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Aulne

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Alnus

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Pour les articles homonymes, voirAulne (homonymie) etVergne.

Alnus
Description de cette image, également commentée ci-après
Alnus glutinosa, l'Aulne glutineux,espèce type du genreAlnus.
85.7–0 Ma
421 collections
Santonien supérieur-Présent.
Classification APG III (2009)
RègnePlantae
CladeAngiospermes
CladeDicotylédones vraies
CladeNoyau des Dicotylédones vraies
CladeRosidées
CladeFabidées
OrdreFagales
FamilleBetulaceae
Sous-familleBetuloideae

Genre

Alnus
Mill.,1754[1]

Synonymes

Répartition géographique

Description de l'image Alnus distribution.svg.

Lesaulnes ouaunes (Alnus) forment un genre deplantes à fleurs de lafamille desbétulacées. Ce sont desarbres de l'hémisphère nord poussant sur les sols humides, Ils sont aussi nommésvergnes ouvernes.

Les aulnes forment desfutaies appelées « aulnaies ».

Caractéristiques

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Les aulnes sont des arbres de taille moyenne, pouvant atteindre 20 à (rarement)30 mètres, à feuilles caduques, croissant dans les bois humides ou marécageux, ou encore en bord de cours d'eau. Les fleurs sont organisées enchatons mâles et femelles. Les chatons femelles donnent naissances à desstrobiles ligneux de deux à trois centimètres de longueur, abritant les graines.Alnus glutinosa, l'aulne le plus commun en Europe de l'Ouest, se distingue par ses feuilles largement ovales, crénelées-dentées, et ses jeunes pousses printanières collantes au toucher[3].

Leurbois est léger, tendre et homogène. Il estimputrescible dans l'eau, mais non durable hors de l'eau. Il est employé notamment pour les pieux depontons. Il est d'une couleur rouge caractéristique puis rosée lorsqu'il est fraîchement coupé ou travaillé, mais cette couleur ne persiste pas, elle est dégradée par la lumière.

Larhizosphère de l'aulne favorise le développement desbactériesfixatrices d'azote. L'aulne contribue aussi au maintien en bon état du boisement des berges (ripisylves) (parrésilience écologique).

  • Alnus glutinosa, l'Aulne glutineux
  • Feuille.
    Feuille.
  • Fleurs mâles (chaton) et fleurs femelles.
    Fleurs mâles (chaton) et fleurs femelles.
  • Strobiles d'aulne avec graines.
    Strobiles d'aulne avec graines.
  • En réponse à l'ennoyage, l'aulne développe des racines adventives.
    En réponse à l'ennoyage, l'aulne développe desracines adventives.

Habitat

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Leslenticelles nodulaires hypertrophiées pourraient avoir un rôle dans l'oxygénation des parties aériennes.
L'aulne est, avec lesaule et certainspeupliers, l'une des espèces les mieux adaptées à l'eau. Ici il émerge de l'eau au bord du lac Bobięcińskie Wielkie en Pologne. Ces trois espèces sont aptes à recéper quand elles sont coupées par lecastor avec lequel elles ont coévolué.

Leur capacité d'enracinement profond dans leshorizons compacts ou asphyxiants des sols à engorgement temporaire, l'hypertrophie deslenticelles[4] et la présence d'unaérenchyme très développé, alimenté via des lenticelles localisées dans l'empattement, explique leur fréquence dans leszones humides, sur lesberges ou dans les forêtshygrophiles alluviales ditesripisylves, au bord desrivières ou autour desbras morts, où ils peuvent atteindre 25 à 30 m.

Certaines espèces sontubiquistes et poussent aussi en conditions plus sèches. Quels que soient les habitats où ils vivent, les aulnes sont surtout desespèces pionnièresintolérantes à l'ombre, à colonisation rapide des milieux perturbés (par les inondations, les tempêtes, les incendies, les glissements de terrain...) facilitée par ladispersion de leurs grainespar le vent etpar l'eau[5] et à croissance très rapide (grâce à leurs racines qui développent une association symbiotique avec des bactériesfixatrices d'azote, lesfrankias), comme lesbouleaux qui appartiennent à la même famille (Betulaceae), ou comme les Salicacées (saules, peupliers). Ils sont ensuite facilementsupplantés par des arbres plus compétitifs mais à colonisation plus lente comme les chênes et les frênes (forêts post-pionnières en Europe) ou les thuyas et les douglas (ouest de l'Amérique du Nord)[6].

Aulnes et champignons symbiotiques

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Gyrodon lividus, l'une des espècesmycorhiziques des aulnes, qui semble pouvoir être unbio-indicateur desaulnaies dégradées par l'eutrophisation.
Aulnaie d'Alnus rubra en Colombie britannique, au Canada.

L'aulne nourrit de nombreux champignons quand il devientbois mort ou sénescent, mais il peut aussi établir dessymbioses avec certaines espèces par l'intermédiaire de leursectomycorhizes. Un inventaire mycologique des peuplements d’aulnes en France (dit « projet Aulnaies ») a été lancé en- sur 63 sites dominés par l'aulne glutineux et deux par l'aulne blanc, par la Commission Environnement de laSociété mycologique de France. Lesaulnaies poussent toujours sur des milieux aux enjeux écologiques importants ; ce programme a cherché à identifier leurs champignons associés, et à donner de nouveaux moyens d'évaluer la valeur de ces boisements et de leur fonge souvent méconnue et négligée par les gestionnaires.477 espèces ont été identifiées sur ces 63 sites (soit environ 3,5 % de la diversité fongique nationale). Ces espèces ont été réparties comme suit, selon leur fréquence dans les aulnaies :24 espèces dominantes (espècesmycorhiziques des aulnes, dontRussula alnetorum (en) etAmanita friabilis),23 espèces caractéristiques,47 espèces occasionnelles,104 espèces assez rares,281 espèces rares et544 espèces exceptionnelles. Cette étude a montré que les espèces présentes sont principalement liées au niveau trophique, à l’acidité et à l’inondabilité de l'aulnaie (par exempleLactarius clethrophilus,Lactarius omphaliformis etCortinarius helvelloides sont associés au caractèreoligotrophe du site où malgré une diversité réduite leur présence révèle un intérêt patrimonial très élevé. À l'autre extrêmeGyrodon lividus, l'une des espèces mycorhiziques des aulnes, semble pouvoir être unbioindicateur des aulnaies dégradées par l'eutrophisation). Lessaprotrophes de l'aulne les plus courants en France sont des espèces banales et sans spécificité, alors que les mycorhiziens sont au contraire bien spécifiques[7].

Herbivorie

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La chenille dupapillon de jour (rhopalocère) duPetit mars changeant,Aparura ilia (Nymphalidae) se nourrit des feuilles d'Aulne.

Phytopathogènes

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Alnus glutinosa

Lamaladie cryptogamique dudépérissement des aulnes due àPhytophthora alni progresse en Europe depuis la fin duXXe siècle. Les dépérissements ponctuels d'aulnes signalés depuis le début des années 1900 sporadiquement en Europe semblaient pouvoir tous être expliqués par des problèmes stationnels (aulnes plantés ou ayant poussé dans un milieu ne leur convenant pas ; trop sec, trop acide...). Mais une maladie nouvelle prend de l'ampleur depuis les années 1990, due à une hybridation antérieurement inconnue de champignon-algue du genrePhytophthora[8].

Lacloque des chatons de l'aulne est une autre maladie cryptogamique sans graves conséquences causée parTaphrina alni qui provoque unegalle en forme de ruban coloré de 5 ou 6 cm de long sur les fleurs femelles des Aulnes européens, principalementAlnus incana etAlnus glutinosa[9].

État des populations, pressions, réponses

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Les principales espèces d'aulnes ne sont pas considérées comme menacées, mais les aulnaies qui avaient notamment été conservées pour la production d'uncharbon de bois apprécié pour lespoudreries ont fortement régressé, au profit de la culture de peupliers (populiculture) ou du drainage des zones humides pour leur mise en culture, en pâture ou pour leur urbanisation.

Ladiversité génétique des aulnes a probablement souffert de l'artificialisation et du déboisement desberges etripisylves des cours d'eau.

Liste d'espèces

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Ensemble des espèces incluses dans le genreAlnus selonGBIF(18 avril 2022)[10] :

Le genre est divisé en trois sous-genres :

Sous-genreAlnus

Arbres à bourgeons pédonculés, chatons mâles et femelles produits en automne mais restant fermés pendant l'hiver, pollinisant à la fin de l'hiver ou au début du printemps, environ 15 à 25 espèces, dont :


Sous-genreClethropsis

Arbres ou arbustes à bourgeons pédonculés, chatons mâles et femelles produits en automne et se développant et se pollinisant ensuite, trois espèces :


Sous-genreAlnobetula

Arbustes à bourgeons ramifiés non pédonculés, chatons mâles et femelles produits à la fin du printemps (après l'apparition des feuilles) et se développant et se pollinisant ensuite, une à quatre espèces :


Non assigné à un sous-genre
Noms d'espèces dont le statut taxonomique est incertain

Le statut des espèces suivantes n'est pas résolu[11] :

Hybrides

Les hybrides suivants ont été décrits[11],[12] :

Le statut des hybrides suivants n'est pas résolu[11] :

Utilisations

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Couleur du bois d'Aulne glutineux fraîchement coupé.

Les caractéristiques acoustiques de l'aulne en ont fait un des bois les plus prisés dans lalutherie, et notamment dans la fabrication deguitares haut de gamme, comme le corps de laFenderStratocaster.

Les fruits d'aulnes sont aussi utilisés enaquariophilie pour leurs capacités à réduire lepotentiel hydrogène de l'eau, ainsi que leurs branches en tant que décoration.

Le bois de l'aulne est un bonbois de chauffage. Il fournit une chaleur très vive en brûlant et était donc très recherché par les boulangers. Aupays basque, les aulnes étaient coupés en juillet, tronçonnés et fendus en bûches. Le temps de séchage de ces bûches permettait de les utiliser avec un maximum de rendement énergétique au moment de la chauffe desalambics dedistillation de l'eau-de-vie domestique.

Comme son bois ne pourrit pratiquement pas dans l'eau, s'il est à l'abri de l'air et de la lumière, on l'utilise pour faire des ponts de fortune dans le cas de franchissement de ruisseaux par un chemin de terre formé aubulldozer : on coupe quelques troncs d'aulnes proches, qui sont étendus l'un à côté de l'autre dans le ruisseau, dans l'axe d'écoulement des eaux, et ces troncs sont ensuite recouverts de terre pour faire le passage, l'espace entre les troncs d'aulne permettant à l'eau de s'écouler. Son imputrescibilité à l'état immergé explique que les pilotis de Venise sont fabriqués en bois d'aulne dès leXIIe siècle (en bois de chêne, d'orme et de mélèze à partir duXVe siècle)[13].

Sculptures en bois d'aulne.
Statue médiévale en bois d'aulne

Le bois d'aulne, bien homogène, se tourne et se sculpte facilement. On en fait des ornements de meubles, des maquettes pour l'industrie (surtout avant l'apparition des simulations numérique 3D) et on en faisait autrefois des sabots, des manches de brosse, des jouets, et des ustensiles de ménage. Les bouteilles deChartreuse étaient vendues autrefois dans des boites cylindriques tournées dans du bois d'aulne.

Sontannin a fait utiliser son écorce entannerie, et enteinturerie etchapellerie (production d'une couleur noire quand l'écorce est mélangée à des sels de fer).

Enfin, lecharbon d'aulne était utilisé autrefois pour la poudre à canon, conférant une meilleure qualité à l'explosif.

Plusieurs espèces d'aulnes sont utilisées comme arbres d'ornement et parfois d'alignement, du fait de leurs silhouettes caractéristiques, de leur forte rusticité et de leur croissance très rapide tout en gardant un gabarit modéré. En Europe, l'usage des espèces autochtones est limité par leur fort besoin en eau, on utilise ainsi fréquemment des espèces introduites qui tolèrent les conditions urbaines plus sèches tout en ayant un feuillage luxuriant, comme l'aulne de Corse et l'aulne de Spaeth.

Dénominations

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Étymologies

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Attesté vers 1200 sous la formeausne « bois d'aune »[14]; en 1268-71aune, arbre[15]; vers 1314 aulne[16].

Les termesvergne ouverne et leurs variantes sont les noms génériques de l'arbre dans le Sud de la France et au Piémont (Italie), où le dialecte local se rapproche de l'occitan et du franco-provençal. Il procède duceltique (gaulois)*uerno- non attesté mais probable ou du radical gaulois *vern- comparable aubretongwern, aucorniquegwern, augalloisgwern et à l'irlandaisfern[17].

La carte linguistique du termeaune pour le domaine gallo-roman montre son implantation au nord d'une ligneLoire-Vosges. Le sud est le domaine des formes issues du gaulois*uerno-.Aune procède partiellement du latinalnus de même sens, lui-même issu d'un indo-européenalisa ouelisa (terme relatif à l'eau, à la pluie, au marécage) que l'on retrouve dans l'anglais alder et l'allemand erl[18]. Le latinalnus, tandis qu'il se heurtait au sud au domaine au substrat gaulois*uerno-, s'implantait au nord grâce à sonhomophonie avec lesuperstratvieux bas francique*alisa[19]. Frings a démontré que le vocabulaire francique du nord de la France, ayant été essentiellement apporté par les Francs du nord-ouest,alnus est entré en contact non pas avec le francique*alira, forme en usage chez les Francs du sud-est dans les régions de laMoselle et duMain, mais avec*alisa, en usage dans les régions de laMeuse, de l'Escaut et du cours supérieur duRhin (cf.moyen bas allemand etmoyen néerlandaiselse), ce qui expliquerait la forme d'ancien françaisausne, si ces n'est pas seulement graphique[20]. Le maintien du substrat*uerno- dans ledomaine d'oc s'explique peut-être par le fait que l'aune, plus fréquent dans ce territoire plus souvent marécageux que dans le nord, a pu y conserver plus facilement sa dénomination primitive[20].

L'hypothèse d'un croisement entre l'ancien bas francique*alira et les noms d'arbres en-inus tels quefraxinus >Frêne,carpinus >charme[21] est peu vraisemblable, d'autant qu’aune a de nombreux correspondants en Italie du Nord. D'autre part, il semble difficile de faire dériveraune du latinalnus sans aucune influence étrangère[22],[23]. Son homophonie partielle avec le francique*alisa n'a pu que favoriser son implantation[20].

Toponymes et patronymes en France

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Au temps dupaganisme gaulois, la célébration durègne végétal a fécondé l'imaginaire populaire qui, en attribuant des pouvoirs à cet arbre, a inspiré de nombreuxphytotoponymes[24] : 230 formés sur verne et vergne (Lavergne,Vergne,Vernay,Verne,Vernet,Verneuil,Vernon...) ; 37 formés sur aulne ou aune (dont 12Aulnay[25], 6 Aulnois, 4 Aulnoy, 3 Aunay, Aulnat[26]...)[27]. D'autres appellatifs liés à cet arbre ont survécu dans lesmicrotoponymes et leshydronymes (Aunay,Launet)...

On peut également reconnaître l'aulne dans de nombreuxpatronymes qui évoquent originellement des hommes habitant près d'un bois d'aulnes qui indique souvent la présence d'unesource d'uncours d'eau bordé de ces arbres. Si les noms d'une douzaine d'arbres figurent, tels quels ou sous une forme dérivée, dans les 1 000 patronymes les plus fréquents en France, l'aulne est à l'origine de six noms propres les plus portés :Delaunay,Launay,Delannoy d'une part,Lavergne,Vernet,Vergne d'autre part[28].

Symbolique

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Antiquité

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Calendrier républicain

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Dictons

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  • Si l'aulne verdit avant le bouleau alors l'été sera humide, si c'est le bouleau qui devance l'aulne alors cette saison sera sèche[30].

Notes et références

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  1. Tropicos.org. Missouri Botanical Garden., consulté le 9 juin 2017.
  2. abcdef etgBioLib, consulté le 9 juin 2017.
  3. Nouvelle Flore de la Belgique, du G-D de Luxembourg, du Nord de la France et des Régions voisines, cinquième édition, 2004
  4. L'hypertrophie des lenticelles, réponse anatomique à l'ennoyage, pourrait alors avoir un rôle dans l'oxygénation des parties aériennes et souterraines. L'absence de continuité entre ces pores de liège et les vastes lacunes aérifères de l'aérenchyme rend cette hypothèse hasardeuse. Les lenticelles pourraient aussi jouer un rôle dans l'absorption d'eau ou le rejet de composés toxiques comme les produits fermentaires (issus d'une respiration anaérobie, lafermentation, qui prend le relais pour la dégradation de la matière organique de la respiration aérobie). Cf(en) K. Dittert, J. Wätzel, B. Sattelmacher, « Responses of Alnus glutinosa to Anaerobic Conditions - Mechanisms and Rate of Oxygen Flux into the Roots »,Plant Biology,vol. 8,no 2,‎,p. 212-223(DOI 10.1055/s-2005-873041),(en) William Armstrong, Jean Armstrong, « Stem photosynthesis not pressurized ventilation is responsible for light-enhanced oxygen supply to submerged roots of Alder (Alnus glutinosa) »,Annals of Botany,vol. 96,no 4,‎,p. 591-612(DOI 10.1093/aob/mci213).
  5. Les graines légères sont munies de bourrelets de liège qui permettent de flotter dans l'eau (parfois plus de12 mois) avant de germer le long des berges descours ou desétendues d'eau, au gré des crues, ce qui donne naissance à des peuplements linéaires.
  6. (en) David R. Benson, Jeffrey O. Dawson, « Recent advances in the biogeography and genecology of symbiotic Frankia and its host plants »,Physiologia Plantarum,vol. 130,no 3,‎,p. 318-330(DOI 10.1111/j.1399-3054.2007.00934.x).
  7. Franck Nicodème, « Champignons et aulnes: résultats d'une étude écologique »,Thèse de doctorat (faculté de pharmacie, Université lille 2.),‎ (résumé)
  8. Dépérissement des aulnes glutineux dû àPhytophthora alni ; Revue bibliographique. Synthèse des travaux réalisés entre 1999 et 2006 dans le bassin Rhin-Meuse et conseils de gestion Document d'information et conseil publié par l'Agence de l'eau Rhin-Meuse (8 pages)[PDF]
  9. (en) W.N. Ellis, « Taphrina alni (Berkeley & Broome) Gjaerum, 1966 », surPlant Parasites of Europe : leafminers, galls and fungi,
  10. GBIF Secretariat. GBIF Backbone Taxonomy. Checklist dataset https://doi.org/10.15468/39omei accessed via GBIF.org, consulté le 18 avril 2022.
  11. ab etc« The Plant List entry forAlnus », surThe Plant List, v.1.1,Royal Botanic Gardens, Kew and theMissouri Botanical Garden,(consulté le)
  12. Govaerts R, « Alnus Mill. », surPlants of the World Online, Board of Trustees of the Royal Botanic Gardens, Kew(consulté le)
  13. Alain Baraton,Dictionnaire amoureux des arbres, Place des éditeurs,,p. 32
  14. Escoufle, éditions H. Michelant et P. Meyer, 5222 ds T.-L.
  15. E. Boileau,Métiers, éditions G.-B. Depping, 284
  16. G. du Bus,Fauvel, éditions A. Pey, 1618.
  17. Lexicographie et étymologie deVergne, verne, C.N.R.T.L.
  18. Xavier Delamarre,Le vocabulaire indo-européen : lexique étymologique thématique, Librairie d'Amérique et d'Orient,,p. 143
  19. M. Pfister,Zur romanischen Philologie, t. 88, 1972, pp. 189-190.
  20. ab etc« étymologie :aune », surCNRTL.
  21. Louis Remacle,Revue Linguistique romane, t. 36, 1972, pp. 305-310.
  22. REW3, EWFS2
  23. Feller,Bulletin de la Commission royale de toponymie et de dialectologie., t. 7, 1933, pp. 23-115.
  24. Henriette Walter,L'Aventure des mots français venus d'ailleurs, Laffont,,p. 48-51
  25. Formé avec le suffixe locatif latin–etum
  26. Formé avec lesuffixe gallo-romain -acum
  27. L'agglutination de l'article est à l'origine de Lannoy, Launay...
  28. Henriette Walter,Pierre Avenas,La majestueuse histoire du nom des arbres, Laffont,,p. 262
  29. Ph. Fr. Na. Fabre d'Églantine,Rapport fait à la Convention nationale dans la séance du 3 du second mois de la seconde année de la République Française,p. 25.
  30. Alexandre Soljenitsyne (trad. du russe par René Marichal, Et chaque année : c'est juste ! Et quand ils verdissent en même temps, alors l'été sera variable.),Le chêne et le veau (autobiographie), Paris, Seuil,, 540 p.(ISBN 978-2-02-002121-0,BNF 34571305),p. 202

Liens externes

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