Un projet d'autoroute entreAmiens et laRoute nationale 58. Le tronçon au sud de l'A25 a été abandonné en[1] à la suite duGrenelle de l'Environnement. Cependant le tronçon au nord de l'A25 qui contourneArmentières par l'est a vu le jour. Il dispose bien des caractéristiques d'une voie express pour devenir une autoroute dans le futur[2],[3],[4],[5]. En 2015 le département duNord met en service la route département 945 qui contourne Armentières par l'est en débouchant sur la route départemental 7[6],[7],[8]. Dans le cadre de la loi NOTRe de 2015, au les routes portants la mention « RD » sur le territoire métropolitaine de la MEL sont devenues des « RM ». Le changement des panneaux est effectif depuis l’été 2019[9] . EnBelgique laRoute nationale 58 est partiellement une autoroute enWallonie dans laprovince de Hainaut. EnRégion flamande dans laProvince de Flandre-Occidentale laRoute nationale 58 est appelée à être doublée pour devenir une 2x2 voies[10],[11],[12],[13],[14] . Toujours dans l'optique d'écarter le trafic de transit de la métropole Lilloise par l'ouest, l'état français réfléchit à élargir à 2x3 voies l'A25. Il réfléchit aussi à supprimer les ronds-points et giratoires sur lesRoutes nationale 41 etnationale 47 qui sont sources d'embouteillages et de pollution à l'approche deLille etLens[15],[16],[17] .
L'axeArras -Belgique est une succession de voies express et d'autoroutes. Respectivement partant de d'Arras :
Route nationale 25,Route nationale 17,A211,A21,Route nationale 47,Route nationale 41,A25, Route métropolitaine 945et la Route métropolitaine 7.L'axeArras -Amiens est lui une simple route nationale dont l'état français conserve la charge. LaRoute nationale 25 est quant à elle classée voie express au nord d'Amiens et à l'ouest d'Arras. Un projet de 2x2 voies existe sur la papier en lieu est place d'une A24. Cependant ce projet n'est qu'un simple projet sur le papier, il n'existe pas d'étude pour le moment[18] .
constituer une capacité de transport alternative, de celle du réseau autoroutier existant dans les régionsNord-Pas-de-Calais etPicardie, et offrir un itinéraire alternatif à l’autorouteA1 en améliorant le maillage du réseau par l'ouest deLille;
réduire la pollution et la congestion dans la métropole deLille.
Ce projet a été l'objet de controverses entre partisans et opposants de l'axe. Les premiers arguant de son utilité en tant qu'axe de déchargement de l'autoroute A1, les seconds mettant en cause son impact écologique et l'alternative du ferroutage.
Des opposants aux projets de l'autoroute A24 ont préconisé un simple passage à 2 × 2 voies de laRN 2 reliantParis àMons (Belgique). LaRN 2 souffre cenpendant d'un défaut. Celle ci permet d'écarte le traficParis -Benelux, en partie à destination deBruxelles , sans tenir compte des flux à destination d'Anvers. LaRN 2 constitue en effet un barreau parallèle à l'autoroute A1 et pourrait désengorger efficacement une partie de son trafic. Des travaux d'aménagements entreMaubeuge etLaon, attendus depuis lesannées 1980 par la population, permettraient d'avoir un axe à double voies entre l'Île-de-France et une partie laBelgique. Ce projet permettrait de désenclaver l'Avesnois, laThiérache.
La non réalisation d'un axe rapideLille-Amiens enclave une partie des habitants de la régionHauts-de-France, dans le sud-ouest de laPicardie.
Le dossier peut être abordé de deux manières, soit d'un point de vue stratégique au niveau des transports, soit d'un point de vue pratique. En effet laBelgique veut d'un axe gratuit pour se connecter à laFrance. LaFrance parle d'un simple axe de contournement à péage dont laBelgique ne veut pas entendre parler. Il existe d'autres problèmes, tels que les problématiques linguistiques entre francophones et néerlandophones.