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Arette

43° 05′ 46″ nord, 0° 42′ 56″ ouest
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirArette.

Page d’aide sur l’homonymie

Ne doit pas être confondu avecArête.

Arette
Arette
Rue d'Arette.
Blason de Arette
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionNouvelle-Aquitaine
DépartementPyrénées-Atlantiques
ArrondissementOloron-Sainte-Marie
IntercommunalitéCommunauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Pierre Casabonne
2020-2026
Code postal64570
Code commune64040
Démographie
GentiléArettois
Population
municipale
1 052 hab.(2022en évolution de +1,15 % par rapport à 2016)
Densité11 hab./km2
Géographie
Coordonnées43° 05′ 46″ nord, 0° 42′ 56″ ouest
AltitudeMin. 292 m
Max. 2 315 
m
Superficie92,23 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionOloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton d'Oloron-Sainte-Marie-1
LégislativesQuatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Arette
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Arette
Géolocalisation sur la carte :Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Arette
Géolocalisation sur la carte :Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Arette
Liens
Site webwww.arette64.frVoir et modifier les données sur Wikidata
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Arette est unecommune française, située dans ledépartement desPyrénées-Atlantiques enrégionNouvelle-Aquitaine.

Le, le village d'Arette est détruit à 80 % par unséisme qui tue une personne.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Arette se trouve dans ledépartement desPyrénées-Atlantiques, enrégionNouvelle-Aquitaine et est frontalière avec l'Espagne (Communauté forale de Navarre)[1].

Elle se situe à 51 km par la route[Note 1] dePau[2],préfecture du département, et à 18 km d'Oloron-Sainte-Marie[3],sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] :Aramits (2,9 km),Lanne-en-Barétous (4,0 km),Issor (4,5 km),Lanne-en-Barétous (5,9 km),Lourdios-Ichère (6,7 km),Issor (7,1 km),Montory (8,2 km),Asasp-Arros (8,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Arette fait partie de laprovince duBéarn, qui fut également unÉtat et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

La commune est frontalière avec l'Espagne (Navarre), au sud.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sontAramits,Isaba-Izaba,Issor,Lanne-en-Barétous,Lées-Athas,Lourdios-Ichère,Osse-en-Aspe etSainte-Engrâce.

Carte
Les limites communales de Arette et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes d’Arette[6],[7]
AramitsIssor
Lanne-en-BarétousAretteLourdios-Ichère
Sainte-EngrâceIsaba
(Espagne)
Osse-en-Aspe,
Lées-Athas

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier d'Arette.

Située dans lebassin versant de l'Adour, la commune est traversée par un affluent dugave d'Oloron, leVert, et ses tributaires au nombre desquels il faut compter l'Abat Daurèye et son affluent, l'arrèc de Benou (lui-même accompagné du ruisseau d'Aurèye) ; l'arrèc de Ibarcis ; le Lancy[8] ; le ruisseau de Gurré et son tributaire, le ruisseau de Lagaretche ; le ruisseau de Hournères et son affluent, l'Ouettone ; le ruisseau de Légorre et son tributaire, le Cassiau de Ber ; les ruisseaux de Nécore[8], de Soulayets[8], de Talou Gros et le Virgou et l'affluent de ce dernier, l'Arrigau[8] (lui-même accompagné sur la commune par le Bachère).

La commune est aussi arrosée par legave de Lourdios, affluent dugave d'Aspe, et ses tributaires, l'Arric et le Moulia (et les affluents de ce dernier, l'arrèc de Casteigts et le ruisseau de Poussious). Legave de Sainte-Engrâce, affluent duSaison, et un tributaire, le Montcholakoerreka, coulent également sur le territoire de la commune.

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Nouvelle-Aquitaine etClimat des Pyrénées-Atlantiques.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat des marges montargnardes, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[9]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[10]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat de montagne ou de marges de montagne[11] et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[12]. Elle est en outre dans lazone H2c au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[13],[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de12,8 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 392 mm, avec11,7 jours de précipitations en janvier et9,8 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deLicq-Athérey à13 km àvol d'oiseau[15], est de13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 528,1 mm[16],[17]. La température maximale relevée sur cette station est de40 °C, atteinte le ; la température minimale est de−12,5 °C, atteinte le[Note 3].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Arette est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18].Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[1]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25 %), prairies (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7,2 %), zones urbanisées (1,2 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits et hameaux

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Voies de communication et transports

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Au sud de la commune, la frontière espagnole et lavallée de Roncal (en particulier la commune d'Isaba) permettent des échanges internationaux de plus en plus importants[réf. nécessaire].

Lecol de Labays, à l'altitude de 1 351 mètres, relie Arette àBedous.

Lecol du Soudet, à l'altitude de 1 540 mètres, relie lavallée de Barétous et la vallée deSoule, les communes de Arette etTardets-Sorholus, les provinces duBéarn et duPays basque, sur la D132 qui mène à la station de ski de La Pierre Saint-Martin, ainsi qu'aucol de la Pierre Saint-Martin distant de trois kilomètres et se trouvant sur la frontière.

Le col de la Pierre Saint-Martin, à l'altitude de 1 760 mètres, situé sur lafrontière franco-espagnole, entre le département desPyrénées-Atlantiques au nord côtéfrançais et lacommunauté forale de Navarre au sud côtéespagnol, relie Arette àIsaba-Izaba.

Arette est desservie par la ligne 848 duréseau interurbain des Pyrénées-Atlantiques, qui mène d'Arette àOloron-Sainte-Marie.La commune est traversée par la route départementale618.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Arette est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),inondations,feux de forêts, mouvements de terrains,avalanche etséisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque particulier : le risque deradon[22]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment legave de Lourdios, leVert et legave de Sainte-Engrâce. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1992, 2008, 2009 et 2011[24],[22].

Arette est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan deprotection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[25]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[26],[27].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[28]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuellescavités souterraines sur la commune[29].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arette.

Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie[30]. 47,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le, en application de laloi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[31].

La commune est exposée aux risques d'avalanche. Les habitants exposés à ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prévention des risques avalanches (PPRA). Le cas échéant, identifier les mesures applicables à l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la pièce avec la façade la moins exposée à l’aléa pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et équiper cette pièce avec un kit de situation d’urgence[32],[33].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, leradon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population auxrayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Arette est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[34].

Toponymie

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Le toponymeArette apparaît sous les formesAreta (1186[8], titres de Barcelone[35]),Rete (1383[8], contrat de Luntz[36]),Arete (1385[8],censier de Béarn[37]),Erete (1440[8], titres de la vallée de Barétous),Aretha etEretha (1444[8], règlements de la Cour Majour de Béarn[38]),Hereta (1538[8], réformation de Béarn[39]),Arette (1674[40], insinuations du diocèse d'Oloron[41]),Arrette sur lacarte de Cassini (finXVIIIe siècle[40]) etArete (1801[42],Bulletin des lois).

Le toponyme vient du basquear- (= pierre) et du suffixe locatif collectif-eta, ce qui signifielieu pierreux[40].

Son nombéarnais estAreta[43] ouAréte[44].

Arrègle désignait une ferme et un moulin, construits sur leVert d’Arette. On retrouve ce toponyme sous les graphiesle molii d’Arregle (1385[8], censier de Béarn[37]),Aregle en Baretous (1433[8], notaires d'Oloron[45]),Aregla (1538[8], réformation de Béarn[39]) etRéglé (1863[8], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).

L'Arrigau est un hydronyme désignant un ruisseau qui prend sa source sur Arette et conflue avec le Vert àAramits. Il est cité en 1538[8] (lo ariu aperat la Rigau, réformation de Béarn[39]) et en 1863[8] (l’Arrigas, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque) sous des graphies différentes.

Arlas est une montagne située à la frontière avec l’Espagne, mentionnée en 1538[8] (réformation de Béarn[39]).

L’hydronymeAurèye est cité sans accentuation (Aureye) dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque (1863[8]).

Bayrès est une ferme de la commune, citée dès 1538[8] (réformation de Béarn[39]), ainsi qu’en 1863[8] (dictionnaire topographique Béarn-Pays basque), sous la graphieBayres.

AuXIXe siècle, le col de Bissouritto se nommaitcol de Bissourritte (dictionnaire topographique Béarn-Pays basque de 1863[8]).

Le Bois de Bouchet apparaît sous la formeBouchette dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque en 1863[8]. Le toponyme désignait déjà un bois.

La Chousse est unhydronyme indiqué parPaul Raymond en 1863[8], désignant un affluent du Vert, qui prend sa source et conflue sur Arette.

Costemale etLes Courréges sont deux montagnes indiquées par Paul Raymond en 1863[8], sur le territoire d’Arette.

Estratte est une ferme dont la graphie apparaît sous les formesEstrate (1385[8], censier de Béarn[37] et 1863[8], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque) etEstrata (1538[8], réformation de Béarn[39]).

Le col de Garbas, séparant les communes d’Arette et deLanne, est indiqué par le dictionnaire de 1863[8].

Le toponymeGuilhers apparaît sous la formele Pas de Guilhers dans ce même dictionnaire[8], et désignait un bois entre Arette etLées-Athas.

Hournères est un hydronyme cité sous la formeLe Hourner en 1863[8], désignant un ruisseau qui arrose Arette et se jette dans la Chousse.

Lagaretche apparaît sous la graphieLagarretche en 1863[8], et désigne un bois de la commune.

Le pont Larron, mentionné par le dictionnaire topographique de 1863[8], tire son nom du Vert d’Arette, appelé également autrefoisLarron.

La montagne et le boisLèche sont mentionnés en 1589[8] (réformation de Béarn[39]) sous la graphieLa singla de Lexe.

Le toponymeLégorre d’Ibarry désigne une montagne, indiquée par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[8] sous la formeLegorre.

Mantchola, cité sous la graphieManchola en 1863[8], est un hydronyme désignant un ruisseau qui délimite les communes d’Arette et de Sainte-Engrâce, avant de se jeter dans l’Uhaïtxa.

Le Nécore, affluent duVert signalé par Paul Raymond en 1863[8], prend sa source au col éponyme.

La Pernotte est hydronyme désignant un tributaire[8] de la Chousse.

Perscamou désigne à la fois une montagne et un col[8], situé sur la frontière avec l’Espagne.

Le toponymeLa Pierre Saint-Martin apparaît sous la formeLa peyre de Sent-Martin, frontière de Navarre en 1589[8] (réformation de Béarn[39]).

Le Pourtet (ouPourtet en 1863[8]) est un mont, sur la frontière, qui s’étend sur les communes d’Arette et deLées-Athas.

Le col de Soès est mentionné par le dictionnaire de 1863[8].

Soulaing est une montagne des communes d’Arette et d’Osse-en-Aspe[8]. Le ruisseau de Soulaing, tributaire duLourdios, s’écoule sur Osse-en-en Aspe.

LeSoulayets est cité sous la graphieSoulayet en 1863[8].

Lecol de Suscousse et le bois du même nom s’étendaient en 1863[8] sur les communes de Lanne et de Sainte-Engrâce.

Tamarpouey est une ferme d’Arette, déjà mentionnée en 1385[8] (censier de Béarn[37]).

Paul Raymond indique en 1863[8] que le Termy est un ruisseau qui prend sa source sur Arette et qui se jette dans l’Uhaïtxa àSainte-Engrâce.

Trémeil désigne une montagne d’Arette et de Lanne, mentionnée sous les formesTorrumie en 1703[8] (règlement d’Arette[46]) etTremeilh en 1863[8].

Histoire

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En1385[8], Arette comptait 87feux et dépendait dubailliage d'Oloron.

Le, le village d'Arette est détruit à 80 % par unséisme d'une magnitude de 5.5[47] qui tue une personne. L'horloge du clocher de l'église (détruite) indique l'heure exacte du sinistre : 23 h 15. Les ondes sismiques se ressentent àPau, àTarbes et àBayonne[48]. C'est le séisme le plus violent en France métropolitaine depuis celui de Lambesc en 1909[47]. Le journalisteYves Mourousi y fait ses premières armes de journaliste.

Article détaillé :Séisme de 1967 d'Arette.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
17931800Ignace Camou  
18001807Jean Lassalle  
18081813Pierre Hum  
18131831Jean-Pierre Salet  
18311835Jean Carrère  
18351837Pierre Camgros  
18371843Étienne Superville  
18431848Jean-François Sérée  
18481853Pierre-Joseph Castéran  
18531856Jean-François Sérée  
18571861Philippe Salies  
18611872Charles-Henri Fischer  
18721877Jean Bergé  
18771884Charles-Henri Fischer  
18841890Emmanuel Salet  
18901892François Dabancens  
18921894Charles-Henri Fischer  
18941906Jean-Baptiste Labourdette  
19061907Vincent Lagrave  
19071916Bernard Trébucq  
19191942Pierre CasabonneRGConseiller d'arrondissement
19421952Michel Lagrave  
19521989Jean-Marie Lonne-Peyret  
19892001Joseph Arrègle  
2001en coursPierre CasabonneDVDConseiller général (2004-2011)

Intercommunalité

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Arette fait partie de 6 structures intercommunales[49] :

Arette est le siège du syndicat mixte de la Pierre Saint-Martin[50].

Jumelage et coopération

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Au 16 février 2012, Arette estjumelée avec[51] :

Arette coopère avec[51]Roncal-Erronkari (Espagne), depuis 1991, dans le cadre d’un projet de développement rural et agricole.

Population et société

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Démographie

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Lenom des habitants estArettois[52],[53].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[55].

En 2022, la commune comptait 1 052 habitants[Note 6], en évolution de +1,15 % par rapport à 2016 (Pyrénées-Atlantiques : +3,78 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
1 7621 5611 8262 0142 1392 1762 2452 2452 218
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
2 0692 1132 0782 0651 9821 9902 0501 9051 851
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
1 7431 7341 7611 4441 4521 4041 3771 3091 171
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620082013
1 1891 0551 1661 1171 1371 0941 0921 0911 045
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20182022-------
1 0741 052-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puisInsee à partir de 2006[56].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 27,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 34,6 % la même année, alors qu'il est de 30,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait539 hommes pour535 femmes, soit un taux de 50,19 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (47,92 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[57]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
3,0 
11,5 
75-89 ans
12,3 
20,6 
60-74 ans
20,9 
26,3 
45-59 ans
22,2 
13,5 
30-44 ans
14,2 
13,5 
15-29 ans
11,8 
13,7 
0-14 ans
15,5 
Pyramide des âges du département desPyrénées-Atlantiques en 2021 en pourcentage[58]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
8,7 
75-89 ans
11,8 
18,9 
60-74 ans
19,8 
21 
45-59 ans
20,3 
17,9 
30-44 ans
17,3 
16,2 
15-29 ans
14 
16,3 
0-14 ans
14,2 

Enseignement

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Arette dispose d'un collège public, le collège d'Arette Barétous[59], ainsi que d'une école primaire.

Sports

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Le club depelote basque s'entraîne sur le fronton du village.

Économie

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L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage (bovins et ovins), ainsi que l'exploitation forestière. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La mairie.
Le monument aux morts.
L'école primaire.
L'église d'Arette.
Lefronton.
LeVirgou.

Patrimoine civil

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Le musée la Maison du Barétous est installé sur la commune. Il présente des collections permanentes relatives au pastoralisme et à lajunte de Roncal.

Au début duXXe siècle, une cabane de plan rectangulaire, aux murs en pierre sèche, a fait l'objet d'une carte postale. Située au col de la Pierre Saint Martin, elle servait de « refuge de bergers » selon l'éditeur[60].

Patrimoine religieux

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L'ancienneabbaye laïque[61] duXVIIe siècle, inscrite à l'inventaire supplémentaire desmonuments historiques le.

L'église Saint-Pierre d'Arette recèle du mobilier (lustre[62], autel, retable[63]) et une statue[64](Vierge à l'enfant) classés par les monuments historiques au titre des objets.

Patrimoine environnemental

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La Soum de Liorry s’élève à 1 012 mètres[6], le pic de Biscarroules à 1 017 mètres[6] et le pic de Sudou à 1 167 mètres[6]. Le pic de Légorre[6] culmine, quant à lui, à 1 359 mètres, la Soum de Soudet[6] à 1 542 mètres, le pic de Guilhers[6] à 1 597 mètres et la Soum de Lèche à 1 839 mètres[6].Le pic d’Arlas pointe à 2 044 mètres[6], sur la frontière avec l’Espagne, et l’Arres d’Anie[6] à 2 120 mètres.

Un arboretum est signalé à l'est de la commune[6].

Événements sportifs

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La commune s'est située sur le trajet de la16e étape du Tour de France 2007 qui a eu lieu le. Le parcours de218 kilomètres reliait Orthez àGourette - col d'Aubisque.

L'arrivée de l'étape du102e Tour de France du s'est déroulée à la station de La Pierre-Saint-Martin.

L'épreuve demontée impossible, organisée depuis 1984, est inscrite au championnat de France.

Personnalités liées à la commune

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Nées auXVIIe siècle

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Nées auXIXe siècle

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Nées auXXe siècle

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Héraldique

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BlasonBlasonnement :
Écartelé : au premier et au quatrième de gueules aux deux vaches d'or, la queue pendante, passant l'une sur l'autre, accornées, colletées et clarinées d'azur, au deuxième et au troisième d'argent au sanglier de sable.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entrechefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes àvol d'oiseau.
  3. Les records sont établis sur la période du au.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
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  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », surinfoterre.brgm.fr(consulté le).

Références

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Arette et Pau », surfr.distance.to(consulté le).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Arette et Oloron-Sainte-Marie », surfr.distance.to(consulté le).
  4. « Communes les plus proches d'Arette », survillorama.com(consulté le).
  5. Frédéric Zégierman,Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard,(ISBN 2-213-59961-0),p. 30.
  6. abcdefghijklmnopqrstuvwxyzaaabacadaeafagahaiajakalamanaoapaqarasatauavawaxayazbabbbcbdbebfbgbhbibjbkblbmbnbobpbqbrbsbtbubvbwbxbybzcacbcccdcecfcgchcicjckclcmcncocpcqcrcsctcucvcwcxcyczdadbdcdddedfdgdhdidjdkdldmdndodpdqdrdsdtdudvdwdxdydzeaebecedeeefegeheiejekelemeneoepeqereseteuevewexeyezfafbfcfdfefffgfhfifjfkflfmfnfofpfqfrfsftfufvfwfxfyfzgagbgcgdgegfggghgigjgkglgmgngogpgqgrgsgtgugvgwgxgygzhahbhchdhehfhghhhihjhkhlhmhnhohphqhrhsht ethuGéoportail -IGN, « Géoportail »(consulté le).
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     Communes du Béarn
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Géographie politique des communes des Pyrénées-Atlantiques sous l'Ancien Régime
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