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À l’origine deux villages agricoles séparés sur lescoteaux de laSeine et de l’Orge, Athis-sur-Orge et Mons-sur-Orge, seigneuries de personnages illustres, la fusion en 1817 créa Athis-Mons, une nouvelle commune qui avec l’arrivée duchemin de fer puis de l’aéroport se développa rapidement, d’abord urbanisée avec despavillons debanlieue puis par deslotissements et desgrands ensembles. Porte d’entrée nord du département par l’ancienneroute nationale 7, la commune est aujourd’hui encore marquée par l’importance des transports dans son développement, dédicaçant ses églises auxcheminots et auxaviateurs.
Le territoire d’Athis-Mons, constitué par deuxcommunes distinctes auparavant est relativement complexe et limitrophe de plusieurs communes différentes, mais aussi du département duVal-de-Marne. Ainsi au nord se trouvent les terres deVilleneuve-le-Roi occupées par l’aéroport Paris-Orly et sur une petite portion de frontière la commune d’Ablon-sur-Seine, frontière matérialisée à la fois par la voie ferrée et l’avenue de l’Europe. À l’est et au sud-est, laSeine marque la limite avecVigneux-sur-Seine etDraveil même si aucune de ces communes n’est physiquement reliée puisque aucun pont ne relie les deux berges sur le territoire communal. Au sud, la frontière avecJuvisy-sur-Orge traverse l’importantegare de triage puis suit la rue de laPaix, l’avenueGabriel-Péri puis la rue de la Voie-Verte. Cette même rue marque ensuite la courte frontière sud-ouest avecSavigny-sur-Orge jusqu’à l’avenueMaryse-Bastié, l’avenue deMorangis et l’ancienneroute nationale 7 qui délimite le territoire avecParay-Vieille-Poste à l’ouest et nord-ouest.
Vue aérienne du plateau, du stade Louis-Thomas, du coteau de Mons et de la vallée de la Seine depuis un avion décollant de la piste 02/20 de l’aéroport.
Le territoire d’Athis-Mons est implanté pour ses trois-quarts ouest sur leplateau duHurepoix et pour sa partie est sur lecoteau de lavallée de la Seine. Il s’étage entre une altitude maximale fixée à quatre-vingt-douze mètres à l’extrémité ouest du territoire près du quartier de la Voie Verte àSavigny-sur-Orge[2] et seulement trente-deux mètres à l’extrême nord-est, sur la rive du fleuve à la limite avecAblon-sur-Seine[3],[4].
Au nord, le terrain s’élève rapidement depuis les berges puisque le quai n’est qu’à trente-cinq mètres d’altitude et la Grande Rue, distante de quatre-cents mètres est à une altitude de quatre-vingt-un mètres[5] puis plus lentement pour atteindre quatre-vingt-huit mètres sur le terrain de l’aéroport, neuf-cents mètres plus à l’ouest[6]. Au sud se trouve une vasteplaine alluviale occupée par les voies ferrées de lagare de triage, approximativement située à trente-cinq mètres d’altitude jusqu’au cours de l’Orge distante d’un kilomètre des berges du fleuve[7], avant une forte pente en centre-ville qui porte l’altitude à quatre-vingt-six mètres seulement six-cents mètres plus au nord[8]. Implanté dans leBassin parisien, le sous-sol de la commune en est caractéristique avec une succession de couches demeulière,limon,argile et enfincalcaire, bien visibles sur les bords érodés du coteau[9].
Le territoire de la commune d’Athis-Mons est implanté sur la rive gauche de laSeine, là où lefleuve forme une large boucle vers le nord-est avant d’entrer dans leVal-de-Marne, il parcourt ainsi trois kilomètres et cinq-cents mètres à la limite est de la commune. Légèrement plus à l’ouest du cours du fleuve en contrebas du coteau coule le bras nord de la rivière l’Orge, entrant par le sud de la commune depuisJuvisy-sur-Orge et parcourant deux kilomètres et cinq-cents mètres jusqu’à laconfluence avec le fleuve. Au nord de la commune, sur l’emprise de l’aéroport de Paris-Orly, se trouve une importante station d’épuration des eaux et plus à l’est se trouve un bassin de rétention des eaux de pluie souillées par les cuves à carburant.
Depuis décembre2013, laligne 7 du tramway d'Île-de-France relie directement Athis-Mons (station Athis-Mons - Porte de l'Essonne) àVillejuif et laPorte d'Italie àParis[15] ; un prolongement de la ligne devrait deservir trois stations supplémentaires dans la commune[16]. Ce nouveau transport en commun empruntera le second axe majeur de la commune, l’ancienneroute nationale 7, dénommée avenueFrançois-Mitterrand ici, qui parcourt deux kilomètres quatre cents mètres de parfaite ligne droite à l’ouest de la commune depuis le carrefour dit « de la Pyramide » à Juvisy-sur-Orge et jusqu'à la limite nord du département. Dans la commune, elle croise par lesroutes départementales 25 et118 qui se rejoignent en centre-ville. Venant du sud et longeant la Seine circule aussi laroute départementale 29, ces trois axes permettant de rallier le pont deVilleneuve-le-Roi.
Au, Athis-Mons est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19].Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant407 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 2],[20],[21]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[21]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].
S’ajoutent quelqueszones d’activités, les Guyards au nord, Édouard-Vaillant au sud-est près de la gare. Plusieurs lieux-dits ont conservé leur appellation, notamment la Butte aux Bergers et la Fosse Prieux au nord à la limite avec l’aéroport, le Coteau des Vignes et le Parc d’Athis sur les berges de l’Orge, d’importantslotissements et résidences ont aussi donné leurs noms à des quartiers, comme la résidence Mozart, les Clos Nollet et le Cottage à l’est, la Cité de l’Air au nord, la Belle Étoile, la base de Paris Terme Sud et les Gravilliers à l’ouest, les Clos Nollet. Aujourd’hui, le vastegrand ensemble du Noyer Renard[29], legrand ensemble d'Ozonville[30] larésidence du Clos-Nollet appartenant aux bailleursCDC Habitat filiale de lacaisse des dépôts sont classés commequartier prioritaire au titre de lapolitique de la ville durenouvellement urbain. Le quartier du Noyer Renard a reçu en 2011 le prix de la qualité urbaine dans le cadre du projet de rénovation[31]. L’Insee découpe la commune en quatorzeîlots regroupés pour l'information statistique[32] (IRIS).
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En 2017, la commune a acquis des terrains dans le secteur de la ferme de Mons, destinés à être bâtis par le promoteur Logic-immo, qui prévoit la création de 365 logements disponibles à l’accession à la propriété, dont une partie sera à caractère social[34].
En 2017, l'EPT Grand-Orly Seine Bièvre a publié des études de requalification urbaine des abords de l'ex-RN7, « occupé par du bâti dégradé, de forme et de qualité différentes », pouvant potentiellement accueillir 1 400 nouveaux logements sur3,5 hectares[35].
Le projet d'un nouveau pont sur la Seine entre Vigneux-sur-Seine et Athis-Mons, localisé à Port-Courcel envisagé depuis des décennies, est soumis à concertation par leconseil départemental de l'Essonne en 2019. Ce projet est controversé, certains, favorables à une amélioration de l'offre de transports en commun, critiquant l'ouverture de l'ouvrage au trafic automobile[36],[37].
Atheiae en 1163,Athegiae en 1135,Athiae en 1280,Athysium,Athis,Atis en 1273,Athis-sur-Orge[38].
Le nom actuel de la commune est issu de la fusion le d’Athis et Mons[39]. Le nom d’Athis provient du motgauloisattegia signifiant « cabane, hutte »[40],[41],[42] et du terme françaismont signifiant « colline, mont ». Les final au lieu dut attendu est soit une graphie savante d'après le latinmons étymologique, soit la forme plurielle (ou locative)mons de l'ancien français.
En 1815,les troupes alliées firent beaucoup de dégâts à Athis. En 1817, les deux communes d'Athis-sur-Orge et Mons-sur-Orge fusionnèrent pour devenir Athis-Mons[47]. En 1823, lafamille Chodron de Courcel et en particulier Louis-Jules Chodron (1804–1870) s'installe dans la commune avec l'achat de la ferme d'Athis puis acquiert progressivement la majorité des terrains et des bâtiments sur la commune. Le château de Mont-Courcel est construit vers 1838. Il achète également la ferme de Mons en 1840. Cette famille est autorisée par le maire en 1851 à créer un cimetière privé au lieu-dit le Guyard[48].
Plan de l'Orge avec les moulins de Juvisy, d'Athis et de Mons (1833).
Le moulin d'Athis est acheté en 1823 par Claude François Chodron en s'associant à John Bunn de Crockford, un manufacturier anglais, dans l'objectif d'y établir une fabrique d'acier qui sera autorisée par arrêté préfectoral du. Cette importante usine deforge, installée dans le Val, fonctionne d'après les procédés anglais et comporte unfour à cémenter, deuxfours à réverbère et des laminoirs. A la mort de John Bunn en 1835, Théodore Alexandre Baudry, marchand de fer à Paris, achète à ses héritiers la moitié indivise des forges et prend à bail l'autre moitié appartenant toujours à Chodron (maître de forges), puis en devient propriétaire en 1838[49].
Tracé de la ligne Paris-Orléans en 1843.
En 1841 fut construite laligne Paris - Bordeaux sur les bords de Seine, avec une première gare ou station alternante de la ligne de chemin de fer du Paris-Orléans installée en 1841 au lieu-dit« le Petit Mons » quelques mois après l'inauguration officielle de la ligne de Paris à Corbeil[50] (17 septembre 1840), première section du Paris-Orléans autorisée par la loi du, puis, entre 1864 et 1884, la grande gare de triage deJuvisy-sur-Orge qui ouvrit des débouchés à la production locale. L'arrivée du train permet l'essor d'une villégiature sur le coteau de Mons et sur les bords de Seine. En 1845, Théodore Alexandre Baudry achète pour le besoin des forges le moulin de Mons après celui de Juvisy en 1839[49]. En 1865, lesjésuites acquirent lechâteau d'Athis pour y installer une école préparatoire à l'école spéciale militaire de Saint-Cyr et l'école polytechnique. En 1880, fut construite une première mairie-école.
En 1871, les forges sont vendues à Charles Schweighaeuser, ancien directeur des usines métallurgiquesDe Dietrich et en 1892, achetées par la société Geyer et Chehet[49]. La cité du Cottage est érigée à partir de 1894 pour héberger les cheminots employés par la Compagnie d'Orléans à la gare de triage de Juvisy[51].
Valentin Chodron de Courcel (1838–1917), fils de Louis-Jules, propriétaire de Mont-courcel, devient maire d’Athis [1871-1881 (désigné) et 1884-1907 (élu)] ; il contribue à la restauration de l’église Saint-Denis.
Alphonse Chodron de Courcel (1835–1919) achète le domaine du château d’Athis en 1881, effectue des aménagements (tourelles, kiosque rustique en 1893, pont sur l’Orge en 1899, bibliothèque en 1906) ; il fait détruire le bâtiment principal du moulin de Mons en 1888 ; il devient acquéreur du Prieuré St-Denis (dont a fait partie l’église paroissiale) à Athis en 1895 pour le transformer en orangerie. Lesfrères des écoles chrétiennes installèrent, en 1882, leur maison-mère au domaine d'Oysonville[52]. Ils y construisirent une chapelle, une école primaire pour garçons et un noviciat. En 1904, avec la loi Combes, puis la séparation de l'Église et de l'État, l'ordre déménagea en Belgique, mais une grande partie des frères restèrent et l'école finit par rouvrir "sous une façade laïque". En 1910, ils hébergèrent les habitants du Val, touchés la crue de la Seine. En1893, le château d'Avaucourt fut construit par l'architecte Pucey à l'emplacement d'un ancien château dit« petit château d'Athis » ou« clos d'Avaucourt »[53]. En 1891 fut créé un nouveau quartier, le Cottage pour accueillir les nouveaux arrivants. En 1902 y fut installée une école. Alphonse Louis de Courcel acquiert le château d'Avaucourt entouré d'un parc de 9 hectares.
Durant laPremière Guerre mondiale, les usines athégiennes (principalement situées dans le quartier Seine) furent, comme partout en France, mises à contribution pour l'effort de guerre[54]. Les usines et forges Bellanger-Frères, dites "Les Bidons", ouvertes en 1896 au 29 quai de l'Industrie, qui construisaient jusqu'alors des contenants pour le transport de produits inflammables, s'orientèrent vers la production d'obus de 75, notamment par de nombreuses "munitionnettes" et des travailleurs coloniaux. La société des forges et laminoirs d'Athis, créée en 1823 le long de la voie ferrée, s'orienta vers la production de pièces d'artillerie et d'aviation, tandis que l'usine Norman et d'Haille, ouverte en 1908, quai de l'Industrie, qui construisait jusqu'alors des engins de travaux publics, se spécialisa dans la production d'excavatrices de tranchées. En 1914, la maison des frères des écoles chrétiennes d'Ozonville devint l'Hôpital auxiliaire pour convalescents militaires (HACM)no 1004[55], jusqu'au 22 mars 1919[54]. En janvier 1915, la municipalité vote le une subvention pour le "petit drapeau belge" et accueille dans son école des enfants belges, réfugiés[54]. Début 1918, Athis-Mons et Juvisy furent bombardées par des avionsGotha, à plusieurs reprises[54]. Les bombardements des 22 et 23 mai 1918 firent deux victimes à Athis-Mons et d'importants dégâts matériels. La même année, le conseil municipal décida de baptiser quatre rues "Clemenceau", "Foch", "Joffre" et "Pétain" (ces appellations ont disparu depuis). En 1919, monsieur Séjourné, accusé d'avoir profité de lapénurie de bois, dut démissionner de ses fonctions de maire. Onze soldats français, six soldats duCommonwealth, décédés à l'hôpital Saint-Charles à Juvisy ou à l'infirmerie de la gare de Juvisy-Athis triage, reposent dans lecarré militaire du cimetière d'Athis-Mons. On y trouve également une tombe collective de soldats allemands. La stèle commémorative "A la mémoire de nos morts qui ne peuvent reposer en terre française" fut ajoutée le 11 novembre 1926[54].
Dès lesannées 1920, deshangars à dirigeables furent installés sur le plateau à proximité de l'actuel aéroport. En 1929, la municipalité acheta le château d'Avaucourt pour y installer la mairie[56].
Le, le bombardement du quartier du Val et de la gare de triage fit trois cents morts et quatre mille sinistrés[58]. Déclarée sinistrée par arrêté ministériel du, le projet de reconstruction et d'aménagement de la ville est établi par les urbanistesAndré Masson-Detourbet etClément Tambuté. Louis Chodron de Courcel cède en 1946 le domaine au collège Saint-Charles de Juvisy-sur-Orge qui a été entièrement détruit par les bombardements. En 1947, le lycée Saint-Charles fut transféré à Athis-Mons[59].
En 1960 fut achevée la grande cité FFF avec mille quatre cent cinquante logements. Construite entre 1958 et 1962, au cœur du tissu pavillonnaire d'Athis-Mons, lacité HLM du Noyer-Renard abrite à l’origine une majorité de fonctionnaires, derapatriés d’Algérie et d'habitants des communes voisines venus s’installer après l’agrandissement de l'aéroport Paris-Orly. À la même époque fut construite la Cité de l'Air réservée au personnel aérien[60]. Le fut inaugurée l’église Notre-Dame-de-la-Voie[61].
En1971, un centre administratif est construit dans le parc du château d'Avaucourt par l'architecte Goldstein.
Dans le cadre de la mise en place de laMétropole du Grand Paris, les communes de la CALPE ont souhaité rejoindre la métropole[64],[65], ce qui prend effet le[66]
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Athis-Mons, commune historiquement incorporée à laCeinture Rouge estaujourd’hui encore caractérisée[Quand ?] par son électorat à tendance degauche et une forteabstention comme en témoignent les derniers résultats de scrutins.
En 2000, leRéférendum sur le quinquennat présidentiel fut très largement approuvé mais avec une participation historiquement basse à seulement 28,68 %. En 2001, le maire sortantMarie-Noëlle Lienemann fut réélue avec difficulté à seulement 48,36 % des suffrages, son successeur dépassa lui les 50 % mais avec une participation en baisse. La participation à l’élection présidentielle française de 2002 fut relativement élevée mais le candidatJean-Marie Le Pen fit dans la commune un score supérieur au reste du département[68].
Dans la commune, la victoire auxlégislatives de 2002 revint au candidat socialiste, contrairement au reste de la circonscription qui élu le candidat sortantUMP. En 2004, les élections cantonales et régionales furent dans la commune largement remportées par les candidatssocialistes, de la même façon, le scrutin européen fut très largement en faveur du candidat socialiste avec seize points d’écarts devant son adversaire. LeRéférendum français sur le traité établissant une constitution pour l'Europe fut largement désapprouvé alors même que les Athégiens avaient approuvé à une courte majorité letraité de Maastricht en 1992[69].
Lors deslégislatives de 2007, ce sont une nouvelle fois les candidats socialistes qui arrivèrent en tête dans la commune, contrairement aux résultats nationaux et de la circonscription. C’est toutefois le candidat de l’UMP qui arriva en tête deseuropéennes de 2009, les électeurs plaçant le candidat socialiste en seconde position. Le président socialiste du conseil régional sortantJean-Paul Huchon fut une fois encore largement réélu lors desrégionales de 2010 avec une participationpresque correcte[C'est-à-dire ?].
Plus récemment, la droite arrive toutefois à remporter des victoires dans les scrutins locaux comme aux municipales de 2014 (en dépit d'une triangulaire avec le FN) ainsi qu'aux départementales qui ont suivi (2015).
Élections présidentielles
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Election présidentielle de 2017: 72.5% pour Emmanuel Macron (LREM), 27,5% pour Marine le Pen (FN), 72,93% de participation.
Élections législatives
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Christine Rodier, élue maire (UMP →LR) au second tour desélections municipales de 2014 dans l'Essonne, voit sa majorité s'éroder avec le passage de 8 maire-adjoints ou conseillers municipaux dans l'opposition en 2017, critiquant « l'autoritarisme de la maire » et « l'opacité de l'administration »[34],[93]. Julien Dumaine, maire adjoint de Christine Rodier de 2014 à 2017 et élu face à elle auconseil métropolitain en février 2017 (DVD), a annoncé sa candidature contre elle lors desmunicipales de 2020[94].
Christine Rodier voit médiatisée sa décision de refuser la scolarisation de 28 enfants de réfugiés syriens, malgré une décision de justice, justifiant sa décision en estimant qu'il serait impossible d’insérer ces enfants, dont les familles occupent illégalement des pavillons depuis 2015, dans un processus scolaire classique[95].
Christine Rodier voit médiatisée la question de la légalité du montant des indemnités des élus de sa majorité. Par un jugement du Tribunal administratif de Versailles de septembre 2019 porté par Julien Dumaine (DVD), la délibération du conseil municipal du 20 septembre 2017 fixant le montant des indemnités des élus de la majorité est annulée. En effet ce montant dépassait le montant maximal légalement autorisé mentionné au II de l'article L. 2123-24 du Code Général des Collectivités Territoriales[96]. Sa liste est battue au second tour desmunicipales de 2020 par celle menée par le socialiste Jean-Jacques Grousseau, celle-ci ayant refusé par principe tout accord avec Julien Dumaine (DVD) en déposant sa liste dès le lendemain du premier tour[97],[90].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[125],[Note 6].
En 2022, la commune comptait 36 451 habitants[Note 7], en évolution de +8,19 % par rapport à 2016 (Essonne : +2,89 %,France horsMayotte : +2,11 %).
Auparavant distincts, Athis-sur-Orge et Mons-sur-Orge étaient à leurs créations en 1793 des villages comparables démographiquement avec approximativement trois-cents habitants chacun, ils connurent une évolution linéaire semblable jusqu’à la fusion intervenue en 1817.
Le premier recensement commun fut celui de 1821, il montre une première baisse de la population comparativement à la somme virtuelle des deux entités précédentes. La reprise de la progression n’intervint qu’à partir de 1836 avant une période de variation chaotique du nombre d’habitants jusqu’à la date de 1872 qui marqua le dépassement des neuf-cents résidents puis 1881 celui des mille habitants.
Dès lors la progression se fit constante et relativement rapide avec le début deslotissements ouvriers puis la construction d'immeubles de logements collectifs. Le cap des dix-mille habitants fut ainsi franchi en 1931 avant que la commune ne subisse de lourde perte consécutive au conflit et aux bombardements de 1944, lui faisant perdre près de deux-mille-cinq-cents personnes au cours de laSeconde Guerre mondiale.
La forte poussée démographique de l’après-guerre et le développement rapide de l’aéroport de Paris-Orly voisin fit exploser le nombre d’habitants, la commune passant en l’espace de seize ans de huit-mille habitants à plus de vingt-quatre-mille, avec la construction des premiersgrands ensembles. Le développement se poursuivit jusqu’à la fin desannées 1970 avant une nouvelle baisse sous la barre des trente-mille résidents en 1982 et une progression plus mesurée pour dépasser à nouveau ce cap en 2006.
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La population de la commune est relativement jeune.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 41,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 17,9 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 17 218 hommes pour 17 883 femmes, soit un taux de 50,95 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,02 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[129]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,4
90 ou +
1,0
4,9
75-89 ans
5,9
11,6
60-74 ans
11,8
18,4
45-59 ans
17,2
22,6
30-44 ans
23,4
18,3
15-29 ans
18,7
23,8
0-14 ans
21,9
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2021 en pourcentage[130]
En matière d'enseignement privé catholique, s’ajoute le groupe scolaire Saint-Charles sous contrat avec l’État et sous tutelle diocésaine[133] qui dispense les cours du primaire et secondaire. Un second établissement privé supérieur en rapport direct avec les activités aéroportuaires voisines est constitué par le centre Interlines des Guyards chargé de former les futurspersonnels navigants commerciaux[134].
En 2010, les nourrissons sont accueillis dans lescrèches collectives La Farandole et La Prairie[135], dans les crèches familiales La Sarabande etRobert-Doisneau[136], dans la crèche parentale Tricotin-et-Barbotine[137] et dans la crèche interentreprises des P’tits-Loup’ings[138] réservées aux parents travaillant en horaires décalés, troishaltes garderies complètent l’offre,Henri-Matisse, les Lutins et L’Aquarelle[139].
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En 2010, outre les services municipaux, trois bureaux de poste sont installés dans la commune, un à Ozonville[153], et deux dans les quartiers du Val[154] et du Noyer Renard[155].
La commune dispose d’un centre d’information jeunesse[156], d’une maison de justice et du droit[157] et d’une permanence du délégué dumédiateur de la République[158],
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Deux lieux de cultemusulman sont implantés, une salle de prière dans le foyerSonacotra et unemosquée gérée par l’association socio-culturelle maghrébine[168].
Une église dite « apostolique »[169] et l’église des compagnons de Jésus[170] représentent le culteprotestant ; lasynagogue Beth-Gabriel[171] rassemble la communautéjuive.
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Le centre commercial Carrefour.
Hormis la partie occupée par les installations aéroportuaires, le territoire d’Athis-Mons est majoritairement résidentiel. La commune est intégrée par l’Insee à lazone d’emploi d’Orly qui comptait en2006 trente communes et 469 279 habitants, les Athégiens représentant 6,52 % du total. Dans ce bassin d’emploi, 211 488 personnes occupaient un emploi et 7,2 % de la population était auchômage[172]. Dans la commune seule, ce taux était fixé à 9,9 %, lapopulation active était évaluée à 15 543 personnes mais la commune ne disposait sur son territoire que de 9 072 emplois et 963 entreprises, conduisant 79,3 % des actifs à travailler en dehors de la commune. Elle a développé au nord lazone d'activité des Guyards et en bordure de Seine la zoneÉdouard-Vaillant et lazone industrielle des Bords de Seine. En outre, les abords de l’ancienne route nationale 7 sont traditionnellement occupés par de grandes enseignes commerciales, dont un grand centre commercialCarrefour aux abords de l’aéroport[173]. Implanté sur le territoire de l’aéroport se trouve le dépôt de carburant à usage des avions, classé au titre de ladirective Seveso[174]. S’ajoute l’entreprise de conditionnement Suprex inscrite au registre français des émissions polluantes pour ses prélèvements eneau potable du réseau[175] et le centre de traitement des déchets Revival[176]. Placée à proximité immédiate de l’aéroport, troishôtels sont implantés dans la commune et totalisent cent-soixante-treize chambres. Unmarché se tient chaque jeudi et dimanche matin dans le quartier de Gravilliers.
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Commune francilienne, urbanisée et à majorité résidentielle, elle se distingue par sa sociologie avec une quasi-absence d’agriculteurs, un relatif déficit d’artisans, commerçants ou chefs d’entreprise et une plus forte proportion decadres et employés que dans le reste de la zone d’emploi, contrastant avec une moindre présence d’ouvriers et de professions intermédiaires. Logiquement, l’agriculture, l’industrie et laconstruction sont quasiment absente du paysage économique local, dominé par lecommerce. Seulement 68,3 % de la population était active et occupait un emploi avec un statut desalarié dans 91,4 % des cas, 82,1 % des employés de plus de quinze ans disposait d’un contrat à durée indéterminée ou était titulaires de la fonction publique. Ainsi, peu de différences existent entre les habitants, seulement 71,3 % des foyers étaient imposés, le revenu net imposable moyen était fixé à 23 232 euros et seulement 46,5 % de la population était propriétaire de son logement, un appartement dans 59,9 % des cas. Lerevenu fiscal médian par ménage était en 2006 de 18 296 euros, ce qui plaçait Athis-Mons au 6 680e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages en métropole et au cent-soixante-seizième départemental[177]. En 2010, lerevenu fiscal médian par ménage était de 32 045 €, ce qui plaçait Athis-Mons au 10 631e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[178].
Sur le territoire communal, un total de soixante-quatrehectares étaient occupés par desparcs etjardins, dont le plus important est constitué par le parc d’Avaucourt, ancien parc du château seigneurial encentre-ville, prolongé au nord par la résidence du Parc et à l’ouest par le parc d’Ozonville. Ils constituent avec le coteau des Vignes plus au sud unespace naturel sensible protégé par le conseil général[180].
L’actuel hôtel de ville, perché au sommet du coteau de la vallée de la Seine, occupe l’ancien château d’Avaucourt construit à la fin duXIXe siècle[56].
L’ancien château d’Ozonville est actuellement occupé par une maison de retraite[185].
À Mons, subsiste la grange de l’ancienne ferme seigneuriale de Mons, dont la charpente a été datée duXVe siècle[186].
Le 6 février 2019, le conseil municipal d'Athis-Mons nommeNicolas Roland Payen, ingénieur aéronautique et inventeur de l’aile delta, en qualité decitoyen d'honneur de la Ville d'Athis-Mons (17 voix pour et 7 abstentions)[187]. Cette nomination avait été annoncée par Christine Rodier, maire d'Athis-Mons, lors de son discours des vœux à la population du 10 janvier 2019[188].
Nicolas Roland Payen (1914-2004), constructeur aéronautique, y est né et y a vécu jusqu'à sa mort.
Maurice His (1920-1993), personnalité deMontmartre, Président de la République de Montmartre, Grand Maître Fondateur de la Commanderie du Clos Montmartre, ses cendres reposent dans les vignes du Clos Montmartre au pied de la statue Saint Vincent.
Guy Herbulot (1925-2021), évêque émérite d'Évry-Corbeil-Essonnes a vécu les dernières années de sa vie et est mort à la maison de retraite des Frères des écoles chrétiennes.
Régis Ovion, champion cycliste, y a vécu dans les années 1960-1970 allée du Président Denis.
Jacques Marinelli dit « La Perruche », coureur cycliste ayant porté le maillot jaune 6 jours durant sur le Tour de France 1949 et futur maire deMelun (77) y tint commerce d'électroménager dans le années 1970-80.
Rachida Brakni (1977- ), comédienne, y a vécu durant sa jeunesse.
Kimberly Kitson Mills, chanteuse soul du groupeKimberose, y est née[189]
Sylvain Hordelalay (1914-2010), coureur cycliste, y a tenu commerce avenue Jules Vallès durant de nombreuses années[réf. nécessaire].
Nicolas Iacobelli (1974- ), urbaniste, a notamment mis en œuvre le projet de développement de la ferme de Contin à Paray-Vieille-Post[190]
Les habitants d'Athis-Mons ont permis le développement culturel de la ville en développant des associations musicales bien implantées localement. On notera :
le Cercle Celtique Dalc'h Mat, possédant unbagad, fondé en 1957 àSavigny-sur-Orge puis accueilli en 1965 dans la commune.
Divers festivals ont lieu régulièrement dans la commune (musique celtique, festival Guitar'Essonne).
L'église Saint-Denis, de style roman, possède une acoustique exceptionnelle qui constitue un des lieux privilégiés du territoire pour les concerts de musique classique professionnels et amateurs.
Entre 1935 et 1938, le peintreCamille Lambert réalise pour l’église Notre-Dame de Lourdes du Val d'Athis-Mons des peintures à l’huile sur toile représentant les quinze mystères durosaire[194]. Ces vingt-deux tableaux sont ensuite encollés etmarouflés sur les murs intérieurs de l'édifice. L’ensemble est détruit le par les bombardements alliés visant lagare de triage deJuvisy-sur-Orge, dont les voies sont principalement situées sur le territoire de la commune d'Athis-Mons.
Maurice Rocher réalise les vitraux de l'église Notre-Dame-de-la-Voie en1954.
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Athis-Mons dispose de diverses associations sportives dont l'Union Sportive Olympique d'Athis-Mons (USOAM) créée en 1919 dont les résultats sportifs au cours de son histoire animent la ville. Athis-Mons depuis 2018 à investi dans des équipement sportif tel que le Terrain du Noyer-Renard, le city stade d'Ozonville et le city stade Pierre Coubertin
Marie-ClaireRoux,En arrière toutes ! : Des villes de banlieue dans la Grande Guerre, Maison de Banlieue et de l’Architecture,(ISBN978-2-9538890-8-6)
DanièleTreuil et Jean-MarcMoriceau,Athis-Mons, 1890-1939 : Naissance d'une ville de banlieue, Athis-Mons, AREM (Agence régionale d'édition pour les municipalités),(ISBN2-86296-10-1 (édité erroné),BNF35821997)
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et406 communes de banlieue.
↑Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑a etbRomain Chiron, « Athis-Mons : la majorité municipale au bord de l’implosion »,Le Parisien, édition de l'Essonne,(lire en ligne, consulté le).
↑Laurent Degradi, « Municipales 2020 à Athis-Mons : près de 2000 nouveaux logements attendus : Avant les municipales 2020, Le Parisien analyse les enjeux de campagne. Cette semaine, le logement, où Athis-Mons va devoir accueillir plusieurs milliers de nouveaux habitants ces prochaines années »,Le Parisien, édition de l'Essonne,(lire en ligne, consulté le).
↑Laurent Degradi, « Essonne : faut-il un nouveau pont sur la Seine ouvert aux voitures ? : Le département porte le projet d’un nouveau franchissement du fleuve entre Vigneux-sur-Seine et Athis-Mons ouvert au trafic automobile. Entre les pro et anti-voitures, le débat est passionné »,Le Parisien, édition de l'Essonne,(lire en ligne, consulté le).
↑Pauline Darvey et Cécile Chevallier, « L’Essonne maintient son projet de pont routier sur la Seine : Le département a approuvé ce lundi la concertation préalable sur la création d’un nouveau franchissement du fleuve entre Vigneux-sur-Seine et Athis-Mons. Des études complémentaires vont être ouvertes »,Le Parisien, édition de l'Essonne,(lire en ligne, consulté le)« Un bilan face auquel certains élus restent mitigés. « Je suis partagée, lâche Christine Rodier, maire (LR) d'Athis-Mons et conseillère départementale, qui s'est abstenue lors du vote. Nous ne sommes pas contre un franchissement, nous nous opposons à un pont ouvert aux voitures de particuliers ».
↑Hippolyte Cocheris, Conservateur de la Bibliothèque Mazarine, Conseiller général du département de Seine-et-Oise, DICTIONNAIRE DES ANCIENS NOMS DES COMMUNES DU DÉPARTEMENT DE SEINE-ET-OISE, 1874
↑Brigitte Blanc, « Cimetière privé de la famille Chodron de Courcel »,inventaire topographique, surinventaire.iledefrance.fr, Athis-Mons,(consulté le) :« Le 24 octobre 1851, le maire d'Athis-Mons autorise M. Chodron de Courcel à créer au lieu-dit le Guyard un cimetière destiné à la sépulture de sa famille, à condition que celui-ci soit enclos d'un mur de 2 mètres de hauteur au moins ; la famille de Courcel, installée à Athis-Mons à partir de 1823, y acquit les anciens biens seigneuriaux : les fermes d'Athis en 1823 et de Mons en 1840, puis le château d'Athis en 1881. Le cimetière comporte 20 tombes et un monument à la mémoire des ancêtres de la famille originaires de Metz, Toul et Orly ; la tombe la plus ancienne est celle de Claude François Chodron, président de la chambre des notaires de Paris, né à Toul en 1755, décédé à Paris en 1836 et d'abord inhumé sur les terres de son domaine d'Orly ; y figure aussi celle de Valentin de Courcel, maire d'Athis-Mons de 1871 à 1907. »
↑Danièle Treuil, Jean-Marc Moriceau,Athis-Mons, 1890-1939 : Naissance d'une ville de banlieue, Athis-Mons, Agence régionale d'édition pour les municipalités,, 240 p.(ISBN2-86296-10-1 (édité erroné),BNF35821997,lire en ligne),p. 117.
↑abcd eteMarie-Claire Roux,En arrière toutes ! Des villes de banlieue dans la Grande Guerre, Athis-Mons, Maison de Banlieue et de l’Architecture,, 96 p.(ISBN978-2-9538890-8-6).
↑Marie-Claire Roux,En arrière toutes ! Des villes de banlieue dans la Grande Guerre, Athis-Mons, Maison de Banlieue et de l’Architecture,, 96 p.(ISBN978-2-9538890-8-6), p. 35.
↑ab etc« Municipales 2020. Jean-Jacques Grousseau élu nouveau maire d’Athis-Mons : Jean-Jacques Grousseau a été élu nouveau maire d'Athis-Mons (Essonne) ce dimanche 28 juin 2020, lors du second tour des élections municipales. Il devance Christine Rodier »,Actu Essonne,(lire en ligne, consulté le).
↑Laurent Degradi, « Athis-Mons : la maire remanie son équipe d’ajoints : Les cartes ont été redistribuées au sein de la majorité où quatre nouveaux adjoints au maire ont été nommés »,Le Parisien, édition de l'Essonne,(lire en ligne, consulté le).
↑Jérôme Lemonnier, « Essonne. Julien Dumaine en quête de la mairie d’Athis-Mons : Membre de l'opposition municipale depuis deux ans, Julien Dumaine vient d'officialiser sa candidature pour les élections municipales à Athis-Mons »,Actu Essonne,(lire en ligne, consulté le).
↑Agence France-Presse, « La mairie d'Athis-Mons refuse de scolariser des réfugiés dans les écoles de sa ville : Il y a une semaine, le tribunal administratif de Versailles a ordonné à la mairie d'Athis-Mons (Essonne) de scolariser 28 enfants réfugiés. Un jugement auquel la mairie compte se soustraire comme elle l'a expliqué dans une lettre à ses administrés »,France 3 Paris Île-de-France,(lire en ligne, consulté le).
↑Nolwenn Cosson, « Municipales à Athis-Mons : la gauche bien placée pour détrôner la maire sortante LR Christine Rodier : À l’issue du premier tour des élections municipales, les quatre candidats peuvent se maintenir pour le second tour. Des discussions vont être entamées pour les listes de gauche »,Le Parisien, édition de l'Essonne,(lire en ligne, consulté le).
↑a etb« Les municipalités communistes suspendues dès hier dans la Seine, la Seine-et-Oise et le Pas de Calais »,Le Populaire,no 6076,,p. 4(lire en ligne, consulté le).
↑Laurent Degradi (avec N.C.), « Municipales à Athis-Mons : les promesses de 2014 ont-elles été tenues ? : À quelques mois des municipales 2020, le Parisien se penche sur cinq villes clés de l’Essonne. Cette semaine, les promesses de 2014 avec ce qui a été fait, ou pas, et l’avis des élus et des habitants »,Le Parisien, édition de l'Essonne,(lire en ligne, consulté le).
↑Nolwenn Cosson, Laurent Degradi, Gérald Moruzzi et Cécile Chevallier, « Essonne : dans cinq grandes villes, ces maires sortants désormais opposants : Des conseils municipaux d’installation se sont tenus ce week-end à Corbeil-Essonnes, Athis-Mons, Les Ulis, Savigny-sur-Orge et Epinay-sous-Sénart, où les maires sortants ont été sortis et se battront désormais, pour la majorité d’entre eux, dans l'opposition »,Le Parisien, édition de l'Essonne,(lire en ligne, consulté le)« Jean-Jacques Grousseau (PS), élu avec 31 voix sur 39 à la tête de la ville, qui a pris le temps de saluer son travail : « Nous avons des divergences, nous avons bataillé sur une vision de la ville qui n'était pas partagée. Mais Christine Rodier aime sa ville, et a agi avec la volonté d'être juste ».