AuFestival de Cannes 2022, elle présenta son court-métrageLe pupille et réalise unemasterclass.
Elle revient de nouveau à Cannes en2023 mais cette fois-ci en compétition avecLa Chimère avecJosh O'Connor dans le rôle principal. Malgré de bonnes critiques, le film ne reçoit aucun prix. En décembre de la même année, leCentre Pompidou à Paris lui consacre une rétrospective[10].
Bong Joon-ho a décrit son œuvre comme « un mélange deréalisme magique et denéoréalisme, où des personnages innocents se heurtent à des monstres de corruption dans une description hypnotique du monde quotidien »[11].
↑Jean-Michel Frodon, « Cannes 2018, jour 6 :3 visages etHeureux comme Lazzaro, le cinéma comme voyage, miracle et évidence »,Slate,(lire en ligne, consulté le).
↑« Cannes 2018 : la Palme d’or couronne Hirokazu Kore-eda et son «Affaire de famille» »,Le Monde,(lire en ligne).
Caroline Renard,« Au bord du monde. Penser depuis le seuil avec Kelly Reichardt et Alice Rohrwacher », dans Vincent Deville et Loig Le Bihan (éd.),Penser les formes filmiques contemporaines, UGA Éditions,, 329 p.(ISBN9782377473830,lire en ligne),p. 95-117
Alice Rohrwacher, Le vrai du faux [Texte imprimé] : entretiens avec Eva Markovits et Judith Revault d'Allonnes, Les Éditions de l'Oeil,Centre Pompidou,, 179 p.(ISBN978-2-35137-355-2)