Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Asie centrale

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La définition commune de l'Asie centrale.
Asie centrale - Carte politique
La définition de l'UNESCO de l'Asie centrale.

L'Asie centrale est unesous-région ducontinent asiatique qui s'étend de lamer Caspienne à l'ouest à laMongolie à l'est, et de laRussie au nord à l'Iran et l'Afghanistan au sud. Elle regroupe cinq anciennes républiques soviétiques : l'Ouzbékistan, leKazakhstan, leKirghizistan, leTadjikistan et leTurkménistan, ainsi que l'Afghanistanculturellement ethistoriquement, et certaines parties de l'ouest et du nord de laChine continentale.

Géographie

[modifier |modifier le code]
PaysCapitale
Drapeau de l'OuzbékistanOuzbékistanTachkent
Drapeau du KazakhstanKazakhstanAstana
Drapeau du KirghizistanKirghizistanBichkek
Drapeau du TadjikistanTadjikistanDouchanbé
Drapeau du TurkménistanTurkménistanAchgabat

Au sens large, l'UNESCO qui définit la région en fonction du climat élargit la zone à[1] :

PaysCapitale
Drapeau de l'AfghanistanAfghanistanKaboul
Drapeau de la République populaire de ChineChine (partiellement)Pékin
Drapeau de la MongolieMongolieOulan-Bator
Drapeau de l'IranIran (partiellement)Téhéran
Drapeau du PakistanPakistan (partiellement)Islamabad
Drapeau de l'IndeInde (partiellement)New Delhi
Drapeau de la RussieRussie (partiellement)Moscou

Éloignée de toutes les mers, l’Asie centrale a unclimat continental, très chaud en été et très froid en hiver (par endroits doux). Sur sa partie septentrionale, de laVolga jusqu’enMongolie, en passant par leKazakhstan, s’étend une vaste zone de steppes où lenomadisme pastoral fut le mode de vie le mieux adapté, actuellement en déclin. Cette zone est bordée au nord par la taïga et au sud par des territoires désertiques ou semi-désertiques, avec desoasis. LeTurkménistan est en majeure partie occupé par lesdéserts du Karakoum (les Sables Noirs) et deKizilkoum (les Sables rouges). La province chinoise duXinjiang est constituée de deux dépressions séparées par une chaîne de montagnes (Tian Shan), lebassin du Tarim au sud et le bassin deDzoungarie au nord. Ledésert du Taklamakan occupe presque tout lebassin du Tarim et laDzoungarie centrale est également désertique. Plus à l’est s’étend ledésert de Gobi, qui communique avec le Taklamakan.

Au sud-est de l’Asie centrale, se trouvent les plus hautes montagnes du monde, lePamir, l’Hindou Kouch et l’Himalaya. Toutes comprennent des sommets à plus de 7 000 mètres d’altitude, de même que leTian Shan, qui sépare le bassin du Tarim de la Dzoungarie. À moins de passer par la zone des steppes, la traversée de l’Asie centrale nécessite le franchissement de cols situés à plus de 4 000 mètres d’altitude. De ces montagnes descendent des rivières qui permettent la pratique d’une agriculture irriguée.

L'Asie centrale est aux deux tiers constituée de basses terres. Celles-ci s'organisent de manière récurrente en une succession de grandsbassins endoréiques. En dépit d'une relative monotonie du relief, ces dépressions – bassins sédimentaires et cuvettes lacustres – offrent néanmoins des paysages assez variés[2] :

Ressources en eau

[modifier |modifier le code]
Diagramme climatique de l'Asie centrale.

Une grande partie de l’Asie centrale souffre du manque deprécipitations. On peut pratiquer l’agriculture dans les steppes, à condition d’irriguer les champs. La surexploitation agricole (dans leKhwarezmetc.) et la construction de multiples centrales hydrauliques depuis les années 1960 ont massivement drainé les eaux des fleuvesSyr-Daria etAmou-Daria, ce qui a provoqué un fort assèchement de lamer d'Aral, une véritable catastrophe écologique.

Lamonoculture du coton, imposée du temps de la planification de l'Union soviétique, s'est poursuivie à la suite de son effondrement. Le coton est très gourmand en eau, et sa culture massive est à l'origine de catastrophes environnementale, avec notamment l'assèchement de lamer d'Aral[3].

Du temps de l'Union soviétique, la gestion de l'eau était planifiée. L'eau était libérée en été pour servir à l'agriculture et à la production d'électricité, par contre en hiver l'eau restait dans les barrages et des hydrocarbures étaient fournis pour les besoins énergétiques de l'amont. À la suite de ladislocation de l'URSS, l'eau est source de tensions entre les États d'Asie centrale. LeKirghizistan et leTadjikistan sont situés en amont, disposent deglaciers et d'importantes ressources en eau, mais pas d'hydrocarbures et sont les pays les plus pauvres. Ils souhaitent obtenir leur autonomie énergétique et exporter l'électricité produite en construisant de grands barrages. En aval, Kazakhstan, Ouzbékistan et Turkménistan dépendent de l'eau des deux pays en amont : au Kazakhstan, 42 % de l'eau provient de l'étranger, 77 % pour l'Ouzbékistan et 94 % pour le Turkménistan. L'Ouzbékistan faisait en 2012 régulièrement pression en suspendant ses livraisons de gaz aux pays en amont[4],[5].

Les barrages situés en Asie centrale sont notamment : lebarrage de Kambaratinsk, lebarrage de Nourek, lebarrage de Rogoun et lebarrage de Toktogul.

Liste desprélèvement d'eau douce par pays (année 2000) basée surThe World Factbook[6].

PaysPrélèvements
totaux
(km³/an)
Prélèvements
domestiques
(%)
Prélèvements
industriels
(%)
Prélèvements
agricoles
(%)
Prélèvements
par personne
(m³/an)
Drapeau du KazakhstanKazakhstan35217822 360
Drapeau du KirghizistanKirghizistan10,0833941 916
Drapeau de l'OuzbékistanOuzbékistan58,3452932 194
Drapeau du TadjikistanTadjikistan11,9645921 837
Drapeau du TurkménistanTurkménistan24,6521985 104

Changement climatique

[modifier |modifier le code]

L'Asie centrale est particulièrement vulnérable auréchauffement climatique. Plus de 60% de cette région du monde a un climat sec et la température moyenne y a augmenté de cinq degrés en quelques décennies ; la fréquence et la durée des périodes de sécheresse et la température y augmentant, diminuant donc les ressources en eau. La zone devient rapidement l'un des endroits les plus chauds et les plus secs de la planète, ce qui menace de nombreuses espèces, leurs biotopes, et des cultures sont régulièrement ravagées par lasécheresse.
En 2020, Au rythme actuel du changement climatique, les écosystèmes régionaux disparaitront en grande partie[7].
En 2022, une nouvelle évaluation du climat[8], rapporté par la revue Nature confirme que depuis les années 1980, la zone de climats désertiques s'est étendue au nord jusqu'à 100 kilomètres dans certaines parties de l'Asie centrale et que dans les 35 années précédentes, les températures se sont élevées dans toute l'Asie centrale, les régions montagneuses y devenant plus chaudes et plus humides, avec un recul de certains glaciers majeurs.

Le recul des glaciers a commencé au Tadjikistan, 30 % d'entre eux pourraient avoir disparu d'ici 2050, ce qui conduirait à une diminution de 40 % du débit de l'Amou Daria. La fonte des glaces provoque une hausse temporaire des débits des fleuves et des inondations[9].

Hu et le climatologue Zihang Han[10] distinguent 11 types de climat en Asie centrale (d'après la température de l'air et les précipitations mesurées de 1960 à 2020) ; depuis la fin desannées 1980, le désert avance vers l'est et le nord (jusqu'à 100 kilomètres dans le nord de l'Ouzbékistan et du Kirghizistan, dans le sud du Kazakhstan et autour du bassin de Junggar, avec des effets secondaires en cascades sur les zones climatiques adjacentes qui s'assèchent aussi. Les températures moyennes annuelles ont gagné au moins 5 °C de 1990 à 2020 (par rapport à 1960-1979) dans plusieurs régions avec des étés plus secs et des précipitations plus concentrées sur l'hiver[11].

Selon Jeffrey Dukes[12], "Cela va avoir des conséquences sur des choses comme les animaux de pâturage qui dépendent de la steppe ou des prairies. Dans certaines régions, de longues périodes de sécheresse réduiront la productivité de la terre jusqu'à ce qu'elle devienne un sol "mort"[11].

Seules les montagnes de chaîne du Tian Shan (nord-ouest de la Chine) deviennent plus humides (mais aussi plus chaudes, la pluie y remplaçant alors la neige en modifiant le cycle de l'eau : la fonte des glaciers accélère, ils ne reconstitueront plus leurs pertes de glace, au détriment des cultures en aval à long terme selon Troy Sternberg géographe à l'Université d'Oxford[11], qui estime qu'alors que l'exploitation minière et l'agriculture contribuent aussi à la désertification, et aggravent les tempêtes de poussière et les effets de vagues de chaleur ; les gouvernements d'Asie centrale devraient encourager une agriculture et une urbanisation plus "soutenable"[11].

Histoire

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Histoire de l'Asie centrale.
Cette sectionne cite pas suffisamment ses sources (septembre 2022)
Pour l'améliorer, ajoutezdes références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle{{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.
Carte deChristoph Weigel (Nuremberg) représentant l'Asie centrale datant de 1719.

Lenéolithique de l'Asie centrale remonte à une période reculée, puisqu'on trouve des communautés d'agriculteurs sédentaires dès leVIIe millénaire av. J.-C. dans la région duKopet-Dagh : c'est la culture de Djeitun. Laculture de Namazga, représentée sur les sites deNamazga-depe,Anau etAltyn-depe, lui succède entre lesVIe millénaire av. J.-C. etIIIe millénaire av. J.-C.

L’Asie centrale constitue un véritable carrefour des civilisations. Ses plus anciens habitants identifiés clairement sont des peuplesindo-européens venus de l’ouest. Il s’agit desTokhariens, qui ont vécu dans lebassin du Tarim au moins depuis l’an-2000, puis desIraniens, qui ont occupé durant leIer millénaire avant l'ère chrétienne toute l’Asie centrale, à l’exception du bassin du Tarim oriental et de laMongolie. On peut également citer lesIndo-Aryens, proches parents des Iraniens. Ils ont vécu enBactriane aux alentours de l’an-2000 avant de conquérir l’Inde du Nord, à partir de-1700. Il faut sans doute voir en eux les représentants de la culture ducomplexe archéologique bactro-margien (Bactro-margian archeological complex, BMAC). Plus au nord, laculture d'Andronovo s'épanouit à cette même époque.

Les régions connues des anciensGrecs étaient laBactriane, à cheval entre l’Ouzbékistan et l’Afghanistan, laSogdiane, autour deSamarcande, et la Chorasmie (ouKhwarezm) au sud de lamer d'Aral. Tous ces noms sont d’origine iranienne.

Dans ces trois régions, il a existé depuis une époque très reculée des civilisations sédentaires, dont les fondateurs ne sont pas identifiés. En s’installant dans ces régions, les Indo-Aryens, puis les Iraniens, ont sans doute adopté en partie le mode de vie des autochtones, qui étaient sédentaires et s’adonnaient à l’agriculture et au commerce. Un peuple iranien, lesSogdiens, a notamment fondé la cité deSamarcande, dont la beauté a été remarquée parAlexandre le Grand. Plus au nord, les Iraniens étaient nomades. Ils sont connus sous le nom deSaces et ils occupaient en particulier tout leKazakhstan et le nord de l’Ouzbékistan. Ils ont laissé des tombes qui datent duIer millénaire av. J.-C.

L’opposition entre les nomades et les sédentaires est une constante de l'histoire de l’Asie centrale. Les nomades, de caractère guerrier, effectuaient des razzias qui obligeaient les sédentaires à se retrancher derrière des fortifications. Ils se regroupaient parfois en empires qui étaient capables de faire des terribles ravages.

LesTokhariens, sans doute originellement nomades, se sont sédentarisés dans lebassin du Tarim au moins dès l'an-500 et ont adopté uneagriculture irriguée. D’autres Tokhariens, qui vivaient dans l’ouest duGansu, sont restés nomades et ont fondé le premier empire connu de l’Asie centrale. Ils étaient appelésYuezhi par les Chinois.

Route de la soie passant par laTransoxiane
Cette carte montre les anciennes limites de lamer d'Aral.

Laroute de la soie traversait l’Asie centrale. On dit souvent qu’elle a été ouverte auIer siècle av. J.-C., ce qui est inexact. La présence desoie chinoise est attestée en Bactriane dès l’an-1500. En1918, on a trouvé enDzoungarie des monnaies datant duIIIe siècle av. J.-C. et provenant dePanticapée, ville grecque située à l’est de laCrimée. La vérité est que l’Asie centrale est une terre d’échanges depuis des temps immémoriaux.

À partir des derniers sièclesav. J.-C., l’histoire de l’Asie centrale est marquée par l’avancée de nomades mongoloïdes, originaire de laSibérie et de laMongolie orientale, qui assimilent peu à peu les Indo-Européens ou les font reculer. C'est ainsi qu’entre-174 et-161, lesXiongnu obligent lesYuezhi à quitter leGansu. Une deuxième étape très importante est la fondation de l’empire desTujue, en552, qui soumet rapidement presque toute l’Asie centrale, jusqu’enSogdiane et enBactriane.

LesTujue sont suivis en744 par lesOuïgours, de langue également turque. Une offensive desKirghiz, un autre peuple turc, les oblige en840 à évacuer laMongolie. Ils se dirigent vers leGansu et lebassin du Tarim, où ils assimilent lesTokhariens. À l’ouest de l’Asie centrale, le huitième siècle est marqué par l’arrivée desArabes, qui y apportent l’islam. Ils font disparaître une religion iranienne fondée probablement enBactriane, lezoroastrisme, ainsi que lebouddhisme, arrivé en Asie centrale au début de l'ère chrétienne. Plus que lesSogdiens et les Bactriens, les Tokhariens étaient devenus des bouddhistes fervents. À leur arrivée dans lebassin du Tarim, les Ouïgours se convertirent au bouddhisme, mais peu après, ils devinrent musulmans comme presque tous lespeuples turcs.

Lemanichéisme et lechristianismenestorien ont également fleuri en Asie centrale auMoyen Âge. Lekhan desOuïgours se convertit aumanichéisme après avoir prisChang'an (Xi'an) en762, et de précieux manuscrits datant de la fin duIer millénaire ont été trouvés auXinjiang et auGansu, au nord-ouest de laChine : superbes enluminures de Qoco près deTourfan, importants textes religieux découverts par le sinologuePaul Pelliot dans lesgrottes de Mogao près deDunhuang. De son côté, lenestorianisme atteignit laMongolie et laChine et plusieurs princesses de la famille deGengis Khan étaient nestoriennes[13] ; auXIVe siècle, on trouve encore un évêché nestorien àKachgar, capitale historique duXinjiang et, en1289, lekhanmongol dePerse (ilkhan)Arghoun envoie le moineouïgour nestorienRabban Bar Sauma en ambassade auprès dePhilippe IV le Bel et du roi d'Angleterre[13]ÉdouardIer avec une missive qui envisageait une attaque conjointe contre lesMamelouks.

C’est au début duIIe millénaire que des tribus turques atteignirent l’Asie mineure, où l’on parlait alors legrec. Ce territoire deviendra laTurquie. À cette même époque, des tribus mongoles occupèrent l’actuelleMongolie. Leur unification fut l’œuvre deGengis Khan, qui fonda le plus grandempire que l’humanité ait connu. Toutefois, cet empire ne dura pas longtemps et la languemongole ne parvint à s’imposer dans aucun territoire conquis. Tout au contraire, la langue turque était durablement installée dans la majeure partie de l’Asie centrale.

Les peuples turcs actuels (Kirghiz,Ouzbeks,Kazakhs,Turkmènes etOuïgours) ne sont arrivés qu’à une date assez récente. Les Ouzbeks, par exemple, se sont installés enOuzbékistan à partir duXVe siècle. Ils ont dû affronter les descendants deTamerlan, dernier grand conquérant de l’Asie centrale, qui était également un Turc. Les Ouïgours actuels ne parlent pas la langue de leurs ancêtres installés auXinjiang après l’an840, mais celle desOuzbeks.

De la languesogdienne, il ne reste plus qu’un dialecte parlé dans quelques villages, sur les rives de la rivière Yaghnob. Elle a cependant donné beaucoup de vocabulaire aupersan moderne. Letadjik est une variante du persan moderne. Il reste une autre langue iranienne en Asie centrale, lepachto, parlé dans une partie de l’Afghanistan, ainsi que quelques dialectes archaïques utilisés par de petites ethnies, comme lewakhi.

Dans l'URSS, les républiques musulmanes d'Asie centrale étaient des créations artificielles deStaline, qui ont été découpées sans tenir compte des réalités géographiques ou ethniques[14].

Démographie

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?
Composition ethnolinguistique de l'Asie centrale, selon des données de 1992.

En 2022, la population de l'Asie centrale est d'environ74 millions d'habitants (34 millions enOuzbékistan, 19 millions auKazakhstan, 9 millions auTadjikistan, 6 millions auKirghizistan et 6 millions auTurkménistan).

En 2015, l'Asie centrale comptait unedensité de population de 17 habitants par kilomètre carré.

Les principaux groupes ethniques d'Asie centrale sont :

La religion principale est l'islamsunnite.

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. (en) Christoph Baumer,The History of Central Asia,vol. 1 :The Age of the Steppe Warriors, Bloomsbury Academic,, 384 p.(ISBN 9781780760605,lire en ligne)
  2. Alain Cariou,L'Asie centrale : Territoires, société et environnement, Armand Colin,, 336 p.(ISBN 9782200602567,lire en ligne)
  3. Bernard Bridel, « Le coton, malédiction de l'Asie centrale », surletemps.ch,(consulté le).
  4. Arielle Thédrel, « Une guerre de l'eau menace l'Asie centrale », surlefigaro.fr,(consulté le).
  5. (ru) « 5 ВОДНЫХ СПОРОВ ЦЕНТРАЛЬНОЙ АЗИИ, И КАК ОНИ РЕШАЮТСЯ »,‎(consulté le).
  6. (en) « FRESHWATER WITHDRAWAL (DOMESTIC/INDUSTRIAL/AGRICULTURAL) »(consulté le).
  7. « Un effondrement écologique irréversible est en cours en Asie centrale », surFutura,
  8. WeiqingHan, Gerald A.Meehl et AixueHu, « Interpretation of tropical thermocline cooling in the Indian and Pacific oceans during recent decades »,Geophysical Research Letters,vol. 33,no 23,‎(ISSN 0094-8276,DOI 10.1029/2006gl027982,lire en ligne, consulté le)
  9. Khamza Sharifzoda, « Climate Change: An Omitted Security Threat in Central Asia », surthediplomat.com,(consulté le).
  10. Université de Lanzhou, Chine
  11. abc etd(en) GiorgiaGuglielmi, « Climate change is turning more of Central Asia into desert »,Nature,‎, d41586–022–01667-2(ISSN 0028-0836 et1476-4687,DOI 10.1038/d41586-022-01667-2,lire en ligne, consulté le)
  12. Carnegie Institution for Science’s Department of Global Ecology in Stanford
  13. a etbJean-Paul Roux, « Le christianisme en Asie centrale »,(consulté le).
  14. Nicolas Werth, « URSS : comment un empire implose », dansL’Histoire,no 485-486, juillet-août 2021, page 95

Annexes

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

v ·m
  • 1 Partiellement européen
  • 2 Partiellement africain
  • 3 Partiellement océanien
v ·m
Régions dumonde
Afrique
Océanie
Amérique
Régions polaires
Asie
Régions bicontinentales
et multi-régionales
Europe
Océans
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Asie_centrale&oldid=224121222 ».
Catégorie :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp