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Athis-Mons

48° 42′ 27″ nord, 2° 23′ 20″ est
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Pour les articles homonymes, voirAthis etMons (homonymie).

Athis-Mons
Athis-Mons
L'hôtel de ville (château d'Avaucourt).
Blason de Athis-Mons
Blason
Image illustrative de l’article Athis-Mons
Logo
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionÎle-de-France
DépartementEssonne
ArrondissementPalaiseau
IntercommunalitéMétropole du Grand Paris
EPT Grand-Orly Seine Bièvre
Maire
Mandat
Jean-Jacques Grousseau (PS)
2020-2026
Code postal91200
Code commune91027
Démographie
GentiléAthégiens, Athégiennes
Population
municipale
36 451 hab.(2022en évolution de +8,19 % par rapport à 2016)
Densité4 258 hab./km2
Géographie
Coordonnées48° 42′ 27″ nord, 2° 23′ 20″ est
AltitudeMin. 30 m
Max. 92 
m
Superficie8,56 km2
TypeGrand centre urbain
Unité urbaineParis
(banlieue)
Aire d'attractionParis
(commune du pôle principal)
Élections
DépartementalesCanton d'Athis-Mons
(bureau centralisateur)
Législatives7e circonscription de l'Essonne
Localisation
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Athis-Mons
Géolocalisation sur la carte :France
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Athis-Mons
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Athis-Mons
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Athis-Mons
Liens
Site webhttp://www.mairie-athis-mons.fr/
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Athis-Mons (prononcé[ais mɔ̃s]Écouter) est unecommune française située à douze kilomètres au sud deParis dans ledépartement de l’Essonne enrégionÎle-de-France.

À l’origine deux villages agricoles séparés sur lescoteaux de laSeine et de l’Orge, Athis-sur-Orge et Mons-sur-Orge, seigneuries de personnages illustres, la fusion en 1817 créa Athis-Mons, une nouvelle commune qui avec l’arrivée duchemin de fer puis de l’aéroport se développa rapidement, d’abord urbanisée avec despavillons debanlieue puis par deslotissements et desgrands ensembles. Porte d’entrée nord du département par l’ancienneroute nationale 7, la commune est aujourd’hui encore marquée par l’importance des transports dans son développement, dédicaçant ses églises auxcheminots et auxaviateurs.

Géographie

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Situation

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Position d’Athis-Mons en Essonne.

Athis-Mons est située au nord du département de l’Essonne, totalement intégré à l’agglomération parisienne dans la régionÎle-de-France, à la frontière de larégion naturelle duHurepoix.

La commune occupe un territoire long de 4 km à l’est et large de 2,7 km, pour un total de856 hectares (8,56 km2). L’Institut national de l'information géographique et forestière donne lescoordonnées géographiques 48°42'09" N et 02°22'20" E au point central de ce territoire[1]. Près de 70 % de l’espace communal esturbanisé et construit, moins de 20 % relève encore d’espaces ditsruraux, en réalité un massif forestier sur lecoteau de l’Orge et une vasteplaine herbue sur le domaine de l’aéroport au nord. Toute la frontière est de la commune est matérialisée par le cours de laSeine, lefleuve est rejoint à proximité du quartier de Mons par larivière l’Orge qui délimite la plaine duplateau. Ainsi, le relief de la commune varie fortement entre le nord et l’ouest placé sur un plateau atteignant approximativement 90 m d’altitude et les rives des cours d’eau à seulement 35 m d’altitude. Deux axes majeurs traversent le territoire, à l’est laligne de grande ceinture est aujourd’hui empruntée par laligne C du RER d'Île-de-France, à l’ouest, l’ancienneroute nationale 7 marque une rupture entre les quartiers. Elle est croisée par laroute départementale 25 et laroute départementale 118 qui rejoignent la Seine, et complétée par laroute départementale 29 qui emprunte les quais de la rive gauche. Ce relief et ce maillage ont donné lieu à la création de plusieurs quartiers, avec du nord-est au sud-ouest, la Plaine basse, Mons, le Centre-Ville, le Val d’Athis, le Plateau et le Noyer Renard, pour la plupart reprenant les anciennes appellations deslieux-dits ou villages.

Commune frontière, Athis-Mons est de fait relativement excentrée dans le département, elle est située à 18 km au sud-est deParis-Notre-Dame,point zéro des routes de France, à neuf kilomètres au nord-ouest d’Évry, 10 km à l’est dePalaiseau, 13 km au nord-ouest deCorbeil-Essonnes, 34 km au nord-est d’Étampes, 10 km au nord-est deMontlhéry, 15 km au nord-est d’Arpajon, 24 km au nord deLa Ferté-Alais, 33 km au nord-est deDourdan et 34 km au nord-ouest deMilly-la-Forêt.

Elle est par ailleurs située à 133 km au sud-ouest d’Athis dans laMarne, à 211 km à l’est d’Athis-de-l'Orne.

Communes limitrophes

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Le territoire d’Athis-Mons, constitué par deuxcommunes distinctes auparavant est relativement complexe et limitrophe de plusieurs communes différentes, mais aussi du département duVal-de-Marne. Ainsi au nord se trouvent les terres deVilleneuve-le-Roi occupées par l’aéroport Paris-Orly et sur une petite portion de frontière la commune d’Ablon-sur-Seine, frontière matérialisée à la fois par la voie ferrée et l’avenue de l’Europe. À l’est et au sud-est, laSeine marque la limite avecVigneux-sur-Seine etDraveil même si aucune de ces communes n’est physiquement reliée puisque aucun pont ne relie les deux berges sur le territoire communal. Au sud, la frontière avecJuvisy-sur-Orge traverse l’importantegare de triage puis suit la rue de laPaix, l’avenueGabriel-Péri puis la rue de la Voie-Verte. Cette même rue marque ensuite la courte frontière sud-ouest avecSavigny-sur-Orge jusqu’à l’avenueMaryse-Bastié, l’avenue deMorangis et l’ancienneroute nationale 7 qui délimite le territoire avecParay-Vieille-Poste à l’ouest et nord-ouest.

Rose des ventsVilleneuve-le-Roi
(Val-de-Marne)
Ablon-sur-Seine
(Val-de-Marne)
Rose des vents
Paray-Vieille-PosteNVigneux-sur-Seine
O   Athis-Mons   E
S
Savigny-sur-OrgeJuvisy-sur-OrgeDraveil

Relief et géologie

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Vue aérienne du plateau, du stade Louis-Thomas, du coteau de Mons et de la vallée de la Seine depuis un avion décollant de la piste 02/20 de l’aéroport.

Le territoire d’Athis-Mons est implanté pour ses trois-quarts ouest sur leplateau duHurepoix et pour sa partie est sur lecoteau de lavallée de la Seine. Il s’étage entre une altitude maximale fixée à quatre-vingt-douze mètres à l’extrémité ouest du territoire près du quartier de la Voie Verte àSavigny-sur-Orge[2] et seulement trente-deux mètres à l’extrême nord-est, sur la rive du fleuve à la limite avecAblon-sur-Seine[3],[4].

Au nord, le terrain s’élève rapidement depuis les berges puisque le quai n’est qu’à trente-cinq mètres d’altitude et la Grande Rue, distante de quatre-cents mètres est à une altitude de quatre-vingt-un mètres[5] puis plus lentement pour atteindre quatre-vingt-huit mètres sur le terrain de l’aéroport, neuf-cents mètres plus à l’ouest[6]. Au sud se trouve une vasteplaine alluviale occupée par les voies ferrées de lagare de triage, approximativement située à trente-cinq mètres d’altitude jusqu’au cours de l’Orge distante d’un kilomètre des berges du fleuve[7], avant une forte pente en centre-ville qui porte l’altitude à quatre-vingt-six mètres seulement six-cents mètres plus au nord[8]. Implanté dans leBassin parisien, le sous-sol de la commune en est caractéristique avec une succession de couches demeulière,limon,argile et enfincalcaire, bien visibles sur les bords érodés du coteau[9].


Hydrographie

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La confluence de l’Orge et de la Seine.

Le territoire de la commune d’Athis-Mons est implanté sur la rive gauche de laSeine, là où lefleuve forme une large boucle vers le nord-est avant d’entrer dans leVal-de-Marne, il parcourt ainsi trois kilomètres et cinq-cents mètres à la limite est de la commune. Légèrement plus à l’ouest du cours du fleuve en contrebas du coteau coule le bras nord de la rivière l’Orge, entrant par le sud de la commune depuisJuvisy-sur-Orge et parcourant deux kilomètres et cinq-cents mètres jusqu’à laconfluence avec le fleuve. Au nord de la commune, sur l’emprise de l’aéroport de Paris-Orly, se trouve une importante station d’épuration des eaux et plus à l’est se trouve un bassin de rétention des eaux de pluie souillées par les cuves à carburant.

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Île-de-France etClimat de l'Essonne.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCNRS s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[10]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré et est dans la région climatiqueSud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,9 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 677 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée dans la commune est de12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 622,2 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Statistiques 1991-2020 et records ORLY (91) - alt : 86m, lat : 48°43'04"N, lon : 2°23'49"E
Records établis sur la période du 01-03-1921 au 03-12-2023
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)2,124,26,49,913,11514,611,58,752,77,9
Température moyenne (°C)4,75,28,311,314,818,220,420,216,512,67,95,212,1
Température maximale moyenne (°C)7,28,512,516,219,823,225,825,721,516,410,97,616,3
Record de froid (°C)
date du record
−16,8
17.01.1985
−15
02.02.1956
−9,4
01.03.05
−4,3
16.04.1921
−1,3
07.05.1957
3,1
01.06.06
6,7
01.07.1922
5,6
31.08.1923
1,7
20.09.1952
−3,9
30.10.1955
−9,6
28.11.1921
−13,3
29.12.1964
−16,8
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,5
27.01.03
20,8
27.02.19
25,3
31.03.21
29,4
16.04.1949
35
24.05.1922
37,1
21.06.17
41,9
25.07.19
40
12.08.03
35,4
09.09.23
31,3
04.10.1921
21,8
07.11.15
17,3
16.12.1989
41,9
2019
Ensoleillement (h)5338521 5292 0252172 2432 4692 2091 8571 16662463918 313
Précipitations (mm)46,842,644,444,56356,152,957,947,452,853,460,4622,2
Source :« Fiche 91027002 », surdonneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Voies de communication et transports

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La gare d’Athis-Mons.

Même sans accès portuaire, laSeine représente depuis longtemps et encore aujourd’hui un axe de transport majeur pour la commune.

Suivant son cours, s'y ajoute depuis leXIXe siècle l'importante voie ferrée de laligne de Grande Ceinture, la commune disposant sur son territoire de lagare d'Athis-Mons et de la majeure partie des voies de l’importantegare de triage deJuvisy toutes deux empruntées par laligne C du RER d'Île-de-France. Unviaduc enjambant la Seine à hauteur de la commune la relie à laligne Villeneuve-Saint-Georges - Montargis empruntée aujourd’hui par laligne D du RER d'Île-de-France .

Depuis décembre2013, laligne 7 du tramway d'Île-de-France relie directement Athis-Mons (station Athis-Mons - Porte de l'Essonne) àVillejuif et laPorte d'Italie àParis[15] ; un prolongement de la ligne devrait deservir trois stations supplémentaires dans la commune[16]. Ce nouveau transport en commun empruntera le second axe majeur de la commune, l’ancienneroute nationale 7, dénommée avenueFrançois-Mitterrand ici, qui parcourt deux kilomètres quatre cents mètres de parfaite ligne droite à l’ouest de la commune depuis le carrefour dit « de la Pyramide » à Juvisy-sur-Orge et jusqu'à la limite nord du département. Dans la commune, elle croise par lesroutes départementales 25 et118 qui se rejoignent en centre-ville. Venant du sud et longeant la Seine circule aussi laroute départementale 29, ces trois axes permettant de rallier le pont deVilleneuve-le-Roi.

Plusieurs lignes d'autobus empruntent les rues de la commune, dont les lignesN31,N131,N133 etN144 du réseauNoctilien assurant la continuité de service nocturne du RER, les lignes285,385,399,486 et487 488 du réseauRATP, la ligne 191-100 duréseau de bus Val d'Yerres Val de Seine, la ligne DM8 duréseau de bus Cœur d'Essonne et les lignes 480 et 483 duréseau de bus Seine Grand Orly.

Enfin, depuis lesannées 1960, 13,6 % de l’emprise au sol de l’aéroport Paris-Orly occupe le territoire d’Athis-Mons, notamment l’extrémité sud de la piste 02/20, la station d’épuration des eaux, les citernes à carburant, le centre decontrôle du trafic aérien pour la région Nord de ladirection générale de l'Aviation civile[17], lemusée Delta et la maison de l’Environnement et du Développement durable[18]. La commune est par ailleurs située à trente-six kilomètres au sud-ouest de l’aéroport Paris-Charles-de-Gaulle.

Urbanisme

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Typologie

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Au, Athis-Mons est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19].Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant407 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 2],[20],[21]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[21]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

Lieux-dits, écarts et quartiers

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Une barre de la cité du Noyer-Renard.

Réunion de deux communes, Athis-sur-Orge et Mons-sur-Orge auXIXe siècle, Athis-Mons est aujourd’hui divisée en plusieurs quartiers. La municipalité a ainsi découpé la commune en cinq grandes parties, supports à la vie politique locale, Ozonville au nord-ouest[24], le Val d’Athis au sud en bordure de la Seine et de l’Orge[25], le quartier de Mons - Plaine basse au nord-est à la frontière avec Ablon-sur-Seine[26], le quartier du Plateau - Pyramide, au centre-ouest à la frontière avec Juvisy-sur-Orge, encadrant l’ancienne route nationale 7[27], le quartier résidentiel du Noyer Renard à l’extrême ouest[28].

S’ajoutent quelqueszones d’activités, les Guyards au nord, Édouard-Vaillant au sud-est près de la gare. Plusieurs lieux-dits ont conservé leur appellation, notamment la Butte aux Bergers et la Fosse Prieux au nord à la limite avec l’aéroport, le Coteau des Vignes et le Parc d’Athis sur les berges de l’Orge, d’importantslotissements et résidences ont aussi donné leurs noms à des quartiers, comme la résidence Mozart, les Clos Nollet et le Cottage à l’est, la Cité de l’Air au nord, la Belle Étoile, la base de Paris Terme Sud et les Gravilliers à l’ouest, les Clos Nollet. Aujourd’hui, le vastegrand ensemble du Noyer Renard[29], legrand ensemble d'Ozonville[30] larésidence du Clos-Nollet appartenant aux bailleursCDC Habitat filiale de lacaisse des dépôts sont classés commequartier prioritaire au titre de lapolitique de la ville durenouvellement urbain. Le quartier du Noyer Renard a reçu en 2011 le prix de la qualité urbaine dans le cadre du projet de rénovation[31]. L’Insee découpe la commune en quatorzeîlots regroupés pour l'information statistique[32] (IRIS).

Habitat

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Logements[33]Nombre en 2016% en 2016nombre en 2011% en 2011
Total14 258100 %12 686100 %
Résidences principales13 36393,7 %11 91593,9 %
→ Dont HLM4 11630,8 %3 50229,4 %
Résidences secondaires et
logements occasionnels
980,7 %580,5 %
Logements vacants[Note 4]7975,6 %7125,6 %
Dont :
→ maisons4 68932,9 %4 81037,9 %
→ appartements9 47466,5 %7 66260,4 %

Projets

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En 2017, la commune a acquis des terrains dans le secteur de la ferme de Mons, destinés à être bâtis par le promoteur Logic-immo, qui prévoit la création de 365 logements disponibles à l’accession à la propriété, dont une partie sera à caractère social[34].

En 2017, l'EPT Grand-Orly Seine Bièvre a publié des études de requalification urbaine des abords de l'ex-RN7, « occupé par du bâti dégradé, de forme et de qualité différentes », pouvant potentiellement accueillir 1 400 nouveaux logements sur3,5 hectares[35].

Le projet d'un nouveau pont sur la Seine entre Vigneux-sur-Seine et Athis-Mons, localisé à Port-Courcel envisagé depuis des décennies, est soumis à concertation par leconseil départemental de l'Essonne en 2019. Ce projet est controversé, certains, favorables à une amélioration de l'offre de transports en commun, critiquant l'ouverture de l'ouvrage au trafic automobile[36],[37].

Toponymie

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Atheiae en 1163,Athegiae en 1135,Athiae en 1280,Athysium,Athis,Atis en 1273,Athis-sur-Orge[38].

Le nom actuel de la commune est issu de la fusion le d’Athis et Mons[39]. Le nom d’Athis provient du motgauloisattegia signifiant « cabane, hutte »[40],[41],[42] et du terme françaismont signifiant « colline, mont ». Les final au lieu dut attendu est soit une graphie savante d'après le latinmons étymologique, soit la forme plurielle (ou locative)mons de l'ancien français.

Histoire

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Les origines

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Des pierres taillées et des pointes de javelot duNéolithique attestent d’une occupation humaine dès cette époque. Unsarcophagemérovingien fut découvert lors de fouilles, confirmant la présence d’une seigneurie[43]. La première mention du lieu nomméAthegiam intervint auIXe siècle lors des raidsvikings. AuXe siècle, le nom deMons fut cité dans l’acte confirmant la donation parHugues Capet du domaine à l’abbaye Saint-Magloire.

Deux villages, plusieurs domaines

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Carte de la région d’Athis auXVIIe siècle par Cassini.

En1140, l'évêque de ParisÉtienne de Senlis confia la paroisse d’Athis à l’ordre desAugustins, qui y installe un prieuré-cure dédié àsaint Denis. De cette époque daterait la construction de l'église Saint-Denis. En mars1230, le roiSaint-Louis séjourna chez songrand panetier de France, Hugues d'Athis[43]. Le moulin de Mons ou aussi« moulin le Roi » est un moulin à farine situé sur l'Orge, cité dès 1191[44] ; il fait partie, jusqu'à laRévolution française, de la ferme de Mons[45]. LePhilippe le Bel adressa une ordonnance auprévôt de Paris. Le fut signé à Athis-sur-Orge letraité d'Athis-sur-Orge, un traité de paix entre laFrance et laFlandre. Sur la fin du règne deCharles VI (1368-1422), la seigneurie d'Athis appartenait au chevalier de Montenay. Leroi d'Angleterre Henri VI, en1423, la donna à Guillaume de Felletemps qui, trahissant à la fois sonroi et sa patrie, avait favorisé l'occupation de Paris par les gens duduc de Bourgogne, allié du roi d'Angleterre. En 1417, Guillaume d'Estouteville vend la seigneurie de Mons-Ablon, incluant les 190 ha de terres formant le domaine de la ferme de Mons avec son moulin pour devenir le domaine de laseigneurie ecclésiastique duchapitre de Notre-Dame de Paris. AuXVe siècle fut édifié un château seigneurial à Athis, détruit depuis. L'existence d'un autre moulin appelé moulin d'Athis ou moulin d'Orgeval, propriété du seigneur d'Athis, est attestée au milieu duXVe siècle. En1610, Pierre Viole, président auparlement de Paris, possédait cette terre. AuXVIIe siècle, lafamille de La Brousse, propriétaire du domaine, construisit lechâteau d'Athis. En1743, il fut vendu àAnne Louise Bénédicte de Bourbon, fille duprince de Condé[46]. À cette époque, deux cultures dominaient les terroirs, lavigne sur le coteau de Mons et les céréales sur le plateau d’Athis. La production du vin sur les coteaux cesse à la fin duXIXe siècle en raison duphylloxéra.

Fusion et développement

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En 1815,les troupes alliées firent beaucoup de dégâts à Athis. En 1817, les deux communes d'Athis-sur-Orge et Mons-sur-Orge fusionnèrent pour devenir Athis-Mons[47]. En 1823, lafamille Chodron de Courcel et en particulier Louis-Jules Chodron (1804–1870) s'installe dans la commune avec l'achat de la ferme d'Athis puis acquiert progressivement la majorité des terrains et des bâtiments sur la commune. Le château de Mont-Courcel est construit vers 1838. Il achète également la ferme de Mons en 1840. Cette famille est autorisée par le maire en 1851 à créer un cimetière privé au lieu-dit le Guyard[48].

Plan de l'Orge avec les moulins de Juvisy, d'Athis et de Mons (1833).

Le moulin d'Athis est acheté en 1823 par Claude François Chodron en s'associant à John Bunn de Crockford, un manufacturier anglais, dans l'objectif d'y établir une fabrique d'acier qui sera autorisée par arrêté préfectoral du. Cette importante usine deforge, installée dans le Val, fonctionne d'après les procédés anglais et comporte unfour à cémenter, deuxfours à réverbère et des laminoirs. A la mort de John Bunn en 1835, Théodore Alexandre Baudry, marchand de fer à Paris, achète à ses héritiers la moitié indivise des forges et prend à bail l'autre moitié appartenant toujours à Chodron (maître de forges), puis en devient propriétaire en 1838[49].

Tracé de la ligne Paris-Orléans en 1843.

En 1841 fut construite laligne Paris - Bordeaux sur les bords de Seine, avec une première gare ou station alternante de la ligne de chemin de fer du Paris-Orléans installée en 1841 au lieu-dit« le Petit Mons » quelques mois après l'inauguration officielle de la ligne de Paris à Corbeil[50] (17 septembre 1840), première section du Paris-Orléans autorisée par la loi du, puis, entre 1864 et 1884, la grande gare de triage deJuvisy-sur-Orge qui ouvrit des débouchés à la production locale. L'arrivée du train permet l'essor d'une villégiature sur le coteau de Mons et sur les bords de Seine. En 1845, Théodore Alexandre Baudry achète pour le besoin des forges le moulin de Mons après celui de Juvisy en 1839[49]. En 1865, lesjésuites acquirent lechâteau d'Athis pour y installer une école préparatoire à l'école spéciale militaire de Saint-Cyr et l'école polytechnique. En 1880, fut construite une première mairie-école.

En 1871, les forges sont vendues à Charles Schweighaeuser, ancien directeur des usines métallurgiquesDe Dietrich et en 1892, achetées par la société Geyer et Chehet[49]. La cité du Cottage est érigée à partir de 1894 pour héberger les cheminots employés par la Compagnie d'Orléans à la gare de triage de Juvisy[51].

Valentin Chodron de Courcel (1838–1917), fils de Louis-Jules, propriétaire de Mont-courcel, devient maire d’Athis [1871-1881 (désigné) et 1884-1907 (élu)] ; il contribue à la restauration de l’église Saint-Denis.

Alphonse Chodron de Courcel (1835–1919) achète le domaine du château d’Athis en 1881, effectue des aménagements (tourelles, kiosque rustique en 1893, pont sur l’Orge en 1899, bibliothèque en 1906) ; il fait détruire le bâtiment principal du moulin de Mons en 1888 ; il devient acquéreur du Prieuré St-Denis (dont a fait partie l’église paroissiale) à Athis en 1895 pour le transformer en orangerie. Lesfrères des écoles chrétiennes installèrent, en 1882, leur maison-mère au domaine d'Oysonville[52]. Ils y construisirent une chapelle, une école primaire pour garçons et un noviciat. En 1904, avec la loi Combes, puis la séparation de l'Église et de l'État, l'ordre déménagea en Belgique, mais une grande partie des frères restèrent et l'école finit par rouvrir "sous une façade laïque". En 1910, ils hébergèrent les habitants du Val, touchés la crue de la Seine. En1893, le château d'Avaucourt fut construit par l'architecte Pucey à l'emplacement d'un ancien château dit« petit château d'Athis » ou« clos d'Avaucourt »[53]. En 1891 fut créé un nouveau quartier, le Cottage pour accueillir les nouveaux arrivants. En 1902 y fut installée une école. Alphonse Louis de Courcel acquiert le château d'Avaucourt entouré d'un parc de 9 hectares.

Durant laPremière Guerre mondiale, les usines athégiennes (principalement situées dans le quartier Seine) furent, comme partout en France, mises à contribution pour l'effort de guerre[54]. Les usines et forges Bellanger-Frères, dites "Les Bidons", ouvertes en 1896 au 29 quai de l'Industrie, qui construisaient jusqu'alors des contenants pour le transport de produits inflammables, s'orientèrent vers la production d'obus de 75, notamment par de nombreuses "munitionnettes" et des travailleurs coloniaux. La société des forges et laminoirs d'Athis, créée en 1823 le long de la voie ferrée, s'orienta vers la production de pièces d'artillerie et d'aviation, tandis que l'usine Norman et d'Haille, ouverte en 1908, quai de l'Industrie, qui construisait jusqu'alors des engins de travaux publics, se spécialisa dans la production d'excavatrices de tranchées. En 1914, la maison des frères des écoles chrétiennes d'Ozonville devint l'Hôpital auxiliaire pour convalescents militaires (HACM)no 1004[55], jusqu'au 22 mars 1919[54]. En janvier 1915, la municipalité vote le une subvention pour le "petit drapeau belge" et accueille dans son école des enfants belges, réfugiés[54]. Début 1918, Athis-Mons et Juvisy furent bombardées par des avionsGotha, à plusieurs reprises[54]. Les bombardements des 22 et 23 mai 1918 firent deux victimes à Athis-Mons et d'importants dégâts matériels. La même année, le conseil municipal décida de baptiser quatre rues "Clemenceau", "Foch", "Joffre" et "Pétain" (ces appellations ont disparu depuis). En 1919, monsieur Séjourné, accusé d'avoir profité de lapénurie de bois, dut démissionner de ses fonctions de maire. Onze soldats français, six soldats duCommonwealth, décédés à l'hôpital Saint-Charles à Juvisy ou à l'infirmerie de la gare de Juvisy-Athis triage, reposent dans lecarré militaire du cimetière d'Athis-Mons. On y trouve également une tombe collective de soldats allemands. La stèle commémorative "A la mémoire de nos morts qui ne peuvent reposer en terre française" fut ajoutée le 11 novembre 1926[54].

Dès lesannées 1920, deshangars à dirigeables furent installés sur le plateau à proximité de l'actuel aéroport. En 1929, la municipalité acheta le château d'Avaucourt pour y installer la mairie[56].

Rue Carneaux, quartier du Noyer-Renard (2024).

Durant laSeconde Guerre mondiale, la mairie fut transformée enkommandantur. Au cours de cette période, le couple André et Renée Charpentier se distingua par son humanité au point d'être reconnu en 2010 commeJuste parmi les nations[57].

Article détaillé :Bombardement de Juvisy..

Le, le bombardement du quartier du Val et de la gare de triage fit trois cents morts et quatre mille sinistrés[58]. Déclarée sinistrée par arrêté ministériel du, le projet de reconstruction et d'aménagement de la ville est établi par les urbanistesAndré Masson-Detourbet etClément Tambuté. Louis Chodron de Courcel cède en 1946 le domaine au collège Saint-Charles de Juvisy-sur-Orge qui a été entièrement détruit par les bombardements. En 1947, le lycée Saint-Charles fut transféré à Athis-Mons[59].

En 1960 fut achevée la grande cité FFF avec mille quatre cent cinquante logements. Construite entre 1958 et 1962, au cœur du tissu pavillonnaire d'Athis-Mons, lacité HLM du Noyer-Renard abrite à l’origine une majorité de fonctionnaires, derapatriés d’Algérie et d'habitants des communes voisines venus s’installer après l’agrandissement de l'aéroport Paris-Orly. À la même époque fut construite la Cité de l'Air réservée au personnel aérien[60]. Le fut inaugurée l’église Notre-Dame-de-la-Voie[61].

En1971, un centre administratif est construit dans le parc du château d'Avaucourt par l'architecte Goldstein.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[62], la commune faisait partie du département deSeine-et-Oise. Laréorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à sonarrondissement de Palaiseau, après un transfert administratif effectif au.

Lacommune d’Athis-Mons faisait partie de 1801 à 1964 ducanton de Longjumeau, date à laquelle elle devient lechef-lieu ducanton d'Athis-Mons. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 2 à 3 communes.

Pour l'élection des députés, la ville fait partie de laseptième circonscription de l'Essonne.

L’organisation juridictionnelle rattache les justiciables athégiens autribunal d’instance et auconseil de prud’hommes deLongjumeau, aux tribunaux degrande instance et decommerce d’Évry et à lacour d'appel de Paris[63].

Intercommunalité

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La commune était membre fondateur de lacommunauté de communes Les Portes de l’Essonne, fondée fin 2000 sous le statut decommunauté de communes et qui s'est transformée en 2009 encommunauté d’agglomération.

Dans le cadre de la mise en place de laMétropole du Grand Paris, les communes de la CALPE ont souhaité rejoindre la métropole[64],[65], ce qui prend effet le[66]

Laloi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015 prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, lesétablissements publics territoriaux (EPT).

La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Grand-Orly Seine Bièvre[67].

Articles détaillés :métropole du Grand Paris,établissement public territorial etÉtablissement public territorial Grand-Orly Seine Bièvre.

Tendances et résultats politiques

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Icône d'horloge obsolète.
Cette section doit êtreactualisée.(Dernière mise à jour : 2010)
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Athis-Mons, commune historiquement incorporée à laCeinture Rouge estaujourd’hui encore caractérisée[Quand ?] par son électorat à tendance degauche et une forteabstention comme en témoignent les derniers résultats de scrutins.

En 2000, leRéférendum sur le quinquennat présidentiel fut très largement approuvé mais avec une participation historiquement basse à seulement 28,68 %. En 2001, le maire sortantMarie-Noëlle Lienemann fut réélue avec difficulté à seulement 48,36 % des suffrages, son successeur dépassa lui les 50 % mais avec une participation en baisse. La participation à l’élection présidentielle française de 2002 fut relativement élevée mais le candidatJean-Marie Le Pen fit dans la commune un score supérieur au reste du département[68].

Dans la commune, la victoire auxlégislatives de 2002 revint au candidat socialiste, contrairement au reste de la circonscription qui élu le candidat sortantUMP. En 2004, les élections cantonales et régionales furent dans la commune largement remportées par les candidatssocialistes, de la même façon, le scrutin européen fut très largement en faveur du candidat socialiste avec seize points d’écarts devant son adversaire. LeRéférendum français sur le traité établissant une constitution pour l'Europe fut largement désapprouvé alors même que les Athégiens avaient approuvé à une courte majorité letraité de Maastricht en 1992[69].

Lors deslégislatives de 2007, ce sont une nouvelle fois les candidats socialistes qui arrivèrent en tête dans la commune, contrairement aux résultats nationaux et de la circonscription. C’est toutefois le candidat de l’UMP qui arriva en tête deseuropéennes de 2009, les électeurs plaçant le candidat socialiste en seconde position. Le président socialiste du conseil régional sortantJean-Paul Huchon fut une fois encore largement réélu lors desrégionales de 2010 avec une participationpresque correcte[C'est-à-dire ?].

En 2010, des sections de l’Union pour un mouvement populaire[70], duMoDem[71] sont présentes dans la commune.

Plus récemment, la droite arrive toutefois à remporter des victoires dans les scrutins locaux comme aux municipales de 2014 (en dépit d'une triangulaire avec le FN) ainsi qu'aux départementales qui ont suivi (2015).

Élections présidentielles
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Résultats des deuxièmes tours

Élections législatives
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Résultats des deuxièmes tours

Élections européennes
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Résultats des deux meilleurs scores

Élections régionales

Résultats des deux meilleurs scores

Élections cantonales et départementales

Résultats des deuxièmes tours

Élections municipales

Résultats des deuxièmes tours

Article connexe :Élections municipales de 2014 dans l'Essonne.
Article connexe :Élections municipales de 2020 dans l'Essonne.
Référendums

Politique locale

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Christine Rodier, élue maire (UMPLR) au second tour desélections municipales de 2014 dans l'Essonne, voit sa majorité s'éroder avec le passage de 8 maire-adjoints ou conseillers municipaux dans l'opposition en 2017, critiquant « l'autoritarisme de la maire » et « l'opacité de l'administration »[34],[93]. Julien Dumaine, maire adjoint de Christine Rodier de 2014 à 2017 et élu face à elle auconseil métropolitain en février 2017 (DVD), a annoncé sa candidature contre elle lors desmunicipales de 2020[94].

Christine Rodier voit médiatisée sa décision de refuser la scolarisation de 28 enfants de réfugiés syriens, malgré une décision de justice, justifiant sa décision en estimant qu'il serait impossible d’insérer ces enfants, dont les familles occupent illégalement des pavillons depuis 2015, dans un processus scolaire classique[95].

Christine Rodier voit médiatisée la question de la légalité du montant des indemnités des élus de sa majorité. Par un jugement du Tribunal administratif de Versailles de septembre 2019 porté par Julien Dumaine (DVD), la délibération du conseil municipal du 20 septembre 2017 fixant le montant des indemnités des élus de la majorité est annulée. En effet ce montant dépassait le montant maximal légalement autorisé mentionné au II de l'article L. 2123-24 du Code Général des Collectivités Territoriales[96]. Sa liste est battue au second tour desmunicipales de 2020 par celle menée par le socialiste Jean-Jacques Grousseau, celle-ci ayant refusé par principe tout accord avec Julien Dumaine (DVD) en déposant sa liste dès le lendemain du premier tour[97],[90].

Liste des maires

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L'articlehistoire des maires de France retrace l'évolution des modalités d'élection ou de nomination desmaires de la commune.
Liste des maires successifs[98]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Liste des maires successifs d'Athis-sur-Orge[99]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
17901793Alexandre Le Bourlier d'Orgeval[100] Propriétaire cultivateur, ancien avocat auParlement de Paris
17931795Georges Mangot Charron et aubergiste
17951795Pierre Girondon  
17951797François Mercier  
17971799Henri Duhuy Agent municipal
17991800Simon Angot Cabaretier
18001804François Mercier Agent municipal
18041808Michel Duchâteaux Marchand boucher
18081813Michel Serres de Prat Propriétaire cultivateur
18131817Denis Athanase Fournier  
 
Liste des maires successifs de Mons-sur-Orge[99]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
17901792Nicolas Hédiard Marchand épicier
17921795Jean-Baptiste Hédiard Vigneron
17951795Adrien Machicoine Maréchal-ferrant
17951800Nicolas Hédiard Marchand épicier, agent municipal
18001802Noël Crécy Fermier laboureur
18021808Pierre Auguste Jacquin Maître d'école
Adjoint au maire(1797 → 1801 et 1813 → 1816)
18081817Pascal du Huy Meunier
 
Liste des maires successifs d'Athis-Mons avant laLibération[99],[101]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
18171828Denis Fournier  
18281829Pierre Roussel  
18291831Denis Fournier  
18311835Nicolas Cyboulle  
18351836Melchior Delorme  
18361838Nicolas Pony  
18381871Alexandre Baudry  
18711881Louis Valentin Chodron de Courcel Propriétaire terrien
18811884Charles Coutheoux Maître de forges
18841907Louis Valentin Chodron de Courcel Propriétaire terrien
19071908Émile Hamel Agriculteur
19081912Valentin Baron Agriculteur
19121919Henri Séjourné Homme d'affaires, directeur des entrepôts d'Athis
19191921Eugène MarielleSFIOEmployé à la ville de Paris
juin 1921mai 1923Bertrand Maupôme[102]
(1861-1935)
PC-SFICCultivateur puis carrossier
Révoqué pour avoir fait établir un passeport à Gabriel Péri
mai 1923mai 1925Louis PrêtrePC-SFICEmployé au chemin de fer
mai 1925janvier 1928Bertrand Maupômé[102]
(1861-1935)
PC-SFICCarrossier puis épicier
Révoqué pour avoir détenu des tracts antimilitaristes
janvier 1928mai 1931Marius Paquereaux[103]PC-SFIC
puisPUP
Serrurier
Démissionnaire
juillet 1931juillet 1932Léopold Besson[104]
(1883-1954)
PC-SFICOuvrier métallurgiste
juillet 1932juin 1936Marius Paquereaux[103]PUP
puisUSR
Ouvrier tourneur
Conseiller général de Longjumeau(1928 → 1934)
juin 1936octobre 1939Léopold Besson[104]
(1883-1954)
PC-SFICOuvrier métallurgiste
Conseiller général de Longjumeau(1934 → 1940)
Conseil municipal suspendu par legouvernement Daladier à la suite
de la signature duPacte germano-soviétique[105]
octobre 1939août 1944Marcel Leroy Instituteur et directeur d'école
Président de ladélégation spéciale
Nommé président de ladélégation spéciale par legouvernement Daladier[105]
Nommé maire par legouvernement de Vichy
 
août 19441945Fernand ProtasPCFJardinier communal
Président duComité local de Libération
1945octobre 1947Lucien MidolPCFIngénieur à laSNCF, syndicaliste
Député de Seine-et-Oise(1932 → 1940 et 1945 → 1958)
octobre 1947mars 1959Alexandre RosierSFIOEmployé à laSNCF
mars 1959[106]mars 1977René L'Helguen[107]
(1922-2016)
MRPpuisCDP
puisCentr.[108]
Employé à laSNCF, ancien résistant et interné
Conseiller général d'Athis-Mons(1964 → 1967 et 1973 → 1998)
Conseiller régional d'Île-de-France(1976)
Président de l'Union des maires de l'Essonne(1971 → 1977)
mars 1977[106]mars 1983Paulette ChemierPCFOuvrière du textile
mars 1983[106]mars 1989René L'Helguen[107]
(1922-2016)
RPRRetraité de laSNCF
Conseiller général d'Athis-Mons(1964 → 1967 et 1973 → 1998)
Vice-président duconseil général de l'Essonne[Quand ?]
mars 1989mars 2001Marie-Noëlle LienemannPSProfesseure de physique
Députée de l’Essonne (7e circ.)(1988 → 1992)
Députée européenne(1984 → 1988, 1997 → 2001 et 2004 → 2009)
Démissionnaire à la suite de sa nomination commesecrétaire d’État
mars 2001[109],[110]avril 2014[111]François GarciaPSpuis
DVG[Note 5]
Inspecteur au ministère de la Culture[112]
Président de laCALPE(2000 → 2014)
avril 2014[113],[114]juillet 2020[90]Christine Rodier[115],[116]UMPLRAdjointe administrative à ladirection générale de l'aviation civile
Conseillère départementale d'Athis-Mons(2015 → 2021)
Vice-présidente de laCALPE(2014 → 2015)
juillet 2020[117]en cours
(au 23 octobre 2021)
Jean-Jacques GrousseauPSCadre de la fonction publique
Conseiller départemental d'Athis-Mons(2021 → )

Politique de développement durable

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La ville a engagé une politique dedéveloppement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2005[118].

Jumelages

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Article connexe :Coopérations décentralisées des communes de l'Essonne.

Athis-Mons a développé des associations dejumelage avec[119] :


Population et société

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Démographie

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Les habitants sont nommés lesAthégiens[124].

Évolution démographique

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Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[125],[Note 6].

En 2022, la commune comptait 36 451 habitants[Note 7], en évolution de +8,19 % par rapport à 2016 (Essonne : +2,89 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
338423435690690724705803771
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
7887808549109761 0381 3331 5912 027
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
2 6123 4944 6276 1167 96910 03310 9628 41414 120
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620112016
24 00427 64030 73728 49629 12329 42730 61529 83133 691
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20212022-------
36 22236 451-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puisInsee à partir de 2006[126].)
Histogramme de l'évolution démographique

Auparavant distincts, Athis-sur-Orge et Mons-sur-Orge étaient à leurs créations en 1793 des villages comparables démographiquement avec approximativement trois-cents habitants chacun, ils connurent une évolution linéaire semblable jusqu’à la fusion intervenue en 1817.

Place Roussillon,quartier prioritaire « Édouard-Vaillant ».

Le premier recensement commun fut celui de 1821, il montre une première baisse de la population comparativement à la somme virtuelle des deux entités précédentes. La reprise de la progression n’intervint qu’à partir de 1836 avant une période de variation chaotique du nombre d’habitants jusqu’à la date de 1872 qui marqua le dépassement des neuf-cents résidents puis 1881 celui des mille habitants.

Dès lors la progression se fit constante et relativement rapide avec le début deslotissements ouvriers puis la construction d'immeubles de logements collectifs. Le cap des dix-mille habitants fut ainsi franchi en 1931 avant que la commune ne subisse de lourde perte consécutive au conflit et aux bombardements de 1944, lui faisant perdre près de deux-mille-cinq-cents personnes au cours de laSeconde Guerre mondiale.

La forte poussée démographique de l’après-guerre et le développement rapide de l’aéroport de Paris-Orly voisin fit exploser le nombre d’habitants, la commune passant en l’espace de seize ans de huit-mille habitants à plus de vingt-quatre-mille, avec la construction des premiersgrands ensembles. Le développement se poursuivit jusqu’à la fin desannées 1970 avant une nouvelle baisse sous la barre des trente-mille résidents en 1982 et une progression plus mesurée pour dépasser à nouveau ce cap en 2006.

Icône d'horloge obsolète.
Cette section doit êtreactualisée.(Dernière mise à jour : 2006)
Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés.Améliorez-la oudiscutez-en.

Avec 12,5 % de la population municipale de nationalitéétrangère en 1999[127], l’immigration compte pour une part relativement importante dans cette croissance démographique. Ainsi, 3,3 % de la population était de nationalitéportugaise, 2,3 %algérienne, 1,7 %marocaine, 0,9 %turque, 0,6 %tunisienne etitalienne et 0,3 %espagnole[128].

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 41,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 17,9 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 17 218 hommes pour 17 883 femmes, soit un taux de 50,95 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,02 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[129]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,0 
4,9 
75-89 ans
5,9 
11,6 
60-74 ans
11,8 
18,4 
45-59 ans
17,2 
22,6 
30-44 ans
23,4 
18,3 
15-29 ans
18,7 
23,8 
0-14 ans
21,9 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2021 en pourcentage[130]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,4 
75-89 ans
7,2 
12,9 
60-74 ans
13,9 
20 
45-59 ans
19,4 
19,9 
30-44 ans
20,1 
20 
15-29 ans
18,2 
21,3 
0-14 ans
19,8 

Enseignement

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L’établissement privé Saint-Charles.

Les établissements scolaires d’Athis-Mons dépendent de l’académie de Versailles.

En 2010, la commune dispose sur son territoire desécoles maternellesPauline-Kergomard,Jean-de-La-Fontaine,Charles-Perrault,Albert-Calmette, La Rougette etJacques-Prévert, desécoles élémentairesÉdouard-Branly,Camille-Flammarion,Jean-Jaurès,Louis-Pasteur,Pierre-et-Marie-Curie desécoles primairesJules-Ferry etAntoine-de-Saint-Exupéry[131].

Toujours en 2010, la poursuite d’études s’effectue ensuite dans les établissements secondaires de la commune, lescollègesWolfgang-Amadeus-Mozart etMichel-Richard-de-Lalande et leslycéesMarcel-Pagnol etClément-Ader[132].

En matière d'enseignement privé catholique, s’ajoute le groupe scolaire Saint-Charles sous contrat avec l’État et sous tutelle diocésaine[133] qui dispense les cours du primaire et secondaire. Un second établissement privé supérieur en rapport direct avec les activités aéroportuaires voisines est constitué par le centre Interlines des Guyards chargé de former les futurspersonnels navigants commerciaux[134].

En 2010, les nourrissons sont accueillis dans lescrèches collectives La Farandole et La Prairie[135], dans les crèches familiales La Sarabande etRobert-Doisneau[136], dans la crèche parentale Tricotin-et-Barbotine[137] et dans la crèche interentreprises des P’tits-Loup’ings[138] réservées aux parents travaillant en horaires décalés, troishaltes garderies complètent l’offre,Henri-Matisse, les Lutins et L’Aquarelle[139].

Les écoles servent aussi decentres de loisirs, ils sont complétés par l’espace enfantsRené-Goscinny et lesludothèques du Val et La Marelle.

Santé

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Le site Jules-Valles de l’hôpital privé.
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En 2010, Athis-Mons offre sur son territoire unhôpital privé disposant d’un pôle chirurgical et d’unematernité et de centres spécialisés enimagerie médicale ethémodialyse[140].

S’ajoutent lamaison de retraite desfrères des écoles chrétiennes, l’établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes Sainte-Geneviève du Moulin vert, les résidences pour personnes âgées Arpage etJean-Rostand. La commune accueille aussi l’établissement ou service d'aide par le travail des Guyards destiné à la réinsertion d’un public handicapé.

Elle dispose aussi de deux centres deprotection maternelle et infantile à Ozonville[141] et en centre-ville[142] et d’un centre deplanification familiale[143].

En 2010, quarante-neufmédecins libéraux exercent dans la commune[144] ; quatorzechirurgiens-dentistes[145] et douzepharmacies[146] complètent l’offre médicale.

Culture

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Concorde 102F-WTSA au musée Delta.

En 2010, Athis-Mons dispose de plusieurs installations permettant la pratique culturelle, dont la salle de cinémaLino-Ventura classéeArt et Essai[147], lethéâtre de verdure d’Avaucourt, lamédiathèqueSimone-de-Beauvoir et ses annexesRené-Goscinny et du Val, le conservatoire intercommunal de musique, de danse et de théâtre et plusieurs salles polyvalentes dont les espacesEdmond-Michelet,Jean-Monnet, des Clos etColuche, lekiosque d’Ozonville.

La commune accueille aussi sur son territoire la Maison debanlieue et de l’architecture[148] retraçant l’histoire dupavillon de banlieue et sur l’espace de l’aéroport lemusée Delta[149] consacré à l’histoire de l’aile Delta.

Sports

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Le centre aquatique.

En 2010, la commune dispose sur son territoire de diverses installations sportives permettant la pratique, par ordre d’importance on trouve lecentre aquatique intercommunal avec trois bassins de respectivement cinq-cent-vingt-cinq, deux-cent et cent soixante-quinze mètres carrés[150], le stadeAuguste-Delaune équipé d’un terrain de football, d’un terrain de basket-ball, d’un plateau d’évolution, de courts detennis, d’unepiste d'athlétisme, d’unboulodrome et d’une salle polyvalente, le stade de la Cité-de-l’Air avec deux terrains defootball, un terrain debasket-ball et un stand detir à l'arc, lestadeRobert-Barran équipé de deux terrains derugby à XV, le centre tennistiqueLouis Thomas[Lequel ?] avec dix courts dont deux couverts, unclub de voile (YCAM[151]), lesgymnasesPierre-de-Coubertin,Georges-Hébert,George- Carpentier etGeorges-Argant, lesboulodromesJean-Morand et d’Ozonville, les terrains de football Carpentier et du Noyer Renard, les terrains de basket-ball Delalande, du Noyer Renard et d’Avaucourt[152].


Autres services publics

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Le bureau de poste du centre-ville.
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En 2010, outre les services municipaux, trois bureaux de poste sont installés dans la commune, un à Ozonville[153], et deux dans les quartiers du Val[154] et du Noyer Renard[155].

La commune dispose d’un centre d’information jeunesse[156], d’une maison de justice et du droit[157] et d’une permanence du délégué dumédiateur de la République[158],

On note également une antenne de laCaisse d’allocations familiales[159], une antenne de laCaisse primaire d'assurance maladie[160], une antenne duPôle emploi[161] et unetrésorerie principale[162].

Compte tenu de la proximité de l'aéroport d'Orly, Athis-Mons abrite le centre Nord de ladirection générale de l'Aviation civile[163] et lecentre en route de la navigation aérienne Nord[164],

La sécurité des lieux est assurée par lecentre de secours mixte communal[165] et le commissariat depolice local[166].

Lieux de culte

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Laparoissecatholique d'Athis-Mons dépend dusecteur pastoral du Val de Seine-Juvisy et dudiocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose sur son territoire deséglises Saint-Denis,Sainte-Geneviève, Notre-Dame-de-la-Voie et Notre-Dame-de-l'Air[167].

Deux lieux de cultemusulman sont implantés, une salle de prière dans le foyerSonacotra et unemosquée gérée par l’association socio-culturelle maghrébine[168].

Une église dite « apostolique »[169] et l’église des compagnons de Jésus[170] représentent le culteprotestant ; lasynagogue Beth-Gabriel[171] rassemble la communautéjuive.

  • L’église Saint-Denis.
    L’église Saint-Denis.
  • L’église Sainte-Geneviève.
    L’église Sainte-Geneviève.
  • L’église Notre-Dame-de-l’Air.
    L’église Notre-Dame-de-l’Air.
  • L’église Notre-Dame-de-la-Voie.
    L’église Notre-Dame-de-la-Voie.
  • La mosquée.
    La mosquée.

Médias

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La commune est située dans le bassin d’émission deschaînes de télévisionFrance 3 Paris Île-de-France Centre,IDF1 etTéléssonne intégré àTélif. L’hebdomadaireLe Républicain relate les informations locales dans son édition Nord-Essonne comme lastation de radioEFM.

Économie

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Le centre commercial Carrefour.

Hormis la partie occupée par les installations aéroportuaires, le territoire d’Athis-Mons est majoritairement résidentiel. La commune est intégrée par l’Insee à lazone d’emploi d’Orly qui comptait en2006 trente communes et 469 279 habitants, les Athégiens représentant 6,52 % du total. Dans ce bassin d’emploi, 211 488 personnes occupaient un emploi et 7,2 % de la population était auchômage[172]. Dans la commune seule, ce taux était fixé à 9,9 %, lapopulation active était évaluée à 15 543 personnes mais la commune ne disposait sur son territoire que de 9 072 emplois et 963 entreprises, conduisant 79,3 % des actifs à travailler en dehors de la commune. Elle a développé au nord lazone d'activité des Guyards et en bordure de Seine la zoneÉdouard-Vaillant et lazone industrielle des Bords de Seine. En outre, les abords de l’ancienne route nationale 7 sont traditionnellement occupés par de grandes enseignes commerciales, dont un grand centre commercialCarrefour aux abords de l’aéroport[173]. Implanté sur le territoire de l’aéroport se trouve le dépôt de carburant à usage des avions, classé au titre de ladirective Seveso[174]. S’ajoute l’entreprise de conditionnement Suprex inscrite au registre français des émissions polluantes pour ses prélèvements eneau potable du réseau[175] et le centre de traitement des déchets Revival[176]. Placée à proximité immédiate de l’aéroport, troishôtels sont implantés dans la commune et totalisent cent-soixante-treize chambres. Unmarché se tient chaque jeudi et dimanche matin dans le quartier de Gravilliers.

Emplois, revenus et niveau de vie

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Commune francilienne, urbanisée et à majorité résidentielle, elle se distingue par sa sociologie avec une quasi-absence d’agriculteurs, un relatif déficit d’artisans, commerçants ou chefs d’entreprise et une plus forte proportion decadres et employés que dans le reste de la zone d’emploi, contrastant avec une moindre présence d’ouvriers et de professions intermédiaires. Logiquement, l’agriculture, l’industrie et laconstruction sont quasiment absente du paysage économique local, dominé par lecommerce. Seulement 68,3 % de la population était active et occupait un emploi avec un statut desalarié dans 91,4 % des cas, 82,1 % des employés de plus de quinze ans disposait d’un contrat à durée indéterminée ou était titulaires de la fonction publique. Ainsi, peu de différences existent entre les habitants, seulement 71,3 % des foyers étaient imposés, le revenu net imposable moyen était fixé à 23 232 euros et seulement 46,5 % de la population était propriétaire de son logement, un appartement dans 59,9 % des cas. Lerevenu fiscal médian par ménage était en 2006 de 18 296 euros, ce qui plaçait Athis-Mons au 6 680e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages en métropole et au cent-soixante-seizième départemental[177]. En 2010, lerevenu fiscal médian par ménage était de 32 045 €, ce qui plaçait Athis-Mons au 10 631e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[178].

Répartition des emplois parcatégories socioprofessionnelles en 2006.
 AgriculteursArtisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
EmployésOuvriers
Athis-Mons0,1 %4,3 %20,0 %26,0 %31,9 %17,7 %
Zone d’emploi d’Orly0,1 %4,6 %15,2 %27,8 %30,3 %22,1 %
Moyenne nationale2,2 %6,0 %15,4 %24,6 %28,7 %23,2 %
Répartition des emplois parsecteurs d’activités en 2006.
 AgricultureIndustrieConstructionCommerceServices aux
entreprises
Services aux
particuliers
Athis-Mons0,2 %4,1 %3,6 %14,5 %10,8 %8,4 %
Zone d’emploi d’Orly0,5 %8,1 %7,2 %15,0 %14,3 %6,3 %
Moyenne nationale3,5 %15,2 %6,4 %13,3 %13,3 %7,6 %
Sources :Insee[179]

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le parc d’Avaucourt.

Sur le territoire communal, un total de soixante-quatrehectares étaient occupés par desparcs etjardins, dont le plus important est constitué par le parc d’Avaucourt, ancien parc du château seigneurial encentre-ville, prolongé au nord par la résidence du Parc et à l’ouest par le parc d’Ozonville. Ils constituent avec le coteau des Vignes plus au sud unespace naturel sensible protégé par le conseil général[180].

Dans le cadre de sa politique environnemental,Aéroports de Paris, société gestionnaire de l’aéroport de Paris-Orly voisin a installé sur le territoire commun une maison de l’environnement et dudéveloppement durable[181].


Le château d’Athis.
Restitution du pavillon de Flore du château d'Ozonville, à Athis Mons (91), 1736.

Lechâteau d'Athis, occupé par l’établissement scolaire Saint-Charles, construit auXVIIe siècle, remanié et agrandi aux siècles suivants[182], est finalement inscrit auxmonuments historiques le[183].

L’église paroissiale Saint-Denis est l’ancienne église priorale d’un prieuré dépendant de l’abbaye Saint-Victor de Paris, fondé en1140 et dissous en1792. Depuis sa fondation, l’édifice a été grandement remanié : nef reconstruite et adjonction de chapelles auXVIIIe siècle, façade refaite auXIXe siècle dans le style néogothique. Les seules parties romanes subsistantes (la tour-clocher coiffée d’une flèche de pierre, et le chœur) ont également été fortement restaurées à la fin duXIXe siècle par le service des monuments historiques (classement du clocher en1840[184]). Quant aux bâtiments prioraux, accolés à l’église, ils ont subi divers remaniements, restructurations et réaffectations au fil des siècles.

L’actuel hôtel de ville, perché au sommet du coteau de la vallée de la Seine, occupe l’ancien château d’Avaucourt construit à la fin duXIXe siècle[56].

L’ancien château d’Ozonville est actuellement occupé par une maison de retraite[185].

À Mons, subsiste la grange de l’ancienne ferme seigneuriale de Mons, dont la charpente a été datée duXVe siècle[186].


Personnalités liées à la commune

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Citoyen d'honneur

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Le 6 février 2019, le conseil municipal d'Athis-Mons nommeNicolas Roland Payen, ingénieur aéronautique et inventeur de l’aile delta, en qualité decitoyen d'honneur de la Ville d'Athis-Mons (17 voix pour et 7 abstentions)[187]. Cette nomination avait été annoncée par Christine Rodier, maire d'Athis-Mons, lors de son discours des vœux à la population du 10 janvier 2019[188].

Différentspersonnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Athis-Mons

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Marie-Noëlle Lienemann.

Héraldique et logotype

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Article connexe :Armorial des communes de l'Essonne.
Logo.
Blason de Athis-MonsBlason
Parti, au premier d’azur à troisfleurs de lis d’or au bâton degueules péri enbande, au deuxième desable à troischevrons rompus d’or, auchef d’azur chargé d’uneescarboucle pommetée et fleurdelisée d’or.
Détails
Le blason apparaît sur la motriceno Z5633 au titre duparrainage des matérielsSNCF[193].
La commune s’est en outre dotée d’unlogotype.

Athis-Mons dans les arts et la culture

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Arts

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Musique

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Les habitants d'Athis-Mons ont permis le développement culturel de la ville en développant des associations musicales bien implantées localement. On notera :

Divers festivals ont lieu régulièrement dans la commune (musique celtique, festival Guitar'Essonne).

L'église Saint-Denis, de style roman, possède une acoustique exceptionnelle qui constitue un des lieux privilégiés du territoire pour les concerts de musique classique professionnels et amateurs.

Littérature

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L'écrivaineXavière Gauthier, figure du fémininisme et spécialiste deLouise Michel, habite Athis-Mons et y anime des ateliers d'écriture.

L'écrivain de série noire et scénaristeGérard Lecas y habite également.

Monique Bermond, romancière, critique littéraire de livres pour enfants, animatrice et productrice d'émissions radiophoniques française, y vivait.

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Peinture et sculpture

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Entre 1935 et 1938, le peintreCamille Lambert réalise pour l’église Notre-Dame de Lourdes du Val d'Athis-Mons des peintures à l’huile sur toile représentant les quinze mystères durosaire[194]. Ces vingt-deux tableaux sont ensuite encollés etmarouflés sur les murs intérieurs de l'édifice. L’ensemble est détruit le par les bombardements alliés visant lagare de triage deJuvisy-sur-Orge, dont les voies sont principalement situées sur le territoire de la commune d'Athis-Mons.

Maurice Rocher réalise les vitraux de l'église Notre-Dame-de-la-Voie en1954.

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Sports

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Athis-Mons dispose de diverses associations sportives dont l'Union Sportive Olympique d'Athis-Mons (USOAM) créée en 1919 dont les résultats sportifs au cours de son histoire animent la ville. Athis-Mons depuis 2018 à investi dans des équipement sportif tel que le Terrain du Noyer-Renard, le city stade d'Ozonville et le city stade Pierre Coubertin

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et406 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
  5. Membre duParti socialiste à son élection, il est exclu par décision du secrétariat national le 16 mai à la suite de la candidature aux élections législatives :« Communiqué de presse de la section PS de Juvisy-sur-Orge », surjuvisy.parti-socialiste.fr (consulté le).
  6. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  7. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Références

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  2. Fiche de la borne géodésique n° P.A.F3-212 sur le site de l’Ign. Consulté le 11/04/2010.
  3. Fiche de la borne géodésique n° P.1.F3-75 sur le site de l’Ign. Consulté le 11/04/2010.
  4. « Données géographiques » surGéoportail(consulté le 19/02/2013.)..
  5. Fiche de la borne géodésique n°P.A.F3-165 sur le site de l’Ign. Consulté le 11/04/2010.
  6. Fiche de la borne géodésique n°P.A.F3-219 sur le site de l’Ign. Consulté le 11/04/2010.
  7. Fiche de la borne géodésique n°P.A.F3-132bis sur le site de l’Ign. Consulté le 11/04/2010.
  8. Fiche de la borne géodésique n°P.A.F3-162 sur le site de l’Ign. Consulté le 11/04/2010.
  9. %2FF5 Fiche géologique d'Athis-Mons sur le site du Brgm. Consulté le 24/08/2012.
  10. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le)
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  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.fr,(consulté le)
  15. Présentation du projet de la ligne 7 du tramway sur le site officiel du Stif. Consulté le 11/04/2010.
  16. Site officiel de la ligne T7 d'Île-de-France. Consulté le 26/01/2013.
  17. Fiche du centre de contrôle de la DGAC sur le site officiel de la commune. Consulté le 11/04/2010.
  18. Fiche de la maison de l’environnement sur le site officiel de la commune. Consulté le 11/04/2010.
  19. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  20. « Unité urbaine 2020 de Paris », surle site de l'Insee(consulté le).
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  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », surle site de l'Insee(consulté le).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
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  25. Présentation du quartier Val d’Athis sur le site officiel de la commune. Consulté le 18/04/2010.
  26. Présentation du quartier Mons - Plaine basse sur le site officiel de la commune. Consulté le 18/04/2010.
  27. Présentation du quartier Plateau - Pyramide sur le site officiel de la commune. Consulté le 18/04/2010.
  28. Présentation du quartier Noyer Renard sur le site officiel de la commune. Consulté le 18/04/2010.
  29. Fiche de la ZUS Noyer Renard sur le site de la mission interministérielle à la Ville. Consulté le 18/04/2010.
  30. Quartier avec un taux élevé de logement sociaux (HLM) ce situant au centre ville opéré par l'immobilière CDC HABITAT
  31. ArticleAthis-Mons : le Noyer Renard primé pour sa qualité urbaine paru le 17 août 2011 sur le site du ministère délégué à la Ville. Consulté le 26/01/2013.
  32. Carte de zonage de la commune d'Athis-Mons sur le site de l'Insee. Consulté le 26/02/2011.
  33. Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2016,document mentionné en liens externes.
  34. a etbRomain Chiron, « Athis-Mons : la majorité municipale au bord de l’implosion »,Le Parisien, édition de l'Essonne,‎(lire en ligne, consulté le).
  35. Laurent Degradi, « Municipales 2020 à Athis-Mons : près de 2000 nouveaux logements attendus : Avant les municipales 2020, Le Parisien analyse les enjeux de campagne. Cette semaine, le logement, où Athis-Mons va devoir accueillir plusieurs milliers de nouveaux habitants ces prochaines années »,Le Parisien, édition de l'Essonne,‎(lire en ligne, consulté le).
  36. Laurent Degradi, « Essonne : faut-il un nouveau pont sur la Seine ouvert aux voitures ? : Le département porte le projet d’un nouveau franchissement du fleuve entre Vigneux-sur-Seine et Athis-Mons ouvert au trafic automobile. Entre les pro et anti-voitures, le débat est passionné »,Le Parisien, édition de l'Essonne,‎(lire en ligne, consulté le).
  37. Pauline Darvey et Cécile Chevallier, « L’Essonne maintient son projet de pont routier sur la Seine : Le département a approuvé ce lundi la concertation préalable sur la création d’un nouveau franchissement du fleuve entre Vigneux-sur-Seine et Athis-Mons. Des études complémentaires vont être ouvertes »,Le Parisien, édition de l'Essonne,‎(lire en ligne, consulté le)« Un bilan face auquel certains élus restent mitigés. « Je suis partagée, lâche Christine Rodier, maire (LR) d'Athis-Mons et conseillère départementale, qui s'est abstenue lors du vote. Nous ne sommes pas contre un franchissement, nous nous opposons à un pont ouvert aux voitures de particuliers ».
  38. Hippolyte Cocheris, Conservateur de la Bibliothèque Mazarine, Conseiller général du département de Seine-et-Oise, DICTIONNAIRE DES ANCIENS NOMS DES COMMUNES DU DÉPARTEMENT DE SEINE-ET-OISE, 1874
  39. a etbDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Xavier Delamarre,Dictionnaire de la langue gauloise, éditions errance 2003.p. 59.
  41. Ernest Nègre,Toponymie générale de la France, Librairie Droz2e Partie : habitation.p. 284.
  42. Albert Dauzat etCharles Rostaing,Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud 1979.p. 32.
  43. a etbEssonne, le guide complet de ses 196 communes, Michel de La Torre, Éd. Deslogis-Lacoste, juin 1992,(ISBN 9782739950917).
  44. Brigitte Blanc, « Moulin de Mons ou moulin le Roi : Dossier d’œuvre architecture IA91000521 », surinventaire.iledefrance.fr,(consulté le).
  45. Brigitte Blanc, « Quartier de Mond », surpop.culture.gouv.fr,(consulté le).
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