| Andrea Gmür-Schönenberger | |
Portrait officiel, 2019. | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Conseillère aux États Présidente dugroupe du Centre (2020-21)[a] | |
| En fonction depuis le | |
| Législature | 51e et52e |
| Groupe politique | C-CED |
| Commission | CSEC,CPS CTT(2023-),CPE(2019-23) |
| Prédécesseur | Konrad Graber |
| Conseillère nationale | |
| – | |
| Législature | 50e |
| Groupe politique | C-CED |
| Commission | CAJ,CSEC |
| Députée auGrand Conseil du canton de Lucerne | |
| – | |
| Législature | 2007-2011 à 2015-2019 |
| Biographie | |
| Date de naissance | (61 ans) |
| Lieu de naissance | Wattwil |
| Nationalité | suisse |
| Parti politique | PDC /Centre |
| Entourage | Felix Gmür (beau-frère) |
| Diplômée de | Université de Fribourg |
| Profession | Enseignante |
| modifier | |
Andrea Gmür-Schönenberger, née le àWattwil (originaire deLucerne,Amden etKirchberg (Saint-Gall), est unepersonnalité politiquesuisse, membre duCentre.
Elle est députée ducanton de Lucerne auConseil national de à puis auConseil des États.
Andrea Gmür-Schönenberger naît Andrea Schönenberger le à Wattwil, dans le canton de Saint-Gall. Elle est originaire de deux autres communes de ce canton, Amden et Kirchberg, et de Lucerne[1].
Elle est mariée à Philipp Gmür, directeur général du groupe d'assuranceHelvetia, avec qui elle a quatre enfants. Elle est la fille deJakob Schönenberger (de)[2],conseiller aux États de 1979 à 1991. Son beau-frère[3],Felix Gmür, est l'évêque dudiocèse de Bâle depuis[4],[5],[6].
Elle vit à Lucerne[5].
Elle grandit dans leToggenburg[4]. Elle obtient unematurité gymnasiale de type B (latin-anglais) àWattwil en 1983, puis étudie l'anglais et lefrançais à l'Université de Fribourg, où elle décroche une licence en 1989 et un diplôme d'enseignante au gymnase la même année[5].
Elle enseigne de 1991 à 2007 l'anglais et le français dans différents gymnases. Elle est directrice générale de la fondationJosi Meier à Lucerne depuis2007. Elle est également membre du conseil universitaire de l'Université de Lucerne depuis 2009[5].
Elle siège auConseil cantonal de Lucerne de 2007 à 2015[1].
Élue pour 138 voix au Conseil national enoctobre 2015[7], elle y est membre de laCommission des affaires juridiques (CAJ) et laCommission de la science, de l'éducation et de la culture (CSEC)[1].
Enoctobre 2019, elle est élue au Conseil des États, distançant nettement son concurrent de l'UDCFranz Grüter. Elle y est à nouveau membre de la CSEC, mais également de laCommission de la politique de sécurité (CPS), qu'elle préside depuis fin 2023[1] et de laCommission de politique extérieure (CPE). Elle est largement réélue au premier tour enoctobre 2023[8]. Lors de cettenouvelle législature, elle quitte la CPE pour rejoindre laCommission des transports et des télécommunications (CTT)[1].
En 2020, elle est la première femme à accéder à la présidence du groupe du Centre de l'Assemblée fédérale, s'imposant devantLeo Müller[7]. Elle démissionne de cette fonction en avec effet à fin[réf. souhaitée].
Spécialiste des questions de formation, elle est également connue pour demander de meilleures liaisons ferroviaires pour son canton[9].
Lors de lapandémie de COVID-19, elle se distingue en demandant surTwitter une obligation de vaccination pour le personnel soignant[9].