Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Auboué

49° 12′ 46″ nord, 5° 58′ 39″ est
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Auboué
Auboué
Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste.
Blason de Auboué
Héraldique
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionGrand Est
DépartementMeurthe-et-Moselle
ArrondissementBriey
IntercommunalitéCommunauté de communes Orne Lorraine Confluences
(siège)
Maire
Mandat
Boualem Bouaffad
2024-2026
Code postal54580
Code commune54028
Démographie
GentiléAubouésiens
Population
municipale
2 641 hab.(2022en évolution de +5,39 % par rapport à 2016)
Densité582 hab./km2
Géographie
Coordonnées49° 12′ 46″ nord, 5° 58′ 39″ est
AltitudeMin. 177 m
Max. 266 
m
Superficie4,54 km2
TypePetite ville
Unité urbaineJœuf
(banlieue)
Aire d'attractionVal de Briey
(commune du pôle principal)
Élections
DépartementalesCanton de Jarny
LégislativesSixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Auboué
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Auboué
Géolocalisation sur la carte :Meurthe-et-Moselle
Voir sur la carte topographique de Meurthe-et-Moselle
Auboué
Géolocalisation sur la carte :Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Auboué
Liens
Site webwww.auboue.frVoir et modifier les données sur Wikidata
modifier 

Auboué est unecommune française située dans ledépartement deMeurthe-et-Moselle enrégionGrand Est. Elle appartient à l'unité urbaine de Jœuf.

Géographie

[modifier |modifier le code]

Cette commune fut un village-frontière avec l'Allemagne entre1871 et1918.

Communes limitrophes d’Auboué
MoutiersHomécourt
ValleroyAuboué
MoinevilleSainte-Marie-aux-Chênes
Moselle

Hydrographie

[modifier |modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier |modifier le code]

La commune est dans lebassin versant du Rhin au sein dubassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Ste-Marie, le ruisseau le Woigot et l'Orne[1],[Carte 1].

LeWoigot, d'une longueur de 21 km, prend sa source dans la commune deMont-Bonvillers et se jette dans l'Orne sur la commune, après avoir traversésept communes[2]. Les caractéristiqueshydrologiques du Woigot sont données par lastation hydrologique située sur la commune deVal de Briey. Le débit moyen mensuel est de 1,27 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 22 m3/s, atteint lors de la crue du. Ledébit instantané maximal est quant à lui de 56,2 m3/s, atteint le même jour[3].

L'Orne, d'une longueur de 86 km, prend sa source dans la commune deOrnes et se jette dans laMoselle àRichemont, après avoir traversé25 communes[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Auboué[Note 2].

Gestion et qualité des eaux

[modifier |modifier le code]

Le territoire communal est couvert par leschéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification concerne le périmètre des anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants hydrographiques associés qui s’étend sur 2 418 km2. Lesbassins versants concernés sont celui de laChiers en amont de la confluence avec l'Othain, et ses affluents (laCrusnes, laPienne, l'Othain), celui de l'Orne et ses affluents et celui de laFensch, leVeymerange, laKiesel et les parties françaises du bassin versant de l'Alzette et de ses affluents (Kaylbach, ruisseau de Volmerange). Il a été approuvé le. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[5].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par lesagences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

[modifier |modifier le code]

Pour des articles plus généraux, voirClimat du Grand Est etClimat de Meurthe-et-Moselle.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat des marges montargnardes, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[6]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[7]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat semi-continental[8] et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[9]. Elle est en outre dans lazone H1b au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[10],[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de9,5 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 782 mm, avec12,2 jours de précipitations en janvier et0,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deDoncourt-lès-Conflans à8 km àvol d'oiseau[12], est de10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 710,3 mm[13],[14]. La température maximale relevée sur cette station est de40,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de−16,5 °C, atteinte le[Note 3].

Urbanisme

[modifier |modifier le code]

Typologie

[modifier |modifier le code]

Au, Auboué est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15].Elle appartient à l'unité urbaine de Jœuf[Note 4], une agglomération inter-départementale regroupant six communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 5],[16],[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Val de Briey, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6],[17]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

[modifier |modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (40,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (41,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (27,7 %),terres arables (23,7 %), forêts (18,9 %), prairies (16,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,9 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Le nom de la localité est mentionné sous les formesBanvadus ubi cadit Amentia in Ornam (XIIe siècle) ;Aubowez (XVe siècle) ;Abbowey (XVe siècle) ;Abouwey (XVe siècle) ;Habowels (1444) ;Aubous (1456) ;Abowey (1470) ;Abowels (1490) ;Aubouwey (1503) ;Aubonwey (1513) ;Aubouez (1514) ;Aubouwoy (1519) ;Aubouey (1583) ; « Auboyez delà l’eau », « Aubouye delà l’eau »,Auboye (XVIIe siècle) ;Aboué (XVIIe siècle) ;Abowé (1603) ;Auboye (1605) ;Aubouvey,Aubouué (1612) ;Abbouey (1616) ;Auboys (1635) ; « Aubouy delà l’eau » (1661) ;Abboué (1681) ; « Aubouey decà l’eau » (1689) ;Auboyé (1770)[21].

La forme dulatin médiévalBanvadus auXIIe siècle siècle, représente selonErnest Nègre, lelatin*bonum vadum « bongué » et l'élémentAu- qui n'est attesté qu'auXVe siècle dansAubowez, résulte de l'agglutination de la prépositionà à l'article définile, d'oùau[22]. En réalité, le motwez,wei,wey est la forme septentrionale correspondant au françaisgué, dont l'étymologie latine est discutée, et qui a au moins subi une influence phonétique du germanique sur l'initiale d'où w- /gu- au lieu duv- latin[23] et qui aurait dû se conserver tel quel comme dansvado >je vais.

AuXIe siècle, un gué existait, point de passage de Metz vers les Pays-Bas, et la localité n'était qu'un petit village avec quelques maisons sur la rive droite de l'Orne.

Histoire

[modifier |modifier le code]

Préhistoire

[modifier |modifier le code]

Des travaux de recherches archéologiques ont permis la découverte sur le territoire de la commune d'une occupation duPaléolithique supérieur attribuée à la culture aurignacienne (-38 000 à - 28 000 ans). Le site a livré tout un ensemble de produits de débitage associés à des outils en silex d'importation.

Antiquité

[modifier |modifier le code]

Présence d'une importante occupation gallo-romaine (villa ?) au lieu-ditla ferme de Coinville. D'autres sites gallo-romains sont signalés sur le territoire de la commune[réf. nécessaire].

Moyen-Âge

[modifier |modifier le code]

L'occupation d'Auboué au Haut Moyen Âge est attestée par la découverte de sépultures avec du mobilier civil et militaire.

Coinville appartient au Moyen Âge à l'abbaye Saint-Glossinde de Metz. Coinville (Comitis Villa) est attesté en 875 par une charte de Louis le Germanique.

Auboué compte 12 feux en 1335. Une forge existait sans doute dès leXIVe siècle.

Époque moderne

[modifier |modifier le code]

Auboué et Coinville souffrent de laguerre de Trente Ans (XVIIe siècle) comme toute la région.

Époque contemporaine

[modifier |modifier le code]

En 1817, Auboué, village de l'ancienneprovince du Barrois au confluent de l'Orne et du Woigot avait pour annexe la ferme de Coinville. À cette époque il y avait 288 habitants répartis dans 62 maisons.

Seconde Guerre mondiale

[modifier |modifier le code]

Le 11 novembre 1941 le conseiller municipal Émile Cheminé, agriculteur, ancien combattant de laPremière Guerre mondiale, alla fleurir le monument aux morts et arbora le drapeau français à la fenêtre de sa ferme. Il fut arrêté par les nazis, torturé et assassiné le 17 novembre[24]. Cet acte de résistance fut honoré par une plaque commémorative dans la rue où se trouvait sa ferme désormais nommée "rue Émile Cheminé".

Les rafles de février 1942
[modifier |modifier le code]
Cette section esten cours de réécriture ou de restructuration importante. Les informations peuvent être modifiées à tout moment par le ou les utilisateurs ayant apposé ce bandeau.(mars 2025)
Bandeau apposé parMichka B (lui écrire).

Suite au sabotage d'installations de l'usine d'Auboué, la police française (section anti-communiste de Nancy et Renseignements Généraux de Briey) arrête 6 communistes.

Hommages aux victimes du nazisme

[modifier |modifier le code]

Dans le camp de concentration nazi deBuchenwald, on peut voir une plaque dédiée aux habitants de la commune d'Auboué déportés.

Depuis 1970

[modifier |modifier le code]

En mars 1972 (plus de 250 personnes relogées et les quartiers en partie rasés) et le 14 octobre 1996 des affaissements de terrains brutaux dus à l'effondrement de galeries dans l'ancienne mine occasionnent de gros dégâts aux habitations. Quatre-vingts deux familles évacuent en catastrophe et n'habiteront plus jamais leur maison[25].

Sidérurgie

[modifier |modifier le code]

En 1892 débutent les travaux de creusement du premier puits de la mine de la Société de Pont-à-Mousson. Ainsi la commune qui ressemble jusqu'alors à un village rural, va rapidement devenir une petite ville industrielle.
À l'exploitation des trois puits (1897, 1902 et 1909) s'ajoutent sur le "carré" la mise à feu de deux hauts fourneaux (capacité de 100 tonnes de fonte) et une fonderie, en 1905. Le3ehaut fourneau est mis à feu en 1911.

Pour loger les mineurs, les sidérurgistes, les fondeurs et leur famille, des cités ouvrières sont édifiées : cité du Tunnel en 1901, cité de Coinville en 1902 et cité de Géranaux en 1906. Deux cantines sont également construites en 1906 et 1908. Le site industriel, construit à proximité des voies ferrées, comprend plusieurs bâtiments, bureaux, trois salles des machines, deux magasins industriels, trois ateliers de réparation, une conciergerie... Les matériaux de construction de l'ensemble sont en calcaire, en brique silico-calcaire, en enduit et matériaux synthétiques. Les toits à longs pans brisés sont également en matériaux synthétiques. Quant à la couverture, elle se compose de tuiles mécaniques, de verre de zinc et de ciment amiante.

En 1914, l'usine est partiellement détruite, puis reconstruite pendant le second quart duXXe siècle.

En 1960, la mine et la fonderie sont fermées, et de nombreuses installations et bâtiments détruits. Les hauts fourneaux ferment entre 1967 et 1968.

Politique et administration

[modifier |modifier le code]

Liste des maires

[modifier |modifier le code]
Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Maires avant 1945
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
     
17951802Gérard Jean Nicolas Agent communal
18031813Noirel Jean-Pierre  
18131816Moreaux François Maire nommé
18161842Lia Jean-Baptiste Maire nommé
18421844Pillot Marie  
18441845Gerard Jean Nicolas  
18451848Gerard Jean Nicolas Maire nommé
18481871Lia Jean-Baptiste Pas d'élection
18711884Lia Jean-Baptiste  
18-05-188402-07-1887Pillot Emile  
03-07-188719-05-1888Pariselle Louis  
20-05-188814-05-1892Muel Gustave  
14-05-189220-07-1895Muel Gustave  
21-07-189516-05-1896Breton Auguste  
17-05-189619-05-1900Breton Auguste  
20-05-190001-02-1902Muel Gustave  
02-02-190219-09-1910Houin Aimé  
20-09-191009-12-1919Hocquard Pierre  
10-12-191917-05-1935Sabouret Felix  
18-05-1935juin 1940Busson Eugène  
Juin 194017-05-1945Hocquard Edouard Délégué spécial, maire non élu (occupation) Nommé S/P
 
Hubert Marchal Chef porion

(démission)
Jean BertrandPCFDessinateur industriel
Député de la6e circonscription de Meurthe-et-Moselle(1967-1968)
Conseiller général ducanton de Briey(1964-1976)

(démission)
Catherine MagrinelliPCF 
Yolande BertrandPCFSténodactylo
Conseillère générale ducanton d'Homécourt(1973-1985)
mars 2008Geneviève JanovecDVDAgent duTrésor public retraitée
mars 2008septembre 2024Fabrice Brogi[26],[27] Professeur des écoles ou instituteur ou assimilé
Démissionnaire en septembre 2024[28]
octobre 2024en coursBoualem Bouaffad[29]  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

[modifier |modifier le code]

Démographie

[modifier |modifier le code]

Les habitants sont appelés lesAubouésiens[30].L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2022, la commune comptait 2 641 habitants[Note 7], en évolution de +5,39 % par rapport à 2016 (Meurthe-et-Moselle : −0,13 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118361841186118661872
330294295596347360383369414
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
187618811886189118961901190619111921
4285024704234246622 3884 3454 003
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
192619311936194619541962196819751982
5 0225 2114 3694 1164 6594 9844 9344 2233 604
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
19901999200520062010201520202022-
3 1922 8072 7022 7012 5892 5092 6692 641-
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puisInsee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Culture locale et patrimoine

[modifier |modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier |modifier le code]

Sports

[modifier |modifier le code]

Le club de basket de la commune, leCSM Auboué a longtemps été la référence du basket lorrain dans les années 50-60, bien avant l'émergence duSLUC Nancy. En effet, le CSM a appartenu à l'élite du basket français en disputant leChampionnat de France masculin de basket-ball de1947 à1967 avant de disparaître. Le club remporte laCoupe de France de basket-ball en 1956.

Personnalités liées à la commune

[modifier |modifier le code]
  • Jean Bertrand (1916 - 1983), député de Meurthe-et-Moselle de 1967 à 1968, né et mort à Auboué.
  • Louis Devoti (1926-2020), basketteur international français, né à Auboué.
  • Claude Lorenzini (1939-), né à Auboué, homme politique député de la Meuse de 1986 à 1988.

Héraldique, logotype et devise

[modifier |modifier le code]
Article connexe :Armorial des communes de Meurthe-et-Moselle.
Blason de AubouéBlason
D'argent au paysage vallonné de sinople, chargé d'un viaduc de deux arches et demie du champ, posé sur une rivière ondée d'azur mouvant de la pointe, au soleil non figuré d'or mouvant à senestre du paysage, sommé d'une croisette patriarcale de gueules.
Détails
Adopté en 1998.

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Bibliographie

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier |modifier le code]

Notes

[modifier |modifier le code]
  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:03 TU à partir des 679 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/07/1967 au 01/04/2024.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Les records sont établis sur la période du au.
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Jœuf comprend trois villes-centres (Homécourt,Jœuf etSainte-Marie-aux-Chênes) et trois communes de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

[modifier |modifier le code]
  1. « Réseau hydrographique d'Auboué » surGéoportail(consulté le 4 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », surqualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/(consulté le).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

[modifier |modifier le code]
  1. « Fiche communale d'Auboué », surle système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse(consulté le).
  2. Sandre, « le Woigot »
  3. « Station hydrométrique Le Woigot à Briey », surl'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires,(consulté le).
  4. Sandre, « l'Orne »
  5. « SAGE Bassin ferrifère », surgesteau.fr(consulté le).
  6. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  7. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  8. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  10. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le).
  11. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  12. « Orthodromie entre Auboué et Doncourt-lès-Conflans », surfr.distance.to(consulté le).
  13. « Station Météo-France « Doncourt-lès-Conflans », sur la commune de Doncourt-lès-Conflans - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le).
  14. « Station Météo-France « Doncourt-lès-Conflans », sur la commune de Doncourt-lès-Conflans - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  15. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  16. « Unité urbaine 2020 de Jœuf », surle site de l'Insee(consulté le).
  17. a etbInsee, « Métadonnées de la commune ».
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Val de Briey », surle site de l'Insee(consulté le).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  21. Ernest de Bouteiller,Dictionnaire topographique de la France : Dictionnaire topographique du département de la Moselle, Paris, Impr. Nationale,,p. 11.
  22. Ernest Nègre,Toponymie générale de la France, Genève, Droz,,p. 364[1].
  23. Site du CNRTL : définition et étymologie degué (lire en ligne)[2]
  24. Paul VIARD,Recueil d'articles sur Auboué - Tome 01, 264 p.(ISBN 978-1-326-81925-5,lire en ligne),p. 166.
  25. [3]
  26. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », surle site du Télégramme de Brest(consulté le).
  27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », surle portail des données publiques de l'État(consulté le).
  28. Fabrice Brogi met un terme à ses fonctions de maire,Le Républicain Lorrain, 30 septembre 2024
  29. Boualem Bouaffad, maire : une écharpe et un tissu d’émotions,Le Républicain Lorrain, 5 octobre 2024.
  30. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54.
  31. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
v ·m
Communes de plus de 2 000 habitants
Plus de 100 000 habitantsNancyBlason du département de Meurthe-et-Mosellle
Plus de 25 000 habitantsVandœuvre-lès-Nancy
Plus de 10 000 habitants
Plus de 5 000 habitants
Plus de 3 000 habitants
Plus de 2 000 habitants
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Auboué&oldid=230596791 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp