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Bangui

4° 21′ 41″ nord, 18° 33′ 19″ est
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirBangui (homonymie).

Bangui
Bangui
De haut en bas, de gauche à droite : hôtel Oubangui, rives de l'Oubangui, entrée duquartier universitaire, deux rues du centre-ville.
Administration
PaysDrapeau de la République centrafricaineRépublique centrafricaine
MaireÉmile Gros Raymond Nakombo
Démographie
GentiléBanguissois(se)
Population812 407 hab.(2021[1])
Densité12 125 hab./km2
Géographie
Coordonnées4° 21′ 41″ nord, 18° 33′ 19″ est
Altitude363 m
Superficie6 700 ha = 67 km2
Divers
Fondation
SurnomBangui la Coquette
Localisation
Géolocalisation sur la carte :République centrafricaine
Voir sur la carte administrative de République centrafricaine
Bangui
modifier 
Carte
Carte interactive de Bangui

Bangui est lacapitale politique et la plus grandeville de laRépublique centrafricaine. La population de l'agglomération est estimée à environ 1 145 280 habitants, soit le quart de celle du pays, elle s'étend sur les communes limitrophes deBégoua au nord,Bimbo à l'ouest etZongo sur la rive sud de l'Oubangui enRépublique démocratique du Congo.

Géographie

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FleuveOubangui à Bangui

La ville se situe sur la rive droite de l'Oubangui, qui marque lafrontière entre le Centrafrique et la RDC, en face de la ville congolaise deZongo qui se situe directement sur la rive opposée dufleuve. Les rapides de l'Oubangui, juste en amont de la ville, limitent le transport fluvial des produits commerciaux, ils constituent historiquement un point de rupture de charge pour lanavigation à vapeur. La majeure partie de la ville s'étend sur une plaine marécageuse à l'ouest des collines de Gbazabangui qui coupent la localité selon un axe nord-sud. À l'est, sont situés le couloir de Ndrès et les collines deKassaï.

Climat

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Bangui a unclimat tropical de savane avec hiver sec (Aw d'après laclassification de Köppen)[2]. La température moyenne annuelle est de25,9 °C et la moyenne annuelle de précipitations atteint 1 525 mm, la saison sèche est limitée aux trois mois d'hiver de décembre à février, la période de plus forte pluviosité dure de mai à octobre, la moyenne des précipitations est alors au-dessus de 145 mm mensuels[3].

La ville est bordée d’épaisses forêts tropicales humides le long des rives de la rivière. Plusieurs de ses quartiers se trouvent dans des zones basses sujettes à des inondations récurrentes.

Histoire

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La ville a été fondée le par Michel Dolisie[4] dans la colonie française duHaut-Oubangui. Elle devient le chef-lieu de l'Oubangui-Chari, subdivision de l'Afrique-Équatoriale française à partir de 1910.

Nommée ainsi par le nom de ces rapides, sur l’un des fleuves les plus importants du continent africain, la ville a grandi grâce à la proximité d'un poste militaire français situé sur lefleuve Oubangui. Bangui servait de centre d'administration à l'époque coloniale et continue toujours d'être le centre administratif de laRépublique centrafricaine[5]. La garnison de Bangui se rallie à laFrance libre en 1940 sous l’actionNadjirom Mouniro, adjudanttirailleur sénégalais[6].

En mars 1981 ont eu lieu à Bangui les premières élections présidentielles pluralistes à la suite de l'Opération Caban menée par les Français, qui avait déposé l'empereurBokassaIer, le remplaçant par son cousin et prédécesseurDavid Dacko. Les résultats de ces élections, contestées par ses opposants, ont paralysé la ville de Bangui, conduisant le président à déclarer l’état de siège[7].

Le 1er septembre 1981, le chef d’état-major de l’armée, le général d’arméeAndré Kolingba s’empare du pouvoir de l’État, suspend la constitution et met en place le « Comité Militaire de Redressement National » (CMRN), censé restaurer le pouvoir de l’État, mais instaure de fait unedictature militaire.

À la suite du discours de LaBaule prononcé le 20 juin 1990 par le président françaisFrançois Mitterrand au sommet France-Afrique se tenant dans cette ville, et appelant les États africains à s’ouvrir au pluralisme démocratique, des élections présidentielles furent organisées en 1992 puis annulées. Une transition politique maintenant le président Kolingba au pouvoir avec un premier ministre issu de l’opposition géra Les affaires courantes jusqu’à aux élections de septembre 1993 qui virent l’élection d’Ange-Félix Patassé, ancien premier ministre de l’ex-empereur Bokassa et opposant historique, président du Mouvement de Libération du Peuple Centrafricain (MLPC), parti d’opposition longtemps interdit.

En mai 1996, environ 200 soldats de la république centrafricaine se sont mutinés dans la ville de Bangui, exigeant des arriérés de salaires et la démission d'Ange-Félix Patassé. À la suite de cela, des troupes françaises stationnées dans le pays ont réprimé la rébellion et Restauré le pouvoir du président Patassé[8].

Une deuxième mutinerie militaire a éclaté peu de temps après, conduisant le président Patassé à annoncer un gouvernement d'union nationale, en nommant le professeurJean-Paul Ngoupandé, précédemment ambassadeur de laRCA en France, au poste de premier ministre le 6 juin 1996[9].

En mars 2003, le généralFrançois Bozizé, ancien chef d’état-major et beau-frère du président, a pris le pouvoir par un coup d'État mettant fin à la présidence de Patassé. La situation dans la ville, parfois surnommée « République de Bangui » s'est depuis améliorée.

Début 2013, lors de laprise de pouvoir parMichel Djotodia, les troupes de la Selekaentrent dans Bangui le[10], les affrontements font plusieurs dizaines de morts entre les troupes de sécurité sud-africaines et les miliciens. Alors que le pays s'enfonce peu à peu en2013 dans des violences communautaires, des miliciensanti-balaka entrent dans Bangui, démarrant labataille de Bangui. Les affrontements et représailles pendant tout le mois de décembre font plusieurs centaines de morts alors que les troupes françaises et de laMISCA tentent de ramener le calme.

De mai 2013 à janvier 2014, le maire estCatherine Samba-Panza, devenuechef de l'État de transition[11].

Démographie

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Depuis 1975, l'évolution démographique de Bangui a été :

Évolution démographique (ligne 1)
1975198819942001
279 800427 435524 000652 000
Évolution démographique (ligne 2)
20152021--
1 145 2801 425 276--
Sources[12],[13],[14],[15]
Évolution démographique de Bangui
Histogramme
1975
  279 800
1988
  427 435
1994
  524 000
2001
  652 000
2015
  1 145 280
2021
  1 425 276

Administration

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Bangui est une commune autonome, qui n'appartient à aucune des 16 préfectures ou préfectures économiques.

En 2020, Bangui est divisée administrativement en huit arrondissements[16],[17], 16 groupements et 205 quartiers[18], En 2021, l'ICASEES estime la population du Grand Bangui, qui constitue la Région 7 et englobe Bégoua et Bimbo, à 1 425 276 habitants[19],[20].

Arr.
Traduction
(en sango)
Quartiers
(nbre)
Surface
(ha)
Population
(2021)
CoordonnéesCarte
1erGba-vaka Oko158087 7414° 21′ 45″ N, 18° 34′ 58″ E
Carte des arrondissements et quartiers de Bangui.

wikilien alternatif2

Les coordonnées de cet article :

2eGba-vaka Usé2654866 2674° 22′ 06″ N, 18° 33′ 34″ E
3eGba-vaka Ota2951079 7494° 22′ 30″ N, 18° 32′ 37″ E
4eGba-vaka Usiô301 110162 4224° 24′ 14″ N, 18° 33′ 53″ E
5eGba-vaka Oku27640154 0004° 23′ 32″ N, 18° 32′ 53″ E
6eGba-vaka Ômènè22670120 9834° 32′ 31″ N, 18° 32′ 35″ E
7eGba-vaka Mbassa-mbala381 79298 9424° 22′ 32″ N, 18° 36′ 12″ E
8eGba-vaka Miombé18622122 3034° 24′ 38″ N, 18° 32′ 19″ E
Bimbo348 8024° 15′ 21″ N, 18° 24′ 15″ E
Bégoua264 0674° 27′ 00″ N, 18° 32′ 00″ E
Grand Bangui1 425 276

Liste des maires

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Article détaillé :Liste des maires de Bangui.

La localité de Bangui fondée en 1889, est érigée en commune mixte à partir de1912[21]. Depuis le 6 mai 2016,Émile Gros Raymond Nakombo, est nommé Président de la délégation spéciale de la ville, autrement dit : maire de Bangui, par le Président de la république[22].

Police et gendarmerie

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Les forces de sécurité, premiers maillons de la chaîne pénale opérationnelle de la capitale centrafricaine sont composées de trois brigades degendarmerie et de huit commissariats depolice[23]. L'école de gendarmerie nationale se trouve dans le quartier de Kolongo dans le6e arrondissement au sud de la ville[24]. L'école nationale de police est située à PK10 à la sortie nord de Bangui[25].

Instances judiciaires

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La ville est le siège de la cour d'appel de Bangui, d'untribunal de grande instance, d'un tribunal du travail, d'un tribunal de commerce et d'un tribunal pour enfants[26].

Maison d'arrêt centrale

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LaMaison d'arrêt centrale de Ngaragba se trouve dans le7e arrondissement qui peut contenir jusqu'à 400 détenus . Elle a été réhabilitée en 2014[27]. On peut aussi voir la maison d'arrêt de Bimbo conçu pour la détention des femmes[28].

Économie

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Bangui est le centre commercial du pays.Pendant laSeconde Guerre mondiale, le pays s'est enrichi grâce à l'augmentation des exportations decaoutchouc, decoton, decafé, d'uranium et dediamants. Après la guerre, l'emploi de la population locale dans l'administration traditionnelle a conduit au développement de l'infrastructure du pays, ce qui a accru le commerce tout en ralentissant le mouvement national d'indépendance[15].

Pendant la présidence deDavid Dacko de 1960 à 1966, il y a eu une augmentation significative de la production de diamants[29]. Cela s'est produit lorsque le monopole des sociétés concessionnaires françaises a pris fin avec une loi autorisant les citoyens locaux à creuser pour trouver des diamants. Après que David Dacko a installé une usine de taille de diamants à Bangui, les diamants sont devenus la principale exportation du pays. Mais à la fin de son mandat de cinq ans, la corruption endémique et l'indiscipline financière ont entraîné des salaires impayés et des troubles civils.Jean Bedel Bokassa a pris le pouvoir à l'issue d'un coup d'État militaire en 1966[29].

Parallèlement, Bangui est également devenu le centre clé de l'activité sociale et culturelle de la région, lorsque de nouvelles institutions ont été créées dans la ville.Cependant, les troubles politiques dans le pays, la corruption endémique et le régime dictatorial du président Bokassa centré dans la ville ont entraîné une récession économique dans les années 1970, exacerbée par une chute des prix internationaux de ses principales exportations. Cet appauvrissement de la population et les conflits graves, encore aggravés par l'émigration des réfugiés en provenance des pays voisins en difficulté[15].

Bangui a ouvert sa première banque en 1946 lorsqu'une succursale de laBanque de l'Afrique de l'Ouest y a été fondée.Les commerçants arabes y étaient prédominants, Bangui et c'était un centre important pour le commerce de l'ivoirE[30].

Les industries de Bangui manufacturent lestextiles, les produits alimentaires, labière, leschaussures, et lesavon. Les exportations principales sont lediamant, lecoton, lebois, lecafé, et lesisal[15].

Transports

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Transports aériens

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Dotée de l'aéroport international de Bangui, de liaisons fluviales, et point d'extrémité des principaux axes routiers du pays, Bangui constitue le pôle central des transports de laRépublique centrafricaine.

La première piste d'atterrissage à Bangui a été construite entre 1920 et 1925[31]. L'aéroport international de Bangui (aéroport M'Poko,code AITA : BGF) est situé à 7 kilomètres au nord de la vieille ville, sur l'avenue des Martyrs, entre l'avenue Koudoukou et l'université de Bangui.

Transports routiers

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À partir des années 1920, à l'initiative du GouverneurLamblin se constitue un réseau routier reliant la ville aux autres villes et postes administratifs du pays, et au-delà aux pays frontaliersCameroun,Tchad etSoudan[32]. La routeTransafricaine 8Lagos-Mombasa passe par Bangui.

Bangui est traversé par les routes nationales N1 (Bangui –BossembéléBossangoaBoguila),N2 (Bangui –DamaraSibutBambariKongboBangassouRafaïZémioOboBambouti) et N6 (Bangui –BobanguiMbaïkiBodaCarnotBerbératiGamboula).

Transports locaux

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Plus de 8 000 taxis de couleur jaune, 5 000 minibus, ainsi que des taxis-motos offrent un service de transport de personnes[33].

Transports fluviaux

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La rivière est navigable presque toute l'année entre Bangui etBrazzaville. De Brazzaville, les marchandises sont transportées par le chemin de fer au port dePointe-Noire auCongo. Le port fluvial gère la grande majorité du commerce international du pays avec une capacité de 350 000 tonnes[réf. nécessaire] sur les 350 mètres de quais et de 24 000 m2 d'entrepôts.

Transports ferroviaires

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Il y a des projets de connexion de Bangui au chemin de fer duTranscamerounais.

Santé

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La ville de Bangui constitue la région sanitaireno 07 du système national de santé centrafricain. Elle regroupe un total de 55 formations sanitaires. Le secteur public compte 4 hôpitaux centraux et 66 centres de santé. Le secteur privé est constitué de 29 cliniques et cabinets de consultation, 4 dispensaires et 3 cabinets dentaires[34].

Les 4 hôpitaux centraux de Bangui sont :

En octobre 1985, une conférence des fonctionnaires de la santé publique, incluant les représentants des centres pour le contrôle et la prévention des maladies des États-Unis et de l'Organisation mondiale de la Santé, s'est réuni dans la ville de Bangui et a défini les symptômes du sida en Afrique comme des « fièvres prolongées pendant un mois ou plus, une perte de poids de plus de 10 % et une diarrhée prolongée ». Environ la moitié des cas en Afrique basée sur la définition de Bangui sont séropositifs.

Enseignement

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Dans lesystème éducatif en République centrafricaine, La scolarité est obligatoire pour les enfants âgés de 6 à 14 ans[35]. Le système éducatif français est la norme et le français est la langue d'enseignement, la langue sango soit promue dans les écoles.

Dans l'est de la ville se trouve le Lycée français Charles de Gaulle[36], fondé le 1er septembre 1992.Plusieurs personnalités ont étudié dans la ville[37]. L'écrivainCalixthe Beyala a étudié au Lycée des Rapides[37],[38].

Vue de l'université de Bangui, avenue des Martyrs

L’Université de Bangui a été fondée en 1969 par le présidentJean-Bédel Bokassa qui lui a donné son nom[39]. Elle a ouvert ses portes en 1970[40],[41],[42]. Établissement public, l'université dispense un enseignement non agricole en République centrafricaine. Depuis 1981, la bibliothèque universitaire se trouve dans un bâtiment séparé qui abrite ses collections de sciences, de littérature et de droit[43]. La faculté de médecine de l'université possède sa propre bibliothèque[43].

Les autres établissements d'enseignement sont l'École nationale des arts et l'École centrale d'agriculture, l'École nationale d'administration et de magistrature,EUCLIDE (Pôle Universitaire Euclide) ainsi que de nombreuses écoles religieuses et techniques.

Culture

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Religions

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Parmi leslieux de culte, il y a principalement des églises et des templeschrétiens. Le respect de lalaïcité est prise en compte.

Les congrégations principales sont : Église évangélique luthérienne de République centrafricaine (Fédération luthérienne mondiale),Église évangélique baptiste en République centrafricaine (Alliance baptiste mondiale),Archidiocèse de Bangui (Église catholique)[45].

Les principales églises de Bangui sont laCathédrale Notre-Dame-de-l'Immaculée-Conception de Bangui, l'église de Fatima et Notre-Dame d'Afrique.

les principales mosquéesmusulmanes sont lamosquée de Lakouanga et la Grande Mosquée de Bangui.

Sports

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Course de pirogues sur la rivièreOubangui à Bangui..

Le sport le plus populaire de Bangui est lebasket-ball.Bangui a accueilli leChampionnat d'Afrique de basket-ball 1974, où l'équipe nationale de basket-ball de la République centrafricaine a remporté l'un de ses deux titres continentaux.

Lefootball est aussi très populaire. Des hommes et des femmes de Bangui et de tout le pays ont participé aux Jeux olympiques depuis 1968 ainsi qu'à de nombreuses manifestations internationales[46].

Les habitants organisent également des courses de bateaux avec des centaines de participants sur la rivièreOubangui, ce qui constitue une attraction populaire importante[47].

Le principal stade de la ville est lecomplexe sportif Barthélemy-Boganda.Les autres grands stades sont le Stade Bonga-Bonga et le Stadium Athletics Field.

Monuments

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Jumelage

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Carte
Jumelages et partenariats de Bangui.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Bangui.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Chécy[48]Francedepuis
DodomaTanzanie

Personnalités liées à la ville

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Galerie

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  • Premiers travaux de construction sur le nouvel emplacement de Bangui (Congo français), entre 1896 et 1910
    Premiers travaux de construction sur le nouvel emplacement de Bangui (Congo français), entre 1896 et 1910
  • Une vue à Bangui (sur l'Oubangui), entre 1896 et 1910
    Une vue à Bangui (sur l'Oubangui), entre 1896 et 1910
  • Une société commerciale et de transports à Bangui, entre 1896 et 1910
    Une société commerciale et de transports à Bangui, entre 1896 et 1910
  • Vue de la rivière Oubangi en amont de Bangui, entre 1896 et 1910
    Vue de la rivière Oubangi en amont de Bangui, entre 1896 et 1910
  • Activités agricoles sur l'Avenue Émile Gentil, 1912
    Activités agricoles sur l'AvenueÉmile Gentil, 1912
  • De Gaulle à Bangui, 1940
    De Gaulle à Bangui, 1940
  • Soldats des Forces Françaises Libres près de Bangui, 1940
    Soldats desForces Françaises Libres près de Bangui, 1940
  • Les rapides de Bangui, 1913
    Les rapides de Bangui, 1913
  • Bangui vue de l'espace, novembre 2005
    Bangui vue de l'espace, novembre 2005
  • Vue de l'entrée du quartier universitaire
    Vue de l'entrée du quartier universitaire
  • Hôtel de Ville, 2010
    Hôtel de Ville, 2010
  • Coucher de soleil sur la rivière Oubangui, novembre 2010
    Coucher de soleil sur la rivière Oubangui, novembre 2010
  • Danseurs folkloriques, 2010
    Danseurs folkloriques, 2010
  • Une artère principale de Bangui, 2014
    Une artère principale de Bangui, 2014
  • Assemblée Nationale de RCA, sur la RN2, 2014
    Assemblée Nationale de RCA, sur la RN2, 2014
  • Une foule devant la Cathédrale de Bangui.
    Une foule devant la Cathédrale de Bangui.

Notes et références

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  1. https://www.citypopulation.de/en/centralafrica/cities/
  2. « Climat Bangui: Pluviométrie et Température moyenne Bangui, diagramme ombrothermique pour Bangui », surfr.climate-data.org(consulté le)
  3. « Bangui climate: Weather Bangui & temperature by month », suren.climate-data.org(consulté le)
  4. Pierre Saulnier,Le Centrafrique : Entre mythe et réalité, p. 74; éd. L'Harmattan, 1998
  5. Cyriaque-RufinNguimalet, « Géohistoire des crues de l'Oubangui et problématique des inondations fluviales à Bangui, République Centrafricaine »,Physio-Géo. Géographie physique et environnement,no Volume 17,‎,p. 125–150(ISSN 1958-573X,DOI 10.4000/physio-geo.14285,lire en ligne, consulté le)
  6. « Nadjirom MOUNIRO | L'Ordre de la Libération et son Musée », surwww.ordredelaliberation.fr(consulté le)
  7. « Appels sur l'actualité - [Vos réactions] Il y a 40 ans, Bokassa 1er était renversé », surRFI,(consulté le)
  8. Arnaud Basten, « Coopération du Gouvernement de la République centrafricaine et de l'UNICEF dans le traitement des cas de recrutement d'enfants soldats en République centrafricaine »,International Journal of Science and Society,vol. 4,no 4,‎,p. 269–277(ISSN 2715-8780,DOI 10.54783/ijsoc.v4i4.572,lire en ligne, consulté le)
  9. « 37 Le Général Nollet, Président De La Commission Militaire Interalliée De ContrÔle, À M. Le Maréchal Foch, Président Du Comité Militaire Allié De Versailles. », dansDocuments diplomatiques français, Peter Lang(lire en ligne)
  10. « Les deux fronts Séléka auraient fait jonction au Kilometre 12. Appel du premier ministre à négocier. Et les victimes civiles de Damara (23 mars 2013) », surwww.sangonet.com(consulté le)
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  20. Relative aux circonsciptions administratives 1(lire en ligne)
  21. Gouvernement général de l'AEF, arrêté du 4 octobre 1911
  22. Fridolin Ngoulou, RJDH,Centrafrique: Qui est Emile Gros Raymond Nakombo, nouveau maire de Bangui ?, 6 mai 2016.
  23. « L’ONU remet 11 véhicules aux policiers et gendarmes de Centrafrique »[archive du], surLe PNUD en République Centrafricaine(consulté le)
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Bibliographie

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