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Aslonnes

46° 26′ 39″ nord, 0° 20′ 07″ est
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Aslonnes
Aslonnes
L'ancien prieuré de Laverré.
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionNouvelle-Aquitaine
DépartementVienne
ArrondissementPoitiers
IntercommunalitéCommunauté de communes des Vallées du Clain
Maire
Mandat
Roland Bouchet
2020-2026
Code postal86340
Code commune86010
Démographie
GentiléAslonnois
Population
municipale
1 130 hab.(2022en évolution de +2,36 % par rapport à 2016)
Densité49 hab./km2
Géographie
Coordonnées46° 26′ 39″ nord, 0° 20′ 07″ est
Altitude130 m
Min. 81 
m
Max. 139 
m
Superficie23,00 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionPoitiers
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Vivonne
LégislativesDeuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Aslonnes
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Aslonnes
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Aslonnes
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Aslonnes
Liens
Site webwww.aslonnes.frVoir et modifier les données sur Wikidata
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Aslonnes[alɔn] est unecommune du Centre-Ouest de laFrance, située dans ledépartement de laVienne enrégionNouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Aslonnes est une commune rurale.

La commune est proche duparc naturel régional de la Brenne.

Les habitants de Aslonnes sont appelés lesAslonnois et lesAslonnoises.

La commune est composée de plusieurs anciens bourgs : Vaintray, Laverré, Fontjoise, Jouarenne et des hameaux Puygrenioux, Pigerolles, Benest.

Communes limitrophes

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Communes limitrophesd'Aslonnes
IteuilRoches-Prémarie-Andillé
Vivonned'AslonnesLa Villedieu-du-Clain

Gizay

Château-LarcherMarnay

Géologie et relief

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La région d'Aslonnes présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose de groies profondes pour 76 % dans les plaines, d'argile à silex et de bornais pour respectivement 10 % et 1 % situés sur les plateaux duseuil du Poitou et de 13 % de calcaire qui se trouve dans les vallées alluviales[1]. Les groies sont des terres du Sud-Ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière mais elles s’assèchent vite.

Hydrographie

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La commune est traversée par 4 km de cours d'eau, avec comme rivière principale leClain sur une longueur de 3 km et laClouère.

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Nouvelle-Aquitaine etClimat de la Vienne.

Historiquement, la commune est exposée à unclimat océanique du nord-ouest[2]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré et est dans la région climatiquePoitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,6 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 751 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune deLa Ferrière-Airoux à 14 km àvol d'oiseau[5], est de12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 762,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Voies de communication et transports

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Les gares les plus proches se trouvent àIteuil (4,8 km), àVivonne (5,58 km), àLigugé (8,63 km), àAnché (12,23 km) et àMignaloux-Beauvoir (11 km).

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Poitiers-Biard qui se trouve à 16,2 km.

Urbanisme

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Typologie

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Au, Aslonnes est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (65,7 %), prairies (18,3 %), forêts (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), zones urbanisées (3,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Aslonnes est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),inondations,feux de forêts, mouvements de terrains etséisme (sismicité modérée). Il est également exposé à unrisque technologique, letransport de matières dangereuses[14]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment leClain et laClouère. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995, 1999 et 2010[16],[14].

Aslonnes est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental deprotection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[17]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du[Note 2],[18], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du[19],[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aslonnes.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[21]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuellescavités souterraines sur la commune[22]. Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie[23]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le, en application de laloi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[24].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].

Toponymie

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Histoire

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Préhistoire et Antiquité

La lèvre de la falaise surplombant la vallée duClain puis de laClouère fut longtemps un point stratégique : dolmen d'Arlait (sur la commune deChâteau-Larcher) et menhir attestant une présence au néolithique près de Vaintray, camp romain à Vaintray, camp d'Alaric.

Temps modernes

Aslonnes accueille favorablement les avancées de laRévolution française. Elle plante ainsi sonarbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le point de ralliement de toutes les fêtes et évènements de l’époque, comme le brûlement des titresféodaux en mars 1793[25].

Époque contemporaine

Durant laSeconde Guerre mondiale, un terrain d’atterrissage clandestin avait été aménagé par laRésistance à proximité du village de Médelle (commune deMarnay), au lieu-dit Brenuchet. Il fut utilisé plusieurs fois pour desopérations pick up, jusqu’à la nuit du 17 au 18 mars 1943. DeuxLysander se posent sur un terrain détrempé, déposent quatre passagers et redécollent avec quatre autres, malgré l’incendie d’un moteur. Mais les traces laissées dans le terrain détrempé poussent l’occupant allemand à faire creuser des tranchées, qui empêchent toute nouvelle utilisation[26]. Les hommes des villages alentour (Médelle, Fontjoise...) doivent alors s'équiper de leurs pelles et pioches pour creuser ces tranchées.

En1945, pour fêter laLibération et le retour de la République, unarbre de la liberté est planté. Cenoyer existait toujours en 1988[27].

Politique et administration

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Intercommunalité

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La commune d'Aslonnes fait partie de la communauté de communes de la Région de La Villedieu-du-Clain. C'est une structure intercommunale qui regroupe les 9 autres communes suivantes :

Liste des Maires

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
avant 1988?Jacques RacaultDVG 
mars 20012014[28]Jean-Michel Métayer  
2014En coursRoland Bouchet  

Instances judiciaires

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La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Jumelage

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Aslonnes est jumelée avec Wachtberg-Berkum (Allemagne) etBernareggio (Italie).

Population et société

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Démographie

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Les habitants sont nommés lesAslonnois[29].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2022, la commune comptait 1 130 habitants[Note 4], en évolution de +2,36 % par rapport à 2016 (Vienne : +0,6 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
722577796771777806834882834
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
864852884836812802825812864
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
813736677637610595584608565
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200420062009
4674484876297008909239361 026
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
201420192022------
1 0821 1191 130------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puisInsee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’INSEE, ladensité de population de la commune était de 42 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour larégion Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Les dernières statistiques démographiques pour la commune ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 1 049 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (23 personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 1 026 habitants.

En 2004, selon l'INSEE:

  • Le nombre de célibataires était de 32,5 %.
  • Les couples mariés représentaient 57,5 % de la population.
  • Les divorcés représentaient 5,3 % de la population.
  • Le nombre de veuves et veufs était de 4,7 %.

La répartition par sexe est la suivante:

  • en 1999: 50,7 % d'hommes et 49,3 % de femmes.
  • en 2004: 49,9 % d'hommes et 50,1 % de femmes.
  • en 2010: 50,7 % d'hommes et 49,3 % de femmes.

Enseignement

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La commune dépend de l'académie de Poitiers et sonécole primaire publique Paul-Baudrin dépend de l'inspection académique de la Vienne.

Économie

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Agriculture

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Selon ladirection régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes, il n'y a plus que 21 exploitations agricoles en 2010 contre 30 en 2000[34].

Les surfaces agricoles utilisées ont augmenté et sont passées de1 920 hectares en 2000 à2 037 hectares en 2010[34].Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne20 hectares[35].

50 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre pour la moitié,orges etmaïs), 18 % pour lesoléagineux (surtoutcolza et un peu detournesol), 14 % pour le fourrage et 10 % reste en herbes. En 2010 comme en 2000, un hectare est consacré à la vigne[34].

8 exploitations en 2010 (contre 12 en 2000) abritent un élevage de bovins (801 têtes en 2010 contre 890 têtes en 2000). 6 exploitations en 2010 (contre 7 en 2000) abritent un élevage d'ovins (148 têtes en 2010 contre 149 têtes en 2000). L'élevage de volailles stagne comme l'élevage des ovins : 506 têtes en 2000 répartis sur 13 fermes contre 541 têtes en 2010 répartis sur 10 fermes.

L'élevage de chèvres se maintient : en 2010, il y a 694 têtes répartis sur 6 fermes, en 2000 : 615 têtes 5 exploitations[34]. La vocation laitière du troupeau est très forte. Moins de 2 % des élevages caprins sont non laitiers en 2000. La quasi-totalité de la production laitière, en constante augmentation (de 2000 à 2011 : + 44%[36]) est livrée à l’industrie agro-alimentaire soit 96 % des485 000 hectolitres récoltés dans l’ensemble du département de la Vienne en 2004. La production de fromage à la ferme reste très marginale et ne représente que 1 % de la production de lait et 6 % des fermes. 75 % des élevages sont basés sur un système de production de type hors sol, la surface agricole étant destinée essentiellement dans ce cas, à la production de fourrage. 75 % de ces exploitations n’élèvent que des chèvres. Le dynamisme de cet élevage, l’accent porté sur la qualité des produits a permis d’obtenir lesAOCchabichou du Poitou etSainte-Maure de Touraine pour les fromages produits[37].

Commerces

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Selon l'INSEE, en 2009, il restait un seul commerce dans le bourg: une épicerie.

Emploi et activité

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Letaux de chômage était de:

  • en 1999: 11,2 %.
  • en 2004: 5,2 %.
  • en 2010: 3,7 %.

Les retraités et les préretraités représentaient 13,8 % de la population en 2004 et 13 % en 1999.

Letaux d'activité était de 80,7 % en 2004 et de 75,8 % en 1999.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine religieux

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Patrimoine civil

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Le dolmen de Laverré.

Patrimoine naturel

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La commune possède trois petites zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[42] qui couvrent 1 % de la surface communale:

  • L'ile du Divan.
  • Le plateau de Thorus.
  • La sources tuffeuses de Port Laverre.

Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[43], il y a unarbre remarquable sur la commune qui est unnoyer commun.

Le plateau de Thorus
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C'est un site classé zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[42]. Le plateau représente 4 % de la surface de la commune.

Les sols du plateau sont des groies peu profondes, riches en cailloux calcaires, à faible réserve en eau. Ces terres sont très sélectives pour la végétation. En effet, notamment l'été lorsque la pluie est rare, la végétation présente un aspect maigre et rabougri. Compte tenu de ces conditions particulières, une végétation très originale a pu se développer, composée de buissons de genévrier, de spirées, de chênes pubescents. Cette zone présente un intérêt biologique et botanique remarquable, dont témoignent notamment neuf espèces végétales qui participent à la richesse du patrimoine végétal dudépartement de la Vienne:

  • Lebugle de Genève
  • lacampanule à petites fleurs
  • lacapillaire de Vénus
  • lacorydale à bulbe plein
  • legéranium sanguin est une plante à affinité méridionale qu'il est très surprenant de rencontrer sous un climat océanique tempéré
  • l'hélianthème à feuilles de saule
  • lasabline des chaumes : cette espèce endémique en France, qui bénéficie à ce titre d'une protection officielle au niveau national, est très rare dans le Poitou. On ne la retrouve, en effet, que dans deux autres localités du département de la Vienne.
  • lespirée d'Espagne : c'est un buisson originaire dessteppes asiatiques et on ne le trouve, dans le département de la Vienne, que sur le plateau de Thorus.
  • la véronique prostrée.

Équipement culturel

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La commune a unebibliothèque municipale.

Personnalités liées à la commune

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  • Sylvain Mabille de Poncheville habitant à Aslonnes est triple médaillé d'or au Concours "un des Meilleurs Apprentis de France" dans les catégories ; serrurerie-métallerie (2011), ferronnerie (2010), et monture en bronze (2010).

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », surinfoterre.brgm.fr(consulté le).

Références

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  1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. »[PDF], surhaute-vienne.chambre-agriculture.fr,(consulté le),p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  5. « Orthodromie entre Aslonnes et La Ferrière-Airoux », surfr.distance.to(consulté le).
  6. « Station Météo-France « La Ferrière Airoux_sapc » (commune de La Ferrière-Airoux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  7. « Station Météo-France « La Ferrière Airoux_sapc » (commune de La Ferrière-Airoux) - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.fr,(consulté le).
  9. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  10. a etbInsee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », surle site de l'Insee(consulté le).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  14. ab etc« Les risques près de chez moi - commune d'Aslonnes », surGéorisques(consulté le).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », surle site de l'observatoire national des risques naturels(consulté le).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », surle site de la préfecture de la Vienne(consulté le), chapitre Risque inondation.
  17. « Protection de la forêt contre les incendies », surle site de la préfecture de la Vienne,(consulté le).
  18. « Arrêté relatif aux obligations de débroussaillement - Vienne », surle site de la préfecture de la Vienne,(consulté le).
  19. « Règlement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », surle site de la préfecture de la Vienne,(consulté le).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », surle site de la préfecture de la Vienne(consulté le), chapitre Feux de forêts.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », surle site de la préfecture de la Vienne(consulté le), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Aslonnes », surle site de l'observatoire national des risques naturels(consulté le).
  23. « Retrait-gonflement des argiles », surle site de l'observatoire national des risques naturels(consulté le).
  24. « Sols argileux, sécheresse et construction », surecologie.gouv.fr(consulté le).
  25. Robert Petit,Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989,p. 194.
  26. Christian Richard,1939-1945 : la guerre aérienne dans la Vienne, Geste éditions,, 348 p.(ISBN 2-84561-203-6),p. 71-76.
  27. Robert Petit,op. cit.,p. 219.
  28. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  29. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 27/09/2008.
  30. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  34. abc etdFiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  35. Agreste – Enquête Structure 2007
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