Sprauel considère que le cimetière de Barbonville, alors situé au milieu du village, doit être déplacé rapidement[42].
Le, les travaux de réparation de l'église sont mis en adjudication pour un montant estimé à 3 840,27 francs[43].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[52].
D'argent à la croix de gueules mouvant d'une plaine ondée d'azur, cantonnée en chef à dextre d'une lettre M onciale du même et à senestre d'un corbeau de sable.
Les habitants de Barbonville sont surnommés enlorrain roman lesMaux Saulx[55] ce qui se traduit littéralement parles mal rassasiés mais il faut comprendre lesinsatiables[56].
Dans le paragraphelégendes de Aviots, il est mentionné une querelle de villages avec Vigneulles. Ces voisins se sont vengé en affublant Babonville d'un quolibet :c'est comme le tambour de Barbonville, quand il bat, point de pardon, point de pardon !
« Barbonville », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, surgaleries.limedia.fr
↑Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:05 TU à partir des 613 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/02/1973 au 01/04/2024.
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
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↑Émile (1861-1936) Auteur du texteBadel,Dictionnaire historique des rues de Nancy de 1903 à 1905. Tome 1 : Emile Badel, 1904-1906(lire en ligne).
↑a etbHenri (1814-1887) Auteur du texteLepage,Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 : par Henri Lepage,...,(lire en ligne),p. 62
↑Jean Vartier,Le grand livre des sobriquets et quolibets de Lorraine et du Bassigny, Jarville-la-Malgrange, Éditions de l'Est,, 217 p.(ISBN2-86955-065-0,lire en ligne),p. 55
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