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Ausone

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Ausone
Description de cette image, également commentée ci-après
Ausone,vue d'artiste (XVIIe siècle).
Données clés
Nom de naissanceDecius ou Decimus Magnus Ausonius
Naissance
Bazas ouBurdigala (Gironde)
Décès
entreLangon etLa Réole
Activité principale
questeur du palais (374-378),préfet du prétoire des Gaules (377-78), consul (379), proconsul d'Asie (380-383)
Auteur
Langue d’écriturelatin
Mouvementpoésie chrétienne
Genres
poésie lyrique,églogues
Adjectifs dérivésausonien

Œuvres principales

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Ausone (enlatin :Decimus Magnus Ausonius), né en309/310 àBazas ou àBordeaux, mort vers394/395 dans une villa située entreLangon etLa Réole, est un homme politique, homme de lettres et pédagogue gallo-romain de la période duBas-Empire, proche de l'empereurGratien ; il fut notammentpréfet du prétoire des Gaules en 378.

Poète de languelatine, ce lettré de l'empire d'Occident est l'auteur d'une vingtaine d'ouvrages.

Biographie

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Famille

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Il est le fils deJules Ausone (Julius Ausonius, 287-377, médecin,préfet du prétoire d'Illyrie, puisarchiatre deValentinienIer) et d'Æmilia Æona, tous deux membres de familles de propriétaires fonciers du Sud-Ouest de la Gaule. Son oncle maternel étaitAemilius Magnus Arborius, professeur de rhétorique àTolosa. Son grand-père maternel Caecilius Argicius Arborius, originaire d'Augustodunum, s'exila àDax, et épousa une femme de bonne naissance mais sans fortune du nom d'Aemilia[1].

Il épouse Attusa Lucana Sabina[2],fille du sénateur Attusius Lucanacus Talisius[réf. nécessaire]. Il a un fils, Hesperius.

Il hérite de ses parents une fortune constituée d'une dizaine de petits domaines répartis dans la vallée de la Garonne entre Bordeaux (Burdigala),Bazas (Cossium) etMarmande[N 1].

Études et carrière professorale

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Il fait ses études d'abord àBordeaux (Burdigala), puis àToulouse (Tolosa) sous la direction de son grand-oncle paternelÆmilius Magnus Arborius, né dans la province deLyonnaise et cultivant des origineséduennes, avocat et précepteur de la famille impériale qui réside alors dans cette ville. Revenu à Bordeaux, Ausone pratique le droit quelque temps, puis se tourne vers une carrière d'enseignement de la grammaire, puis de larhétorique. Il a eu pour élèvePaulin de Nole (353-431) avec qui il a entretenu sa vie durant une longue correspondance. Ausone, parlant des professeurs, nous apprend qu'il y avait à Bordeaux desphilologues, des grammairiens et des rhéteurs, enseignant enlatin et engrec.

Carrière politique

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Ausone connaît une carrière tardive. Il approche de sa cinquante-cinquième année, lorsqu'en 364 l'empereurValentinienIer l'appelle pour prendre la place deprécepteur auprès de son filsGratien, âgé de cinq ans. Trois ans plus tard, celui-ci est élevé au rang d'Auguste. Ausone jouit du titre decomites, c'est-à-direcomtes du palais. En 368, le vieux fonctionnaire reçoit pourbutin une très jeune esclavealamane, peut-être une fillette,Bissula, à laquelle il adressera plusieurs poèmes d'amour.

Ausone devientquesteur du palais en 374 et le restera jusqu'en 378. En 375,Valentinien meurt et son fils prend seul en charge les affaires impériales. Ausone obtient des charges élevées dans l'administration civile,préfet du prétoire des Gaules en 377/378,consul en 379, puisproconsul d'Asie[N 2]. Le déplacement de la capitale impériale deTrèves àMilan en 381 sonne le glas de la courte carrière du puissant conseiller impérial.

Les dernières années

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Le vieux conseiller se retire de la cour de Milan à la mort de Gratien en 383 et revient à Bordeaux, partageant sa vie entre ses amis, la poésie et les plaisirs champêtres : c'est là qu'il compose ou met en forme ses derniers ouvrages.

Sa tombe se trouverait dans l'ermitage deMortagne-sur-Gironde.[réf. nécessaire]

Son œuvre

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« Deformis uxor cui sit ancilla elegans.
Uxorem habere subigere ancillam velit[3].

À hideuse épouse, servante accorte.
L'épouse, on veut la garder, la servante, la forcer.
 »

— Scrupules d'un Ausoneadultère songeant sans doute àBissula

.

Vue d'ensemble

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Auteur d'épigrammes, desidylles, deséglogues et desépîtres, ses vers célèbrent souvent la table et surtout, levin, levin de Bordeaux dont lechâteau Ausone prendra le nom, mais aussi lesvins de Moselle et lesvins d'Italie. Son chef-d'œuvre estLa Moselle, description en 483hexamètres d'un voyage deBingen à Trèves. Ses morceaux les plus estimés sont lesParentales, lesRoses, laMoselle et leCrucifiement de l'Amour.

C'est dans l'ode à laMoselle de cepêcheur accompli qu'apparaîtrait pour la première fois[réf. nécessaire], parmi force précisions halieutiques etichtyologiques,le nom latin (salar) de latruite[réf. nécessaire] :

  • « purpureisque salar stellatus tergora guttis » (« la truite a le dos étoilé de gouttes de pourpre »)
  • « qui nec dum salmo nec iam salar » (« toi,truite saumonée, qui n'es pas encore le saumon et n'es plus la truite »).

La correspondance entre Ausone, chrétien modéré, etPaulin de Nole, converti à un christianisme exalté (futur évêque deNole et futur saint)« est un document d'une importance exceptionnelle tant sur le plan de l'histoire de la société aristocratique de l'Antiquité tardive (vie de grands propriétaires, réaction d'Ausone à laconversio de Paulin) que sur le plan littéraire (abandon de la poésie profane par Paulin, conception de l'amitié épistolaire) »[4].

Jugements

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Monument à Ausone à Milan.

Ferdinand Lot estime que« La plupart du temps [Ausone] est ennuyeux et sans originalité[5] », et il cite à l'appui de sa critiqueRené Pichon, auteur d'une célèbreHistoire de la Littérature latine :« Son style, bourré de citations, de plagiats et de pastiches, est celui d'un vieux professeur qui a la tête meublée d'expressions consacrées et qui croit rendre aux auteurs qu'il a si longtemps expliqués un suprême hommage, en pensant et en parlant sans cesse d'après eux… Il déverse dans ses écrits la masse des renseignements hétéroclites qu'il a accumulés pendant ses trente ans de professorat. » Tout ce que F. Lot concède est que« cette érudition indigeste gâte les parties où l'on trouve ce que l'on chercherait vainement chez les classiques : un je ne sais quoi de confiant et de familial[6] ».

Dans laCatholic Encyclopedia, Paul Lejay (1861-1920), membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, est loin de se montrer aussi sévère[7] :

« Pour juger Ausone à sa juste valeur il faut garder à l'esprit qu'il est le type du professeur duIVe siècle. Certaines de ses œuvres, par conséquent, écrites pour l'enseignement et dans l'esprit de l'enseignement, souvent des traductions du grec, sont sans importance. Versificateur capable de traiter n'importe quel sujet — plus il était difficile et moins il était poétique, mieux c'était — Ausone connaissait par cœur les œuvres de ses prédécesseurs, mais son goût et ses particularités métriques faisaient de lui un disciple des poètes de la nouvelle école (lesNeoterici, innovateurs poétiques de l'époque desSévères) plutôt que des poètes classiques. Dans ce travail, le personnage d'Austin sous lequel il se déguise pour écrire ses lettres àPaulin de Nole constitue une exception par rapport au reste de ses œuvres et est d'ailleurs presque vide d'idées. Il faut expliquer de la même manière l'attitude d'Ausone à l'égard du christianisme. Le paganisme de ses œuvres est un paganisme scolaire, et, si l'on voulait en se fondant sur lui mettre en doute qu'il était un chrétien, à l'inverse sa façon littéraire de traiter la mythologie permettrait de se demander s'il était païen. Mais la prière pascale, et plus encore la prière des « Ephemeris » n'aurait pas pu être l'œuvre d'un païen. Chrétien orthodoxe lorsqu'il priait, il était païen dans ses cours. Voilà pourquoi ses œuvres scolaires peuvent sembler très naturellement païennes. On a dit qu'après l'édit de tolérance de Julien de 361, Ausone a dû renoncer à l'enseignement, mais rien ne le prouve ni ne prouve le contraire, puisque Julien mourut l'année suivante. On suppose que, comme certains de ses contemporains, Ausone est resté catéchumène pendant longtemps. Il est possible qu'il n'ait pas encore été baptisé au moment où nous perdons sa trace, dans le silence et l'obscurité des derniers jours de sa vieillesse. »

Sa religion

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Son appartenance religieuse fait débat. Pierre-Thomas Camelot, professeur à lafaculté catholique des lettres de Lille et à la faculté de théologie du Saulchoir écrit dans l’Encyclopædia Universalis : « On a pu se demander si Ausone était païen ou chrétien. Sans doute était-il de ces esprits qui, comme il y en eut beaucoup auIVe siècle dans les milieux cultivés, étaient au fond assez indifférents en matière religieuse, et dont le christianisme ne fut peut-être qu'un opportunisme »[8]. Dans laRevue des Études Anciennes Année 1906 8-4p. 325-337[9], Lucien Villani défend au contraire le christianisme d’Ausone tandis que David Amherdt, maître d’enseignement et de recherche à l’université de Fribourg voit simplement en lui un chrétien modéré[10].

Liste de ses écrits

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En général brefs, les écrits d'Ausone forment une collection d'œuvres variées qu'on peut diviser en plusieurs groupes :

  • Épigrammes, 150 poèmes courts sur différents sujets, souvent traduits de l'Anthologie grecque.
  • Parentalia, trente panégyriques en vers élégiaques sur des proches décédés, avec de temps en temps quelques expressions de sentiment personnel (vers 379)
  • Commemoratio professorum Burdigalensium, une collection sur le modèle de la précédente, éloges des professeurs de Bordeaux, qui donnent une idée d'une université auIVe siècle (après 389).
  • LesIdylles réputées pour être la plus belle œuvre de l'auteur et très souvent rééditées. C'est dans cet ensemble que se trouve son célèbre poème« De Mosella » : une description de la Moselle et du pays qu'elle traverse, écrite pendant un voyage de Bingen à Trèves (vers 371). Ce poème présente un certain intérêt, local et archéologique et intéressant pour les connaissances ichtyologiques qu'il renferme[11].
  • De charmants poèmes où il parle de Bissula (après 368).[réf. nécessaire]
  • Beaucoup de courts poèmes, qu'Ausone a appelés églogues ou « Epyllia » ; prières pour le temps pascal (368) ; « Epicedion » : chant funèbre sur la mort de son père (mort en 378) ; conseils au petit-fils de celui-ci (vers 380) ; « Cupido crucifixus » : description d'une peinture dans une salle à manger de Trèves, qui représentait Cupidon tourmenté en enfer par les femmes qui le poursuivaient sur la terre etc.
  • Gratiarum actio dicta domino Gratiano Augusto, dans lequel Ausone exprime en prose ses remerciements pour avoir été nommé consul. Lu à Trèves en 379, il est composé de fleurs de rhétorique et de flatteries conventionnelles.
  • Ephemeris, le compte de ses tâches quotidiennes, du matin jusqu'au soir, dont on n'a que des fragments et qui semble destiné à la jeunesse (379). Dans cette œuvre, on trouve une prière du matin, composée d'expressions bibliques, dans laquelle la doctrine de la Trinité est présentée dans des formules détaillées dirigées contre les hérésies de l'époque.
  • Vingt-cinqépîtres, en vers la plupart du temps. Les plus intéressantes sont adressées à saintPaulin de Nole (393). Ausone regrette amèrement une conversion qui prive l'État et la littérature du bénéfice d'un esprit si brillant et il essaie de ramener le saint à la vie mondaine de Rome. Cette correspondance nous expose deux idéaux de la vie, il exprime en couleurs claires, les points de vue qui, à ce moment-là étaient en conflit l'un avec l'autre et divisaient la société.- « Præfatiunculæ » : préfaces etenvois de poèmes.
  • Lesépitaphes des Héros qui se trouvèrent à laguerre de Troie.
  • LesCésars qui évoquent lesempereurs décrits aussi parSuétone.
  • Les villes célèbres où il écrit surConstantinople,Carthage,Antioche,Alexandrie,Trèves,Milan,Capoue,Aquilée,Arles,Lérida,Athènes,Catane,Syracuse,Toulouse,Narbonne etBordeaux. La partie surRome ne compte qu'un seul vers et est probablement incomplète.
  • Le jeu des sept sages, daté probablement de 390.
  • Lesperiochae de l'œuvre d'Homère, des résumés de chaque livre de l'Odyssée et de l'Iliade. Leurs authenticité est contestée, le rédacteur est peut-êtreFulgence[12] ou un auteur anonyme[13].

L'Histoire littéraire de la France lui consacre un long chapitre[14].

Éditions et traductions modernes de ses écrits

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  • Epigrammata,Venetiis, impressa magistr. Ioanne de Cereto de Tridinoalias Tacuini, 1496 pridie idus octobriis.
  • Opera, Venice In Ædibus Aldi et Andreæ Soceri, novembre 1517.
  • Griphi Ausoniani Enodatio,Paris, venundatur in ædibus Ascensianis, 1522.
  • Opera. Adhæc Symmachi, et Pontii Paulini litteræ ad Ausonium scriptæ tum Ciceronis, sulpicæ… veterum carmina nonulla.Burdigalæ (Bordeaux), S. Millanges, 1580.
  • Poèmes divers d'Ausone, traduit du latin parÉdouard Ducoté, Paris, Librairie de l'Art indépendant, 1897.
  • Divers poèmes et lettres :
    • Ausone et Paulin de Nole,Correspondance, Introduction, texte latin, traduction et notes par David Amherdt, Peter Lang, 2004 (Sapheneia, Beiträge zur Klassischen Philologie ; 9), VII et 247 p.[15]

Hommages

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Divers lieux de Bordeaux et de sa région évoquent le souvenir d'Ausone :

  • Château Ausone àSaint-Emilion fut baptisé avec le nom du poète en 1592. Le château est à l'emplacement supposé de lavillæ Lucaniacum, palais qui appartenait à Ausone par son beau-père.
  • L'Institut d'archéologie en sciences de l'Antiquité et du Moyen Âge de l'université Bordeaux-Montaigne est appelé Institut Ausonius[16].
  • La rue qui sépare la grande école « Sciences Po Bordeaux » de la faculté d'excellence de droit de l'université de Bordeaux porte le nom d'allée Ausone, tout comme la lettre d'information de Science Po.
  • LaJunior Entreprise de Sciences Po Bordeaux spécialisée dans les Affaires Publiques, le Marketing, la Communication et la RSE porte le nom d'Ausone Conseil[17]
  • Une station de l'extension de laligne C du réseau de tramways de Bordeaux porte son nom.
  • Le collège de Bazas et un collège du Bouscat ont été nommés « collège Ausone ».
  • Une salle de conférence de lalibrairie Mollat à Bordeaux porte également le nom de « Station Ausone »[18].

Le lycée français deTrèves portait le nom de « lycée Ausone », mais il a fermé lors du retrait desforces françaises en Allemagne.

Notes

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  1. Il ne faut pas se fier aux écrits de l'auteur, où il se présente avec une modestie et une humilité detopos rustique, appelées par le style rhétorique et poétique classique et le respect de préséance dû à ses lecteurs.
  2. Peut-être a-t-il déjà été préfet pour l'Italie et l'Afrique avant 377 ?

Références

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  1. BeatriceCaseau, « « Stratégies parentales concernant les enfants au sein de la famille: le choix de la virginité consacrée », dans Parenté et stratégies familiales dans l'Antiquité tardive (IIIe-VIe siècle), éds. Ch. Badel, Ch. Settipani, Paris, 2012, p. 247-264 »,www.academia.edu,‎(lire en ligne, consulté le)
  2. Jean-BaptisteMilliet,Notice des poètes latins, contenant la vie de chaque poète, jugemens sur ses ouvrages, avec un choix des plus beaux morceaux,(lire en ligne),p. 300.
  3. Ausone,Épigrammes, CXLII.
  4. Janine Desmulliez, Compte rendu de l'édition et de la traduction française de cette correspondance par David Amherdt, site de laBibliothèque des Sciences de l'Antiquité.
  5. La Fin du monde antique et les débuts du Moyen Âge, Paris, La Renaissance du Livre, 1927, rééd. Albin Michel, 1968,p. 166.
  6. Il cite cette foisCamille Jullian,Ausone et Bordeaux, Étude sur les derniers temps de la Gaule romaine : il parle de lui-même, de sa vie, de ses parents et amis, de sa petite patrie, Bordeaux, avec simplicité et bonne grâce.
  7. Catholic Encyclopedia, article « Ausonius ».
  8. AUSONE, lat. DECIMUS MAGNUS AUSONIUS (309?-? 394).
  9. [1]
  10. David Amherdt, Ausone et Paulin de Nole : correspondance,p. 25 et  sqq.
  11. « Ausone. », surwww.cosmovisions.com(consulté le)
  12. Ausone de Bordeaux,Œuvres complètes,Mollat, Appendices.
  13. Pikhaus Dorothy, « [compte-rendu] R.P.H. Green,The Works of Ausonius. Edited with Introduction and Commentary »,L'antiquité classique,t. 66,‎,p. 457-458(lire en ligne)
  14. Lire en ligne sur Gallica
  15. Compte rendu critique de Janine Desmulliez.
  16. « Ausonius - Actualités du laboratoire », suru-bordeaux-montaigne.fr(consulté le).
  17. « Ausone Conseil, la Junior Entreprise de Sciences Po Bordeaux »
  18. Raphaëlle Rérolle avec Clémence Postis, « Denis Mollat, libraire redoutable et patron redouté », surLe Monde,(consulté le).

Voir aussi

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Éditions complètes

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Bibliographie

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Liens externes

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