Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Artois (pays d'états)

50° 30′ N, 2° 30′ E
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Ne doit pas être confondu avecArtois.

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirArtois (homonymie).

Artois

 – 
(149 ans, 6 mois et 23 jours)

DrapeauBlason
Devise« Artois, rends-toi ! - Nenni ma foi ! »
HymneChanson des Rosati (XIXe siècle)
Description de cette image, également commentée ci-après
Gouvernement d'Artois (1765-1790) parmi les anciens gouvernements militaires français.
Informations générales
StatutPays d'états du
Drapeau du Royaume de FranceRoyaume de France
Fait partie de :
gouvernement militaire de Picardie (1640-1765)
généralité d'Amiens (1640-1755)
généralité de Lille (1755-1790)
CapitaleArras
Langue(s)Français,picard,ouest-flamand
ReligionCatholicisme
Monnaielivre tournois
Villes principalesArras
Saint-Omer
Béthune
Aire-sur-la-Lys
Saint-Pol-sur-Ternoise
Hesdin
Lens
Bapaume
Lillers
Hénin-Beaumont
Démographie
Population223 061 (1784)
1 110 106 (2008)
Densité44.7 hab/km2 (1784)
222.5 hab/
km2 (2008)
GentiléArtésiens
Superficie
Superficie4 988km2
Histoire et événements
Prise d'Arras aux espagnols par les armées du roi de France
Letraité des Pyrénées reconnaît le rattachement d'une partie de l'Artois auroyaume de France
Letraité de Nimègue confirme le rattachement de l'entièreté de l'Artois auroyaume de France
L'Artois est transféré de lagénéralité d'Amiens à lagénéralité de Lille
L'Artois est intégré en grande partie dans le département duPas-de-Calais
Lieutenant général
(1er) 1640François de Jussac d'Embleville
(Der) 1724-1765Louis de Gand de Mérode de Montmorency

États d'Artois

Entités précédentes :

Entités suivantes :

modifier -modifier le code -voir Wikidata(aide)

L'Artois est un ancienpays d'états puisgouvernement général et militaire enFrance, héritier ducomté du même nom, et ayant pour capitaleArras, aujourd’hui principalement inclus dans ledépartement duPas-de-Calais. Les habitants de la province étaient lesArtésiens.

La province s'est formée artificiellement à partir d'une notable portion des États dePhilippe d'Alsace[1]et fut comprise de 863 à 1237 dans lecomté de Flandre.

Contrairement à de nombreuses régions comme laBretagne, laNormandie ou laChampagne, l'Artois ne correspond pas à une région culturelle moderne, en l'absence delangue régionale et d'unité[2].

Laprovince d'Artois ne correspond pas aupays d'Artois, ou Artois propre, associé aux alentours d'Arras et deHoudain[3].

Étymologie

[modifier |modifier le code]

Le nom Artois viendrait du peuple celtique desAtrebates. Leur nom est probablement issu duceltique *Adtrebates de *Ad-treba-ti peut-être « ceux qui habitent » ou « ceux qui possèdent des villages » (cf.vieil irlandaisad-treba « il habite, il cultive », verbe dérivé detreb « habitation »,cognat dubretontre- « village » cf.trève, galloistref « habitation »), latinisé enAtrebates[4].

Ils vivaient enAtrébatie correspondant approximativement à l'Artois, dont l'étymologie s'explique par leur nom. Leur oppidumNemetocenna (ouNemetacon « le pays, le terrain appartenant au sanctuaire » cf.nemeto- et suffixe-āko.) est connu à partir de la période duBas-Empire romain sous le nomArras (AthrebateXIe siècle) qui conserve également cetethnonyme selon un processus fréquemment observé en Gaule[5].

Héraldique

[modifier |modifier le code]
blason de l'Artois

Les armoiries de l'Artois se blasonnent ainsi :
D'azur semé de fleurs de lys d'or au lambel de gueules chaque pendant chargé de trois châteaux d'or (châtelé de neuf pièces d'or).

Robert Ier d'Artois brise les armes paternelles « deFrance ancien » (semé defleurs de lys) par unlambel chargé de neuf châteaux. Cette surcharge fait référence à la fois aux neufchâtellenies d'Artois (Guînes,Tournehem,Saint-Omer,Aire-sur-la-Lys,Béthune,Hesdin,Bapaume,Lens…) et aux armes de la maison de sa mère,Blanche de Castille (« de gueules au château d'or ouvert et ajouré d'azur »). Blanche de Castille possédait les châtellenies deHesdin,Bapaume etLens avant 1237 comme douaire[6].

Géographie

[modifier |modifier le code]

Étendue géographique

[modifier |modifier le code]

En 1789, juste avant l'abolition desgouvernements généraux, l'Artois avait une superficie d'environ 4 988 km2[7]. Au, 1 110 106 personnes vivaient sur ce territoire de 4 988 km2, soit unedensité de population de 226hab./km2, deux fois la densité moyenne de la France.

Le gouvernement d'Artois était composée de :

Carte de la province d'Artois en 1787
Carte des 600 communes de l'Artois.

Source de cette section :État par ordre alphabétique des Villes, Bourgs, Villages & hameaux de la Généralité de Flandres & d'Artois.

Composition

[modifier |modifier le code]

SelonAlexis-Marie Gochet[8], l'Artois peut se subdiviser en plusieurs parties, il décrit en premier lieu unArtois roman, comprenant l'Artois propre autour d'Arras, il y met aussi l'Ostrevant avec pour capitaleBouchain dans leNord, il y rajoute leTernois avec pour chef-lieuSaint-Pol-sur-Ternoise, et enfin l'Escrebieu autour deLens,Béthune etHénin-Liétard, subdivisée en deux pays naturels : laGohelle et le Bas-Pays de Béthune. D'autres sources indiquent au sud-ouest le bailliage d'Hesdin[9]. Briand écrit au sujet d'Hesdin,« Hesdin, ce n'est plus leMarquenterre, ce n'est pas encore leTernois. Hesdin, quoi qu'en disent certains historiens, est l'indéniable capitale de l'Hesdinois dont les bourgades environnantes portent d'ailleurs la marque toponymique d'allégeance. (Cf. Campagne-les-Hesdin, Cappelle-les-Hesdin, Auchy-les-Hesdin). »[10] On peut y rajouter l'Audomarois, que Gochet mentionne indirectement sous le nom d'Artois flamingant, qui a pour capitaleSaint-Omer, et jadisThérouanne.

Cependant, la constitution de l'Artois peut différer d'un document à l'autre, et des historiens tels quePaul Roger ne confondent pasOstrevent et Artois[11].

Ancienne province d'Artois, divisée en pays, dont ceux au nord de la province forment l'Artois flamingant[12],[13],[14],[15].

Les bailliages sont parfois repris des anciens diocèses ou des ancienspagus. Le gouvernement général regroupe de nombreux pays traditionnels picards ou flamands, compris entièrement ou non dans les limites de la province d'Artois :

Pays traditionnels picards et flamands au sein du gouvernement militaire.

Artois picard

Article détaillé :Picardie (région culturelle).

Artois flamand ou Flandres artésiennes

Article détaillé :Flandres artésiennes.
  • l'Audomarois (partie du bailliage de l'Audomarois, bailliages de l'Airois, du Lillerois)

Géologie

[modifier |modifier le code]

Le sud de l'Artois est marqué par lescollines de l'Artois, qui correspondent à une zone de soulèvement le long de nombreuses lignes de failles parallèles[16].

Le pendage des couches argileuses et des couches poreuses explique le phénomène connu sous le nom depuits artésiens.

Principales villes

[modifier |modifier le code]

Au recensement de 1806, les dix plus grandes villes de l'Artois étaient :

  1. Saint-Omer : 20 362 habitants
  2. Arras : 19 286 habitants
  3. Aire-sur-la-Lys : 8 408 habitants
  4. Béthune : 6 379 habitants
  5. Carvin : 4 522 habitants
  6. Lillers : 4 154 habitants
  7. Laventie : 4 070 habitants
  8. Hesdin : 3 450 habitants
  9. Saint-Pol-sur-Ternoise : 3 409 habitants
  10. Lestrem : 3 274 habitants

En 2020, les villes les plus peuplées de l'ancienne province sont :

  1. Arras : 40 883 habitants
  2. Lens : 32 458 habitants
  3. Liévin : 30 102 habitants
  4. Hénin-Beaumont : 25 886 habitants
  5. Béthune : 24 983 habitants
  6. Bruay-la-Buissière : 21 953 habitants
  7. Avion : 17 676 habitants
  8. Carvin : 17 667 habitants
  9. Saint-Omer : 14 782 habitants
  10. Harnes : 12 277 habitants

Histoire

[modifier |modifier le code]

Les contours de l'Artois ont varié au cours des siècles, en fonction des aléas de l'Histoire et des rattachements ou séparations d'avec les comtés voisins (comté de Boulogne,comté de Flandre…). Au cours duXIIIe siècle,Barthélémy l'Anglais inclut même les cités importantes ducomté d'Artois commeArras etThérouanne enPicardie, dans son encyclopédieDe proprietatibus rerum. Dans les versions en moyen français publiées de 1480 à 1500[17], Jean Corbichon, qui réalise la traduction la plus célèbre de cet ouvrage, rajoute égalementBéthune,Lens etSaint-Omer parmi ces places fortes[18], cependant, ces villes sont également dites flamandes dans de nombreuses sources[19].

Préhistoire

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Liste des sites mégalithiques de la région Nord Pas-de-Calais.

Les Atrébates

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Atrébates.

L'Artois reprend une partie du pays de la tribugauloise desAtrébates[20], dont la capitaleNemetocenna est devenueArras. Les Romains intégrèrent ce pays dans laprovince romaine de Belgique.

Localisation du pagus.

Lepagus Atrebatensis

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Pagus Atrebatensis.

Lepagus fut conquis auVe siècle par lesFrancs et donné en 863 parCharlesle Chauve à Judith, sa fille, qui épousaBaudouinBras-de-Fer,comte de Flandre[20]. L'Artois devient ainsi flamand.

Après avoir été longtemps possédé par les comtes de Flandre, sous la suzeraineté de la France, il fut réuni à la couronne en 1180. Le comte de FlandrePhilippe d'Alsace engagea l'Artois à titre dedot pour le mariage de sa nièceIsabelle, fille deMarguerite et deBaudouin V de Hainaut avecPhilippe Auguste.

Le comté d'Artois

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Comté d'Artois.

La future province s'est formée artificiellement à partir d'une notable portion des États dePhilippe d'Alsace[1] dont lepagus Atrebatensis, qui résulte du mariage d'Isabelle, fille de sa sœurMarguerite, àPhilippe Auguste en1180. Le comté d'Artois comporte outre l'Artois proprement dit, les pays duTernois, de laGohelle mais aussi une portion notable desFlandres dont l'Audomarois et la région de Béthune, qui ne font pas partie de l'Artois traditionnel.

Louis IX donna l'Artois en 1237, avec titre decomté, àRobert, son frère puîné.

Après avoir relevé desducs de Bourgogne, l'Artois est rattaché au domaine royal à la mort deCharlesle Téméraire, le. Letraité de Senlis l'attribue à l'EmpereurMaximilien Ier. La souveraineté en est perdue par le roi de FranceFrançois Ier autraité de Cambrai, et il passe par héritage auxHabsbourg d'Espagne. Il fut annexé définitivement par la France130 ans plus tard, après laguerre de Trente Ans, le, aux termes dutraité des Pyrénées, saufAire-sur-la-Lys etSaint-Omer (l'Artois réservé). Le comté fut alors divisé enArtois français et enArtois espagnol[21], cette dernière section ne revint à la France qu'en 1678. Lecomté d'Artois est réuni auGouvernement Général militaire de Picardie à partir de 1640, il y reste pendant plus d'un siècle, jusqu'en 1765, date à laquelle il devient un Gouvernement militaire indépendant pendant une vingtaine d'années jusqu'à l'abolition desgouvernements généraux et particuliers lors de laRévolution française, en 1789[22].

Gouvernement militaire (1765-1789)

[modifier |modifier le code]

 – 
(149 ans, 6 mois et 23 jours)

DrapeauBlason
Devise« Artois, rends-toi ! - Nenni ma foi ! »
HymneChanson des Rosati (XIXe siècle)
Description de cette image, également commentée ci-après
Gouvernement d'Artois (1765-1790) parmi les anciens gouvernements militaires français.
Informations générales
StatutGouvernement militaire du
Drapeau du Royaume de FranceRoyaume de France
Fait partie de :
généralité d'Amiens (1640-1755)
généralité de Lille (1755-1790)
CapitaleArras
Langue(s)Français,picard,ouest-flamand
ReligionCatholicisme
Monnaielivre tournois
Villes principalesArras
Saint-Omer
Béthune
Aire-sur-la-Lys
Saint-Pol-sur-Ternoise
Hesdin
Lens
Bapaume
Lillers
Hénin-Beaumont
Démographie
Population223 061 (1784)
1 110 106 (2008)
Densité44.7 hab/km2 (1784)
222.5 hab/
km2 (2008)
GentiléArtésiens
Superficie
Superficie4 988km2
Histoire et événements
Prise d'Arras aux espagnols par les armées du roi de France
Letraité des Pyrénées reconnaît le rattachement d'une partie de l'Artois auroyaume de France
Letraité de Nimègue confirme le rattachement de l'entièreté de l'Artois auroyaume de France
L'Artois est transféré de lagénéralité d'Amiens à lagénéralité de Lille
L'Artois est intégré en grande partie dans le département duPas-de-Calais
Gouverneur
(1er) 1765-1767Louis de Gand de Mérode de Montmorency
(Der) 1790Jacques Gabriel Louis Le Clerc de Juigné

Entités précédentes :

Entités suivantes :

modifier -modifier le code -voir Wikidata(aide)

L'Artois devient un gouvernement militaire en 1765.

Politique et administration

[modifier |modifier le code]

Lorsque la France est divisée engouvernements généraux et particuliers, certains ont leurs propres lois, leurs propres privilèges et leurs propres libertés. L'Artois est un de ces pays à avoir conservé jusqu'à laRévolution, les institutions locales appelées « assemblée d'État »[23]. Ces assemblées d'État sont le lieu où siègent lestrois ordres (oratores,bellatores etlaboratores) et assurent les intérêts de la province[23]

Artois dans la littérature

[modifier |modifier le code]

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. a etbPaul Ourliac, Jean-Louis Gazzaniga,Histoire du droit privé français: De l'an mil au Code civil(lire en ligne)
  2. le patois artésien n'étant parlé uniquement autour d'Arras
  3. Alexis-MarieGochet,La France pittoresque du Nord : histoire et géographie des provinces d'Ile-de-France, Champagne, Flandre, Artois, Picardie, Normandie et Maine et des départements qu'elles ont formés, Tours, Alfred Mame et fils,, 367 p.(lire en ligne),p. 223
  4. Pierre-Yves Lambert,La Langue gauloise, éditions Errance,, p. 35
  5. Ugo Janssens, op. cit., p. 46.
  6. Gérard Sivéry,Les Capétiens et l'argent au siècle de Saint Louis, Presses universitaires du Septentrion, Paris, 1995,p. 88.
  7. Les différentes sources ne nous permettent pas d'établir un consensus sur la superficie de la province, car certaines communes actuelles étaient divisées entre la Picardie et l'Artois, ou entre les Flandres et l'Artois sans préciser le tracé de ces divisions (excepté pour les communes traversées par l'Authie). Le village deVerchocq fait par exemple partie de ces villages dont certaines terres relevaient de la province d'Artois
  8. Alexis-MarieGochet,La France pittoresque du Nord : histoire et géographie des provinces d'Ile-de-France, Champagne, Flandre, Artois, Picardie, Normandie et Maine et des départements qu'elles ont formés, Tours, Alfred Mame et fils,, 367 p.(lire en ligne),p. 223
  9. Coustumes de la chastellenie et bailliage de Hesdin, dérogeant à la coutume générale du pays & comté d'Artois,(lire en ligne)
  10. E. PierreBriand,L'enchantement de la Toison d'or: Poèmes hesdinois, FeniXX réédition numérique,(ISBN 978-2-307-08431-0,lire en ligne),p. 4
  11. PaulRoger, J. Graveur et Schwaerzlé, « Carte historique et ecclésiastique de la Picardie et de l'Artois »Accès libre, surgallica.bnf.fr,(consulté le)
  12. Louis Dussieux,Géographie générale contenant la géographie physique, politique administrative, historique, agricole, industrielle et commerciale de chaque pays avec des notions sur le climat: les productions naturelles, l'ethnographie, les langues, les religions, les voies de communications, les frontières et l'état politique, financier et militaire(lire en ligne)
  13. De J. Chantrel,Cours de géographie, adapté au Cours d'histoire universelle et comprenant la description physique, politique et historique des diverses contrées de la terre(lire en ligne)
  14. De Paul Champion,Manuel de géographie descriptive, historique et sociale de la France...(lire en ligne)
  15. Charles Douniol,Le Correspondant(lire en ligne)
  16. M. Everaerts & J.-L. Mansy, « Le filtrage des anomalies gravimétriques ; une clé pour la compréhension des structures tectoniques du Boulonnais et de l’Artois », France, 2001,Bulletin de la Société Géologique de France,no 3, p. 267-274.
  17. Jacques Rosslaud, « Trésor de la culture médiévale, le Propriétaire des choses, fut imprimé à Lyon en 1482 »Accès libre, surcollections.bm-lyon.fr(consulté le)
  18. Barthélemy l'Anglais,De proprietatibus rerum (Le propriétaire des choses), trad. en français par Jean Corbichon, 418 p.(lire en ligne),p. 235
  19. Louis Dussieux et d'autres, voir page Artois flamingant
  20. a etbFilon 1861,p. 3.
  21. Guillaume Sanson, « Le comté d'Artois suivant qu'il est presentement divisé en François et Espagnol »Accès libre, surgallica.bnf.fr,(consulté le)
  22. AlbertDemangeon,La Picardie et les régions voisines : Artois, Cambrésis, Beauvaisis,(lire en ligne),p. 425
  23. a etbFilon 1861,p. 1.
  24. Tony Johannot, « Coup de foudre entre le Chevalier Des Grieux et Manon »Accès libre, surclasses.bnf.fr,(consulté le)

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • PierreLe Boucq,Histoire des choses les plus remarquables advenues en Flandre, Hainaut, Artois et pays circonvoisins depuis 1596 jusqu'à 1674, Madame Veuve Ceret-Carpentier et Ad. Obez.,(lire en ligne).
  • [Filon 1861] FrançoisFilon,Histoire des États d'Artois : Depuis leur origine jusqu'à leur suppression en 1789, Paris, Auguste Durand,, 123 p.(lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

v ·m
Royaume de France
Empire colonial
Hors du royaume
Provinces et territoires perdus
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Artois_(pays_d%27états)&oldid=230882156 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp