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| Nom complet | Aviron bayonnais rugby pro |
|---|---|
| Surnoms | L'Aviron |
| Noms précédents | Aviron bayonnais rugby (1906-2001) |
| Fondation | |
| Statut professionnel | SASP (depuis 2001) |
| Couleurs | Bleu ciel etblanc |
| Stade | Stade Jean-Dauger (13 507 places) |
| Siège | Garage de la Nive 1 rueHarry Owen Roe BP 90417 64104Bayonne Cedex |
| Championnat actuel | Top 14 (2025-2026) |
| Président | |
| Entraîneur | |
| Site web | abrugby.fr |
| National[note 1] | Championnat de France de première division (3) Championnat de France de Pro D2 (2) Challenge Yves du Manoir (2) |
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Maillots
Actualités
Dernière mise à jour :.
L'Aviron bayonnais rugby pro[note 2] est la sectionrugby à XV fondée en de l'Aviron bayonnais, club omnisports français basé àBayonne dans lesPyrénées-Atlantiques. Le club évolue dans le championnat deTop 14 depuis 2022-2023 et est actuellement présidé parPhilippe Tayeb. Le staff technique responsable de l'équipe première est, lui, composé du manager sportifGrégory Patat et des entraîneursGerard Fraser etJoël Rey.
Le club basque a notamment été trois fois champion de France en1913,1934 et1943, a remporté lechallenge Yves du Manoir par deux fois, en1936 et en1980 et a remporté le championnat dePro D2 en2019 et en2022.
Il entretient unerivalité historique avec son voisin duBiarritz olympique.
Le, les joueurs du club de rugby du Stade bayonnais, première équipe de rugby à Bayonne créée un an plus tôt, rejoignent les rangs de l'Aviron bayonnais, jusqu'alors dédié uniquement à la pratique de l'aviron depuis sa création en 1904[2],[3].
En 1909, le club achète un terrain sur le lieu-dit de Hardoy de la commune d'Anglet et y développe sa propre enceinte sportive, connue sous le nom destade de Hardoy[4],[5].
Afin de se qualifier pour le Championnat, les clubs doivent d'abord obtenir leur qualification par leur championnat régional.
Le championnat ducomité Côte basque est créé en 1911 et lors de la saison 1911-1912, l'Aviron bayonnais bat la Section paloise (11-0) à Pau pour être sacré champion, le 7 janvier 1912[6]. Alors, ils participent pour la première au championnat de France.
L'arrivée de ce nouveau comité fait que Bayonne participe à une phase éliminatoire du championnat ou ils triomphent de Périgueux (17-3). Lors du tour suivant, ils gagnent face à l'US Cognac de justesse àCognac (6-5) et se qualifient pour les quarts de finale. Néanmoins, les champions basques sont éliminés par, le futur vainqueur de l'édition 1912, leStade toulousain (3-0).
Le 9 février 1913, l'Aviron vainc l'US Dax lors de son dernier match (23-3) sur sonterrain de Hardoy pour rester champion et obtienir sa qualification pour lechampionnat de France 1913[7]. Ils commencent au second tour avec une victoire face auStadoceste tarbais (21-0), leCA Périgueux est terrassé (38-0) à domicile. En demi-finale, Bayonne élimine les septuples champion de France, leStade bordelais UC (9-0) sur leterrain du SBUC auBouscat.

Dès lors, le club dispute sa première finale de championnat de France, où il défait le champion de Paris, leSCUF (31-8) austade du Matin deColombes, le 20 avril 1913. Grâce à cette victoire, le club est sacré champion de France pour sa première fois de son histoire.
Après cette merveilleuse saison les journaux parisien ne tarirent pas d'éloges sur l'équipebleu et blanc.
L’hebdomadaireLa Vie au Grand Air écrit :« L'équipe de Bayonne fit preuve d'un formidable souffle acquis certainement par un entraînement sévère de qualité physique extraordinaire de souplesse, de roublardise et d'adresse et d'un merveilleux esprit ». Ce triomphe de 1913 venait surtout consacrer la philosophie de jeu que l'on appelait alors « La manière bayonnaise ».

Lechampionnat de France est remplacé parcoupe de l'Espérance, pendant laPremière Guerre mondiale. La compétition a été jouée pendant quatre saisons, et l'Aviron bayonnais dispute la finale de la dernière édition en1919 qu'il perd face auStadoceste tarbais 4-3
auBouscat[8] après avoir battu le SA Bordeaux EC 13-0 en demi-finale[9].

Le championnat de France reprend ses droits après la guerre, et le club atteint la finale lors de la saison1922 où il rencontre leStade toulousain austade Sainte-Germaine auBouscat. L'Aviron bayonnais perd la finale 6-0 .

Lechampionnat de France de rugby à XV de première série1922-1923 est remporté par leStade toulousain qui bat l'Aviron bayonnais en finale le.Les deux clubs se retrouvent à nouveau la saison suivante en finale, qui est de nouveau gagnée par leStade toulousain, sur le score de 3-0.
Après deux saisons plus difficile où il manque la qualification en1924 et1925, Bayonne dispute une autre demi-finale en1926, perdu à nouveau devant le Stade toulousain.
En 1930, Bayonne fait partie des 12 clubs parmi les plus prestigieux, s'opposant à l'amateurisme marron et à ses dérives, qui quittent le championnat de France et forment l’UFRA (Union française de rugby amateur)[10].



L'Aviron bayonnais atteint la finale du championnat en1934 et bat son grand rival leBiarritz olympique 13-8 austade des Ponts-Jumeaux àToulouse. Cela permet au club de remporter son deuxième championnat après celui gagné en1913.
Seul club invaincu en phase de poules avec 6 victoires en 6 matches deChampionnat, Bayonne cède pourtant dès les quarts de finale devant l'USA Perpignan.


L'année suivante en1936, il gagne lechallenge Yves du Manoir, battant l'USAP en finale sur le score de 9-3.

En1939, Bayonne termine premier club français à l'issue des matchs de poules mais est éliminé dès les quarts de finale par leRC Toulon.
En 1940, le stade de Hardoy fait l'objet d'une fermeture[4],[5]. L'Aviron bayonnais joue alors temporairement austade Saint-Jean, jusqu'en 1941 où il déménage définitivement austade Saint-Léon[11].

Le club gagne à nouveau le championnat de France en1943 en battant en finale leSU Agen sur le score de 3-0 auparc des Princes àParis[12].La même année, le club atteint les quarts de finale de lacoupe de France, éliminé 13-6 par leStade bordelais.

La saison suivante, Bayonne se hisse encore en finale mais perd cette fois la finale face à l'USAP 20-5 et ne peut donc conserver son titre.
En 1945, l'Aviron est éliminé en quart de finale duChampionnat par leStade toulousain.
En 1946, lesjuniors Reichel sont champions de France pour la première fois de leur histoire après une victoire en finale contre leLyon OU avec le futur internationalPaul Labadie comme talonneur.
En 1947, Bayonne est qualifie pour la deuxième phase réservé aux 32 meilleurs clubs français mais échoue à atteindre les huitièmes de finale.
En 1948, Bayonne est battu en quart de finale parToulon 7-5 sur un essai de Marc Jaffrin à 20 secondes de la fin du match[13].
En 1949, Bayonne connaît une saison difficile et termine dernier de sa poule avec un bilan de 2 victoires, 1 nul et 7 défaites.
Après cette saison difficile, Bayonne doit passer par une poule de barrage en début de saison pour assurer son maintien en première division. Sous l'impulsion du futur talonneur internationalPaul Labadie[14], il termine premier de cette poule devantCéret,Bagnères etMontélimar.Il reste donc dans les 48 clubs de première division.Il termine ensuite deuxième de sa poule derrièreVienne et se qualifie pour les phases finales duChampionnat.Il continue alors de déjouer les pronostics et élimine alors successivement leStade toulousain en seizième, leFC Lourdes en huitième,Montferrand en quart avant d'être éliminé par leRacing club de France 13-9 en demi-finale.
Cet exploit sera toutefois sans lendemain et le club devra attendre 32 ans pour retrouver le dernier carré du championnat.
À partir des années 1950, le club est à la peine et n'est plus aussi populaire mais conserve toutefois sa place en première division.Non qualifié entre 1951 et 1955, il atteint les huitièmes de finale en1956,1958 et1959 et les quarts de finale en1957.Lesjuniors Reichel du club remportent un deuxième titre de champion de France en 1953.
Enchallenge Yves du Manoir, Bayonne fait partie des 4 clubs invités pour la renaissance de cette compétition en 1952 et termine3e[15].Il obtient également la qualification en 1959.Premier de sa poule devantDax[16], il est pourtant largement battu dès les quarts de finale face àPau 30-0 dont la troisième ligne domine les débats[17].

Dans les années 1960, il perd en seizième en1960 et1962 puis en huitième en1961 puis manque la qualification en1963 avant d’atteindre les quarts de finale en1964.Puis, il est éliminé en seizième de finale entre 1965 et 1967 avant de disputer les huitièmes de finale en1968, qu’il perd contreToulon 20-13, futur finaliste.
EnChallenge, Bayonne n'obtient la qualification qu'en 1960.Sorti deuxième de sa poule derrièrePérigueux[18], il est éliminé en quart de finale parBéziers 12-3 après un match heurtée[19].Bayonne échouera ensuite à se qualifier 15 saisons consécutives entre 1961 et 1975.
Entre 1969 et 1972, il est à nouveau battu en seizième de finale du championnat puis atteint les quarts de finale en1973, éliminé par le grandBéziers.Puis après 2 seizièmes de finale consécutifs en1974 et en1975, il manque la qualification en1976 à cause d’une défaite à domicile 6-24 contreOloron, son concurrent direct.
Les résultats ne sont pas meilleurs en du Manoir où le club ne se qualifie qu'à une seule reprise en 1976.Bayonne est alors éliminé en quart de finale parGraulhet 15-3 après avoir éliminéLa Voulte 18-8 en huitième de finale.
Puis, le club sous l’impulsion de son nouvel entraîneur Roger Etcheto et de ces jeunes prometteurs commeLaurent Pardo ouPatrick Perrier et du centre venu duBoucauChristian Bélascain monte en puissance, disputant les quarts de finale en1977 et en1979[20] et les huitièmes de finale en1978 pour le dernier match de l'ailier internationalBernard Duprat qui met un terme à sa carrière après 14 saisons au service de l'équipe première.Bayonne est de nouveau reconnu pour la qualité de son jeu d'attaque.
Le club revient ensuite au sommet au début des années 1980.
Il devra attendre1980 pour retrouver sa gloire d'antan en remportant le trophée duchallenge Yves du Manoir, battant l'AS Béziers 16-10[21] et ainsi obtenir son deuxième titre dans cette compétition.

L'année suivante, l'Aviron termine en tête de sa poule enChampionnat mais est éliminé dès les huitièmes de finale parTarbes 18-12 après avoir disposé difficilement duCastres olympique 14-12 au tour précédent.
Après avoir largement éliminéGrenoble 20-3 en demi-finale grâce à son superbe jeu d’attaque[22], Bayonne atteint la finale duChampionnat en 1982 mais perd contre leSU Agen 18-9 auparc des Princes à Paris.Dominant largement devant, Bayonne attaque pourtant sans discernement et de manière systématique.Il se voit ainsi contrer par les Agenais qui marqueront ainsi quatre essais[23].Depuis 1982, le club n'a plus atteint la finale duchampionnat de France.
EnChallenge, l'Aviron est éliminé en quart de finale parNarbonne 15-6.
La saison suivante, après avoir dû passer par les barrages et éliminerTulle,Montauban etLourdes, il perd en demi-finale duChampionnat contreBéziers 19-12.EnChallenge, Bayonne atteint les quarts de finale, éliminé par leSU Agen 10-6.
L'Aviron rentre ensuite dans le rang et sera éliminé trois saisons consécutives en huitième de finale du Championnat. En 1984, Bayonne atteint les demi-finales de lacoupe de France, éliminé par leFC Lourdes 15-0 puis les huitièmes de finale aller-retour duChampionnat, battu par l'US Dax.
En 1985, il est alors éliminé en huitième de finale duChampionnat par leStade toulousain après avoir terminé quatrième de sa poule et battu son voisinOloron en barrage.EnChallenge, il atteint les quarts de finale battu par le futur vainqueur, leRRC Nice.
En 1986, il est éliminé en huitième de finale duChampionnat par leSU Agen et en huitième de finale duChallenge parPerpignan[24].
Avant dernier de sa poule la saison suivante enChampionnat, Bayonne est relégué dans le second groupe puis est finalement sauvé par la fédération qui lance une nouvelle formule à 80 clubs.EnChallenge, le club est largement battu en huitième de finale parDax 23-0[25]L'ailierPatrice Lagisquet participe à la premièrecoupe du Monde.
Les championnats 1988 et 1989 sont initialement disputé seize poules de cinq. Les deux premiers de chaque poules (soit 32 clubs) forment ensuite le groupe A et disputent ensuite une phase de qualification en étant groupés en quatre poules de huit. Les quatre premiers de chaque poule du groupe A (soit 16 clubs) sont qualifiés pour disputer les huitièmes de finale.C'est à ce stade là que l'Aviron est éliminé enChampionnat par leRacing club de France, vice-champion de France.EnChallenge, Bayonne est éliminé de justesse au stade des huitièmes de finale par le tenant du titre,Grenoble qui l'emporte de peu 12-9 par un temps neigeux dans un match où les grandes envolées auront été rare[26].
En 1989, Bayonne est éliminé en huitième de finale aller-retour duChampionnat parNarbonne et en huitième de finale duChallenge parLourdes 12-6 dans un match sans essai[27].
En 1990, l'Aviron termine premier de son groupe enchallenge du Manoir mais est éliminé dès les quarts de finale parNarbonne tandis qu'il est absent des phases finales duChampionnat.L'année suivante, il manque de peu la qualification enChampionnat et atteint les huitièmes de finale duChallenge.L'ailierPatrice Lagisquet participe à la deuxièmecoupe du Monde.
Bayonne, renforcé par l'ouvreur basque Didier Pouyau dispute ensuite un quart de finale duChampionnat en 1992 perdu d’extrême justesse 16-15 face à son voisin biarrot qui s’impose grâce à un drop deFranck Corrihons en fin de match dans unstade Maurice-Trélut plein.EnChallenge, Bayonne atteint aussi les quarts de finale, battu par leRacing CF 23-15.En fin de saison,Patrice Lagisquet quitte le club pour le voisinbiarrot après 10 saisons sous le maillot bayonnais.
Non qualifié pour le Top 16 lors des saisons1993 et1995, Bayonne remporte toutefois lacoupe André Moga contre son voisinpalois 22-15 sur le terrain de Mont-de-Marsan.
Battu à domicile par les deux premiers de la poule, leStade toulousain etGrenoble, Bayonne termine avant-dernier de sa poule et descend en groupe A2 au terme de la saison1995-96 malgré des joueurs de qualité comme Stéphane Aussel ou encoreChristophe Lamaison qui mutera pourBrive à la fin de la saison etJean-Michel Gonzalez qui signera à laSection paloise.La même année, lesjuniors Reichel sont champions de France, vainqueur deToulon en finale.
En, en marge de la professionnalisation du rugby, l'associationAviron bayonnais œuvre à la création d'uneSAOS, qui sera transformée un an plus tard enSASP sous le nomAviron bayonnais rugby pro[28].
Au début des années 2000, toujours enPro D2, l'Aviron bayonnais tente de monter en élite sans y parvenir malgré une deuxième place en2000 et une demi-finale en2001.Les deux saisons suivantes sont plus difficiles avec une neuvième place en2002 et une sixième place en2003.Lors de laCoupe de la Ligue 2002-2003, Bayonne se fait cependant remarquer en battant trois clubs deTop 16 et en terminant sa course en demi-finale contreBourgoin-Jallieu.
C'est en2003-2004 que le club gagne son ticket pour la première division en terminant premier dePro D2. Ce classement lui permet ainsi de disputer les demi-finales dePro D2. Sur sa lancée, Bayonne gagne sa demi-finale contreDax sur le score de 16 à 14 et atteint le stade de la finale. Mais pour la finale l'Aviron est battu par leFC Auch sur le score de 9-26 et voit le titre de champion de2e division lui échapper.
L'Aviron bayonnais a beaucoup évolué depuis que le club est monté enTop 14 (anciennement Top 16), avec l'apport de joueurs étrangers notamment. Depuis son retour en première division, l'Aviron bayonnais lutte pour assurer son maintien en élite pendant quatre ans. En 2006, le club connaît un parcours en Top 14 difficile malgré le renfort de l'internationalRichard Dourthe mais trouve un nouveau souffle enchallenge européen en se qualifiant pour les quarts de finale, ou le 2 avril 2006 Bayonne perd contre les Anglais desLondon Irish 48-5. En 2007,Alain Afflelou concrétise son intérêt pour le club; il apporte de l'argent et aide le club à progresser pour être parmi les meilleurs.
Lors de la saison 2008-2009 l'Aviron bayonnais peut, pour la première fois depuis le retour en première division, lutter pour une place encoupe d'Europe mais termine7e duTop 14.

La saison suivante, le club a beaucoup d'ambitions et veut rééditer la bonne saison passée. Malheureusement, cela ne se passe pas comme prévu pour l'Aviron et le club doit se battre pour son maintien enTop 14. L'Aviron bayonnais joue son maintien contreMontauban, alors12e avec 47 points et Montauban13e avec 45 points à la fin de la25e journée. Lors de l'ultime match de la saison, l'Aviron bayonnais perd son match aux allures de finale contre Montauban terminant a la13e place avec 47 points à 2 points de Montauban au soir de la26e et dernière journée du championnat. Alors que le club doit descendre enPro D2 en, Bayonne est sauvé sur tapis vert pour cause de difficultés budgétaires de Montauban qui est finalement rétrogradé à sa place.
En, Alain Afflelou devient vice-président du club de Bayonne.
En,Bernard Laporte arrive au club, en tant que conseiller du président et vient avec un projet d'agrandissement dustade Jean-Dauger. Mais un différend avec le président du club,Francis Salagoïty, pousse Bernard Laporte à partir en. Le principal sponsor du club Alain Afflelou annonce également qu'il partira à la fin de la saison 2010-2011. Après plusieurs luttes internes, Francis Salagoïty et Alain Afflelou décident de s'en remettre au vote du conseil d’administration pour prendre les commandes du club, proposant chacun un projet. Alain Afflelou est soutenu par Michel Cacouault (ancien vice-président du club). En, lors de la grande réunion du club,Francis Salagoïty, mis en minorité par les membres du conseil d'administration, démissionne du club. Michel Cacouault est élu président du club. Alain Afflelou reste vice-président et indique qu'il sera sponsor principal pour les saisons à venir.
Pour la saison 2011-2012, le club basque se donne les moyens pour le titre en recrutant lesAll BlacksJoe Rokocoko (68 sélections, 46 essais) etNeemia Tialata (48 sélections avec la Nouvelle-Zélande), leWallabyMark Chisholm (58 sélections avec l'Australie), le demi de mêlée internationalgalloisMike Phillips (Ospreys), l'international françaisCédric Heymans (Stade toulousain) et le prometteur ailier de Grenoble,Marvin O'Connor.
En, alors que l'Aviron bayonnais se trouve à une11e place (l'objectif de début de saison était d'être dans les six premiers du classement)Christian Gajan etThomas Lièvremont sont démis de leur fonction. Pour les remplacer,Didier Faugeron etJean-Pierre Élissalde sont nommés entraîneurs de l'équipe. Lors de ce changement d'entraîneur Michel Cacouault démissionne de son poste de président. Il indique aussi qu'il démissionne de toute fonction au club et le, Alain Afflelou devient président du club bayonnais. Jean-Pierre Elissalde sera remercié un mois plus tard.Cette année là, lesjuniors Reichel sont champions de France pour la quatrième fois de leur histoire.
Depuis la saison 2012-2013,Christian Lanta etChristophe Deylaud, en provenance du SU Agen, officient en tant qu'entraîneur.
En,Philippe Ruggieri quitte son poste du directoire etAlain Afflelou quitte son poste de président du conseil de surveillance en indiquant également réduire son sponsoring pour le club (de 4M à 200 000 euros)[29]. Pour les remplacerEmmanuel Merin prend la direction du club.
Pour la saison 2014-2015, Christian Lanta quitte le club et Christophe Deylaud est nommé entraineur des espoirs. Ils sont remplacés par l'ArgentinPatricio Noriega[30] qui prend les fonctions d'entraineur des avants, secondé parNicolas Morlaes, l'ancien responsable du centre de formation qui prend le rôle d'entraineur des arrières. Cette équipe est épaulée parJean-Michel Gonzalez qui prend du galon et devient conseiller du président[31]. Dans le même temps, Alain Afflelou revient sur sa décision et réinjecte de l'argent, à hauteur de 1,7 million d'euros.
L'AB retombe vite dans ses travers. Les buteurs sont fébriles. Certains joueurs sont poussés dehors (Jgenti à Brive, Fonua en Angleterre) alors que d'autres disparaissent de l'équipe (B. Stewart, S. Vaka, D. Haare...) au profit des jeunes talentueux comme Ugalde ou Sayerse et l'international,Charles Ollivon.
En : l'entrepriseAlain Afflelou se retire et stoppe son sponsoring avec le club[32].
À l'issue de la saison 2014-2015, l'Aviron bayonnais termine à la13e place synonyme de relégation en deuxième division après 11 ans passé en Top 14.
À la suite de cet échec sportif en juin 2015 les dirigeants de l'Aviron bayonnais décident de monter un projet de fusion avec l'équipe voisine et rival du Biarritz olympique.Serge Blanco, alors président du BO, et le président bayonnaisEmanuel Merin se mettent donc d'accord pour le secteur professionnel. Mais ils doivent faire face à une hostilité des associations de supporters des deux clubs réticents au projet. Cela constitue de nombreux débats au niveau local créant quelques tensions au sein des deux clubs basques. Devant tant de réticence de la part des supporters et un vote contre la fusion de la part de la structure amateur de l'Aviron bayonnais propriétaire du numéro d'affiliation a laFFR, le projet d'un grand club basque est finalement abandonné.
Le,Emmanuel Merin quitte son poste de président de l'Aviron bayonnais à la suite de l'échec du projet de fusion avec leBiarritz olympique. Pour lui succéder l'ex président de l'aviron de 1999 à 2011 Francis Salagoïty reprend la présidence du club.
L'Aviron bayonnais retrouve le Top 14 dès sa première saison de Pro D2 après avoir gagné la finale d'accession le 4 juin 2016 austade Ernest-Wallon contreAurillac en s'imposant21 à 16[33],[34].
La remontée n'est toutefois pas pérenne car le club ne parvient pas à se maintenir en top 14 lors de la saison 2016-2017 et finit à la14e place du championnat avec 30 points. Le club redescend alors en Pro D2, et ne se qualifie pas pour les phases finales du championnat lors de la saison 2017-2018, où il termine à la8e place.
La fin de saison 2017-2018, du club est surtout marqué par une nouvelle tentative de fusion avec son rival, leBiarritz olympique. Devant l'opposition des supporters du club, l'opération échoue etFrancis Salagoïty démissionne de ses fonctions en mars 2018.Pierre-Olivier Toumieux (président du conseil de surveillance) etPhilippe Tayeb (président du directoire) lui succèdent en avril 2018, et opèrent plusieurs changements dans l'encadrement du club pour la saison 2018-2019, avec notamment la rupture du contrat dePierre Berbizier, manager général, et l'arrivée deYannick Bru à la tête de l'équipe. Celle-ci termine à la3e place de la phase régulière de lasaison 2018-2019 de Pro D2 et parvient à remonter en top 14 à la faveur de trois victoires consécutives en phases finales (en barrage contreNevers, en demi-finale contreOyonnax, puis lors de la finale contreBrive)[35]. Vincent Etcheto, entraîneur des arrières, quitte le club à la fin de l'exercice 2018-2019, son contrat n'ayant pas été prolongé. Il est remplacé parRémy Ladauge, venu duSoyaux Angoulême XV.
Après deux saisons en deuxième division, l'Aviron bayonnais retrouve donc l'élite pour lasaison 2019-2020 de Top 14.
A l'issue d'unesaison 2020-2021 marquée par plusieurs matchs a huis clos pour cause depandémie de Covid-19, le club bayonnais termine13e du championnat deTop 14 a égalité de points avec les Béarnais de laSection paloise malgré une victoire de plus, et se voit départagé à la suite des deux défaites dans la saison face à ces derniers ; l'Aviron bayonnais devra donc disputer unmatch de barrage pour sauver sa place dans l'élite du rugby. Le barrage voit donc un affrontement face au rival et voisin duBiarritz olympique auparc des sports d'Aguiléra, le match se dispute dans une ambiance bouillante, la confrontation est âpre et tendue, les défenses deux équipes se font face et sont plus solides les unes que les autres, la rencontre se terminant par une égalité 6-6 à la fin des prolongations ; une séance detirs au but est donc prononcée et voit l'Aviron s'incliner dans lederby basque (5 tirs à 6). Les Bayonnais sont de fait relégués enPro D2[36].
En 2022, Bayonne termine à la deuxième place dePro D2 à l'issue de la saison régulière se qualifiant ainsi directement pour les demi-finales contre Oyonnax. Les Bayonnais éliminentOyonnax rugby.
Le 5 juin 2022, Bayonne prend sa revanche sur leStade montois après avoir perdu à l'aller et au retour lors de la phase régulière du championnat, les Bayonnais s'imposent en finale de Pro D2 sur le score de 20-49 auGGL Stadium deMontpellier et remonte ainsi immédiatement enTop 14.
Avant même le titre de Pro D2, Bayonne avait recruté l'entraineurGrégory Patat pour affronter le retour en Top 14[37]. Ce dernier avait récemment hissé leStade rochelais en finale de la Coupe d'Europe et du Top 14.Sous ses ordres Bayonne termine la saison 2022-2023 à la8e place du Top 14 et se qualifie pour la première fois pour la Coupe d'Europe. Un match à domicile est délocalisé àAnoeta le 25 mars 2023 mais Bayonne y est battu parPau 20-30[38]. Il n'y avait pas eu de délocalisation depuis 2014.
En 2023-2024, Bayonne joue pour la première fois les deux compétitions majeures. EnTop 14, le club termine à la 12e place, tandis qu'il est éliminé en phase de poule de la Coupe d'Europe (poule C), non sans avoir fait match nul àLimerick contre leMunster (17-17, 9 décembre 2023)[39] et obtenu à Jean Dauger la première victoire du club en Coupe d'Europe contre lesExeter Chiefs (40-17, 21 janvier 2024)[40]. Bayonne est toutefois reversé dans leChallenge européen mais est battu en huitièmes de finale àMurrayfield parÉdimbourg (15-33, 6 avril 2024)[41]. Un match de Top 14 à domicile est de nouveau délocalisé àAnoeta le 31 mars 2024 mais Bayonne y est encore battu parToulon 20-46[42].
La saison 2024-2025 est recentrée sur leTop 14, même si Bayonne accède à nouveau aux huitièmes de finale duChallenge européen. Cette saison deux matchs à domicile sont délocalisés àAnoeta oú Bayonne s'impose enfin à deux reprises le 12 octobre 2024 contre La Rochelle (37-7)[43] et le 26 avril 2025 contre Pau (27-22)[44]. Bayonne réalise ainsi une saison régulière historique et termine à la 4e place (meilleur classement de l'ére professionnelle) synonyme de barrages et de nouvelle qualification en Coupe d'Europe.Le barrage est joué le 13 juin 2025 à Jean Dauger contre l'ASM Clermont (5e de la saison régulière) et se termine par la victoire indiscutable de Bayonne 20-3[45]. Ce résultat qualifie Bayonne pour une demi-finale historique (une premièredepuis 1983!) jouée àLyon le 20 juin 2025 face auStade toulousain, champion en titre et vainqueur de la saison régulière. Bayonne résiste bien (15-20 à la mi-temps) mais s'incline logiquement (24-39)[46].
En 2025-2026, l'Aviron bayonnais est engagé pour la seconde fois dans les deux compétions majeures:Championnat de France de rugby à XV 2025-2026 etChampions Cup 2025-2026 (poule C).
| Compétitions nationales | Anciennes compétitions |
|
| Date de la finale | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|
| Aviron bayonnais | 31 – 8 | SCUF | Stade Yves-du-Manoir,Colombes | 20 000 | |
| Stade toulousain | 6 – 0 | Aviron bayonnais | Route du Médoc,Le Bouscat | 20 000 | |
| Stade toulousain | 3 – 0 | Aviron bayonnais | Stade Yves-du-Manoir,Colombes | 15 000 | |
| Aviron bayonnais | 13 – 8 | Biarritz olympique | Stade des Ponts Jumeaux,Toulouse | 18 000 | |
| Aviron bayonnais | 3 – 0 | SU Agen | Parc des Princes,Paris | 28 000 | |
| USA Perpignan | 20 – 5 | Aviron bayonnais | Parc des Princes,Paris | 35 000 | |
| SU Agen | 18 – 9 | Aviron bayonnais | Parc des Princes,Paris | 41 165 |
| Date de la finale | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|
| Biarritz olympique | 6-6 (t-a-b, 6-5) | Aviron bayonnais | Parc des sports d'Aguiléra,Biarritz | entre 5 000[47] et 8 000[48] |
| Date de la finale | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu | Spectateurs | Champion |
|---|---|---|---|---|---|---|
| FC Auch | 26-9 | Aviron bayonnais | Stade du Hameau,Pau | FC Auch | ||
| [note 3] | Aviron bayonnais | 21-16 | Stade aurillacois | Stade Ernest-Wallon,Toulouse | 19 500 | Lyon OU |
| Aviron bayonnais | 21-19 | CA Brive | Stade du Hameau,Pau | 17 000 | Aviron bayonnais | |
| Aviron bayonnais | 49-20 | Stade montois | GGL Stadium,Montpellier | 10 178 | Aviron bayonnais |
| Date de la finale | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|
| 1910 | Aviron bayonnais | 10-0 | Évreux AC | Parc des Princes |
| Date de la finale | Vainqueur | Score | Finaliste |
|---|---|---|---|
| ASM Clermont Auvergne | 22 – 21 | Aviron bayonnais |
| Date de la finale | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|
| Stadoceste tarbais | 4 – 3 | Aviron bayonnais | Route du Médoc,Le Bouscat | ? |
| Date de la finale | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|
| Aviron bayonnais | 9 – 3 | USA Perpignan | Stade des Ponts Jumeaux,Toulouse | 17 000 | |
| Aviron bayonnais | 16 – 10 | AS Béziers | Parc des Princes,Paris | ? |
| Saison | Championnat | Division | Classement |
| 2025-2026 | Top 14 Champions Cup | Première division | |
| 2024-2025 | Top 14 Challenge européen | Première division | 4e / Demi-finaliste Huitième de finale |
| 2023-2024 | Top 14 Champions Cup Challenge européen | Première division | 12e 5e (phase de poule) Huitième de finale |
| 2022-2023 | Top 14 | Première division | 8e |
| 2021-2022 | Pro D2 | Seconde division | Champion / promotion |
| 2020-2021 | Top 14 | Première division | 13e / Relégation |
| 2019-2020 | Top 14 | Première division | 9e (Championnat suspendu après 17 journées en raison de la crise sanitaire liée au Covid-19) |
| 2018-2019 | Pro D2 | Seconde division | Champion / promotion |
| 2017-2018 | Pro D2 | Seconde division | 8e |
| 2016-2017 | Top 14 | Première division | 14e / Relégation |
| 2015-2016 | Pro D2 | Seconde division | 2e / Vainqueur de la finale d'accession / Promotion |
| 2014-2015 | Top 14 | Première division | 13e / Relégation |
| 2013-2014 | Top 14 | Première division | 10e |
| 2012-2013 | Top 14 | Première division | 8e |
| 2011-2012 | Top 14 | Première division | 12e |
| 2010-2011 | Top 14 | Première division | 7e |
| 2009-2010 | Top 14 | Première division | 13e |
| 2008-2009 | Top 14 | Première division | 7e |
| 2007-2008 | Top 14 | Première division | 9e |
| 2006-2007 | Top 14 | Première division | 8e |
| 2005-2006 | Top 14 Challenge européen | Première division | 12e Quart de finale |
| 2004-2005 | Top 16 Bouclier européen | Première division | 12e Demi-finale |
| 2003-2004 | Pro D2 | Seconde division | 1er / Promotion / Finaliste |
| 2002-2003 | Pro D2 Coupe de la Ligue | Seconde division | 6e Demi-finale |
| 2001-2002 | Pro D2 | Seconde division | 9e |
| 2000-2001 | Pro D2 | Seconde division | 3e / Demi-finale |
| 1999-2000 | Élite 2 | Seconde division | Première phase2e / Seconde phase2e |
| 1998-1999 | Élite 2 | Seconde division | 6e / Barrage |
| 1997-1998 | Groupe A2 | Seconde division | 8e |
| 1996-1997 | Groupe A2 Coupe de France | Seconde division | 7e Seizième de finale |
| 1995-1996 | Groupe A1 | Première division | 9e / Relégation |
| ... | ... | ... | ... |
| 1991-1992 | Championnat de France Challenge Yves du Manoir | Première division | Quart de finale Quart de finale |
| ... | ... | ... | ... |
| 1989-1990 | Challenge Yves du Manoir | Première division | Quart de finale |
| ... | ... | ... | ... |
| 1984-1985 | Challenge Yves du Manoir | Première division | Quart de finale |
| 1983-1984 | Coupe de France | Première division | Demi-finale |
| 1982-1983 | Championnat de France Challenge Yves du Manoir | Première division | Demi-finale Quart de finale |
| 1981-1982 | Championnat de France Challenge Yves du Manoir | Première division | Vice-champion Quart de finale |
| ... | ... | ... | ... |
| 1979-1980 | Championnat de France Challenge Yves du Manoir | Première division | Quart de finale Champion |
| 1978-1979 | Championnat de France Challenge Yves du Manoir | Première division | Quart de finale Quart de finale |
| ... | ... | ... | ... |
| 1976-1977 | Championnat de France | Première division | Quart de finale |
| 1975-1976 | Challenge Yves du Manoir | Première division | Quart de finale |
| ... | ... | ... | ... |
| 1972-1973 | Championnat de France | Première division | Quart de finale |
| ... | ... | ... | ... |
| 1963-1964 | Championnat de France | Première division | Quart de finale |
| ... | ... | ... | ... |
| 1959-1960 | Challenge Yves du Manoir | Première division | Quart de finale |
| 1958-1959 | Challenge Yves du Manoir | Première division | Quart de finale |
| ... | ... | ... | ... |
| 1956-1957 | Championnat de France | Première division | Quart de finale |
| ... | ... | ... | ... |
| 1949-1950 | Championnat de France | Première division | Demi-finale |
| ... | ... | ... | ... |
| 1947-1948 | Championnat de France Coupe de France | Première division | Quart de finale Quart de finale |
| ... | ... | ... | ... |
| 1945-1946 | Coupe de France | Première division | Quart de finale |
| 1944-1945 | Coupe de France | Première division | Demi-finale |
| 1943-1944 | Championnat de France | Première division | Vice-champion |
| 1942-1943 | Championnat de France Coupe de France | Première division | Champion Quart de finale |
| ... | ... | ... | ... |
| 1938-1939 | Championnat de France Challenge Yves du Manoir | Première division | Quart de finale Demi-finale |
| ... | ... | ... | ... |
| 1935-1936 | Championnat de France Challenge Yves du Manoir | Première division | Demi-finale Champion |
| 1934-1935 | Championnat de France | Première division | Quart de finale |
| 1933-1934 | Championnat de France | Première division | Champion |
| 1932-1933 | Championnat de France | Première division | Demi-finale |
| 1931-1932 | Tournoi des quatorze | UFRA | 10e |
| 1930-1931 | Tournoi des douze | UFRA | 6e |
| ... | ... | ... | ... |
| 1925-1926 | Championnat de France | Première division | Demi-finale |
| ... | ... | ... | ... |
| 1922-1923 | Championnat de France | Première division | Vice-champion |
| 1921-1922 | Championnat de France | Première division | Vice-champion |
| ... | ... | ... | ... |
| 1918-1919 | Coupe de l'Espérance | Première division | Vice-champion |
| ... | ... | ... | ... |
| 1912-1913 | Championnat de France | Première division | Champion |
Les couleurs traditionnelle de l'Aviron bayonnais sont le bleu ciel et blanc, où le club porte ces couleurs lors de ses matchs à domicile.
L'Aviron bayonnais change de logo en 2008[49].
En 2022, alors que le club accède à nouveau au Top 14, le club adopte un nouveau logo. Ce dernier est notamment constitué par des éléments renvoyant au toit de l'etxea, maison traditionnelle basque, à sept formes faisant écho àZazpiak Bat, les sept provinces historiques du Pays basque, ainsi qu'à laCroix basque, lelauburu[50].

Lamascotte du club est unPottok, une race dechevaux vivant auPays basque, baptiséePottoka. Elle fait ses débuts le[51]. Cette mascotte effectue sa première sortie internationale en avril 2006, lors du quart de finale du Challenge européen contre lesLondon Irish[52]. Elle génère des revenus notamment via lesproduits dérivés, mais elle soutient aussi différentes associations dont l'Association française contre les myopathies[52]. En 2018, Christophe Daupes, l'homme qui portait le costume depuis la création de la mascotte voilà 15 ans, passe la main à un successeur[52].
On l'engage auprès de l'association basque Haur Eri, qui aide les enfants malades de l'hôpital de Bayonne, action particulièrement appréciée à Bayonne ainsi que par les enfants qui retrouvent le sourire quand il passe les voir. En 2014, il crée avec l'aide du chanteur Gorka Robles une chanson,Bonjour, Agur, où il chante accompagné d'enfants malades ainsi que par quelques joueurs de l'Aviron (M.Ugalde, G.Rouet, J.Rokocoko, S.Spedding, G.Lovobalavu). Tous les bénéfices de ce CD sont reversés à l'association des enfants malades.
Le jour du dernier match de la phase régulière de Pro D2 de la saison 2015-2016 contre le Stade montois, il foule la pelouse de Jean-Dauger pour la300e fois[réf. nécessaire].
Les paroles sont de Dominique Herlax sur l'air deGriechischer Wein (Vino Griego enespagnol,Vin grec enfrançais), unair populaire composé par le musicienautrichienUdo Jürgens en 1974 ayant eu beaucoup de succès dans leSud-Ouest de la France[53],[54]. L'hymne est connu localement sous le nom dePeñaBaiona.
Les supporters de l'Aviron soutiennent activement leur club pendant les matchs du championnat, agissent comme un seizième homme de l'équipe.
Plusieurs organisations de supporters existent :
En juillet 2015, à la suite du projet de fusion avorté avec le Biarritz olympique, les Socios lancent une souscription populaire, une campagne definancement participatif, afin de lever des fonds pour la formation bayonnaise et acheter des parts supplémentaires.
Au cours de la saison 2017-2018, les diverses tractations en coulisses entre les actionnaires d'AB Lagunak afin de mettre en place un énième projet de fusion avec le Biarritz olympique poussent les quatre associations de supporteurs à s'unir. Leur importante pression conduira Francis Salagoïty et Christian Devèze à la démission. Ces derniers, après avoir maintes fois répété que leur présence à la tête du club était le symbole d'une grande stabilité et d'un abandon de toutes les discussions avec l'éternel rival, sont contraints de quitter leurs postes.

| Période | Président |
|---|---|
| mars 1905 - 6 janvier 1910[réf. nécessaire] | Joseph Larran[réf. nécessaire] |
| 6 janvier 1910 - 22 décembre 1921[réf. nécessaire] | Joseph Choribit[56] |
| 10 juin 1922 - 27 juin 1928[réf. nécessaire] | Fernand Forgues[57] |
| 27 juin 1928 - 10 octobre 1940[réf. nécessaire] | André Frois[réf. nécessaire] |
| 10 octobre 1940 - 31 juillet 1946[réf. nécessaire] | Alfred Dubos[réf. nécessaire] |
| 31 juillet 1946 - 8 septembre 1954[réf. nécessaire] | Georges Darhan[réf. nécessaire] |
| 8 septembre[réf. nécessaire] 1954[58] -9 juillet[réf. nécessaire] 1959[58] | Henri Grenet[58] |
| 9 juillet 1959 - 30 juin 1965[réf. nécessaire] | Robert Lahet[réf. nécessaire] |
| 30 juin 1965 - 21 juin 1976[réf. nécessaire] | Maurice Celhay[réf. nécessaire] |
| 22 juin[réf. nécessaire] 1976[58] -31 décembre[réf. nécessaire] 1989[58] | Jean Grenet[58] |
| 2 janvier 1990 - 14 septembre 1993[réf. nécessaire] | Jean-Louis Domergue[réf. nécessaire] |
| 15 septembre 1993 - 8 décembre 1996[réf. nécessaire] | Jean-Pierre Dussarrat[réf. nécessaire] |
| 9 décembre 1996 - 25 septembre 2000[réf. nécessaire] | Jean-Michel Barnetche[réf. nécessaire] |
| 1999[59] -13 avril 2011[réf. nécessaire] | Francis Salagoïty[59] |
| 13 avril 2011 - décembre 2011[réf. nécessaire] | Michel Cacouault[réf. nécessaire] |
| 10 décembre 2011 - 21 février 2014[réf. nécessaire] | Alain Afflelou |
| 5 mars 2014 - 27 juin 2015[60] | Emmanuel Mérin |
| 27 juin 2015 - 25 mars 2018[61] | Francis Salagoïty |
| depuis le 20 avril 2018[62] | Philippe Tayeb |
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Le documentaireBeau Joueur, réalisé parDelphine Gleize et sorti au cinéma en 2019, suit les efforts de l'équipe pour se maintenir dans l'élite lors de lasaison 2016-2017 du Top 14.
| Infrastructures |
|
|---|---|
| Saisons | |
| Confrontations | Biarritz olympique |