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André Chénier

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André Chénier
Portrait d'André Chénier (1795).
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
André Marie de Chénier
Nationalité
Formation
Activité
Père
Mère
Elisabeth Santi Lomaca(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Autres informations
Mouvement
Distinction
Plaque commémorative

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André Marie de Chénier, ditAndré Chénier, fils deLouis de Chénier et frère deMarie-Joseph Chénier, est unpoète etjournaliste français, né le àConstantinople et mort guillotiné àParis le7 Thermidor de l'an II () à 31 ans.

Sa poésie comprend des réécritures de poèmes antiques, desélégies personnelles, des poèmes philosophiques et des poèmes politiques marqués par le contexte révolutionnaire. L'œuvre inachevée de ce jeune poète duXVIIIe siècle, publiée progressivement à partir de 1819, a fait de lui une figure majeure de l'hellénisme en France[1] et un inspirateur du romantisme.

Durant la période révolutionnaire, il prend part aux polémiques politiques. Héritier desLumières, il est membre du parti constitutionnel, admire laRévolution de 1789 mais prend violemment position contre lejacobinisme mené parRobespierre, tout en méprisant les royalistes.

Biographie

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Enfance et adolescence

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André Chénier est né àGalata, quartier deConstantinople (aujourd'huiIstanbul enTurquie), d’une mère grecque (Elisabeth Lhomaca)[2],[3] et d’un négociant français,Louis de Chénier. Sa famille rentre en France en 1765, mais son père repart bientôt seul pour être consul au Maroc[4] (ville deSafi). André fut élevé par sa tante Marie Béraud et son époux André àCarcassonne[5],[6] où une cloche « l'Andréne » fut baptisée en son honneur à l'église Saint-Vincent. Il est admis en 1773 auCollège de Navarre, qui est ouvert aux idées nouvelles : l'histoire et la géographie sont inspirées deL'Essai sur les mœurs deVoltaire, et la philosophie s'inspire du sensualisme deCondillac[7]. Il se lie avec des fils de grandes familles, notamment Charles et Michel de Trudaine, ainsi que Louis etFrançois de Pange, grâce auxquels il fréquente les milieux littéraires et aristocratiques. Plusieurs de ses poèmes sont dédiés à ces amis. Les Trudaine et les Pange sont par ailleurs proches de Turgot, des Lumières et des encyclopédistes. Tous ces amis ontCondorcet pour maître à penser[8].

  • Élisabeth Santi-Lomaca-Chénier.
    Élisabeth Santi-Lomaca-Chénier.
  • La famille Chénier en 1783 à Paris.
    La famille Chénier en 1783 à Paris.
  • André Chénier en 1773 (à 11 ans).
    André Chénier en 1773 (à 11 ans).

Activités poétiques

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Pour l'arracher à un amour malheureux pour une chanteuse de l'Opéra (saLycoris), on lui propose un stage d'élève officier à Strasbourg en 1782. Mais il se voit fermer la carrière militaire commeroturier. Reportant désormais son ambition vers la poésie, quoique sans publier, il conçut de grands projets, avec l'espoir de devenir « l’Homère des modernes »[2]. Cependant, après un voyage en Suisse en 1784, il compose surtout desÉlégies et desBucoliques. L'imitation des modèles antiques[9] sert l'expression esthétique d'une inspiration orientée par sa passion pour la mondaineMichelle Guesnon de Bonneuil (appelée D'Azan ou Camille), puis par son amitié amoureuse pour la peintre italo-anglaiseMaria Cosway, née Hadfield, épouse deRichard Cosway et courtisée par l'ambassadeur américainThomas Jefferson.

À partir de, au retour d'un rapide et mystérieux voyage en Italie, il se consacre plus activement à une poésie philosophique etsatirique, qui porte la marque du climat idéologique pré-révolutionnaire. Mais sa situation financière l'oblige à contenir sa combattivité. Engagé comme ambassadeur privé dumarquis de la Luzerne, ambassadeur de France en Angleterre, il part pourLondres le en compagnie deMaria Cosway. Il y reste en service jusqu'en 1790, tout en prenant chaque été un congé à Paris.

Journalisme

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Il contribue auJournal de la Société de 1789 qui édite une quinzaine de numéros[2]. À partir de 1791, il collabore, aux côtés deMichel Regnaud de Saint-Jean d'Angély et deFrançois de Pange, auJournal de Paris, l'organe du parti constitutionnel. Il condamne laTerreur dans des articles critiques visantJacques Pierre Brissot, et dans d'autres textes plus véhéments contre les Jacobins, notammentRobespierre etMarat[2]. Inquiété pour ces prises de position, il réussit à quitter Paris après le, partant duquartier du Sentier où il résidait chez ses parents. Au moment desmassacres de septembre, il se rend àRouen, puis auHavre, d'où il pourrait embarquer. Il refuse néanmoins d'émigrer et revient à Paris pour participer aux tentatives faites pour sauverLouis XVI de l'échafaud. Au printemps 1793, il se replie sur Versailles, d'où il se rend souvent àLouveciennes dans la propriété de ses amis Lecouteulx[2]. Discrètement amoureux de Françoise Lecouteulx, il compose pour elle la mélancolique série desOdes à Fanny[10].

Arrestation et condamnation

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Appel des dernières victimes de la Terreur dans laprison Saint-Lazare. 7-9 thermidor 1794 parCharles Müller.

André Chénier est arrêté àPassy (dans l'actuellerue Bois-Le-Vent[11]) le, alors qu’il rend visite à son amieAdélaïde Piscatory, marquise de Pastoret. Venant deVersailles, il est accompagné d'Émilie-Lucrèce d'Estat qui, comme lui, a participé à des achats de votes de conventionnels pendant le procès deLouis XVI[12].Mlle d'Estat, maîtresse puis épouse deJosé Ocariz, l’ancien chargé d’affaires ayant rang d’ambassadeur espagnol à Paris avant la déclaration de guerre, et qui a supervisé cette vaste opération de corruption[Note 1], a conservé des papiers relatifs à cette affaire. Ce dossier très important qu'André Chénier a eu entre les mains est activement recherché par les comités de l’an II.

Sachant queMlle d'Estat, dont le frère et la sœur viennent d’être guillotinés, est elle-même en danger, Chénier se met courageusement en avant, créant une situation confuse pendant laquelleMlle d'Estat peut s’esquiver tandis qu’on l’emmène, lui, à laprison Saint-Lazare. Impliqué dans une affaire qui permet d’exécuter les suspects sans les entendre, il est condamné à mort par leTribunal révolutionnaire pour avoir « recelé les papiers de l'ambassadeur d'Espagne ». Il est également accusé, comme « ex-adjudant-chef et chef-de-brigade » sous les ordres deCharles François Dumouriez, d'avoir écrit « un mémoire contre des habitants de la commune de Breteuil », alors qu'en réalité c'est son frère Sauveur Chénier qui en est l'auteur et qui est emprisonné àBeauvais[13].

À l'instar deJean-Baptiste Coffinhal qui avait déclaré àAntoine Lavoisier lors de son procès : « La République n’a pas besoin de savants, ni de chimistes »[14],Fouquier-Tinville adresse à André Chénier la phrase suivante : « La République n'a pas besoin de poètes »[15]

André Chénier est guillotiné le7 thermidor, avec le poèteJean-Antoine Roucher etFrédéric de Trenck, deux jours avant la chute deRobespierre. La veille de sa mort, il aurait écrit l'odeLa Jeune captive, qui évoque la figure de sa muse,Aimée de Coigny.

S'adressant à Jean Antoine Roucher, il prononce ces paroles[16] avant de monter sur l’échafaud :« Je n'ai rien fait pour la postérité », ajoutant en désignant sa tête :« Pourtant, j’avais quelque chose là ! » ou :« C'est dommage, il y avait quelque chose là ! »[Note 2]. Son corps, parmi mille trois cents autres victimes de laTerreur et de la guillotine, est jetéplace de la Nation, dans une fosse commune du couvent des chanoinesses, qui deviendra plus tard lecimetière de Picpus[17].

On raconte qu'en attendant son tour devant l'échafaud, il lit une pièce deSophocle. Lorsque le bourreau l'appelle pour lui attacher les mains, Chénier remet son livre en poche, non sans avoir corné la page[18],[19].

Son frère cadet,Marie-Joseph Chénier, écrivain etdramaturge, mène de pair une carrière politique. Après la mort d'André, les royalistes se livrent à une violente campagne diffamatoire contre Marie-Joseph, le traitant deCaïn et l’accusant faussement d’avoir laissé exécuter son frère, pour discréditer les républicains.

Œuvres de Chénier

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Œuvres d’art inspirées de ses poèmes et de sa vie

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Portrait du poète André Chénier (1762-1794),
Horace Vernet, 1825
Collection privée[21].
Buste d'André Chénier par le sculpteurDavid d'Angers (1839).

Hommages

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Plaque auno 97,rue de Cléry (Paris).
Plaque apposée àCarcassonne, rue Pinel, sur la maison où André Chénier passa une partie de son enfance.

À Paris, dans le2e arrondissement, unerue Chénier existe depuis 1864, à quelques pas du 97rue de Cléry, immeuble dit « Pointe Trigano », où est apposée une plaque commémorative, le présentant erronément comme la maison du poète[24] ; en réalité Chénier demeurait au niveau du numéro 23 actuel de la rue de Clery[25].

Il existe des collèges André Chénier :

Et des écoles André Chénier :

À Carcassonne également, entre la gare et le centre-ville, un square bordé d'un mail porte également le nom d'André Chénier.

L'Institution Sainte-Marie d'Antony possède un amphithéâtre nommé André Chénier.

À Versailles, une rue André Chénier existe dans le centre-ville. Elle est l'une des quatre rues périphériques de la place du marché Notre-Dame. Sur un plan de 1854, elle s'appelait rue des Fripiers[29], elle apparaît sous son nom actuel sur un plan de 1889[30].

Des impasses existent en son nom aussi :

  • à Riom, ville du département duPuy-de-Dôme (63) ;
  • à Wasquehal, ville du département duNord (59).

Le nom d'André Chénier a encore été donné à :

Notes et références

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Notes

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  1. Des fonds débloqués par la cour d’Espagne, avaient été transférés de laBanque de Saint-Charles vers celle, à Paris, des Le Couteulx à Paris qui les mirent à la disposition de Chénier, Richer de Sérisy,Michel Regnaud de Saint-Jean d'Angély, Félix Le Peletier et autres distributeurs d’argent aux Conventionnels. Parmi ces derniers,Tallien.
  2. « Tout le monde connait le mot d'André Chénier sur l'échafaud : “C'est dommage, dit-il en se frappant le front, il y avait quelque chose là !” » (Notes deContre la peine de mort,Méditations Poétiques,Lamartine.)

Références

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  1. ÉmileEgger,L'Hellénisme en France, leçons sur l'influence des études grecques dans le développement de la langue et de la littérature françaises, Paris,Didier,, 2 vol. in-8°(BNF 30395567), Tome II, p. 386
    L'hellénisme en France, Tome II surGoogle Livres
  2. abcd eteAndréChénier, GeorgesBuisson (Éditeur scientifique) et ÉdouardGuitton (Éditeur scientifique),Œuvres poétiques, Orléans, Paradigme,coll. « Hologrammes »,, 21 cm(ISSN 1773-7036,BNF 39982759), Tome I, Chronologie
  3. AndréChénier (préf. Henri de Latouche),Poésies de André Chénier, Paris, Charpentier et Cie,, XLVIII-283 p. ; 18 cm(BNF 30232716)
  4. Louis Becq de Fourières,André Chénier. Sa vie et ses œuvres, introduction auxPoésies d'André Chénier, Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », Paris, p. XIII-XIV.
  5. Jean Fabre,Chénier, l'homme et l’œuvre, Hatier, 1955,p. 13.
  6. René Descadeillas,Bulletin n°91-92 de la Société des bibliophiles de Guyenne. La bibliothèque municipale de Carcassonne, le fond Chénier, Imprimerie Taffard,, p.36 à 41
  7. Jean Fabre,Chénier, l'homme et l’œuvre, Hatier, 1955,p. 15-16
  8. Jean Fabre,Chénier, l'homme et l’œuvre, Hatier, 1955,p. 16-17
  9. ÉmileEgger,L'Hellénisme en France, leçons sur l'influence des études grecques dans le développement de la langue et de la littérature françaises, Paris,Didier,, 2 vol. in-8°(BNF 30395567), Tome I, p. 7
    L'hellénisme en France, Tome I surGoogle Livres
  10. GustavePlanche, « Poètes et romanciers modernes de la France »,période initiale,‎,p. 218–235(lire en ligne, consulté le)
  11. Jacques Hillairet,Dictionnaire historique des rues de Paris,Éditions de Minuit, septième édition, 1963,t. 2 (« L-Z »), « Avenue Mozart »,p. 169.
  12. Sur cette affaire : Olivier Blanc « Dérapages,chantages et rançonnements » de l'ouvrage paru en 1792La corruption sous la Terreur (1792-1794) pp. 118-155 sur Cairn
  13. AndréChénier et PaulLacroix (Éditeur scientifique),Œuvres en prose de André Chénier, augmentées d'un grand nombre de morceaux inédits et précédées d'une notice littéraire par Eugène Hugo et d'une notice historique contenant toutes les pièces relatives à son procès : Seule édition complète publiée sur les manuscrits autographes de l'auteur, Paris, C. Gosselin,, In-18, LVIII-332 p.(BNF 30232746)
  14. A. Demazière,Encyclopédie des mots historiques vrais et faux, Genève, Famot, 1980,p. 285.
  15. Johan Faerber : "25 Juillet 1794. André Chénier est décapité" dansMa dose quotidienne de littérature page 215 sur le portail Cairn]
  16. AndréChénier et Marie-Joseph deChénier,Œuvres d'André et de M.-J. Chénier, Bruxelles, Laurent frères,, 536 p., In-32, XXIV(BNF 31938072)
  17. « Fêtes picpuciennes », surssccpicpus.fr(consulté le).
  18. ÉmissionÇa peut pas faire de mal, Guillaume Galienne, France Inter, 24 janvier 2015
  19. « 25 juillet 1794 : André Chénier est guillotiné », surRevue Des Deux Mondes,(consulté le).
  20. Édition de référence du jury de l'agrégation de lettres
  21. Portrait posthume
  22. Jean-MarieMestrallet (préf. Paul Margueritte),André Chénier, poème dramatique en 4 actes, Paris, E. Sansot,, 83 p., In-12(BNF 30934331)
  23. CatrionaSeth (dir.),André Chénier : le miracle du siècle, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne,coll. « Mémoire de la critique »,, 349 p., couv. ill. ; 21 cm(ISBN 2-84050-418-9,ISSN 1269-7621,BNF 40076258,lire en ligne),p. 33
    André Chénier: le miracle du siècle
    surGoogle Livres
  24. « La maison d’André Chénier », surterresdecrivains.com,(consulté le).
  25. « Paris : Pointe dite Trigano, immeuble habitable le plus étroit de Paris, longtemps considéré à tort comme la dernière demeure d'André Chénier », surparisladouce.com,(consulté le).
  26. « École André-Chénier », surecole-chenier.ac.ma(consulté le)
  27. « École élémentaire André Chénier », surMairie de Neuilly-sur-Marne(consulté le)
  28. « Ecole élémentaire André Chenier », surMinistère de l'Education Nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche(consulté le)
  29. Auguste Logerot, « Plan pittoresque de la ville et du parc de Versailles », surGallica,(consulté le).
  30. Bieuville et L. Bernard éditeur à Versailles), « Plan de Versailles en 1889 », surGallica,(consulté le).

Annexes

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Bibliographie

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Ouvrages sur Chénier

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  • Paul Dimoff,La vie et l’œuvre d'André Chénier, Paris 1936,Slatkine Reprints, 1970.
  • Georges Walter,André Chénier, son milieu, son temps, Paris, Robert Laffont, 1946.
  • Jean Fabre,Chénier, l'homme et l'œuvre, Hatier, 1955.
  • Jean-Marie Gerbault,André Chénier, Paris, Seghers, 1958.
  • Klaus W. Hempfer,Tendenz und Ästhetik. Studien zur französischen Verssatire des 18. Jahrhunderts, München, Wilhelm Fink, 1972, 314 p. (voir sur A. Chénier: p. 240-292).
  • Catriona Seth,André Chénier, le miracle du siècle, Paris, PUPS, 2005.
  • Jean Goulemot,André Chénier : poésie et politique, (avec Jean-Jacques Tatin-Gourier), Paris, Minerve, 2005, vol.I, 219p. (ISBN 2-86931-113-3)
  • Catriona Seth et Agnès Steuckardt,André Chénier. Études sur les Imitations et préludes poétiques, Art d'aimer et Élégies, Neuilly, Atlande, 2005.
  • Venance Dougados et son temps, André Chénier,Fabre d'Églantine, actes du colloque international tenu à Carcassonne les 5, 6 et, (éd.) Sylvie Caucanas etRémy Cazals, 1995, 222p. (ISBN 2-906442-12-7)
  • HenriTroyat,Le pas du juge ou la vie des frères Chénier, Paris, de Fallois,, 202 p.(ISBN 978-2-87706-682-2)
  • Christophe Gaillard, "La glorieuse imposture", L'Aire, Vevey, 2021 (Les derniers jours du poète à Saint-Lazare)

Articles

[modifier |modifier le code]
  1. « André Chénier et la dynamique constituante des affects », dans Jean-Noël Pascal (éd.),Lectures de Chénier : Imitations et préludes poétiques, Art d’aimer, Presses universitaires de Rennes, 2005,p. 31-46.
  2. « André Chénier entre l’abeille et la harpe éolienne : enjeux poétiques et politiques de l’imitation inventrice » (Lire en ligne[PDF]).
  3. « Le dilemme du peintre affligé. André Chénier et la cartographie de l’élégiaque »,Cahiers Roucher-André Chénier,no 25 spécial sur l’Élégie, 2006,p. 91-118.
  4. « Gémir en silence. Puissance des engagements hétérogènes d’André Chénier », Laurent Loty (éd),Littérature et engagement sous la Révolution française, Presses Universitaires de Rennes, 2007,p. 163-191.
  5. « La propriété poétique, c’est le vol de l’abeille. Éloge du copillage chez André Chénier », in Martial Poirson, Christian Biet et Yves Citton,Les Frontières littéraires de l’économieXVIIe-XIXe siècles, Desjonqueres, 2008,(ISBN 2843211085).

Articles connexes

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Liens externes

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Bases de données et dictionnaires

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