Réseau Ted' (cars), conseil général de Meurthe-et-Moselle, ligne R580 (Nancy - Grimonviller), six allers-retours par jour en moyenne.
Réseau Sub' (bus) : deux allers-retours dans l'après-midi sur la ligne 512 (prolongement du terminus de Pont-Saint-Vincent) vers Vandœuvre CHU ou Villers lycée Stanislas jusqu'en septembre 2017.
TER Lorraine (car TER), ligne 6 (Nancy - Pont-Saint-Vincent - Contrexéville - Culmont-Chalindrey), 2 allers-retours en moyenne.
Transport en Moselle et Madon (bus), Communauté de communes Moselle et Madon, ligne C (Viterne - CHU Brabois), ligne D (Marthemont - Neuves-Maisons) et ligne E (Pulligny - Neuves-Maisons) 7 allers-retours en moyenne par ligne.
Au, Bainville-sur-Madon est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13].Elle appartient à l'unité urbaine de Neuves-Maisons[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant sept communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 4],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[15]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (68,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (41,3 %), prairies (13 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (11,7 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), zones urbanisées (10,1 %), mines, décharges et chantiers (5,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,3 %), forêts (3,5 %)[18]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].
En 2022, la commune comptait 1 443 habitants[Note 6], en évolution de +3,07 % par rapport à 2016 (Meurthe-et-Moselle : −0,13 %,France horsMayotte : +2,11 %).
Nécropole barbare, au mobilier assez riche, découverte en 1857.
Maison deJacques Callot : maison rebâtie en 1611 par Jean Callot, héraut d'armes du duc de Lorraine et père de Jacques ; maison importante restaurée, aujourd'hui maison de repos.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Neuves-Maisons comprend une ville-centre et six communes de banlieue.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155).