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Archidiocèse de Lyon

45° 45′ 39″ N, 4° 49′ 37″ E
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Archidiocèse de Lyon
(la)Archidioecesis Lugdunensis
Logo de l'archidiocèse
Logo de l'archidiocèse
Informations générales
PaysFrance
AffiliationÉglise catholique en France
ArchevêqueOlivier de Germay
Langue(s) liturgique(s)français
Superficie5 087 km2
Création dudiocèseIIe siècle
Élévation au rang d'archidiocèseIIIe siècle
Patronsaint Irénée
saint Pothin
Province ecclésiastiqueLyon
Diocèses suffragantsAnnecy
Belley-Ars
Chambéry, Maurienne et Tarentaise
Grenoble-Vienne
Saint-Étienne
Valence, Die et Saint-Paul-Trois-Châteaux
Viviers
AdresseArchevêché de Lyon
Maison Saint-Irénée
7 place Saint-Irénée
69321 Lyon cedex 05
Site website officiel
Statistiques
Population1 735 000 hab.
Population catholique1 200 000 fidèles
Pourcentage de catholiques69,2 %
Nombre deparoisses160
Nombre deprêtres570
Nombre de diacres65
Nombre de religieux114
Nombre de religieuses2 090
Image illustrative de l’article Archidiocèse de Lyon
Localisation du diocèse
Image illustrative de l’article Archidiocèse de Lyon
Diocèses suffragants
(en) Notice surwww.catholic-hierarchy.org
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L'archidiocèse deLyon (enlatin :Archidioecesis Lugdunensis) est un desarchidiocèses métropolitains de l'Église catholique en France. L'archevêque de Lyon porte le titre, aujourd'hui honorifique, deprimat des Gaules.

Depuis le,Olivier de Germay est archevêque de Lyon. Il est assisté de trois évêques auxiliaires,Patrick Le Gal depuis 2009,Loïc Lagadec etThierry Brac de La Perrière depuis 2023.

Histoire

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Origines

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Érigé auIIe siècle, lediocèse de Lyon (en latin :Dioecesis Lugdunensis) fait partie des circonscriptions ecclésiastiques les plus anciennes de France. En effet, les premiers missionnaires chrétiens, d'origine grecque, arrivèrent assez tôt àLugdunum, métropole économique, politique et religieuse desTrois Gaules. En177, sousMarc Aurèle, est attestée une persécution contre les chrétiens de Lyon, déjà organisés en Église locale. Lors de ses événements, on dénombre 48martyrs dont l'évêquePothin etBlandine.

Irénée, successeur de Pothin, est connu pour être disciple desaint Polycarpe, lui-même disciple desaint Jean l'évangéliste :Eusèbe de Césarée rapporte qu'au prêtre Florinus qui était tombé dans l’hérésie gnostique, Irénée écrivit :« Je t’ai vu, quand j'étais encore enfant, dans l'Asie inférieure, auprès de Polycarpe ; tu avais une situation brillante à la cour impériale et tu cherchais à te faire bien voir de lui. Car j’ai meilleur souvenir de ces jours d'autrefois que des événements récents. Ce que l'on a appris dès l'enfance, en effet, se développe en même temps que l'âme, en ne faisant qu'un avec elle. Si bien que je puis dire le lieu où s'asseyait pour nous entretenir le bienheureux Polycarpe, ses allées et venues, le caractère de sa vie et l'aspect de son corps, les discours qu'il tenait à la foule, et comment il racontait ses relations avec Jean, et avec les autres qui avaient vu le Seigneur, et comment il rapportait leurs paroles, et ce qu'il tenait d'eux au sujet du Seigneur, de ses miracles, de son enseignement, en un mot comment Polycarpe avait reçu la tradition de ceux qui avaient vu de leurs yeux le Verbe de vie, il était dans tout ce qu'il rapportait d'accord avec les Écritures. J'écoutais cela attentivement, par la faveur que Dieu a bien voulu me faire, et je le notais non sur du papier, mais en mon cœur, et, par la grâce de Dieu, je ne cesse de le ruminer fidèlement. Je puis témoigner devant Dieu que si le bienheureux vieillard, l'homme apostolique, avait entendu quelque chose de pareil (les doctrines gnostiques), il se serait récrié, il aurait bouché ses oreilles, il aurait dit comme à son ordinaire : O bon Dieu, pour quels temps m'as-tu réservé, faut-il que je supporte de telles choses ! et il aurait fui loin du lieu où, assis ou debout, il aurait entendu de pareils discours. »[1]. Le lien est donc fait entre les apôtres et l'Église de Lyon.

Le diocèse de Lyon est élevé au rang d'archidiocèse métropolitain dès leIIIe siècle[2].

Diocèses suffragants médiévaux

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L'archevêché de Lyon comptait depuis l'époque de sa création quatrediocèses suffragants :Autun,Chalon,Langres etMâcon.

Ce découpage demeura inchangé jusqu'auXVIIIe siècle avec la création des diocèses deDijon en1731 etSaint-Claude en1742, par démembrement de Langres et Lyon[N 1] respectivement. Ces modifications portèrent le nombre de suffragants de l'archevêché de Lyon à six jusqu'à laRévolution française.

Moyen Âge

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Outre le spirituel, l'Église de Lyon exerça une autorité temporelle et à ce titre administra un territoire, la ville épiscopale et ses environs et fut détentrice desdroits régaliens (droit de justice, de lever une armée et de battre monnaie) à la suite de la dévolution à la famille royale de la fonction épiscopale.Burchard Ier de Lyon (948-963) puisBurchard II (979-1031), respectivement frère et fils illégitime deConrad III de Bourgogne, posent les premiers jalons d'une principauté épiscopale lyonnaise dès la seconde moitié duXe siècle.

Lacathédrale Saint-Jean-Baptiste,primatiale desGaules.

À ce titre et à la suite du rapprochement avec le royaume de France (amorcé par lapermutation de 1173), l'évêqueJean II de Belles-Mains édifia à la fin duXIe siècle un château à motte ; motte de Béchevelin. La motte, outre le rôle symbolique et politique, tête de pont sur la rive gauche du Rhône de l'église de Lyon, contrôlait le passage sur le fleuve et surveillait le « compendium » antique Lyon-Vienne ; un péage y était attaché. Ce même évêque favorisa également la construction du pont du Rhône[N 2], pont de la Guillotière actuel. Il est à noter que ce territoire sur lequel l'église de Lyon avait autorité était contesté par le comte de Savoie, les seigneurs deChandieu et les dauphins de Viennois[N 3].

L'Église de Lyon jouit également de laseigneurie deSaint-Barnard que Guichard V,sire de Beaujeu, lui avait aliéné avec toutes ses dépendances, moyennant6 050 livres au mois de mai 1264[3] et ce jusqu'en 1599[3], époque où elle l’aliène à Martin de Covet, seigneur deMontribloud.

Époque moderne et contemporaine

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Diocèse de Lyon divisé par ses vingt archiprêtrés (1769).

À la fin de l'époque moderne, le diocèse est divisé en vingt archiprêtrés.

Articles courts :Diocèse de Rhône-et-Loire etMétropole du Sud-Est.

De1790 à1793, Lyon est le siège épiscopal du diocèse du département deRhône-et-Loire, un desquatre-vingt-trois diocèses de l'Église constitutionnelle créés par laconstitution civile du clergé. Lyon est aussi le siège de la métropole du Sud-Est, un desdix arrondissements métropolitains.

De1801 à1822, il couvre les troisdépartements de l'Ain, de laLoire et duRhône. En 1822, le siège épiscopal deBelley est rétabli pour le département de l'Ain et l'archidiocèse de Lyon réduit à ceux de la Loire et le Rhône. En1970, le siège épiscopal deSaint-Étienne est érigé pour deux des troisarrondissements du département de la Loire :celui de Saint-Étienne etcelui de Montbrison. Ainsi, depuis 1970, l'archidiocèse de Lyon ne couvre plus que le département du Rhône et l'arrondissement de Roanne.

La bullePaternae caritatis du[4] avait disposé que l'archevêque de Lyon adjoigne à son titre celui de la métropole supprimée de Vienne ; cette disposition a cessé d'être en vigueur le[5], adjoignant le titre de Vienne au diocèse deGrenoble.

Article connexe :Province ecclésiastique de Lyon.

Période récente

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Le, lediocèse de Saint-Étienne est créé à partir de territoires de l'archidiocèse de Lyon.

Depuis2002, lessuffragants du diocèse lyonnais sont les diocèses d'Annecy,Belley-Ars,Grenoble-Vienne-les-Allobroges,Saint-Étienne,Valence etViviers, ainsi que l'archidiocèse deChambéry, Maurienne et Tarentaise[6]. Laprovince ecclésiastique de Lyon couvre ainsi larégionRhône-Alpes.

Article connexe :Primat des Gaules.

Les archevêques de Lyon portent le titre, aujourd'hui honorifique, deprimat des Gaules.

Article connexe :Archidiocèse de Vienne (France).

De 1822 à2006, ils relèvent le titre d'archevêque de Vienne. Depuis 2006, le territoire de Vienne est rattaché audiocèse de Grenoble-les-Allobroges, dont le nom est devenu Grenoble-Vienne-les-Allobroges.

Article connexe :Cardinal-prêtre de l'église de la Très-Sainte-Trinité-des-Monts de Rome.

Depuis1842, les archevêques de Lyon sont presque toujours crééscardinaux-prêtres de l'église de la Très-Sainte-Trinité-des-Monts de Rome, une des cinq églises desPieux Établissements de la France à Rome et Lorette.

De 2002 à 2020, l'archevêque de Lyon est le cardinalPhilippe Barbarin. Il est assisté de deuxévêques auxiliaires :Patrick Le Gal,évêque titulaire d'Arisitum etEmmanuel Gobilliard, évêque titulaire deCarpentras et ancien recteur de lacathédrale du Puy.

En 2012, le cardinal Barbarin fait venir laCommunauté Saint-Martin dans le diocèse, pour desservir la paroisse de Meyzieu[7] ; depuis 2019, elle est également présente àOullins[8].

Chevet de laprimatiale Saint-Jean-Baptiste etbasilique Notre-Dame de Fourvière.

Le lepape François nommeOlivier de Germay, alorsévêque d'Ajaccio, à l'archidiocèse de Lyon. Le nouvel archevêque est installé le dans la primatiale[9],[10],[11].

À la suite de l'affaire Bernard Preynat, le diocèse de Lyon décide d'indemniser 21 victimes du prêtre pédophile. En décembre 2020, une somme globale de 169 500 euros est donnée aux 14 premières« dont les faits étaient prescrits et qui ne pouvaient donc pas saisir le tribunal judiciaire ». Les sept autres doivent être indemnisés à la fin des procédures judiciaires[12].

En janvier 2022, le prêtreLouis Ribes, artiste peintre décédé en 1994, est accusé d'avoir agressé sexuellement des dizaines d'enfants dans les années 1970 et 1980. Plusieurs enfants ont posé nus à la demande du prêtre. Le diocèse de Lyon, convaincu de la véracité des allégations, a décidé de décrocher les œuvres de Louis Ribes des édifices religieux[13],[14].

Évêques et archevêques de Lyon

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Article connexe :Liste des évêques et archevêques de Lyon.

Géographie

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Le diocèse comprend lamétropole de Lyon, le département duRhône et l'arrondissement de Roanne, dans le département de laLoire.

L'archidiaconé Saint-Jean (agglomération lyonnaise) compte 113paroisses réparties en 17doyennés[15], 47 communes en dépendent, soit 851 805 habitants.

L'archidiaconé Saint-Pierre (Rhône-Vert qui correspond au département du Rhône hors agglomération)[16].

L'archidiaconé Notre-Dame (Roannais dans la Loire)[17].

En chiffres

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Le diocèse compte un archevêque et deux évêques auxiliaires,Patrick Le Gal etEmmanuel Gobilliard. Il y a environ 600 prêtres et diacres[2], entre 2 et 4 nouveaux prêtres sont ordonnés pour le diocèse chaque année depuis 2001.

Selon un sondage du quotidienLa Croix de 2004, 60 % des 1 800 000 habitants se disent catholiques et environ 5 % pratiquants, soit l'équivalent de la situation en France[18].

L'archidiocèse de Lyon compte trois basiliques mineures : laBasilique Notre-Dame de Fourvière, laBasilique Saint-Martin d'Ainay et laBasilique Saint-Bonaventure de Lyon.

Évêques originaires de l'archidiocèse de Lyon

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Jumelages

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En1985, le cardinalAlbert Decourtray et Youssef Béchara, archevêque d'Antélias procède au jumelage des deux diocèses, dans le but de renouer et de resserrer les liens qui existent entre les communautés. En2003, le cardinalPhilippe Barbarin et son homologue d'Antélias, Bechara rédigent et signent une charte pour préciser l'esprit et les modalités du jumelage[19].

Le, le diocèse de Lyon est jumelé aveccelui de Mossoul[20]. Ce jumelage avait été annoncé au cours d'une messe àErbil le[21].

Rite

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À la publication de la bulleQuo primum[22] qui a suivi leconcile de Trente auXVIe siècle, il put garder son rite propre, lerite lyonnais. AuXVIIIe siècle, le rite lyonnais fut profondément remanié et devint le rite « romano-lyonnais » qui fut célébré par tous les prêtres incardinés dans le diocèse à l'exception de certains ordres religieux. Lors des réformes de1969, il fut remplacé par lerite dit de Paul VI. Aujourd'hui, le rite romano-lyonnais est maintenu à l'église Saint-Georges, ou bien encore par laFraternité sacerdotale Saint-Pierre dans l'église Saint-Just, par des prêtres attachés à la forme extraordinaire du rite romain.

Délégué épiscopal à l'écologie

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Voir les articles annexes :Sauvegarde de la Création etÉcologie intégrale.

Le, après un colloque en hommage àJean Bastaire, pionnier d'une pensée chrétienne de l'écologie, le théologienFabien Revol a suggèré au cardinalPhilippe Barbarin de nommer un responsable dans le diocèse chargé de piloter des initiatives dans le domaine de l'écologie. Après la parution de l'encycliqueLaudato si' du pape François en juin, le cardinal Barbarin a nommé le père Michel Raquet délégué épiscopal à l'écologie dans le diocèse de Lyon. Michel Raquet, 49 ans, ancien professeur agrégé de sciences naturelles, a repris des études de philosophie et de biologie après son ordination dans le diocèse de Lyon en 1997. Il est enseignant-chercheur à l'Université catholique de Lyon et membre de la chaire Jean Bastaire, dirigée par Fabien Revol. Le nouveau délégué, entouré d'une équipe de laïcs, a pour mission de fédérer les actions déjà existantes dans le diocèse autour de l'écologie, et d'encourager l'émergence de nouvelles initiatives. Il aura à mener un travail de sensibilisation auprès des chrétiens[23].

Notes et références

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Notes

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  1. L'archidiocèse de Besançon dut également céder 7 paroisses lors de la création du diocèse de Saint-Claude, s'ajoutant aux 81 paroisses cédées par l'archidiocèse de Lyon.
  2. Seul pont de pierre franchissant le Rhône connu au Moyen Âge à Lyon.
  3. Les dauphins seraient à l'origine de la construction de deux mottes dans le même secteur ; la « Petite Motte » et la « Grande Motte ».

Références

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  1. Eusèbe de Césarée :Histoire ecclésiastique, V 20.
  2. a etbdonnées sur le sitecatholic-hierarchy.org
  3. a etbMarie-Claude Guigue,Topographie historique du département de l'Ain,Bourg, Gromier Ainé,, 518 p.(BNF 30556006,lire en ligne),p. 336.
  4. C'est la bulle qui réorganise l'Église de France à la suite d'un aménagement du concordat de 1802
  5. décretIntra fines diœceseos Gratianopolitanæ de laCongrégation pour les évêques
  6. Article de La Croix sur les nouvelles provinces ecclésiastiques, 10 avril 2013
  7. « Le curé prend le terminal de carte bleue : “J’ai besoin de 450 000 euros” », surLes Jours,(consulté le)
  8. « Métropole de Lyon. Meyzieu, Oullins : des prêtres en soutane pas si "tradi" », surwww.leprogres.fr(consulté le)
  9. « Monseigneur Olivier de Germay est le nouvel archevêque de Lyon »,Le Progrès,‎(ISSN 2102-6807,lire en ligne, consulté le).
  10. JustinBoche, « Olivier de Germay nommé successeur du cardinal Barbarin »,Lyon Capitale,‎(lire en ligne, consulté le).
  11. CécileChambraud, « Olivier de Germay succède au cardinal Philippe Barbarin comme archevêque de Lyon »,Le Monde,‎(ISSN 0395-2037,lire en ligne, consulté le).
  12. Pédophilie dans l’Eglise : le diocèse de Lyon indemnise 14 victimes de l’ancien prêtre PreynatLe Parisien, 19 février 2021
  13. AnneJouan, « Affaire Louis Ribes : de nouveaux témoignages et un scandale de plus qui embarrasse l'Église », surwww.marianne.net, 2022-01-17utc16:33:12+0100(consulté le)
  14. « Pédophilie dans l'Eglise : de nouvelles victimes du père Louis Ribes témoignent », surFrance Bleu,(consulté le)
  15. L'archidiaconé saint-Jean sur l'annuaire du diocèse
  16. L'archidiaconé saint-Pierre sur l'annuaire du diocèse
  17. L'archidiaconé Notre-Dame sur l'annuaire du diocèse
  18. Sondage CSA de décembre 2004 pourLa Croix
  19. site internet du jumelage des deux diocèses.
  20. Natalia Trouiller, « Lancement du jumelage Lyon-Mossoul », Diocèse de Lyon,(consulté le).
  21. « Historique du jumelage », surLyon Mossoul, Églises Sœurs,(consulté le).
  22. BulleQuo primum
  23. « Le cardinal Barbarin nomme un délégué épiscopal à l'écologie »,La Vie,1er octobre 2015

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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À la fin de l’Ancien Régime
Les noms en italique désignent les évêchés non-français en 1791
Province d'Aix
Province d'Albi
Province d'Arles
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Province deBesançon
Province deBordeaux
Province deBourges
Province deCambrai
Province d'Embrun
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Province deNarbonne
Province deParis
Province deReims
Province deRouen
Province deSens
Province deToulouse
Province deTours
Province deVienne
Évêchés dépendants de sièges étrangers
Sièges immédiats
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Archidiocèse de Mayence
Archidiocèse de Pise
Archidiocèse de Trèves
Autres évêchés extérieurs à la France en 1791
Province d'Avignon
Province deTarentaise
1791-1801 (Constitution civile du clergé)
1801-1822 (Concordat de 1801)
Les diocèses dont le nom est inscrit en italique se sont trouvés hors de France après le démantèlement de l'empire en 1814 et 1815.
Province d'Aix
Province deBesançon
Province deBordeaux
Province deBourges
Province deLyon
Province deMalines
Province deParis
Province deRouen
Province deToulouse
Province deTours
1822-2002 (Prévues par le concordat de 1817,en 1883)
Les diocèses dont le nom est suivi d'une astérisque sont ceux qui ont été rétablis en 1822
Province d'Aix, Arles et Embrun
Province d'Albi (Castres et Lavaur)*
Province d'Alger (1866-1962)
Province desAntilles et de la Guyane (1967)
Province d'Auch*
Province d'Avignon
Province deBesançon
Province deBordeaux
Province deBourges
Province deCambrai
Province deChambéry
Province deLyon et Vienne
Province deNouméa (1966)
Province dePapeete (1966)
Province deParis
Province deReims*
Province deRennes (Dol et Saint-Malo) (érigée en 1859)
Province deRouen
Province deSens (-Auxerre)*
Province deToulouse et Narbonne
Province deTours
Sièges immédiats
Depuis la réforme de 2002
Les diocèses dont le nom est inscrit en gras sont des archevêchés non-métropolitains
Province des Antilles et de la Guyane (Saint-Pierre et Fort-de-France)
Province deBesançon
Province deBordeaux (-Bazas)
Province deClermont
Province deDijon
Province deLille
Province deLyon
Province deMarseille
Province deMontpellier (-Lodève-Béziers-Agde-Saint-Pons-de-Thomières)
Province deNouméa
Province dePapeete
Province deParis
Province dePoitiers
Province deReims
Province deRennes (-Dol-Saint-Malo)
Province deRouen
Province deToulouse (-Saint-Bertrand-de-Comminges-Rieux)
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