La population est répartie essentiellement entre deux noyaux, le Forest qui est l’ancien hameau chef-lieu, et Aubignosc, qui est une agglomération nouvelle constituée essentiellement de pavillons.
Massif des Alpes et localisation des Baronnies et des Préalpes de Digne.
Le territoire se situe en limite est de lamontagne de Lure, sur des formations calcaires provençales duJurassique supérieur et duCrétacé inférieur (roches sédimentaires issues d'un ancien océan alpin), entre plusieurs formations géologiques majeures des Alpes[1] :
les chaînons de Lure, marqués par de nombreuses failles nord-ouest - sud-est ;
la faille de la Durance au sud-est, dans la vallée.
Le territoire communal est bordé à l'est par laDurance[2] ; c'est une rivière à la fois alpine et méditerranéenne, à la morphologie bien particulière. Elle est dite« capricieuse », et était autrefois redoutée pour sescrues (elle était appelée le3e fléau de la Provence[3]) aussi bien que pour sesétiages. Plusieurs ruisseaux intermittents ruissellent des pentes et de la gorge de la Faillée (est de la montagne de Lure), ainsi que de la forêt domaniale du Prieuré. Ils se jettent dans le ruisseau du Riou[4] ou le ravin de Maurieu, affluents de la Durance.
Situé dans la partie ouest de la vallée de laDurance, le territoire est marqué par des reliefs creusés de petits ravins, et par la forêt en partie sud. La partie ouest est constituée des premières pentes de la chaine de lamontagne de Lure, montagne qui constituait autrefois une frontière linguistique entre deux variétés de lalangue occitane.
Le village est situé à 460 m d’altitude[5], sur le versant est de la vallée de la Durance. Le territoire est à la frontière despréalpes de Digne, à l'est, et desBaronnies, à l'ouest. L'altitude varie sur le territoire communal de 432 mètres à 1 330 mètres (est de lamontagne de Lure, dont le sommet est à 1 826 mètres, entre Cruis et Noyers-sur-Jabron ; elle correspondait autrefois à une frontière linguistique entre deux variétés de lalangue occitane). Au sud du village, des collines au relief creusé de vallons et petits ravins dépassent les 600 mètres. Le ravin de Redonnette, le Ravin de Maurieu, le ravin des Côtes chaudes, le ravin du Trou du loup et le vallon du Grand Champ se succèdent du nord au sud le long de ces collines[6].
La commune se situe entreForcalquier (au sud-ouest),Digne-les-Bains à l'est etGap plus loin au nord.L'autoroute A 51Val de Durance passe en limite est dans la vallée ; la sortie 21 Aubignosc. permet de rejoindre le village, et l'aire de service d'Aubignosc la prolonge. L'axe routier va vers Gap au nord etAix-en-Provence au sud. LaRN 85 (route Napoléon) est également implantée à l'est, le long de laDurance. La D 503 passe dans le village, et laD 951 à l'ouest.
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Lecanton de Volonne auquel appartient Aubignosc est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur lesséismes historiques[8], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[9]. Plus au sud, le long de la faille de la Durance, les cantons dePeyruis,Les Mées,Manosque-Nord,Manosque-Sud-Est,Manosque-Sud-Ouest etValensole sont en zone 2 (risque moyen)[8]. La commune d’Aubignosc est également exposée à trois autres risques naturels[9] :
mouvement de terrain : la commune est presque concernée par un aléa moyen à fort sur une partie importante de son territoire[10].
La commune d’Aubignosc est également exposée aux risques technologiques[11] :
risque de rupture de barrage (la vallée de la Durance serait submergée par la vague en cas de rupture dubarrage de Serre-Ponçon)[12] ;
risque lié aux transports de matières dangereuses, par rail, route et canalisations. Il s’agit du transport de matières premières à destination ou de produits finis en provenance des usines Arkema de Saint-Auban[13]. Ces transports sont susceptibles d’utiliser l’autoroute A51, laroute nationale 85) ou la ligne ferroviaireLyon-Marseille par Grenoble[14]. Enfin, les canalisationsTransalpes etTranséthylène servent à acheminer de l’éthylène et traversent la commune[15],[16].
La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle pour des inondations et des coulées de boue en1994 et1998[9]. Le tremblement de terre ressenti de manière la plus sensible à Aubignosc est celui deLambesc, le 11 juin1909[18].
Au, Aubignosc est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[29].Elle est située hors unité urbaine[30]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sisteron, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[30]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[31],[32].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (65,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (25,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (21,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,5 %),terres arables (17,6 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %), zones urbanisées (1,7 %), cultures permanentes (1,7 %), eaux continentales[Note 3] (1,6 %), zones humides intérieures (0,1 %)[33].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Latoponymie de la commune est marquée à la fois par le caractère montagnard de la région, le climat méditerranéen et l’aire culturelle occitane. Le Chemin des Côtes qui monte sur la crête de Lure, limitrophe de Peipin, est ainsi le chemin qui monte sur les sommets[37]. Voisin, le chemin de Plaine Longue est celui qui mène à un plateau situé en hauteur[38]. On retrouve encore, près de la Ponchonnière (sommet pointu)[39], les Côtes Chaudes (sommets). Le Pas des Bœufs signale un lieu de passage, un col sous sa forme dialectale occitane[37].
L’érosion, aggravée par ladéforestation, arrache aux montagnes des cailloux qui s’accumulent au bas des pentes : ce genre d’aire engravée est appelée le Gravas (près du Forest)[38] ; les Roubines font référence aux terres noires marneuses ou argileuses, lesrobines.
Les Ravins de la Romigière et des Buis sont nommés d’après la végétation : en occitan, la romigière est un espace où poussent desronces[38].
L’occupation humaine et l’exploitation des terres ont donné lieu à plusieurs toponymes spécifiques : on a à Aubignosc plusieurs Grand-Champ, une Condamine qui est une terre seigneuriale,indivise et exempte de toute imposition[38] ; le Forest est un hameau, non-pas forestier mais isolé du village[38]. Enfin, l’élevage ovin a donné plusieursjas (bergerie) : le Jas de Mathieu dans Lure, les Jas et le hameau du Jas dans le vallon du Forest.
Pendant le chantier de l’A51, unsite préhistorique a été mis au jour aux Ponchonnières, occupé auchasséen, puis aunéolithique final ou auchalcolithique (IIIe millénaire av. J.-C.). Le site était occupé par des éleveurs agriculteurs, qui y ont construit des cabanes d’environ 20 m2, le faîte étant à 4 ou 5 m de haut[40]. Les troupeaux étaient surtout composés de petits ruminants (70 à 80 %) et de bœufs (environ 20 %). La consommation de la viande du troupeau était complétée par le ramassage de mollusques (escargots mais aussi 18 autres espèces)[41]. Les étudesanthracologiques ont permis de montrer que le bois utilisé pour les brasiers était du chêne (vert ou pubescent), ce qui montre que la forêt était encore assez largement présente à cette époque[42].
Dans l’Antiquité, le territoire d’Aubignosc fait partie de celui desSogiontiques (Sogiontii), dont le territoire s’étend du sud desBaronnies à laDurance. Les Sogiontiques sont fédérés auxVoconces, et après la conquête romaine, ils sont rattachés avec eux à laprovince romaine deNarbonnaise. AuIIe siècle, ils sont détachés des Voconces et forment unecivitas distincte, avec pour capitaleSegustero (Sisteron)[43]. Une tombe antique a été retrouvée sur la commune en 1962[44].
Les travaux de l’A51 ont également permis de dégager des constructions gallo-romaines[36]. Ces installations, situées aux Présidentes, correspondent à un village ou un petit bourg[45]. Les habitants vivaient de l'agriculture, alors qu'un grand domaine, où a vécu unaffranchi, Caius Iulius Thallus[46], se trouvait au village actuel d'Aubignosc[47]. Ce Thallus,citoyen romain, est le plus ancien habitant connu d'Aubignosc[46]. La qualité de la construction du village situé aux Présidentes est assez moyenne : les murs sont faits degalets, le liant est de lachaux simple[45].
LesRomains ont construit un temple àSylvain, dont l'autel est remployé dans l’église comme base dubénitier[36].
Alors que le sud-est de la Gaule était une terreburgonde, le roi desOstrogothsThéodoric le Grand fait la conquête de la région entre laDurance, leRhône et l’Isère en510. La commune dépend donc brièvement à nouveau de l’Italie, jusqu’en526. En effet, pour se réconcilier avec le roi burgondeGondemar III, la régente ostrogotheAmalasonthe lui rend ce territoire[48].
Au Moyen Âge, la communauté d’Aubignosc relevait de laviguerie deSisteron[49] et l’abbaye de Cruis y possédait unprieuré[50]. La communauté d'Aubignosc avait leprivilège de ne pas payer laqueste aux comtes de Provence (puis à leurs successeurs, les rois de France) jusqu'à la Révolution[51].
À la suite d’une querelle entre le curé et les paroissiens, une part importante de la communauté embrasse en masse le culteprotestant[52].
En1851, à la suite ducoup d'État du 2 décembre deLouis-Napoléon Bonaparte, les pays de Sisteron, Forcalquier, Manosque développent une résistance pour défendre laRépublique : 15 000 hommes en armes sont mobilisés[53]. Les résistants prennent le contrôle de la préfecture à Digne, et forment un « Comité départemental de résistance ». L'armée, ralliée à Napoléon III, vient à bout de ce mouvement. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 8 habitants d’Aubignosc sont traduits devant la commission mixte, la peine la plus courante étant ladéportation enAlgérie[54].
Comme de nombreuses communes du département, Aubignosc se dote d’écoles bien avant leslois Ferry : en 1863, elle en possède deux, installées au chef-lieu et au village du Forest, qui dispensent uneinstruction primaire aux garçons[55]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni laloi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[56], ni la premièreloi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Aubignosc[57]. La commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire des écoles neuves qui remplacent les anciennes[58], mais ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles d’Allons sont régulièrement scolarisées.
Le département a connu dans plusieurs communes un importantexode rural à partir desannées 1850. La commune perd la moitié de sa population en un peu plus de cent ans.
La région est également touchée par les épisodes mortels régionaux ou nationaux : épidémies decholéra puis guerres mondiales (hommes morts au front durant laPremière Guerre mondiale). Durant laSeconde Guerre mondiale,le département est occupé par l'Italie en 1942-1943[précision nécessaire], puis par l'Allemagne nazie jusqu'en août 1944. À cette date, la ville voisine de Sisteron est bombardée par les alliés dans le cadre duDébarquement de Provence. Elle et Digne sont libérées le 19 août 1944.
Jusqu’au milieu duXXe siècle, lavigne était cultivée à Aubignosc. Levin produit, de qualité médiocre, était destiné à l’autoconsommation, une partie de la production revenant aux propriétairessisteronais. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[59].
De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de 15 membres (article L2121-2 duCode général des collectivités territoriales[60]). Lors duscrutin de 2008, il n’y eut qu’un seul tour et René Avinens a été élu conseiller municipal avec le meilleur total de 234 voix, soit 66,10 % des suffrages exprimés. La participation a été de 83,29 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[61].
L'élection du maire est la grande innovation de la Révolution de1789. De1790 à1795, les maires sont élus au suffrage censitaire pour 2 ans. De 1795 à 1800, il n’y a pas de maires, la commune se contente de désigner un agent municipal qui est délégué à lamunicipalité de canton.
En 1799-1800, leConsulat revient sur l'élection des maires, qui sont désormais nommés par le pouvoir central. Ce système est conservé par les régimes suivants, à l'exception de laDeuxième République (1848-1851). Après avoir conservé le système autoritaire, laTroisième République libéralise par la loi du 5 avril1884 l'administration des communes : leconseil municipal, élu au suffrage universel, élit le maire en son sein.
Les habitants sont nommés lesAubignoscais[7],[72].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[73]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[74].
L'histoire démographique d'Aubignosc, après le long mouvement de croissance jusqu'au début duXIXe siècle, est marquée par une période d'« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période occupe la majeure partie du siècle, et ne s'interrompt qu'après 1882. L'exode rural commence donc tardivement à Aubignosc, mais provoque néanmoins un mouvement de recul démographique rapide. Dès 1921, la commune enregistre la perte de la moitié de sa population du maximum historique de 1872, ce qui moins rapide que pour les communes de montagne[77]. Le mouvement de recul se poursuit jusqu'auxannées 1960, et s'inverse dans les années 1970. Depuis, la population a dépassé ses plus hauts niveaux.
En 2009, la population active s'élevait à 271 personnes, dont 20 chômeurs[83] (31 fin 2011[84]). Ces travailleurs sont majoritairementsalariés (78 %)[85] et travaillent majoritairement hors de la commune (81 %)[85]. L'essentiel des actifs de la commune sont employés dans les services et l'administration, à 65 %, le secteur de la construction représentant à lui seul près d’un tiers de l’emploi salarié[86].
Une importantecoopérative agricole est présente sur la commune.
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 12 établissements[86].
Le nombre d’exploitations, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est resté stable dans lesannées 2000, à 7 exploitations professionnelles, dont 3 exploitations en polyculture[88]. Par contre, lasurface agricole utile (SAU) a fortement régressé dans la même période, passant de 1051 à483ha[88], chiffre qui reste supérieur à celui de 1988 quand la surface agricole utilisée n’était plus que de314ha[89].
La culture de l’olivier est pratiquée dans la commune depuis des siècles, tout en étant limitée à des surfaces restreintes. Le terroir de la commune se situe en effet à la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement être exploité au-delà des 650 mètres[91].Actuellement[Quand ?], l’oliveraie communale s’étend sur22ha et compte 1 600 pieds[92]. L’huile produite à partir des olives récoltées dans la commune bénéficie des AOChuile d’olive de Provence ethuile d’olive de Haute-Provence[90].
Parmi les labels couvrant la commune, ceux concernant levin (alpes-de-Haute-Provence (VDP) blanc, rouge et rosé et VDP de Méditerranée blanc, rouge et rosé) ne sont pas utilisés, lavigne n’étant pas cultivée pour une production commerciale dans la commune[59].
La culture de lalavande, désormais mécanisée et bénéficiant d’un marché organisé et d'uneAOC pour l’« huile essentielle de lavande de Haute-Provence » depuis1981[93], n’a pas vu sa production relancée dans la région[94][Par exemple ?].
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, service) comptait 25 établissements (avec 32 emploissalariés), auxquels s'ajoutent les sept établissements administratifs (salariant 29 personnes)[86].
D'après l'Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est secondaire pour la commune, avec moins de 1 touriste accueilli par habitant[100]. La commune compte néanmoins plusieurs structures d'hébergement à finalité touristique :
au moins un hôtel en 2007[101] (classé deux étoiles[102]). Il ne dispose toutefois que de 9 chambres[103] ;
la commune compte également une petite offre de meublés[104].
Les résidences secondaires ont une importance marginale, avec 16 unités, sur les 260 logements de la commune[105].
L’église Saint-Julien, datée de 1662, comporte une nef double et une abside voûtée en cul-de-four. Le bâtiment rectangulaire y attenant, comporte quelques pierres de taille, qui peuvent être des remplois d’une ancienne église[106]. Elle abrite une peinture de laVierge à l’Enfant entre saintRoch et saintIgnace de Loyola, peinture classéemonument historique au titre objet[107].
Au Gravas, se trouve une demeure noble, ornée d’une tour[108] appelée bastide et qui possédait uneglacière à la fin duXVIIe siècle[109]. Au Forest, on trouve une maison de styleRenaissance qui a pu être le prieuré[49].
La coopérative agricole (1983) a fait l’objet d’une enquête thématique par laDRAC[110].
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
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