Pour les articles homonymes, voirTour des archives.
| Destination initiale | |
|---|---|
| Destination actuelle | Archives départementales |
| Style | Moderne -XXe siècle |
| Construction | 1965 |
| Hauteur | 104 mètres |
| Gestionnaire | Département de la Seine-Maritime(d) |
| Visiteurs par an | 1 187()[1] |
| Site web |
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| Coordonnées |
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Lesarchives départementales de la Seine-Maritime sont un service duconseil départemental de la Seine-Maritime. Elles se situent àRouen[2] dans le quartier Grammont.

Jusqu'en 1825, les archives étaient disséminées dansRouen. L'acquisition d'un local situé près de la préfecture,boulevard des Belges, permet alors de les rassembler.
Après laSeconde Guerre mondiale, les archives sont stockées, dans Rouen,rue de Crosne, dans la chapelle dulycée Corneille et, àMont-Saint-Aignan, dans la chapelle du Mont-aux-Malades[3].
Dès le début des années 1950, un projet de construction d'un centre administratif incluant lesarchives départementales sur la rive gauche de laSeine à Rouen est envisagé.
C’est ainsi qu'est inaugurée en 1965 la « Tour des Archives »[4], située dans l’enceinte de la cité administrative, dans lequartier Saint-Sever. Ce bâtiment, de conception moderne, peut désormais accueillir 37 kilomètres linéaires de documents, répartis sur27 étages. Chaque étage comprend deux salles disposant chacune de 600 mètres de rayonnages.
Le pôle culturel Grammont conçu par l’architecteRudy Ricciotti accueille depuis 2012 une partie des archives et des espaces d’accueil du public, d’animation et de médiation culturelles[5].
L’accès aux salles de lecture se fait au pôle culturel Grammont, au 42 rue Henri-II-Plantagenêt, bus F7, arrêts Simone-de-Beauvoir ou Clinique Mathilde près de la future gare centrale de Rouen et à deux pas de lagare routière mais aussi bien desservi par lemétro arrêt Honoré de Balzac à 900 mètres.
Œuvre de Bahrmann,Leroy et Dussaux, la tour, de 89 mètres de hauteur (104 mètres avec l’antenne), est construite entièrement enbéton armé, avec revêtement en pierre dure de Bourgogne. Afin d’éviter un vieillissement prématuré des documents dû à l’ensoleillement, toutes les ouvertures sont protégées par desclaustras. Cet édifice est le deuxième point le plus haut deRouen après lacathédrale Notre-Dame (151 m) et avant les « papillons » dupont Gustave-Flaubert (85 m).
En, elle fut mise en lumière par la société Neo Light grâce à 7 800 leds réparties sur les lucarnes des étages des façades nord et sud, accompagnées de 12 lampes au sommet, et de projections sur la façade Ouest (côté ascenseur) à partir du mois suivant[6].
| Identité | Période | Durée | |
|---|---|---|---|
| Début | Fin | ||
| Charles de Beaurepaire ( -) | 54 ans et 12 jours | ||
| Paul Chevreux ( -) | 1 an | ||
| Jules Vernier(d) ( -) | 19 ans | ||
| Paul Le Cacheux ( -) | 12 ans | ||
| François de Vaux de Foletier ( -) | 4 ans | ||
| François Burckard ( -) | 24 ans | ||
| Claude Hohl(d) ( -) | 8 ans | ||
| Armelle Sentilhes(d) (née au XXe siècle) | |||
| Vincent Maroteaux(d)[7] (né en) | En cours | 20 ans et 2 mois | |