Le département est traversé dans sa partie septentrionale par la valléesinueuse de laMeuse, de laSemois et de laChiers ; c'est dans cette partie du département que se concentre l'essentiel des habitants et des activités.Charleville-Mézières etSedan en sont les principaux centres urbains, aux côtés d'un tissu de petites villes dans l'extrême-nord du département (pointe de Givet). Le territoire est constitué de 4régions naturelles. L'Ardenne, une chaîne debasse montagne au Nord, les plaines deChampagne au Sud, les forêts d'Argonne à l'Est et les bocages deThiérache à l'Ouest.
LaMeuse qui arroseMonthermé s'écoule dans le nord du département des Ardennes.
Unique département frontalier de l'ex-région Champagne-Ardenne (avec laBelgique), il doit son nom à une vaste région naturelle, l'Ardenne, plateau profondément entaillé par laMeuse et ses nombreux affluents, qui s'étend surtout sur la partiewallonne du sud de laBelgique, mais aussi auLuxembourg ainsi qu'en l'Allemagne (Eifel) et, ailleurs en France, au nord du département voisin de laMeuse enLorraine.
Son point culminant dans le département est situé sur le versant méridional de laCroix-Scaille (situé entre la commune française des Hautes-Rivières et la commune belge de Gedinne) à 504 m d'altitude.
C'est dans cette partie dumassif ardennais que serpente laMeuse, le deuxième plus ancien fleuve du monde, en une pittoresque vallée, connue localement comme « la valleye ». S'écoulant dans la partie septentrionale du département des Ardennes, elle arrose d'amont en aval les villes principales deSedan, Charleville-Mézières etGivet. Elle reçoit de nombreux affluents dont les principaux dans le département sont laSemois et laChiers.
Au sud du département où coule l'Aisne s'étend la vaste plaine dénudée de laChampagne crayeuse, anciennement dénomméeChampagne pouilleuse, prolongée au sud-ouest par la petite région céréalière duPorcien, tandis que laThiérache à l'ouest et l'Argonne à l'est, franges herbagères, constituent des terroirs très fortement individualisés.
Paysages des Ardennes :
Un paysage typique de la Champagne crayeuse dans le sud du département.
Le département des Ardennes ne bénéficie pas d'un climat uniforme sur tout son territoire, notamment pendant la période hivernale.
Dans la région située au nord du département qui va de la limite du département de l'Aisne et la frontière avec laBelgique jusqu'au centre du département aux environs ducanton d'Omont et le sud de la vallée de laMeuse, le climat est considéré comme « continental dégradé » (fortes précipitations en automne et fréquentes gelées en hiver), alors que le reste du département subit un climat « océanique dégradé » ou « tempéré continental » (par rapport au climat océanique, les hivers sont plus froids et les étés plus chauds, les précipitations en plaine sont moins importantes et les vents perdent de leur force). Tout ceci découle de la situation géographique du département qui se trouve à mi-chemin entre laManche, lamer du Nord et l'intérieur de l'Europe.
Rocroi sous la neige, une situation habituelle en hiver dans le nord du département des Ardennes.
Cette différence peut être aisément observée dans les faits. L'hiver est plus rigoureux et le risque de neige plus élevé àRocroi, àGivet ou àSedan, villes situées dans le nord du département où se trouvent les caractéristiques communes du climat dit continental dégradé.
Cette nuance du climat se remarque également par la différence de température avec lesrégions voisines. LeNord-Pas-de-Calais et leBassin parisien bénéficient des influences maritimes de laManche, dupas de Calais et de lamer du Nord et, également, des conditions géophysiques par la présence d'unrelief relativement plat.
Cette différence climatique est particulièrement prononcée par la présence du gel, notamment dans lesvallées de laMeuse et de laSemoy et sur leplateau deRocroi, ainsi que vers laCroix-Scaille où il est peut-être le plus marqué ; il a l'inconvénient de perdurer plus longtemps dans l'année et influe considérablement sur lavégétation.
Le département est irrigué par lesTER Grand-Est et possède une branche du réseauTER Hauts-de-France sur la ligne Lille / Charleville-Mézières. Le département possède 24 gares et arrêts ferroviaires répartis sur 4 lignes.
Un « Y » autoroutier constitués de l'A304 et de l'A34 relie Paris à Charleroi et Liège en Belgique via l'A4Reims-Paris. L'A34 relie Reims à Sedan en passant par Charleville-Mézières tandis que l'autoroute A304 est le départ d'une liaison entre Charleville-Mézières et la frontière Belge vers Charleroi et Bruxelles.
Peuplé d'environ 330 000 habitants à la fin duXIXe siècle, le département des Ardennes a depuis subi deux déprises démographiques qui n'ont jamais permis au territoire de retrouver ce nombre. La première a été causée par les deux conflits mondiaux du XXe siècle. La population ardennaise évacuée dans les Deux-Sèvres et en Vendée n'est pas complètement revenue après les deux guerres. Au sortir de la seconde guerre mondiale, le département a connu une croissance démographique fulgurante, passant de 245 000 à 310 000 habitants en l'espace de 20 ans. Ce bond démographique, en plus d'être causé comme partout ailleurs en France par le baby-boom et la fin de la colonisation française, est lié à l'essor industriel du territoire. Les acieries, fonderies et forges tournent à plein régime et nécessite de la main d'œuvre essentiellement venue d'Italie et du Maghreb. Quelques années plus tard, à partir de 1975, malgré untaux de natalité toujours élevé (le plus fort taux enFrance en 1968), le département commence à perdre des habitants à la suite du déclin d'une économie alors essentiellement tournée vers l'industrie. Depuis 1975, le département perd en moyenne 900 habitants par an.
Les Ardennes sont marquées par une chute démographique des centres urbains et des communes rurales, tandis que les communes périurbaines stagnent voire gagnent des habitants. Cela s'explique par la recherche d'un meilleur cadre de vie, qui correspond au désir d'un grand nombre de personnes de se constituer un petit patrimoine immobilier, dont le modèle type est la maison avec un terrain, au détriment de la proximité avec le lieu de travail. Ce concept éminemment contemporain favorise les migrations pendulaires du travail, ou des allers-retours domicile-travail. C'est le phénomène devenu banal de la périurbanisation qui a gagné la France entière et auquel le département des Ardennes n'échappe pas non plus.
Au, la population ardennaise s’établissait à 268 859 habitants. La population diminue dans le milieu urbain mais cinq fois moins que dans l’espace rural. La baisse limitée dans l’espace urbain, où résident deux tiers des Ardennais, résulte de deux dynamiques opposées. Les communes périurbaines gagnent 0,5 % d’habitants par an sur la période 1999-2006 au détriment des pôles urbains (centres-villes et banlieues) qui en perdent 0,6 % par an. Depuis trente ans, la population fléchit dans les principales villes des Ardennes. Entre 1999 et 2021, la baisse de population des principales communes ardennaises varie de 0,2 à 35%. Ainsi, Charleville-Mézières a vu sa population baisser de 16,4%, Sedan de 19,1%, Rethel de 7,8% et Revin de 35% passant de 8963 habitants à 5815 en l'espace d'un quart de siècle.
L’évolution plus défavorable en milieu rural provient de la dégradation démographique des pôles d’emploi ruraux, comme ceux deFumay ouVouziers, et dans une moindre mesure de celle de leur couronne. Elle est légèrement atténuée grâce à une petite progression de la population dans les autres communes rurales.
La métallurgie a toujours été présente dans la vallée de la Meuse et de la Semoy depuis le temps des Gaulois jusqu'à l'avènement de la premièremanufacture d'armes créée en France en 1675, àCharleville. Sa situation entre le Nord qui lui fournissait du charbon pour remplacer le bois et l'Est qui lui fournissait le minerai sur la ligne du chemin de fer Calais-Bâle lui était favorable. L'économie du département, après avoir reposé sur l'agriculture (forêt etélevage, les cultures étant pauvres), repose depuis plus d'un siècle maintenant sur l'industrie (aujourd'hui en situation délicate) et sur letertiaire bien que la part de la population active ardennaise travaillant dans ce secteur soit inférieure à la moyenne nationale. Au début duXIXe siècle, la région était la première deFrance pour le travail desmétaux, grâce aucharbon de bois. On n'y a jamais trouvé decharbon (seule l'ardoise deFumay était exploitable) mais l'industrie métallurgique s'y est développée (boulons,vis,clous, dans les « boutiques »)[2], lechemin de fer avec de nombreuses ramifications (Compagnie des chemins de fer des Ardennes de lafamille Seillière, regroupée ensuite avec laCompagnie de l'Est) a accéléré cette industrialisation à la fin duXIXe siècle :Charleville,Sedan (qui avaient leurstramways),Revin. Le journalL'Usine ardennaise est devenuL'Usine nouvelle[3].
Usines métallurgiques entre Charleville-Mézières et Fumay (Laifour, Fumay, Revin, Deville, Monthermé, Nouzonville, Neufmanil et Charleville)
Ancienne aciérie dans la vallée de la Meuse, vers 1900. Probablement entre Charleville-Mézières et Fumay.
Dépôt des scories dans un crassier, vallée de la Meuse.
Ouverture d'un creuset, aciérie de la vallée de la Meuse, vers 1900.
Pour développer l’économie locale, la CCI des Ardennes a mis en œuvre un dispositif appelé « Achat Ardennes »[5], permettant de promouvoir le commerce de proximité. Ce portail web a pour objectif de présenter tous les commerçants des Ardennes, leurs produits et leurs services.
L'incubateur d'entreprisesRimbaud'Tech accompagne stratégiquement les entreprises innovantes depuis 2017 à Charleville-Mézières grâce à une méthodologie séquencée et éprouvée.
Dans le département, des monuments emblématiques comme lechâteau de Sedan (site payant le plus fréquenté des Ardennes avec en moyenne 130 000 entrées par an[6]), le site fortifié de Charlemont àGivet, lefort des Ayvelles ou encore la forteresse deRocroi attirent chaque année de nombreux visiteurs. À leurs côtés, les nombreuses églises fortifiées et les sites médiévaux du département[N 3] ainsi que laforêt ardennaise, la voie verte (piste cyclable reliant Montcy-Notre-Dame près deCharleville-Mézières àGivet longeant lavallée de la Meuse) favorisent un tourisme de week-end privilégiant les randonnées cyclos ou pédestres (tourisme vert).
Les achats de maisons par des Belges et desNéerlandais étaient fréquents dans la région car les prix étaient beaucoup moins élevés, dans les années 1970, que dans leur pays de résidence. Selon lerecensement général de la population du, 3,7 % des logements disponibles dans le département sont des résidences secondaires.
Communes ayant plus de 10 % de résidences secondaires en 2008 :
LetoponymeArdenne désignait selon les Romains un territoire qui couvrait, en partie, le vieux massif montagneux mentionné parJules César dans l'ouvrage qui lui est attribué,La Guerre des Gaules. Cela couvrait aussi le territoire des Trèvires (Chiers) à celui des Rèmes (Marne), des Nerviens (Sambre) jusqu'aux Aquatuques (Namur), ainsi que l'Arduenna Sylva pour la forêt de pins du plateau de Bastogne. Puis, il aurait été transformé enArdenna auVIe siècle[13]. Le département faisait partie du territoire des Rèmes et la frontière avec les trévires se situait à Mouzon[14].
Ce toponyme est absent des noms des communes du département des Ardennes alors que ceux d'Argonne (Beaumont-en-Argonne), dePorcien (Château-Porcien,Novion-Porcien,Chaumont-Porcien) ou encore deChampagne (Vaux-Champagne) leur sont parfois accolés et ont tous une connotation d'appartenance régionale. C'est pourquoi le nom d'Ardenne n'est pas spécifique au département ; ainsi, se retrouve-t-il dans bien d'autres régions de France par exemple, dans la France de l'Ouest et du Centre-Ouest[N 4] ; de Belgique, du Luxembourg, il a alors le sens habituel - et d'origine celtique - desombre,espace profond etforêt[15].
C'est le seul département français à avoir été occupé entièrement pendant la durée du conflit, le nord de laLorraine (Moselle) et l'Alsace ayant été rattachés à l'Empire allemand depuis 1871[16].
Lors de laSeconde Guerre mondiale, l'effort principal de l'armée allemande s'est porté sur ce territoire, notamment sur la rive droite de la Meuse, symbolisé par lapercée de Sedan, qui allait entraîner les troupes françaises dans le piège stratégique duPlan jaune conçu par le généralErich von Manstein et approuvé parHitler.
C'est dans ce département que finissait laligne Maginot : le dernier ouvrage de cette ligne (La Ferté) se situe à environ cinq kilomètres deCarignan. L'état-major français ne voulait pas continuer la ligne de défense le long de la frontière avec laBelgique, pays neutre et ami. De plus, il espérait que la géographie particulière et la forêt pourraient arrêter l'armée allemande.
Après l'armistice de 1940, les Ardennes ont été déclarées « zone interdite » (en fait zone de peuplement allemand possible) pendant toute l'occupation militaire. Durant l'occupation, une grande partie des terres agricoles de ce département furent exploitées par le IIIe Reich sous le nom deWOL (Wirtschaftsoberleitung).
Les armes proposées par Robert Louis pour le département des Ardennes se blasonnent ainsi :D'azur à la bande d'argent côtoyée de deux doubles cotices potencées et contre-potencées d'or, au chef de gueules chargé de trois râteaux démanchés d'or ordonnés 2 et 1[18]. Elles n'ont jamais été officiellement adoptées.
Le siège de la préfecture du département des Ardennes est fixé àCharleville-Mézières et les trois sous-préfectures sont, par ordre alphabétique,Rethel,Sedan etVouziers.
Rocroi fut également sous-préfecture jusqu'en 1926.
Le département des Ardennes est composé au de 449 communes qui sont rassemblées en 19 cantons, lesquels sont regroupés en quatre arrondissements de tailles différentes.
Le plus grand des arrondissements du département est celui deCharleville-Mézières tandis que le plus petit est celui deSedan qui est deux fois moins étendu. Cependant, ces deux arrondissements qui occupent la partie septentrionale du département des Ardennes cumulent les 4/5 de la population départementale[N 8].
Les deux autres arrondissements,Rethel etVouziers, occupent la partie méridionale du département avec des superficies à peu près comparables mais sont très peu peuplés.
La petite cité deRocroi fut sous-préfecture des Ardennes jusqu'en 1926.
Avant le décret-loi Poincaré du qui a supprimé de nombreuses sous-préfectures enFrance, le département comptait cinq arrondissements ; outre les quatre sus-mentionnés, le cinquième était celui deRocroi - dont la petite cité historique est située dans le nord-ouest du département et est proche de la Belgique - qui a été annexé dans sa totalité à l'arrondissement de Charleville-Mézières depuis cette date. L'ancien arrondissement de Rocroi regroupait alors six cantons - dont quatre frontaliers avec laBelgique - qui étaient par ordre alphabétique ceux deFumay,Givet,Revin,Rocroi,Rumigny etSigny-le-Petit[19].
L'hôtel de ville deGivet, ville frontalière avec laBelgique.
Dans le cadre des intercommunalités, le département des Ardennes est composé d'une communauté d'agglomération organisée autour de la ville-préfecture, dénomméeArdenne Métropole, et en sept communautés de communes.
LaMeuse àSedan, sous-préfecture et deuxième ville des Ardennes.
Rethel, sous-préfecture des Ardennes et troisième ville du département.
Vouziers, la plus petite sous-préfecture du département des Ardennes.
D'aprèsAbel Hugo, en 1835, on parlaitfrançais dans toute la partie du département qui forme la vallée de l'Aisne et dans les villes dubassin versant de la Meuse. De ce côté, les habitants des campagnes avaient encore unparler dont ils ne faisaient usage qu'entre eux, dans les joies de leurs fêtes locales et lors de leurs travaux communs dans les champs. À cette époque, tous les hommes comprenaient et parlaient suffisamment le français pour converser avec les étrangers et les habitants des villes[20]. Desrégionalismes restent en usage.
Lefestival métal deVouziers accueille quant à lui environ 2 000 personnes. Lefestival Rock sur El'Mont àAiglemont a accueilli en 2010, plus de 2 000 personnes. Enfin se déroule àDouzy chaque mois de juillet tous les deux ans leDouzy'k Festival qui regroupe entre 5 000 et 7 000 festivaliers à chaque édition.
L'Argonne n'est pas en reste avec deux événements musicaux. De 1994 à 2012, le village deLouvergny a accueilli, début août, un festival lyrique,Les Rencontres de Louvergny, au cœur de la campagne argonnaise, où se produisaient des chanteurs de la scène internationale provenant de différents pays[22] ; il fut remplacé, en 2014, par lesmusicales de Louvergny[23]. Plus récemment, lesNotes d'Argonne propose à travers le massif argonnais des concerts de musique classique avec des interprètes régionaux ou nationaux (session de :Patrice Fontanarosa etMarielle Nordmann[24]). Ces deux événements ont eu un succès immédiat dans la région et le public n'a cessé d'affluer depuis.
L'auteur Jérôme Hurstel y place l'intrigue de son romanQuand vient l'aube (2017), notamment dans les régions de Signy-l'Abbaye et Charleville-Mézières.
Le département dispose d'un cadre naturel varié (vallée de la Meuse,frontière entre la Belgique et la France, forêts du plateau ardennais…) favorisant la production de films et de téléfilms dont les premiers remontent à la fin des années 1960 et dans les années 1970.
En 2006,Les Enfants du pays dePierre Javaux, avecMichel Serrault, se situe dans un petit village noyé dans la forêt des Ardennes en, au moment où 5tirailleurs sénégalais se trouvent isolés de leur régiment, perdus, face à un vieil homme et à ses deux petits-enfants restés seuls après l'exode de la population.
Depuis 2009, un journal hebdomadaire est publié dans les Ardennes :La Semaine des Ardennes. Imprimé à Charleville-Mézières, il est tiré à plus de 2 000 exemplaires.
Une revue ardennaise consacrée à la nature est également bien connue,La Hulotte.
↑Ce toponyme est présent 5 fois dans lesCharentes; il se retrouve notamment dans le nom du village deSaint-Grégoire-d'Ardennes enCharente-Maritime) ; source principale : Jacques Duguet,Noms de lieux des Charentes, éditions Bonneton, 1995, p.p. 9 et 10
↑Il est déjà formé, sous la dénomination deDépartement septentrional de la Champagne, par un décret du — cf :Collection générale des décrets rendus par l'Assemblée Nationale, Paris : Baudoin,vol. 2 (),p. 20-21[1]
↑Concernant les mouvements de troupes ayant précédé la bataille de Sedan et, plus généralement sur la guerre de 1870 en Argonne ardennaise et l'occupation allemande qui a suivi, consulter avec profit l'article de Daniel Hochedez, « La guerre franco-allemande et l'occupation en Argonne (1870-1873) », RevueHorizons d'Argonne, publication du Centre d'études argonnais,no 87, ; voir égalementcentretudargonnais.org
↑Alexandre Berthe, Pascal Grouiez et Louis Dupuy, « Les « upgradings stratégiques » des firmes subordonnées dans les CGV : le cas des éleveurs investissant dans des unités de méthanisation »,Revue d'économie industrielle,no 163,,p. 187-227(ISSN0154-3229,DOI10.4000/rei.7414,lire en ligne),p. 214.
Albert Callay,Catalogue raisonné & descriptif des plantes vasculaires du département des Ardennes, Charleville, E. Jolly, publié par laSociété d'histoire naturelle des Ardennes,, 454 p. Précédé d'une notice géologique et d'une étude de géographie botanique des Ardennes par F. Bestel, et contenant le portrait de l'auteur et la carte géologique coloriée du département des Ardennes.
Ernest Badin & Maximilien Quantin,Géographie départementale classique et administrative de la France : Département des Ardennes, Paris : J.-J. Dubrochet, 1848,285 p. et une carte[4]
Henri Manceau,Villages et maison des Ardennes, dans laRevue de folklore français et de folklore colonial, Librairie Larose, 1937,vol. 8,no 1,p. 108–126[6]