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Ardenne

50° 30′ 06″ nord, 6° 05′ 35″ est
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Pour les articles homonymes, voirArdennes.

Ardenne
Image illustrative de l’article Ardenne
Paysage de la vallée de laSemois, près deFrahan, enBelgique.

PaysDrapeau de la BelgiqueBelgique
Drapeau de la FranceFrance
Drapeau du LuxembourgLuxembourg
Drapeau de l'AllemagneAllemagne
Subdivision administrative Wallonie
Ardennes (Grand Est)
Villes principalesLa Roche-en-Ardenne,Libramont-Chevigny,Neufchâteau,Bouillon,Bastogne,Spa,Saint-Hubert,Chimay,Sedan,Charleville-Mézières,Givet,Revin
Coordonnées50° 30′ 06″ nord, 6° 05′ 35″ est
ReliefPoint culminant :
Signal de Botrange (694 mètres)
Régions naturelles
voisines
Eifel
Fagne-Famenne
Argonne
Plateau lorrain
Calestienne
Condroz
Gutland
Thiérache
Crêtes préardennaises
Avesnois
Régions et espaces connexesMassif ardennais
Hautes Fagnes
Oesling
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L’Ardenne est une région géographique debasse etmoyenne-montagne qui s'étend sur les territoiresbelge (wallon),français,luxembourgeois etallemand, située à l'est de laMeuse et de laSambre et limitée au sud par les plaines deLorraine et deChampagne. LeMassif ardennais est une ancienne chaîne de haute-montagne qui culminait à 8 000 mètres d'altitude[1], qui a été affectée par les plissements tectoniques calédoniens et varisques (aussi appelés plissements hercyniens). L'érosion ayant fait son travail durant plus de 300 millions d'années, le massif culmine aujourd'hui à 694 mètres au niveau dusignal de Botrange.

Toponymie

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Article détaillé :Forêt d'Ardenne.

Arduenna est le nom, probablement d’origineceltique, d’une forêt située sur et aux abords du massif de l’Ardenne (ainsi que de la déesse celte de la faune et de la forêt,Arduinna), citée parJules César etStrabon[2]. Certains auteurs modernes défendent la couleur noire comme signification (du celtique Ar'Den qui signifie « la sombre »). Désormais, on applique les noms Ardenne(s) et Ardennais dans les dénominations de territoires naturels ou administratifs qui se situent sur le vieux massif forestier, traversé par la Meuse. Il est parfois difficile de reconnaître les limites de ces territoires, d’autant que les nombreuses tentatives d’appropriation de ce nom entretiennent une certaine confusion.

Tous pays confondus, le terme « Ardenne » est aujourd'hui généralement employé pour désigner l'ensemble des territoires français, belges, luxembourgeois et allemands couvrant l'espace occupé par l'ancien massif ; une marque touristique du même nom, créée entre les territoires français, belges et luxembourgeois, en témoigne. Par ailleurs, l'emploi des termes « les Ardennes » ou « les Ardennes françaises » renvoie à la partie française (qui est à distinguer du département desArdennes, découpage administratif datant de la Révolution française. L'ancien massif forestier ne couvrait que le nord du territoire de ce département). L'expression « Ardenne » peut aussi, en Belgique, être employée pour désigner la partie belge de ces territoires naturels, là où en France, on désignera ces mêmes espaces belges par les expressions « l'Ardenne belge » ou « les Ardennes belges ». Par abus de langage et par voisinage frontalier, l'expression « les Ardennes » peut parfois, si le contexte prévient de toute confusion, faire référence non pas aux Ardennes administratives françaises, mais à l'ensemble de la région franco-belge[3],[2].

L'Ardenne porte différents noms selon les différentes langues parlées sur son territoire.

Pour les langues romanes : Årdene enwallon, au singulier[3], Ardenes enchampenois.

Pour les langues germaniques : Ardennen enluxembourgeois,allemand etnéerlandais.

Géographie

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Les hautes terres transfrontalières de l'Ardenne et de l'Eifel, délimitées par la Meuse, la Semois (ou Semoy), la Moselle et le Rhin.

Du point de vue de lagéographie humaine, l’Ardenne correspond au territoire forestier accidenté limité au sud par laLorraine (y compris leGutland, ou Bon Pays, auLuxembourg et laGaume enBelgique) et laChampagne, à l’ouest et au nord par lesillon tracé par laSambre et laMeuse, par laFamenne et laHesbaye, à l’est par la région volcanique de l’Eifel qui longe les frontières belge et luxembourgeoise en gros entreAix-la-Chapelle (Aachen) etWasserbillig. La plus grande partie de l’Ardenne se trouve enBelgique, exclusivement enRégion wallonne, où elle s’étend sur la majeure partie des provinces deLuxembourg et deLiège, une petite moitié de la province deNamur et une petite partie de laprovince de Hainaut. EnFrance elle couvre le territoire dudépartement desArdennes et une partie du département de laMeuse. Elle couvre aussi la partie septentrionale duLuxembourg appelée l’« Oesling » (luxembourgeois :Éislek). L’Ardenne culmine à 694 mètres, ausignal de Botrange dans lesHautes Fagnes de la province de Liège. La forêt ardennaise est formée de lambeaux de l’ancienne forêt charbonnière[4].

Hydrographie

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LaSemois (affluent de laMeuse), près deBouillon.
Revin est divisée en trois parties par les « boucles » de la Meuse.

L’Ardenne est un lieu où de nombreuses rivières prennent leur source, comme laLesse, l’Ourthe, l’Amblève, laSûre, laSalm, etc.

La région est bordée par un seul fleuve important, laMeuse, sur son flanc ouest. Cependant d'autres cours d'eau importants délimitent ses frontières avec la région de l'Eifel comme laMoselle et leRhin.

Les plus hauts sommets

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D'autres sommets et reliefs ne figurent pas parmi les plus élevés et sont dépassés par de nombreux sommets parfois non nommés, mais méritent néanmoins d'être mentionnés, car ils se démarquent assez nettement : leRoc-la-Tour (408 m), le Mont Malgré Tout (450 m) et leplateau de Rocroi (380 m) dans le département français des Ardennes, leVaalserberg (323 m, à la limite duLimbourg néerlandais, de laprovince de Liège et de laRhénanie ; point culminant desPays-Bas),Le Hérou (317 m, enLuxembourg belge), le Point du Jour (272 m, enHainaut français) et lamontagne Saint-Pierre (120 m, à la limite duLimbourg néerlandais, duLimbourg belge et de laprovince de Liège).

Climat

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Les sommets ardennais à environ 450 mètres d'altitude autour de Monthermé.

Les étés sont doux et humides, les hivers froids et longs. Le climat est majoritairement influencé par le relief de ce massif. Tout d'abord, les températures de l'Ardenne sont moins élevées que dans les régions environnantes à cause de l'altitude. En montant, l'air se refroidit, ce qui provoque une perte d'environ0,7 °C tous les 100 m. Lors d'une situation anticyclonique, il arrive que la température soit supérieure à celles se trouvant en plaine.

Outre le relief, le massif forestier contribue également à ce climat tempéré. Cette vaste couverture forestière capte une grande partie du rayonnement solaire, empêchant l'augmentation de la température du sol. L'air s'échauffe moins vite qu'ailleurs. Le phénomène inverse existe aussi : la nuit, les arbres empêchent la radiation nocturne, ce qui entraîne une forte diminution des températures.

Faune et flore

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Faune

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Flore

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Géologie

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Article détaillé :massif ardennais.
Isthme duméandre formé par laMeuse, àFumay.

D'un point de vuegéologique, l'Ardenne est un massif hercynien, un élément de lachaîne varisque qui se forme duDévonien auPermien, au cours ducycle varisque sur la base du substratcalédonien. Vers la fin du Dévonien et surtout au Dinantien (calcaire carbonifère), l'Ardenne tend à basculer autour d'un axe transverse méridien avec déclenchement de glissements sédimentaires sous-marins (brèches viséennes). La géologie de ce territoire et des territoires environnants a été très étudiée depuis leXIXe siècle et des lieux ont donné leur nom à des subdivisions de l'échelle des temps géologiques [par exemple leFrasnien (Frasnes-lez-Couvin), leFamennien (Famenne), leTournaisien (Tournai), leViséen (Visé), leDinantien (Dinant) ou encore leNamurien (Namur)], même si certains de ces noms sont désormais obsolètes. La situation de massif hercynien, et les alternances entre période de dépôts sédimentaires et périodes d'érosion, sont à l'origine des différents paysages[8],[9],[10].

La Meuse dans le Massif ardennais à Laifour - France.

Le sous-sol de l'Ardenne est composé de pierreschisteuse de couleur foncée, cette caractéristique géologique permet de distinguer l’Ardenne proprement dite des régions voisines (laGaume au sud, leCondroz au nord)[11].

« Kreuz im Venn »/« Roche à la Croix ». Hautes Fagnes.

Histoire

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Carte de laGaule à l’époque de la conquêteromaine.

Âge du fer

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Durant leMagdalénien, des groupes humains exploitent le gibier abondant de la région, au moins l'été. Une quinzaine de sites ont été identifiés sur le massif ardennais, presque tous à l'entrée de grottes, dans des parties calcaires, au fond des vallées de la Lesse et de la Meuse, mais aussi au bord du massif schisteux, àRoc la Tour[12]. Les premiers habitants sont appelés par certains auteurs les Ardenniens[12],[13]. Mais la croissance de la population dans ce territoire y fut lente. En effet, le climat de l’Ardenne est plus froid que celui des régions avoisinantes. Les rivières n’y sont pas navigables, à quelques exceptions, dont laMeuse. Le relief rend les déplacements plus difficiles qu’ailleurs. Lesterres agricoles produisent peu et, de plus, le territoire est parsemé de landes appeléesfagnes où rien ne pousse hormis lasphaigne., les premiers habitants de la contrée subissent des vagues d'envahisseurs venus de l'Est, en particulier des Celtes. Le centre des hauts plateaux schisteux de l’Ardenne est plus densément occupé vers 480/470 avant notre ère par ces Celtes[13].

Les tribus principales Celtes étaient lesRèmes, lesTrévires, lesNerviens et lesAduatuques, mais aussi, au cœur de la région, lesÉburons, lesCondruses, lesCaeroesi, lesPémanes et lesSègnes. Des traces d'occupations permanentes de lieux sont attestées pendant cet âge de fer, notamment par des vestiges funéraires. Les premières citations latines de cetteArduenna silva se retrouvent dans le récit de laguerre des Gaules (De bello gallico) deJules César. César qui y a passé peu de temps, y décrit la forêt ardennaise comme ayant une longueur de 500 miles romains (environ 700 km), traversant le pays des Trévires et s'étendant depuis les rives duRhin jusqu’au pays des Nerviens et des Rèmes (rive gauche de laMeuse)[14]. Le géographe grecStrabon cite également laforêt d'Ardenne[15].

Période Gallo-romaine

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Article détaillé :Histoire des Ardennes sous l'Antiquité.

Lors de la conquête romaine, le chefAmbiorix finit par se réfugier dans laforêt d'Ardenne et n'est jamais capturé. Vers 10 av. J.-C. AuIer siècle, c'est la fondation d'Arlon, vicus de la Cité desTrévires. Des villas gallo-romaines sont édifiées à travers le pays, notamment àMalagne. En 89, laprovince deGermanie inférieure est formée, comprenant laCivitas Tungrorum qui auparavant faisait partie de laGaule belgique. Cette province fait partie du diocèse des Gaules lui-même faisant partie de la préfecture des Gaules. AuIVe siècle, création dudiocèse de Tongres sur la base de laCivitas Tungrorum. Lavoie des Ardennes, appelée en wallon Ågn'neûse võye, correspond probablement à l'axe qui s'étendait d'Atuatuca Tungrorum, chef-lieu de laCivitas Tungrorum, actuellementTongres dans laprovince de Limbourg (Belgique), àAugusta Treverorum (Civitas du peuple desTrévires), actuellementTrèves (Allemagne). L'Ardenne est aussi traversée du sud au nord par lachaussée romaine de Metz à Tongres.

Moyen Âge

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Lechâteau de Bouillon mentionné pour la première fois en 988 est vendu en 1082 par Godefroid de Bouillon à Otbert, évêque de Liège, pour financer la première croisade.

L'évêque de Tongres Lambert de Maastricht (né vers 636 et mort vers 705) finit l'œuvre d'évangélisation de l'Ardenne. Avant l'an 700, un groupe de clercs réguliers s’établit à Ambra (Andain ouAndage[16]) et fondent l'abbaye de Saint-Hubert. Cette abbaye de Saint-Hubert commecelle de Stavelot deviennent des centres culturels importants[13].

Trois évêchés se partageant l'Ardenne, Liège (siège épiscopal ayant succédé à Tongres), Trèves et Reims[13]. Les carolingiens font de la forêt d'Ardenne un territoire de chasse de prédilection. Cetteforêt d'Ardenne couvre alors une vaste étendue de territoire depuis laVesdre au nord jusqu'à la Meuse à l'ouest, laChiers et la Moselle, ou tout au moins l'Alzette et laSûre au sud. Lepagus Ardennensis englobe primitivement tout ce territoire, c'est-à-dire l'Ardenne proprement dite, ainsi que leCondroz, laFamenne, une partie duLuihgau, de laWoëvre et peut-être de l'Eifelgau[17].

Mais l'insécurité de l'époque fait émerger progressivement des structures féodales[13]. Dès 839, uncomté d'étendue beaucoup plus restreinte est créé. Vers le sud, il ne dépasse pas les limites dudiocèse de Liège : c'est lecomté d'Ardenne, qui se divise rapidement[18]. Quelques grands domaines féodaux s'imposent toutefois dans la durée, comme le duché du Luxembourg, la principauté de Liège et celle de Stavelot, et le comté de Rethel[13]. En 1082, le château de Bouillon est hérité parGodefroy de Bouillon, duc de Lothier, qui le vend au prince-évêque de Liège pour financer sa participation dans la première croisade[19]. La seigneurie de Bouillon va être élevé auXVe siècle enduché de Bouillon. Ce duché fait partie duSaint-Empire romain germanique, mais devient la propriété de la même famille, laMaison de La Marck, qui possède la seigneurie de Sedan, placée, elle, sous la protection du roi de France, et qui deviendra aussi uneprincipauté[20].

Époque moderne

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Pendant lesguerres de Religion, de nombreux protestants sont accueillis dans laPrincipauté de Sedan, intellectuels,avocats, artisans, ils sont la source de la prospérité de cette ville. L'académie de Sedan attire professeurs et élèves. Mais la principauté de Sedan est annexée par le roi de France en 1642, à la suite des conspirations du prince de Sedan[21].

Avant leXVIIIe siècle, la forêt était déjà très exploitée, en raison notamment des modes deconstruction, de pratiques liées à l'affouage, à l'essartage, aupanage et aupâturage, ainsi que de la fabrication ducharbon de bois utile au fonctionnement des nombreuses forges qui conféraient à l’Ardenne une vocationsidérurgique : auXIXe siècle cette région était en effet l’une des premières d'Europe pour lamétallurgie grâce à cette source d’énergie. C’est à cette époque qu'à la faveur dudéveloppement industriel de larégion mosane, que l’Ardenne sort de son isolement. On y construit alors à grands frais desvoies ferrées et desroutes, mais les rivières ardennaises restent sauvages et l’industrie lourde ne peut s’établir qu'aux frontières Nord et Sud de l'Ardenne. L’industrie modifie cependant les paysages, puisque c’est aussi auXIXe siècle, pendant l'essor industriel, que l’on introduit les plantations massives d’épicéas, une espèce deconifère originaire des pays nordiques qui s’adapte à merveille aux landes fagnardes, ce sont surtout ces terres peu fertiles qui furent enrésinées. Ces essences servaient surtout auboisage des galeries demines[13].

Les conflits de la fin duXIXe siècle et duXXe siècle

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LaGuerre franco-allemande de 1870 touche durement la partie française de l'Ardenne, notammentSedan, mais ne concerne pas les parties belges ou luxembourgeoises[13].

Par contre, laPremière Guerre mondiale touche toute l'Ardenne. C'est le territoire des premiers combats (notamment de laBataille des Frontières, avec des impacts pour les populations civiles). Puis l'Ardenne est occupée pendant une grande partie du conflit par les forces allemandes. Les populations manquent de ravitaillement et souffrent d'exactions[13].

LaSeconde Guerre mondiale s'ouvre en 1940 sur la Campagne deschasseurs ardennais, et laTraversée des Ardennes, avec l'engagement des forces belges telles que les chasseurs ardennais àBodange,Martelange,Léglise,Witry,Chabrehez etBastogne. Puis elle continue dans la partie française de l'Ardenne, les jours suivants, par laPercée de Sedan[13].

Un épisode important de la fin de laSeconde Guerre mondiale concerne aussi l'Ardenne. Labataille des Ardennes est l'appellation donnée à l'ensemble des opérations militaires qui se sont déroulées dans cette région de Belgique et dans le nord duGrand-Duché de Luxembourg pendant l'hiver 1944-1945. La bataille commence le par une attaque surpriseallemande à laquelle on a donné le nom d'« offensivevon Rundstedt ». Les Allemands l'appellent« opérationWacht am Rhein » et lesAnglo-Américains l'appellent« Battle of the Bulge » (« Bataille du Saillant ») vu la forme de coin que la ligne de front avait prise lorsque la pénétration allemande fut arrêtée. La bataille des Ardennes se termine fin janvier 1945 après le refoulement des Allemands au-delà de leur ligne de départ[13].

XXIe siècle

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L'Ardenne près de Mormont (Nassogne) au printemps.

AuXXIe siècle, l’Ardenne est un réservoir d’espaces verts et sa première ressource économique est letourisme.

Communes

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Le territoire des communes suivantes se trouve entièrement ou partiellement en Ardenne.

Belgique

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Localisation de l’Ardennebelge.
Province de LiègeProvince de LuxembourgProvince de NamurProvince de Hainaut

France

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Article détaillé :Liste des communes du département des Ardennes.
Localisation du département des Ardennes.

Liste non-exhaustive.

Luxembourg

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Localisation de l'Ardenne luxembourgeoise.

Gastronomie

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Notes et références

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  1. « La chaine varisque en France, un édifice multi-collisionnel et poly-cyclique / Les quatre domaines varisques (1/2) — Planet-Terre », surplanet-terre.ens-lyon.fr(consulté le)
  2. a etbJean-Pierre Lambot,L’Ardenne,Mardaga,, « Avant-Propos. L'Ardenne »,p. 7-9
  3. a etbMichel Francard, « Vous avez de ces mots: {L’Ardenne} ou {les Ardennes}? »,Le Soir,‎(lire en ligne)
  4. abc etdJean-Pierre Lambot,L’Ardenne,Mardaga,, « Les terroirs »,p. 35-74
  5. Julien van Remoortere,Découverte Nature de l’Ardenne,Lannoo,
  6. a etb« Faune - Flore », surLes services de l'État dans les Ardennes(consulté le)
  7. abcdef etg« Le patrimoine naturel », surParc Naturel Régional des Ardennes(consulté le)
  8. Alain Demoulin (dir.),L'Ardenne, essai de géographie physique. Hommage au professeur Albert Pissart, Publication du Département de Géographie physique et Quaternaire de l'Université de Liège,
  9. François Ellenberger, « Hercyniens massifs ou Massifs varisques. Un massif hercynien privilégié : l'Ardenne », surEncyclopedia Universalis
  10. (en) Gilles Fronteau, Yans Johan, Frédéric Boulvain et Eric Goemaere,« Geoheritage in Ardennes (France and Belgium) : geology, cultural heritage and landscapes », dansActes du congrès international "Les Inventaires du Géopatrimoine ". Mémoire hors série, Société géologique de France,(lire en ligne)
  11. « Roches et pierres - Ardenne Belge Tourisme », surwww.ardennebelge.be(consulté le)
  12. a etbJean-Georges Rozoy, « L'occupation du sol ardennais pendant la préhistoire »,Revue Historique Ardennaise,t. XXVII,‎,p. 3-34
  13. abcdefghij etkJean-Pierre Lambot,L’Ardenne,Mardaga,, « L'Histoire »,p. 19-34
  14. Jules César,Commentaires sur la Guerre des Gaules, Livre V, paragraphe 3 et Livre VI, paragraphe 29.
  15. Strabon,Géographie, III, 5 :Le pays desMorins, desAtrébatiens et desÉburons offre le même aspect que celui desMénapes, l'aspect d'une forêt, mais d'une forêt d'arbres très peu élevés, qui, tout en présentant une superficie considérable, n'a pourtant que les 4000 stades d'étendue que les historiens lui donnent. On désigne cette forêt sous le nom d'Arduenne.
  16. Émile Poumon,Abbaye de Belgique, Office de publicité, S.A, éditeurs, Bruxelles, 1954,p. 105-106.
  17. Vanderkindere 1902, t.II,p. 228.
  18. Vanderkindere 1902, t.II,p. 228-229.
  19. Pierre Aubé,Godefroy de Bouillon,Fayard,,p. 221
  20. Pierre Congar, Jean Lecaillon et Jacques Rousseau,Sedan et le pays sedanais, vingt siècles d’histoire, Éditions F.E.R.N.,, 577 p.,p. 149-173
  21. Marc Scheidecker et Gérard Gayot,Les protestants de Sedan au XVIIIe siècle, Honoré Champion,,,p. 15-23

Annexes

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Articles connexes

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Bibliographie

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LéonVanderkindere,La Formation territoriale des principautés belges au Moyen Âge,vol. II, Bruxelles, H. Lamertin, (réimpr. 1981), 481 p.(lire en ligne).

Liens externes

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v ·m
Régions naturelles deChampagne-Ardenne
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