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Aspres-sur-Buëch

44° 31′ 28″ nord, 5° 45′ 01″ est
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Ne doit pas être confondu avecAspres-lès-Corps,Les Aspres ouAspres (région naturelle).

Aspres-sur-Buëch
Aspres-sur-Buëch
Tour dominant le village.
Blason de Aspres-sur-Buëch
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionProvence-Alpes-Côte d’Azur
DépartementHautes-Alpes
ArrondissementGap
IntercommunalitéCommunauté de communes Buëch Dévoluy
Maire
Mandat
Françoise Pinet
2020-2026
Code postal05140
Code commune05010
Démographie
GentiléAspriens
Population
municipale
802 hab.(2022en évolution de −3,37 % par rapport à 2016)
Densité19 hab./km2
Géographie
Coordonnées44° 31′ 28″ nord, 5° 45′ 01″ est
AltitudeMin. 727 m
Max. 2 063 
m
Superficie42,65 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionGap
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Serres
LégislativesPremière circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Aspres-sur-Buëch
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Aspres-sur-Buëch
Géolocalisation sur la carte :Hautes-Alpes
Voir sur la carte topographique des Hautes-Alpes
Aspres-sur-Buëch
Géolocalisation sur la carte :Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
Aspres-sur-Buëch
Liens
Site webmairie-aspres-sur-buech.frVoir et modifier les données sur Wikidata
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Aspres-sur-Buëch[aspʁ syʁ bɥɛʃ] est unecommune française située dans ledépartement desHautes-Alpes, dans larégionProvence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie

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Entourée par les communes d'Aspremont,La Faurie, etVeynes, Aspres-sur-Buëch est située à 26 km au sud-ouest deGap. Elle est située à 750 mètres d'altitude. La commune culmine à 1 492 mètres, sur les crêtes dominant le bois de Saint-Apôtre. LeBuëch, dans sa branche du Grand Buëch, affluent de laDurance et sous-affluent duRhône, traverse le village.

Communications et transports

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La commune est située à l'intersection de la départementale 1075 (ancienneroute nationale 75) reliant Grenoble à Sisteron par lecol de la Croix-Haute et de l'axe constitué par lesD 993 et994A puis994 reliant Valence à Gap et Briançon.

La commune est dotée d'unegare ferroviaire desservie par lestrains express régionaux reliantGrenoble àGap (TER Rhône-Alpes)[Note 1] et sur la ligne Paris - Briançon (par Valence).

Hydrographie

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La commune est arrosée par leBuëch, ainsi que par le canal des Patègues. Elle fait intégralement partie du bassin versant du Rhône.

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de Provence-Alpes-Côte d'Azur etClimat des Hautes-Alpes.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat méditerranéen altéré, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[1]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[2]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat de montagne ou de marges de montagne[3] et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[4]. Elle est en outre dans lazone H1c au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[5],[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de9,8 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de10,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 951 mm, avec 7,9 jours de précipitations en janvier et 5,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deLa Faurie à 5 km àvol d'oiseau[7], est de9,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 950,8 mm[8],[9]. La température maximale relevée sur cette station est de37,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de−21,4 °C, atteinte le[Note 2].

Pour afficher une liste d’indicateurs climatiques caractérisant la commune aux horizons 2030, 2050 et 2100 et pouvoir ainsi s'adapter aux changements climatiques, entrer son nom dans Climadiag-commune[10], un site de Météo-France élaboré à partir des nouvellesprojections climatiques de référence DRIAS-2020.

Urbanisme

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Typologie

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Au, Aspres-sur-Buëch est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11].Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gap, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,5 %), zones agricoles hétérogènes (9,5 %),terres arables (5,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,6 %), zones urbanisées (1,4 %)[15].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous la formede Asperis en 1171[16].

Cette commune s'appelait autrefoisAspres-lès-Veynes.

Aspres-sus-Buëch enoccitan.

L'adjectif occitanaspre, directement dérivé du latinasper, désigne, comme le françaisâpre, ce qui est dur, rude, rêche, raboteux, au sens propre ou figuré. Un « aspre mont » est une montagne d'aspect rude. Il est également admis que le termeaspres signifie « terrasses ». Les toponymes qui en dérivent sont généralement des « hauteurs escarpées »[16].

L’appellationsur-Buëch fait référence à la rivière qui traverse la commune.

Histoire

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Le site est occupé depuis lenéolithique (grottes des gorges d’Agnielles).Oppidum gaulois (Serres-la-Croix), puis camp romain (montagne des Eygaux). Le bourg, propriété des comtes de Die, fut rétrocédé auXIIe siècle aux Aix-Artaud de Montauban.

AuXIe siècle, lemonastère de Saint-Géraud d’Aurillac y créa unprieuré sous le patronage desaint Géraud. Le retable provient de l’anciennechartreuse de Durbon (biens dispersés à laRévolution).

En 1939-1940, des Républicains fuyant laguerre d'Espagne ont été regroupés sous surveillance à « Pont la Dame »[Note 4], qui est depuis un centre de formation de jeunes à la conduite de véhicules de travaux. Pendant laSeconde Guerre mondiale, lerégime de Vichy y installa uncentre de rassemblement.

Pour préparer ledébarquement de Provence, deux équipesJedburgh sont parachutées les8 et 9 août afin d’agir sur les arrières allemandes, et notamment sur les voies de communication. Disposant de 3 000 FFI, elles prennent le contrôle de laRN 96 qui permet de remonter la vallée de la Durance deManosque àVeynes[17]. Au cours des opérations suivant le débarquement, les forces alliées franchissent très tôt les premières défenses allemandes, et se lancent dans de rapides offensives de débordement, afin de couper les voies de retraite à laWehrmacht. Une colonne, partie le17 août deVidauban[18], libèreSisteron le 19 août[19] et continue en direction de Gap d’un côté[20], et versCrest de l’autre, en passant vers Aspres-sur-Buëch. Un groupe allemand y mène un combat de retardement, mais ne résiste qu’une journée : le bilan est de6 tués et11 blessés du côté allié et au moins21 tués du côté allemand[21].

Aspres-sur-Buëch est donc libérée le20 août. Pendant quelques mois, un centre logistique américain y est installé[20].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs[22]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989mars 2001Alain Didier  
mars 2001mars 2008Michel Reynaud  
mars 20082010[23]Jean-Pierre Boivin  
2010en coursFrançoise Pinet[24],[25] Ancienne cadre

Intercommunalité

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Après avoir été le siège de lacommunauté de communes du Haut Buëch, Aspres-sur-Buëch fait partie depuis le de lacommunauté de communes Buëch Dévoluy[26].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2022, la commune comptait 802 habitants[Note 5], en évolution de −3,37 % par rapport à 2016 (Hautes-Alpes : +0,4 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
768707766702744750800801830
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
7967457316728087321 201838750
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
659677691607560569603719673
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200420062009
703750696773743762725722804
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
201420192022------
830803802------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puisInsee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Santé

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Porche de l'église duXIIe siècle.
Tour-horloge.

Cultes

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Économie

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Agriculture

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Tourisme

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Commerces et artisanat

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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  • Pierre Lachau, ancien député des Hautes-Alpes, membre duConseil des Cinq-Cents, né à Aspres en 1746.
  • Antoine Aubanel (1720-1804), grand-père du poèteThéodore Aubanel.
  • Dr Pierre Poujol, ancien médecin de la ville.
  • Françoise Poujol, ancienne pharmacienne et ancienne élue.

Héraldique

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Blason de Aspres-sur-BuëchBlason
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Martine L. Jacquot,Il était une fois Agnielles,Les Presses du Midi,.
  • Jean-Pierre Mouton,Aspres-sur-Buëch. Un témoignage en images, Édition communale,.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Les TER reliant Valence à Gap et Briançon transitent sans arrêt en gare d'Aspres.
  2. Les records sont établis sur la période du au.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Un complément informatif, des réfugiés espagnols furent internés (ils ne pouvaient sortir) jusqu'en juin 1942.
  5. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

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  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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  1. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  2. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012,lire en ligne, consulté le)
  3. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le)
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le)
  5. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le)
  6. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  7. « Orthodromie entre Aspres-sur-Buëch et La Faurie », surfr.distance.to(consulté le).
  8. « Station Météo-France « La Faurie », sur la commune de La Faurie - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le)
  9. « Station Météo-France « La Faurie », sur la commune de La Faurie - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le)
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surMétéo-France,(consulté le)
  11. « La grille communale de densité », surle site de l’Insee,(consulté le).
  12. a etbInsee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gap », surinsee.fr(consulté le).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surinsee.fr,(consulté le).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  16. a etbStéphane Gendron,Les noms de lieux en France : essai de toponymie,,p. 198.
  17. Henri Julien (dir.),Guide du débarquement de Provence, 15 août 1944, Digne-les-Bains, Éditions de Haute-Provence,(ISBN 2-909800-68-7),p. 250.
  18. Henri Julien,op. cit.,p. 80.
  19. Henri Julien,op. cit.,p. 251.
  20. a etbHenri Julien,op. cit.,p. 252.
  21. Guy Reymond,Ça sentait la liberté et l’espérance, Les Petites affiches,,p. 138.
  22. Site de la préfecture des Hautes-Alpes, consulté le 9 mai 2008 (fichier au formatExcel)
  23. « Démission du maire Jean-Pierre Boivin », sur le site du quotidienLe Dauphiné libéré, 19 décembre 2009.
  24. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », surle site du Télégramme de Brest(consulté le).
  25. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », surle portail des données publiques de l'État(consulté le).
  26. Direction des libertés publiques et des collectivités locales,« Création de communauté de communes du Buëch - Dévoluy par fusion des communautés de communes du Buëch-Dévoluy et du Haut-Buëch »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)[PDF],Recueil des actes administratifsno 05-2016-008, Préfecture des Hautes-Alpes,(consulté le).
  27. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  31. Jean-Charles d'Amat,Armorial des communes des Hautes-Alpes, Société d'étude des Hautes-Alpes,, 46 p.
v ·m
CA Gap-Tallard-Durance
CC du Briançonnais
CC de Serre-Ponçon
CC Champsaur-Valgaudemar
CC Buëch Dévoluy
CC Serre-Ponçon Val d'Avance
CC du Pays des Écrins
CC du Guillestrois et du Queyras
CC Sisteronais Buëch
v ·m
Découpage de 2014
Chorges
Embrun
Gap-1Gap(fraction)
Gap-2Gap(fraction)
Gap-3Gap(fraction)
Gap-4Gap(fraction)
Laragne-Montéglin
Saint-Bonnet-en-Champsaur
Serres
Tallard
Veynes
v ·m
Liste des intercommunalités des Hautes-Alpes
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