Lever de soleil brumeux à Avesnelles, dans la vallée de l'Helpe Majeure
Avesnelles se situe dans le sud est dudépartement du Nord (Hainaut) en plein cœur duParc naturel régional de l'Avesnois. L'Avesnois est connu pour son bocage et son relief un peu vallonné dans sa partie sud-est (début des contreforts des Ardennes), dite « petite Suisse du Nord ».
La commune est située dans lebassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Helpe Majeure, le ruisseau du Moulin ou Sambre, le ruisseau de la Fontaine cavée[1], le ruisseau de la Planquette[2], le ruisseau de la Plate pierre[3], le ruisseau du Fourmanoir[4] et le ruisseau Rieu d'orsy[5],[6],[Carte 1].
Au, Avesnelles est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19].Elle appartient à l'unité urbaine d'Avesnes-sur-Helpe[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant cinq communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 5],[20],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avesnes-sur-Helpe, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d'occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (71,3 %),terres arables (18 %), zones urbanisées (9,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,8 %)[23]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Avesnelles en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion derésidences secondaires et logements occasionnels (0,6 %) inférieure à celle du département (1,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 61,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (62,1 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 4].
L'origine du nom est un diminutif d'Avesnes. Pendant le Haut Moyen Âge, les deux communes ne forme qu'une villa. Après la formation du bourg castral d'Avesne, le reste s'appelle Avesnelles-Saint-Denys[24].
Noms anciens[25] : Avesnelle, 1151, cart de l'abb. de Liessies. — Avenelles, 1186, J. de Guise, XII, 339. — Avenelles, 1200, charte de Gauthier d'Avesnes. — Advesnelloe, 1263, cart. de l'abb. de Liessies. — Advesnielle, 1273, cart. des Guillemin de Walincourt. — Advesnielles, 1349, pouillé du diocèse de Cambrai. — Avenielles, 1484, manusc. de J. de Guise, Valenciennes. — Avenele, 1639, scel échevinal. — Avenelles-St-Denis, 1643, acte féodal de la pairie d'Avesnes. — Avenelles. — Avesnelles, documents divers.
Cette section contient une ou plusieurslistes. Le texte gagnerait à être rédigé sous la forme de paragraphes synthétiques. Les listes peuvent demeurer si elles sont introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents éléments (août 2024).
1659 : Avesnelles est intégré au royaume de France à la suite de la signature dutraité des Pyrénées le 7 novembre 1659.
Carrière : Une carrière, implantée près de la ferme de la Goutelette, a été abandonnée avant 1789 en raison de l'eau qui venait la remplir. Les statistiques du préfet Dieudonné publiées en 1810 mentionnent encore une carrière de pierre de taille en activité.[réf. nécessaire]$
1790 : à la suite de la subdivision des départements français en districts, à compter de 1790, Avesnelles se trouve dans le canton d'Avesnes, lui-même appartenant au district d'Avesnes jusqu'en 1795, date à laquelle les districts sont supprimés par la constitution du 5 fructidor An III (22 août 1795). Ils seront remplacés par les arrondissements créés par la loi du 28 pluviôse an VIII (17 février 1800)
1800 : à la suite de la loi du 28 pluviôse an VIII (17 février 1800) qui crée les arrondissements pour remplacer les districts, Avesnelles fait partie de l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe créé au regard de l'arrêté en date du 17 ventôse an VIII.
1838 : Textile : L'industrie textile s'implante dès 1838 à Avesnelles à la suite d'une autorisation préfectorale permettant de nouvelles installations pour le peignage et le filage des laines : la filature Tordeux-Flament (1 080 broches) est construite au quartier du Taille-Pieds. En 1874 trois filatures (fondées en 1853 et 1871 pour les plus récentes) sont présentes et perdureront jusqu'en 1918, date à laquelle ces unités sont intégrées dans la Société des Filatures de la région de Fourmies qui regroupe 25 usines, soit 350 000 broches. Ce développement industriel concourt à l'augmentation de la population d'Avesnelles et à la construction de nouveaux "équipements" sous le Second Empire et la Troisième République.
Historiquement, à Avesnelles, l'industrie textile est marquée par le parcours de 4 grandes entreprises dont une seule subsiste à ce jour.
1838 : La première usine. En 1838, la première entreprise est créée par Émile Tordeux et Auguste Flament au lieu-dit « Le Taille-pieds ». En 1853, l'affaire est en pleine prospérité et ils fondent la société « Flament et Tordeux ». En 1854, après la mort d'Auguste Flament, l'entreprise devient « Tordeux et Toupet ». Entre 1856 et 1869, après les mariages des enfants, la société devient « Émile Tordeux-Tordeux-Dubois – Tordeux-Pecqueriaux et Toupet ». C'est la belle époque pour l'industrie textile. En mai 1890, le textile est en crise. En 1891 la société devient « Tordeux et Fils ». En 1893, Jules Pecqueriaux, filateur à Etroeungt, s'associe et la société devient « Tordeux et Fils et Jules Pecqueriaux ». Jules Pecqueriaux meurt en 1902. L'affaire est reprise par René Pecqueriaux qui s'associe avec Albert Hauet. Son activité cesse définitivement lors de la Première guerre mondiale.
1853 : La deuxième usine. En 1853, la mort d'Auguste Flament a pour conséquence la création d'une deuxième filature, rue du Moulinet, à côté de la première. Eugène Flament fils s'associe à Valery Lecompte, Odile Pëcqueriaux pour créer la société « V. Lecompte, Pecqueriaux, Flament & Cie ». Les débuts en 1854 sont difficiles, aggravés par laguerre de Crimée. En 1857, l'usine est en pleine activité, la société s'agrandit. L'essor se poursuit jusque 1871 où elle est dissoute pour créer une nouvelle société « Veuve Lecompte, Delamare, Pierart & Cie ». Un nouveau directeur est désigné, Jules Feuillet. Sous son impulsion, l'affaire prospère et, en 1891, la société devient « Veuve Lecompte et Feuillet ». Mme LecomptE disparait en 1894. La nouvelle société prend le nom de « Établissement Feuillet et Cie ». La qualité de leur fabrication vaut à l'établissement un « Grand prix » à l'Exposition universelle de 1900. La crise survient en 1903 et, en 1904, l'usine arrêté son exploitation. En 1910, l'usine est démolie.
1872 : En 1872, une troisième entreprise voit le jour avec Eugène Flament, fils d'Auguste, qui construit au lieu-dit « Derrière Le Moulin » l'établissement toujours en activité à ce jour. La société prend le nom de « Flament et Fosset » et l'affaire prend rapidement de l'extension. Pour loger la main d'œuvre, elle doit procéder à la construction de maisons ouvrières. Ainsi né le « Quartier Flament ». En 1988, la société porte le même nom mais avec Eugène Flament père, son fils et son gendre, Jules Cromback. A l'époque, la filature est la plus moderne de la région. Elle surmonte la crise de 1890. Eugène Flament meurt en 1897. La filature du Moulin partage avec celle du Moulinet un Grand prix à l'Exposition universelle. La guerre de 1914-1918 interrompt l'activité. Elle est ravagée, pillée. En 1918, elle s'intégre dans la SFRF dont le fils Pierre Cromback a été un des fondateurs avec M. Mariage deSains-du-Nord.
1873 : En 1873, une quatrième filature moderne est construite au lieu-dit « La Chapelle Notre-Dame de Walcourt ». La société « Ets Pecqueriaux – Bachelart & Cie » est créée. En 1889, Odile Pecqueriaux reprend ses parts, achète du nouveau matériel et forme la Sté « O Pecqueriaux & Fils » pour l'exploitation delaine peignée à façon. En 1895, à la mort d'Odile Pecquerieux, la raison sociale devient « Sté Pecqueriaux – Delsaut ». Après plusieurs décès des successeurs de la famille Pecqueriaux, Mme Pecqueriaux s'associe, en 1913, avec divers brasseur d'Avesnelles et la société prend le nom du fils mineur Pierre « Sté P. Pecqueriaux & L. Staincq ». En 1914, Pierre Pecquerieux meurt à la guerre. En 1922, la filature est dissoute et les biens sinistrés sont cédés à la SFRF. Jusqu'en 1958, elle est appelée « Filature des Textiles d'Avesnelles » et appartient à Messieurs Raphaël et Roger Lepoutre. Elle ferme ses portes en fin d'année. Elle est rachetée par Bendix qui y stocke des machines à laver et utilise la filature de 1961 à 1963.
En 1873, plus de la moitié des habitants, soit867 personnes, vit du travail industriel. L'apogée de la commune se situe en 1890. Lors du prolongement de la ligne de chemin de fer Lille-Valenciennes, jusqu'à Aulnoye et Anor, la ville fait valoir son développement pour obtenir une halte favorable. Remplaçant les grands propriétaires terriens, les nouveaux industriels accèdent aux fonctions municipales dès le début du Second Empire. Après la Première Guerre mondiale, la population ouvrière se reconvertit en grande partie dans l'industrie métallurgique du bassin de la Sambre.
1925 : Avesnelles a été lié à la production duMaroilles pendant longtemps. En 1925, Paul Fauquet reprend l'entreprise Chameroy et Leroy. Deux sites existaient. L'un àDompierre-sur-Helpe où le Maroilles était fabriqué, l'autre à Avesnelles (Route d'Étrœungt) où il était affiné. Le Maroilles Fauquet était né. En 1989, les Fromagers de Thiérache rachètent la société Fauquet et transfèrent, en 1991, la production àLe Nouvion-en-Thiérache (Aisne) dans une usine appartenant aujourd'hui au groupeBongrain.
On dénombre au sein de la ville plusieurs établissements scolaires:
L'école maternelle Blanche-Neige
L'école élémentaire d'Avesnelles
Le collège Renaud-Barrault (ouvert en 1994 à la suite du transfert de la section « collège » présente auparavant au sein du lycéeJessé de Forest d'Avesnes-sur-Helpe.
Chaque école dispose d'une association de parents d'élèves propre à l'établissement: Les 7 nains pour l'école maternelle, les diablotins pour l'école primaire et l'APE du collège Renaud-Barrault pour le collège.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].
En 2022, la commune comptait 2 254 habitants[Note 7], en évolution de −9,7 % par rapport à 2016 (Nord : +0,51 %,France horsMayotte : +2,11 %).
À partir des années 1830, moment où l'industrie textile pourvoyeuse de nombreux emplois se développe sur Avesnelles, la population de la commune va augmenter considérablement. À partir des années 1830, le village va gagner 1 000 habitants en40 ans et, à nouveau 1 000 habitants sur les90 années suivantes. À partir des années 1970, le nombre d'habitants baisse en concomitance avec le déclin de l'activité textile.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 30,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 31,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 132 hommes pour 1 301 femmes, soit un taux de 53,47 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[44]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,7
90 ou +
2,5
7,6
75-89 ans
13,1
19,8
60-74 ans
19,5
22,2
45-59 ans
20,5
16,8
30-44 ans
15,7
18,3
15-29 ans
14,7
14,7
0-14 ans
13,9
Pyramide des âges du département duNord en 2021 en pourcentage[45]
L'église Saint-Denys d'Avesnelles est présente au centre-village. Avesnelles fait partie de la paroisse catholique du Bon Pasteur (Diocèse de Cambrai).
Commerces : de par la position géographique d'Avesnelles contiguë àAvesnes-sur-Helpe, en matière de commerce, plusieurs grandes enseignes nationales (notamment des supermarchés, etc.) sont présentes sur son territoire.
Services : une partie des actifs travaillent dans les services publics et activités « tertiaires » présents surAvesnes-sur-Helpe. Des professions indépendantes sont également implantées.
Agriculture : Avesnelles est à la fois une commune urbaine et rurale. Plusieurs exploitations agricoles sont présentes et spécialisées principalement dans la production laitière et l'élevage bovin.
Industrie :
Filature de l'Avesnois : les filatures étaient très nombreuses dans le Sud Avesnois jusque les années 1970. À Avesnelles, au cœur du village, 42 rue Léo Lagrange, il reste une usine textile spécialisée dans les fibres techniques. Dénommée "Filature de l'Avesnois", l'usine faisait partie autrefois de la Société des Filés de la Région de Fourmies (SFRF). En 1994, elle a été rachetée par Rhovyl, société fondée en 1948 par Rhône-Poulenc, basée à Tronville-en Barrois (Meuse). En 2005,58 salariés étaient encore présents ; 35 en 2009. La Filature de l'Avesnois fournit du fil pour la bonneterie, la couture et l'ameublement.
Eise Chapel : créée en 1990, l'entreprise Chapel fabrique des vérins (2 millions de 1990 à 2008), une pièce mécanique et hydraulique que l'on retrouve dans le machinisme agricole et industriel dès lors qu'il s'agit de lever des charges. Le siège du Groupe CHAPEL est basé à Grenoble. Le site d'Avesnelles comporte38 salariés (en 2008) qui travaillent en 3-8. L'entreprise est installée sur une petite zone industrielle, à l'est de l'agglomération.
Église Saint-Denys. Datant du XVIe siècle, elle est construite au centre de l'ancien cimetière d'origine mérovingienne en pierre bleue. Sa tour-porche datant du milieu du XVIe siècle renferme un portail de style gothique flamboyant. Le chœur est refait vers 1760 mais les chapelles latérales restent celles de 1590. En 1938, les bas-côtés sont ajoutés. Plusieurs objets notables sont : les vantaux de porte de style renaissance datant de 1560 et les fonts baptismaux datant de 1535[24].
Écartelé : aux 1 et 4, d'argent à trois fasces de gueule (qui est Croÿ) ; aux 2 et 3, contre-écartelé : aux a et d, d'azur à trois fleurs de lis d'or (qui est France) ; aux b et c, de gueules (qui est d'Albret) ; sur le tout du contre-écartelé, d'hermine (qui est Bretagne) ; et sur le tout de l'écartelé, de gueules à trois roses d'or (qui est Arenberg).
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
La commune d'Avesnelles s'est doté d'un nouveau logo depuis le 7 septembre 2020 à la suite d'une délibération du conseil municipal[réf. nécessaire]. Jusqu'à cette date, le logo de la ville était leblason des armoiries d'Avesnelles.
↑Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:05 TU à partir des 206 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/02/2007 au 01/06/2024.
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Avesnes-sur-Helpe comprend une ville-centre et quatre communes de banlieue.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155).
↑Annuaire administratif et statistique du département du Nord-Année 1939, p. 96.
↑Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276,lire en ligne.
↑Annuaire statistique du département du Nord pour l'an 1807, p. 120-121,lire en ligne.
↑M. Br., « Jean-Pierre Leclercq, ancien maire et pharmacien d’Avesnelles, est décédé : Le 24 septembre dernier, Jean-Pierre Leclercq, ancien maire d’Avesnelles, s’est éteint à l’âge de 79 ans. Il a effectué deux mandats en tant qu’édile, de 1995 à 2008, et était également installé comme pharmacien dans la commune. »,La Voix du Nord,(lire en ligne).
↑« CES maires qui ont perdu leur siège : Jean-Claude Breucq, détrôné par Sébastien Baroche, siègera-t-il encore à Avesnelles? : On savait cette élection serrée. Avesnelles a, dimanche, changé de mains. Qui, il y a quelques mois, aurait parié sur Sébastien Baroche ? Le fils adoptif des Baroche aurait pu n'être qu'un météore dans la constellation avesnelloise. Il est vite devenu incontournable. Ce trentenaire, qui sera un des plus jeunes maires de la région, distance de 52 voix (52%) la liste de Jean-Claude Breucq (48%). »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le)« Le maire d'Avesnelles est un des battus du premier tour ».
↑« Sébastien Baroche, le tombeur du maire d'Avesnelles, est né en Inde »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le).
↑Elodie Noireaux, « Polémique : le club dénonce, le maire répond : Depuis des semaines, les bruits courent autour de la J. S. A. Le président S. Seguin a annoncé sa démission à la suite de ses désaccords avec la municipalité »,L'Observateur de l'Avesnois,no 19479,,p. 5.
↑R. D. R., « L'ancien maire d'Avesnelles poursuivi pour abus de confiance, faux et usage de faux : Sébastien Baroche comparaîtra prochainement devant le tribunal correctionnel. À la suite d'une plainte déposée par la nouvelle équipe municipale d'Avesnelles, il est poursuivi pour abus de confiance, faux et usage de faux. Comme toute personne attendant d'être jugée, l'ancien maire est présumé innocent »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le).
↑Géraldine Beys, « Antoine Badidi est le nouveau maire et homme fort d'Avesnelles : Antoine Badidi est le nouveau maire d'Avesnelles. Il a été élu avec 19 voix soit l'ensemble des votes du conseil municipal, samedi matin. Une unanimité qui marque la volonté de l'opposition de travailler avec la majorité de façon constructive »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le).