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Arvillers

49° 44′ 44″ nord, 2° 38′ 52″ est
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Arvillers
Arvillers
Lamairie-école.
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionHauts-de-France
DépartementSomme
ArrondissementMontdidier
IntercommunalitéCC Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Yves Cottard
2020-2026
Code postal80910
Code commune80031
Démographie
GentiléArvillois
Population
municipale
764 hab.(2022en évolution de −2,68 % par rapport à 2016)
Densité60 hab./km2
Géographie
Coordonnées49° 44′ 44″ nord, 2° 38′ 52″ est
AltitudeMin. 49 m
Max. 108 
m
Superficie12,68 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionAmiens
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Moreuil
Législatives4e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Arvillers
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Arvillers
Géolocalisation sur la carte :Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Arvillers
Géolocalisation sur la carte :Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Arvillers
Liens
Site webhttps://www.arvillers.fr/
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Arvillers est unecommune française située dans ledépartement de laSomme enrégionHauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Arvillers est un villagepicard de l'Amiénois et de la région naturelle duSanterre.

À vol d'oiseau[Note 1], la localité est située à 9 km au sud-ouest deRosières-en-Santerre[1], 11 km au nord-ouest deRoye[2], 12 km au nord-est deMontdidier[3], 30 km au sud-est d'Amiens[4], 39 km au nord-ouest deCompiègne[5] et à 47 km au sud-ouest deSaint-Quentin[6].

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes.

Les communes limitrophes sontBecquigny,Bouchoir,Davenescourt,Erches,Folies,Hangest-en-Santerre,Le Quesnel etWarsy.

Carte
Le territoire de la commune et ses communes limitrophes[Note 2].

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 12,68 km2 ; son altitude varie de49 à 108 mètres[7].

Le sous-sol est majoritairement formé de craie recouverte par le limon des plateaux (lœss).

Le relief de la commune est celui d'un plateau, le plateau duSanterre. Au sud, se trouve la vallée de l'Avre.

Sur ses limites ouest et sud, on note la présence d'espaces boisés.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans lebassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Avre[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Arvillers[Note 3].

L'Avre, d'une longueur de 66 km, prend sa source dans la commune deAmy, à 81 m d'altitude, et se jette dans laSomme àLongueau, à 24 m d'altitude, après avoir traversé31 communes[8].

Articles connexes :Liste des cours d'eau de la Somme,Liste de rivières de France etListe de fleuves de France.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par leschéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par lebassin versant de laSomme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[9].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par lesagences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat des Hauts-de-France etClimat de la Somme.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[10]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[11]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique[12] et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[13]. Elle est en outre dans lazone H1a au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[14],[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,2 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 705 mm, avec11,3 jours de précipitations en janvier et8,6 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deRouvroy-en-Santerre à5 km àvol d'oiseau[16], est de10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[17],[18]. La température maximale relevée sur cette station est de41,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de−17,5 °C, atteinte le[Note 4].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Arvillers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19].

Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

La commune appartient aubassin de vie deRosières-en-Santerre[I 1].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d'occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,1 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (81,4 %), forêts (7,8 %), zones urbanisées (5,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %)[22].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total delogements dans la commune était de 373, alors qu'il était de 364 en 2016 et de 337 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 83,8 % étaient desrésidences principales, 6,2 % des résidences secondaires et 10 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,7 % d'entre eux desmaisons individuelles et pour 0 % desappartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Arvillers en 2021 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion desrésidences secondaires et logements occasionnels (6,2 %) par rapport au département (8,4 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Arvillers en 2021.
TypologieArvillers[I 3]Somme[I 4]France entière[I 5]
Résidences principales (en %)83,883,182,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)6,28,49,7
Logements vacants (en %)108,58,1

Voies de communication et transports

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La commune est traversée d'ouest en est par la route départementale 54 qui relieMoreuil àRoye. Elle est limitée au nord par la l'ancienneRoute nationale 334 (actuelle route départementale 934) qui relie Amiens àRoye, axe majeur du département de laSomme. Le sud de la commune est traversé par la route départementale 160 qui relieTrois-Rivières àAndechy.

En 2019, la commune est desservie par les lignes d'autocars du réseauTrans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligneno 40, Roye - Hangest-en-Santerre - Amiens ; ligneno 45, Moreuil - Montdidier)[23].

Toponymie

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Les anciennes formes du nom du village sont :Argovillaris (844)[24],Arviler (1167) ,Harviller (1184),Ursivillarensis,Ursivilla,Arvileir,Arviller (1223),Arcovillaris (1257),Arcovillaris (1267)[25],Arviler,Arviler en Santers (1394),Arvillier,Arvillers en 1673,Erviller,Arviver etHarvillers.

Son étymologie est incertaine, compte tenu des variations du nom. Elle signifierait « Repaire de l'ours » ou « Ville fortifiée »[26]. Cette hypothèse est peu vraisemblable.

Le nom de la commune est, selon toute vraisemblance, de formation germano-romane comme la plupart des toponymes se terminant par « villers » issu du latinvilla, domaine ou partie d'un domaine. Le préfixe « Ar » dériverait du nom d'un propriétaire d'origine germanique[27].

Arvillers se ditArvili enpicard.

Histoire

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Antiquité

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On a découvert dans la commune une hache-marteau en roche dure perforée[réf. nécessaire], ainsi que, au hameau de Prunierval, dessarcophages et une pièce de monnaie à l'effigie deJules César[28]. Les traces de deux villasgallo-romaines ont été découvertes à côté du cimetière militaire[29]. Le lieu était proche de lavia Agrippa,voie romaine reliantLugdunum (Lyon) àPortus Itius (Boulogne-sur-Mer) parAugusta Suessionum (Soissons) etSamarobriva (Amiens) (dite localementChaussée Brunehaut).

Moyen Âge

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Pendant laguerre de Cent Ans, en 1417, le château fut occupé par les Anglais qui ravagèrent le voisinage.Jean de Luxembourg les cerna et les força à se rendre[28].

Temps modernes

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Laseigneurie a appartenu à partir de 1556 aux ducs de Montmorency et de Bourbon[28].

Le village et l'église ont été incendiés par les Espagnols en 1653 sous les ordres de Condé, durant laFronde[28].

Époque contemporaine

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Le village se dota d'une école en 1824[28].

Lors de laguerre franco-allemande de 1870, les Allemands, marchant sur Amiens, occupèrent Arvillers[28].

Le village se trouvait dans la zone des combats de laPremière Guerre mondiale et a subi des destructions de guerre[30],[31],[32]. Il a été décoré de lacroix de guerre 1914-1918 le[33].

Articles détaillés :Croix de guerre 1914-1918 des communes de la Somme etReconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.

L'ancienne commune deSaulchoy-sur-Davenescourt a été rattachée à Arvillers en 1965[7].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Elle fait partie depuis 1801 ducanton de Moreuil[7], qui a été modifié et agrandi dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France.

Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier dudépartement de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de laquatrième circonscription de la Somme[I 1].

Elle faisait partie depuis 1801 ducanton de Moreuil[7]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour lesélections départementales, la commune fait partiedepuis 2014 d'un nouveaucanton de Moreuil[I 1] porté de 23 à 43 communes.

Articles connexes :Liste des cantons de la Somme,Conseil départemental de la Somme etListe des conseillers départementaux de la Somme.

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de laquatrième circonscription de la Somme.

Articles connexes :Liste des circonscriptions législatives de la Somme etListe des députés de la Somme.

Intercommunalité

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La commune était membre de lacommunauté de communes du canton de Moreuil, créée par un arrêté préfectoral du 4 décembre 1992 et renomméecommunauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du 6 mai 1996.

Dans le cadre des dispositions de laloi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveauschéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du Département.

Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes duGrand Roye (CCGR), ducanton de Montdidier (CCCM), duSanterre et d'Avre, Luce et Moreuil[34], la préfète dévoile en octobre 2015 son projet qui prévoit la « des communautés de communes d'Avre Luce Moreuil et duVal de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[35],[36]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[37] et de lacommission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[38] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du 22 décembre 2016[39], qui prend effet le.

La commune est donc désormais membre de lacommunauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

Liste des maires

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Liste des maires successifs[40]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
     
  Jean-Baptiste Lartisien[41] Cultivateur
Conseiller d'arrondissement de Moreuil(1848 → 1852)
     
19711977Jean-Louis Massoubre[42],[43],[44]UDR
puis
RPR
Chargé de mission en cabinet ministériel
Conseiller général de Montdidier(1967 → 1979)
Député de la Somme (2e circ)(1967 → 1981)
Conseiller régional de Picardie(1973 → ? )
19772000Francis Soilleux[45],[43],[46]CNIAgriculteur à Saulchoy-sur-Davenescourt
Conseiller général de Moreuil(1982 → 1988)
2000en cours
(au 27 octobre 2023[47])
Yves Cottard Artisan commerçant retraité
Vice-président de laCC Avre Luce Moreuil(2005[48] → 2016)
Vice-président de laCC Avre Luce Noye(2017 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[49],[50],[51]

Équipements et services publics

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Enseignement

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En 2020, la commune accueille une école publique de quatre classes qui accueille un peu plus de cent élèves de la maternelle au CM2[50].

Santé

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Deux médecins généralistes qui y avaient leur cabinet ont quitté la commune en 2015. Une ostéopathe a rouvert le cabinet médical en 2017[52].

Population et société

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Démographie

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Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[54].

En 2022, la commune comptait 764 habitants[Note 6], en évolution de −2,68 % par rapport à 2016 (Somme : −1,26 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
1 0189281 0401 1351 1401 1051 1211 1651 212
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
1 2661 2591 3681 3391 3331 3641 3081 1851 056
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
1 048989897625720651692637646
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620082013
678634559568634652719738784
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20182022-------
770764-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puisInsee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Article détaillé :Église Saint-Martin d'Arvillers.
  • Chapelle Notre-Dame de la Délivrance. Reconstruite en 1829[60].
  • Chapelle Sainte-Margareth à Saulchoy-sous-Davenescourt, datée de 1840[60].
  • Lemonument aux morts, financé par une souscription publique vers 1923. Il s'agit d'un modèle-type de l'époque, le numéro 2139 du catalogue Gourdon,nommé soldat au drapeau[61],[62].
  • Le monument aux morts.
    Le monument aux morts.
  • L'église Saint-Martin.
    L'église Saint-Martin.
  • Autre vue de l'église.
    Autre vue de l'église.
  • Le château.
    Le château.

Personnalités liées à la commune

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Madeleine Riffaud (1924-2024), héroïne de la résistance, poétesse, journaliste et correspondante de guerre française[63],[64], y est née[65].

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

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Liens externes

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  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée,(lire en ligne) surGallica.

Notes et références

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Notes

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  1. Du centre du chef-lieu de la commune.
  2. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  3. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  4. Les records sont établis sur la période du au.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

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  1. « Réseau hydrographique d'Arvillers » surGéoportail(consulté le 25 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », surqualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/(consulté le)
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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Site de l'Insee

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  1. abcd eteInsee, « Métadonnées de la commune ».
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Arvillers - Section LOG T1 »(consulté le).
  3. a etb« Chiffres-clés - Logement en 2021 à Arvillers - Section LOG T2 »(consulté le).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la Somme - Section LOG T2 »(consulté le).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la France entière - Section LOG T2 »(consulté le).

Autres sources

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  1. « Orthodromie entre Arvillers et Rosières-en-Santerre », surfr.distance.to(consulté le)
  2. « Orthodromie entre Arvillers et Roye », surfr.distance.to(consulté le)
  3. « Orthodromie entre Arvillers et Montdidier », surfr.distance.to(consulté le)
  4. « Orthodromie entre Arvillers et Amiens », surfr.distance.to(consulté le)
  5. « Orthodromie entre Arvillers et Compiègne », surfr.distance.to(consulté le)
  6. « Orthodromie entre Arvillers et Saint-Quentin », surfr.distance.to(consulté le)
  7. abcd eteDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  8. Sandre, « l'Avre »
  9. « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », surhttps://www.gesteau.fr/(consulté le)
  10. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  11. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  12. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  14. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le).
  15. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  16. « Orthodromie entre Arvillers et Rouvroy-en-Santerre », surfr.distance.to(consulté le).
  17. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre », sur la commune de Rouvroy-en-Santerre - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le).
  18. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre », sur la commune de Rouvroy-en-Santerre - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  19. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », surle site de l'Insee(consulté le).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  23. « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  24. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 976 -(ISBN 2600001336).
  25. Dans le cartulaire de l'abbaye de Corbie
  26. « Les origines du nom »,Histoire, Mairie d'Arvillers(consulté le).
  27. Charles Rostaing,Les noms de lieux. Paris P.U.F., 1969
  28. abcde etf« Résumé »,Histoire, Mairie d'Arvillers(consulté le).
  29. « Photo aérienne de Roger Agache : Probable villa à cour rectangulaire orientée à l'Est. Les prospections, effectuées à l'est de la villa, ont livré un peu de mobilier gallo-romain (1982) », noticeno ARR22_8280399ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mémoire,ministère français de la Culture.
  30. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. L'église et ses abords »,Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine,(consulté le).
  31. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. Un coin du village »,Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine,(consulté le).
  32. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. Ruines autour de l'église »,Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine,(consulté le).
  33. Journal officiel du 7 novembre 1920,p. 17721.
  34. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? »,Le Courrier picard, édition du Santerre,‎(lire en ligne).
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  37. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l'idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l'idée d'un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye »,Le Courrier picard, édition du Santerre,‎(lire en ligne).
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  47. Antoine Guitteny, « Journal d’un maire de campagne : à Arvillers avec Yves Cottard, le maire-cantonnier »,Le Courrier picard,‎(lire en ligne, consulté le)« Élu depuis 1977 au conseil municipal, maire depuis 2000, il est l’exemple type de l’élu rural de la Somme ».
  48. « Extrait du registre des délibérations du conseil communautaire de la communauté de communes Avre Luce Moreuil »[PDF],(consulté le),p. 6.
  49. Cécile Latinovic, « Le mot d'ordre moreuillois est passé : Seize communes sur les 23 que compte le secteur de Moreuil ont mis le FN en tête »,Le Courrier picard,‎(lire en ligne, consulté le)« Par exemple, dimanche 18 juin, après le scrutin, le maire d'Arvillers, Yves Cottard, ne cachait pas sa satisfaction. Ses administrés ont boudé le candidat REM. Pour autant, le maire n'est pas connu comme être un sympathisant du Front national. Ce qui lui donnait cette satisfaction était davantage l'échec électoral de l'ancien président de feu la Communauté de communes du Val de Noye que l'échec du candidat La République en marche ».
  50. a etb« C'est décidé, Yves Cottard veut rester maire d'Arvillers »,Le Courrier picard,‎(lire en ligne, consulté le)« À 72 ans, l'élu n'est pas un novice. Connu pour ne pas avoir sa langue dans sa poche, il fait partie du paysage de la commune de plus de 800 habitants depuis 1977, comme conseiller municipal et depuis près de vingt ans comme maire de la commune. Il est aussi vice-président de la Communauté de communes Avre Luce Noye en charge de l'environnement ».
  51. « Jour 1 du4e et dernier mandat d'Yves Cottard à Arvillers »,Le Courrier picard,‎(lire en ligne, consulté le).
  52. « Le cabinet d'Arvillers rouvre deux ans après : Une ostéopathe a décidé de reprendre le cabinet laissé vacant par les médecins généralistes en 2015 »,Le Courrier picard,‎(lire en ligne, consulté le).
  53. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  54. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  55. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  56. « A) Aquarelle d'Oswald Macqueron : Église d'Arvillers, d'après nature, 17 juin 1876 B) Carte postale : La grande guerre 1914-15-16 - Arvillers (Somme) - L'église après bombardement. A.R. (1916) »,Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville(consulté le).
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  58. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. L'église : le chœur »,Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine,(consulté le).
  59. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. L'église »,Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine,(consulté le).
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  62. « Monument aux morts d'Arvillers », Région Hauts-de-France - Inventaire général(consulté le).
  63. Virginie Guennec, « Ils racontent la jeune « Rainer » : Deux réalisateurs se penchent sur la jeunesse de Madeleine Riffaud. La Résistante, surnommée « lieutenant Rainer », est une enfant du pays, dont beaucoup se souviennent dans le Santerre »,Le Courrier picard,‎(lire en ligne, consulté le).
  64. Alain Ruscio, « Tous les combats de Madeleine Riffaud »,L'Humanité,‎(lire en ligne, consulté le).
  65. Antoine Guitteny, « Une rue ou un bâtiment Madeleine Riffaud ? Arvillers y pense, Folies rejette l’idée »,Le Courrier picard,‎(lire en ligne, consulté le)« L’héroïne de la Résistance Madeleine Riffaud est décédée mercredi 6 novembre 2024. Née à Arvillers, elle n’y a pas vécu très longtemps, passant son enfance dans le village voisin de Folies. Ces communes lui rendront-elles hommage? La question n’est pas tranchée ».
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