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Algorithme

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Ne doit pas être confondu avecLogarithme.

Les étapes successives du fonctionnement ducrible d'Ératosthène, unalgorithme ancien, mais toujours d'actualité, qui permet de déterminer tous lesnombres premiers plus petits qu'un entier donné, ici 120.
Un diagramme d'Ada Lovelace, le premier algorithme publié.
Algorithme de découpe d'unpolygone quelconque en triangles (triangulation).

Unalgorithme est une suite finie et non ambiguë d'instructions et d’opérations permettant de résoudre une classe de problèmes[1].

Le domaine qui étudie lesalgorithmes est appelé l'algorithmique. On retrouve aujourd'hui des algorithmes dans de nombreuses applications informatiques, dont dans les systèmes permettant le fonctionnement desordinateurs[2], lacryptographie, leroutage d'informations, laplanification et l'utilisation optimale des ressources, letraitement d'images, letraitement de textes, labio-informatique, l'intelligence artificielle, l'automatique, etc.

L'algorithme peut être mis en forme de façon graphique dans unalgorigramme ou organigramme de programmation.

Étymologie et histoire

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Muḥammad ibn Mūsā al-Ḵwārizmī. (Il figure sur un timbre commémoratif de l'Union soviétique, émis le 6 septembre 1983. Le timbre porte son nom et la mention « 1200 ans », en référence à l'anniversaire approximatif de sa naissance.)

Le motalgorithme a une longue histoire.

'Al-Khwârizmî (en arabe :الخوارزمي)[3],[4] est unmathématicienpersan duIXe siècle, dont le nom est relatif auKhwarezm, une région située au Sud de lamer d'Aral. Le traité qu’il écrivit en arabe, au IXe siècle, sera traduit en latin au XIIe siècle, sous le titreAlgoritmi de numero Indorum. "Algoritmie des nombres indiens"[5],[6]. Algoritmie est la latinisation de son nom par les traducteurs : Alchoarismi puis Algorismi, Algorismo, Algoritmi[7].

Un de ses ouvrages,Abrégé du calcul par la restauration et la comparaison, a d'ailleurs donné son nom à l'algèbre. Le titre de la traduction par Gilbert de Cremone en latin estLiber Maumeti filii Moysi Alchoarismi de Algebra et Almuquabala. On y retrouve traduit son nom : Maumeti filii Moysi Alchoarismi (Muhammad Ben Musa al Kwuwarizmi) et le fameux Alchoarismi.

Joannes Sacrobosco, moine ayant étudié àOxford, est reçu à l'université de laSorbonne le et élu professeur deQuadrivium peu après. C’est vers cette date qu’il composeDe Algorismo[8]. Il est l'un des premiersdocteurs duMoyen Âge à utiliser les écritsastronomiques des Arabes, considéré d'ailleurs enAngleterre comme ayant introduit l'usage des « chiffres » (sifer) que le papeSylvestre II avait tenté en vain de répandre plus tôt.

En 1240,Alexandre de Villedieu écrit sonCarmen de Algorismo sur la science des chiffres.

Algoritmie désigne alors aussi ce nouveausystème de numération, le système denumération de position avec lezéro[7].

Sous l’influence de l’ancien espagnolalgorismo, le mot apparaît aussi en français déjà vers 1230 sous la formeaugorisme, puisalgorisme auXIIIe siècle, pour désigner le calcul en chiffres, l’arithmétique. La forme moderne du terme reprend lelatin médiévalalgorithmus, altération influencée pararithmetica et d'autres, du grec ancienarithmos = nombre.

En 1842,Ada Lovelace écrit le premier algorithme deprogrammation de l'histoire. Elle le fait à partir de la machine analytique de Babbage et devient la première informaticienne de l'humanité[9].

Définition générale

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Un algorithme est une méthode générale pour résoudre un type de problèmes. Il est ditcorrect lorsque, pour chaqueinstance du problème, il se termine en produisant la bonne sortie, c'est-à-dire qu'il résout le problème posé.

L'efficacité d'un algorithme est mesurée notamment par :

Les ordinateurs sur lesquels s'exécutent ces algorithmes ne sont pas infiniment rapides, car letemps de machine reste une ressource limitée, malgré une augmentation constante des performances des ordinateurs. Un algorithme sera donc ditperformant s'il utilise avec parcimonie les ressources dont il dispose, c'est-à-dire le temps deprocesseur, lamémoire vive et, objet de recherches récentes, laconsommation électrique. L’analyse de la complexité des algorithmes permet de décrire l'évolution en temps calcul nécessaire pour amener un algorithme à son terme, lorsque la quantité de données à traiter grandit.


L'émergence deslangages de niveaux supérieurs pose le problème du temps :

  • soit on passe du temps à programmer avec deslangages de bas niveau (le programme est alors rapide) ;
  • soit on utilise deslangages de haut niveau où une instruction est déjà constituée de plusieurs instructions de base. Le temps d'utilisation de la machine augmente alors de façon importante.

L'algorithme composé de boites peut ainsi être plus ou moins détaillé, précis.

Quelques définitions connexes

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Donald Knuth (1938-) liste, comme prérequis d'un algorithme, cinq propriétés[10] :

  • finitude :« un algorithme doit toujours se terminer après un nombre fini d’étapes » ;
  • définition précise :« chaque étape d'un algorithme doit être définie précisément, les actions à transposer doivent être spécifiées rigoureusement et sans ambiguïté pour chaque cas » ;
  • entrées :« quantités qui lui sont données avant qu'un algorithme ne commence. Ces entrées sont prises dans un ensemble d'objets spécifié » ;
  • sorties :« quantités ayant une relation spécifiée avec les entrées » ;
  • rendement :« toutes les opérations que l'algorithme doit accomplir doivent être suffisamment basiques pour pouvoir être en principe réalisées dans une durée finie par un homme utilisant un papier et un crayon ».

George Boolos (1940-1996), philosophe et mathématicien, propose la définition suivante[11] :

  • « Des instructions explicites pour déterminer le nième membre d'un ensemble, pourn un entier arbitrairement grand. De telles instructions sont données de façon bien explicite, sous une forme qui puisse être utilisée par une machine à calculer ou par un humain qui est capable de transposer des opérations très élémentaires en symboles. »

Gérard Berry (1948-), chercheur en science informatique, en donne la définition grand public suivante[12] :

  • « Un algorithme, c’est tout simplement une façon de décrire dans ses moindres détails comment procéder pour faire quelque chose[13]. Il se trouve que beaucoup d’actions mécaniques, toutes probablement, se prêtent bien à une telle décortication. Le but est d’évacuer la pensée du calcul, afin de le rendre exécutable par une machine numérique (ordinateur…). On ne travaille donc qu’avec un reflet numérique du système réel avec qui l’algorithme interagit. »

Les entrées sont généralement associées à des capteurs et les sorties à des actions, actionneurs ou opérateurs (affichage, moteur, etc.).

Algorithmes numériques

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Les algorithmes sont des objets historiquement dédiés à la résolution de problèmes arithmétiques, comme lamultiplication de deux nombres. Ils ont étéformalisés bien plus tard avec l'avènement de lalogique mathématique et l'émergence des machines qui permettaient de les mettre en œuvre, à savoir lesordinateurs.

Algorithmes non numériques

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The Art of Computer Programming, un livre de référence sur des algorithmes non numériques.

La plupart des algorithmes ne sont pas numériques.

On peut distinguer :

  • desalgorithmes généralistes qui s'appliquent à toute donnée numérique ou non numérique : par exemple les algorithmes liés auchiffrement, ou qui permettent de les mémoriser ou de les transmettre ;
  • desalgorithmes dédiés à un type de données particulier (par exemple ceux liés autraitement d'images).

Voir aussi :Liste de sujets généraux sur les algorithmes (en)

Algorithmes dans la vie quotidienne

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Carte perforée pour le tissage,Centre de Documentació i Museu Tèxtil. On remarquera la similitude avec celles utilisées pour représenter des algorithmes informatiques.

L'algorithmique intervient de plus en plus dans la vie quotidienne[14].

Les progrès de ce qu'on appelle l'intelligence artificielle s'appuient sur un algorithmique de plus en plus complexe qui devient l'un des rouages cachés duWeb 2.0 et des grandsréseaux sociaux.

Critiques

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Dans la vie quotidienne, un glissement de sens s'est opéré, ces dernières années, dans le concept d'« algorithme » qui devient à la fois plus réducteur, puisque ce sont pour l'essentiel des algorithmes de gestion dubig data, et d'autre part plus universel en ce sens qu'il intervient dans tous les domaines du comportement quotidien[18][réf. incomplète]. La famille des algorithmes dont il est question effectue des calculs à partir de grandes masses de données (lesbig data). Ils réalisent des classements, sélectionnent des informations et en déduisent un profil, en général de consommation, qui est ensuite utilisé ou exploité commercialement. Les implications sont nombreuses et touchent les domaines les plus variés[19]. Mais les libertés individuelles et collectives pourraient être finalement mises en péril[20], comme le montre la mathématicienne américaineCathy O'Neil dans le livreWeapons of Math Destruction, publié en 2016 et sorti en français en 2018 sous le titreAlgorithmes : la bombe à retardement (aux éditions Les Arènes).

« Aujourd’hui, les modèles mathématiques et les algorithmes prennent des décisions majeures, servent à classer et catégoriser les personnes et les institutions, influent en profondeur sur le fonctionnement des États sans le moindre contrôle extérieur. Et avec des effets de bords incontrôlables. […] Il s’agit d’un pouvoir utilisé contre les gens. Et pourquoi ça marche ? Parce que les gens ne connaissent pas les maths, parce qu’ils sont intimidés. C’est cette notion de pouvoir et de politique qui m’a fait réaliser que j’avais déjà vu ça quelque part. La seule différence entre les modèles de risque en finances et ce modèle de plus-value en science des données, c’est que, dans le premier cas, en 2008, tout le monde a vu la catastrophe liée à la crise financière. Mais, dans le cas des profs, personne ne voit l’échec. Ça se passe à un niveau individuel. Des gens se font virer en silence, ils se font humilier, ils ont honte d’eux[21]. »

Dans cet ouvrage, l'auteure alerte le lecteur sur les décisions majeures que nous déléguons aujourd'hui aux algorithmes dans des domaines aussi variés que l'éducation, la santé, l'emploi et la justice, sous prétexte qu'ils sont neutres et objectifs, alors que, dans les faits, ils donnent lieu à « des choix éminemment subjectifs, des opinions, voire des préjugés insérés dans des équations mathématiques »[22].

La notion debulle de filtre (oufilter bubble en anglais), popularisée parEli Pariser, désigne l’effet des algorithmes de personnalisation utilisés par les plateformes en ligne qui isolent les utilisateurs dans une sorte de bulle en leur proposant des contenus correspondant à leurs préférences et croyances antérieures. En d’autres termes, l’exposition à des informations et opinions diversifiées est limitée, ayant pour conséquence de renforcer lesbiais cognitifs et les visions préexistantes de la réalité. Les auteursJ. Farchy et S. Tallec ont analysé l’impact de ces bulles de filtre sur la découverte de contenus culturels, tels que les films ou la musique. Leur étude révèle que, dans un environnement où les algorithmes favorisent la personnalisation au détriment de la diversité, ladiversité culturelle est menacée[23].

L'opacité des algorithmes est l'une des raisons principales de ces critiques. Une meilleure information sur leur mode de fonctionnement spécifique permettrait de rendre plus clair le "contrat social passé entre les internautes et les calculateurs"[24]. La description pour chaque algorithme de son propre principe de classement de l'information aide l'utilisateur à mieux comprendre les choix proposés par l'algorithme et les résultats obtenus[25].

Enjeux éthiques et sociaux

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Morale, responsabilité et agents artificiels

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Depuis lesannées 2000, l’usage croissant d’algorithmes dans des domaines variés (publicité, politique, services numériques) soulève des questions éthiques et sociétales. Souvent perçus comme des « boîtes noires », ces systèmes automatisés influencent les comportements individuels sans que leurs mécanismes internes soient toujours compréhensibles ou transparents.

Des philosophes comme Wendell Wallach et Colin Allen ont interrogé la capacité de ces systèmes à prendre des décisions à portée morale, introduisant la notion d’« agents moraux artificiels » : des systèmes qui, sans être imputables comme les humains, peuvent néanmoins avoir un impact éthique significatif. Dans cette lignée,Martin Gibert insiste sur le rôle central de la programmation dans les choix moraux intégrés aux algorithmes : « Quelles règles implanter dans les robots, et comment le faire ? »

« Les agents moraux artificiels (AMA) ne sont pas cependant des agents moraux au sens fort du terme. Contrairement aux humains, ils ne semblent pas imputables[sic] de leurs actes. Ils n'ont toutefois pas besoin de l'être pour prendre des décisions moralement significatives et soulever tout un tas de questions en éthique des algorithmes[26]. »

Reproduction des inégalités et biais structurels

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Une approche sociologique des technologies algorithmiques[27], portée notamment par les chercheur·e·s enScience and Technology Studies (STS), met en lumière la manière dont ces systèmes s’inscrivent dans des dynamiques sociales complexes. Loin d’être le produit d’intentions malveillantes ou de détournements délibérés, les biais et discriminations générés par ces technologies résultent de processus collectifs de conception, d’entraînement et de déploiement, façonnés par des structures sociales inégalitaires et des jeux d’acteurs aux intérêts multiples, parfois contradictoires.

Les données mobilisées pour entraîner ces systèmes sont elles-mêmes issues de contextes marqués par desrapports sociaux — qu’ils soient raciaux,genrés ou économiques. En l’absence d’une analyse rigoureuse de ces structures, les technologies algorithmiques tendent à reproduire et amplifier les inégalités existantes, non par malveillance, mais parce qu’elles sont conçues et mises en œuvre dans un environnement social traversé par des normes, des hiérarchies et des logiques d’exclusion. Ce phénomène renvoie à ce que certain·e·s nomment le façonnement sociotechnique des technologies : les algorithmes ne sont pas neutres, ils sont le produit de choix techniques influencés par des pratiques professionnelles, des logiques économiques, des imaginaires sociaux et des contraintes institutionnelles.

Ainsi, les algorithmes incarnent une forme de priorisation de ce qui est techniquement exécutable, au détriment de la complexité sociale et humaine. Les décisions intégrées dans les modèles — que ce soit dans la sélection des données, les critères de classification, ou la manière dont les sorties sont interprétées — résultent de compromis entre acteurs (développeurs, entreprises, institutions) aux intérêts et responsabilités parfois flous ou dispersés.

" L’idée selon laquelle un simple accroissement des données pourrait éliminer les biais ignore ce point fondamental: les données ne sont pas neutres, elles sont le reflet de réalités sociales déjà marquées par des inégalités. "

Un exemple[28] marquant concerne les systèmes de reconnaissance d’images, tels que Google Cloud Vision ou Amazon Rekognition, qui attribuent davantage d’étiquettes liées à l’apparence aux femmes (« fille », « présentatrice télé »), tandis que les hommes se voient associés à des fonctions ou statuts (« homme d’affaires », « gentleman »). Ce constat ne relève pas d’une intention sexiste des programmeurs, mais d’un apprentissage à partir de données historiquement genrées, elles-mêmes issues de contextes où les rôles sociaux sont inégalement répartis. En ce sens, ces technologies renforcent des stéréotypes en les répliquant, sous couvert de neutralité technique.

Il est donc essentiel de comprendre que les technologies algorithmiques ne « créent » pas les inégalités, mais qu’elles opèrent comme des amplificateurs de dynamiques sociales existantes. Leur prétendue objectivité masque en réalité leur ancrage dans des environnements sociohistoriques inégalitaires. Les processus techniques ne sont jamais isolés : ils prennent forme à travers des chaînes de décisions, des arbitrages politiques, économiques et normatifs, et des formes de rationalisation qui occultent, volontairement ou non, les implications sociales de ces choix.

Finalement, penser les algorithmes exige une réflexion qui dépasse la technique : il s’agit de comprendre les conditions sociales de production des technologies, les rapports sociaux qui les traversent, et les effets sociaux qu’elles produisent. Sans cela, les tentatives de "corriger" les biais risqueraient de rester superficielles, et les inégalités de continuer d’être inscrites dans des systèmes perçus comme neutres ou universels.

Instrumentalisation et détournement algorithmique

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Au-delà des biais involontaires[29], les algorithmes peuvent aussi être intentionnellement détournés à des fins idéologiques ou politiques. En juillet 2024, une étude de l’Institute for Strategic Dialogue a révélé que certains utilisateurs deTikTok affiliés à l’extrême droite manipulaient l’algorithme de recommandation de la plateforme pour diffuser, de manière dissimulée, des discours d’Adolf Hitler. En insérant des extraits entre des séquences musicales ou des contenus populaires, ces comptes contournent les mécanismes de modération tout en exploitant les logiques de viralité du système.

Ces pratiques illustrent une tendance plus large : les algorithmes, loin d’être neutres, participent activement à la structuration de l’espace public numérique. Qu’il s’agisse de biais involontaires ou d’instrumentalisation délibérée, les enjeux éthiques, sociaux et politiques liés à leur usage appellent à une réflexion collective sur leur conception et leur gouvernance.

Notes et références

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  1. La notion de problème peut être vue dans un sens large, il peut s'agir d'une tâche à effectuer, comme trier des objets, assigner des ressources, transmettre des informations, traduire un texte, etc.L'algorithme reçoit desdonnées (lesentrées), par exemple les objets à trier, la description des ressources à assigner, des besoins à couvrir, un texte à traduire, les informations à transmettre et l'adresse du destinataire, etc., et fournit éventuellement des données (lasortie), par exemple les objets triés, les associations ressource-besoin, un compte-rendu de transmission, la traduction du texte, etc.
  2. En particulier dans lessystèmes d'exploitation et lacompilation
  3. Alain Rey (dir.),Dictionnaire historique de la langue française,t. I, Paris, Le Robert, 1992, rééd. 1998, 1382 p.(ISBN 2-85036-532-7),p. 82.
  4. Patrice Hernert,Les algorithmes, Paris, Presses universitaires de France,coll. « Que sais-je ? »,, 128 p.(ISBN 978-2-13-053180-7,OCLC 300211244),p. 5.
  5. Al-Khwarizmi: The Inventor of Algebra.
  6. Ibid.,p. 199-200.
  7. a etbGeorgesIfrah,Histoire universelle des chiffres : l'intelligence des hommes racontée par les nombres et le calcul, R. Laffont,(ISBN 2-221-07838-1,978-2-221-07838-9 et2-221-05779-1,OCLC 32511226,lire en ligne).
  8. Johannes de Sacro Bosco (11-1256?) Auteur dutexte, Alexander de Villa Dei Auteur dutexte, Arnoldus Saxo Auteur dutexte et Albert le Grand (1200?-1280 ; saint) Auteur dutexte,Johannes de Sacrobosco,Compotus ; Anonymi tractatus de compositione et usu quadrantis ; Alexander de Villa Dei, Carmen de algorismo ; Johannes de Sacrobosco, Tractatus de sphaera ; Versus pro festis sciendis, sive inveniendis ; Ludi arithmetici ; Arnoldus Saxo, De virtutibus gemmarum ; Albertus Magnus, Tractatus de mineralibus, libris quinque, 1290-1305(lire en ligne).
  9. « [Femmes oubliées de l’histoire] Ada Lovelace | Université Paris Cité »(consulté le)
  10. (en) Donald E. Knuth,Algorithmes, Stanford, CSLI Publications,, 510 p.(ISBN 978-1-57586-620-8).
  11. Boolos and Jeffrey 1974,1999:19.
  12. Un petit condensé d'histoire de l'informatique, web-série didactique.
  13. Philippe Flajolet, Étienne Parizot,« Qu'est ce qu'un algorithme ? », interstices.fr, 2004.
  14. Voir l'article(en)Jeanette M.Wing, « Computational thinking »,Communications of the ACM,vol. 49,no 3,‎,p. 33(DOI 10.1145/1118178.1118215,lire en ligne) traduit en français commeLa pensée informatique et le livre de Gilles Dowek,Les Métamorphoses du calcul : une étonnante histoire de mathématiques, Paris, Édition Le Pommier,coll. « Essais »,, 223 p.(ISBN 978-2-7465-0324-3).
  15. Hervé ThisCours de gastronomie moléculaire, tome 1 : Science, technologie, technique… culinaires : quelles relations?, (2009) Éditions Quae/Belin.
  16. LaurentThéry, « Résoudre le Mini-Rubik’s Cube »,Interstices,‎(lire en ligne).
  17. Marc Nagels, « Le raisonnement clinique : un attracteur étrange », sur17marsconseil.fr,(consulté le).
  18. Dominique Cardon,A quoi rêvent les algorithmes : nos vies à l'heure des big data, Édition du Seuil,coll. « La République des Idées »,, 108 p.(ISBN 978-2-02-127996-2).
  19. Colloque« Gouvernance des algorithmes » du.
  20. Francis Donnat,L'intelligence artificielle, une menace pour la vie privée ?, Revue Pouvoirs n° 170, Seuil,, 210 p.(ISBN 978-2-02-140678-8),p. 95.
  21. Libération du 17.11.2018,Cathy O’Neil : « Les algorithmes créent leur propre réalité »[1].
  22. « “Les algorithmes sont une arme de domination sociale” »,Bibliobs,‎(lire en ligne, consulté le).
  23. JoëlleFarchy et StevenTallec, « De l’information aux industries culturelles, l’hypothèse chahutée de la bulle de filtre »,Questions de communication,no 43,‎1er octobre 2023,p. 241–268(ISSN 1633-5961,DOI 10.4000/questionsdecommunication.31474,lire en ligne, consulté le)
  24. Dominique Cardon,La toile que nous voulons, Bernard Stiegler,p. 23-43.
  25. Karine Mauvilly,Cyber-minimalisme, Seuil,(ISBN 2021402614),p. 209.
  26. MartinGibert,Faire la morale aux robots : une introduction à l'éthique des algorithmes(ISBN 978-2-89759-517-3,2-89759-517-5 et978-2-89759-518-0,OCLC 1146545412).
  27. (en) KellyJoyce, LaurelSmith-Doerr, SharlaAlegria et SusanBell, « Toward a Sociology of Artificial Intelligence: A Call for Research on Inequalities and Structural Change »,Socius,vol. 7,‎1er janvier 2021,p. 2378023121999581(ISSN 2378-0231,DOI 10.1177/2378023121999581,lire en ligne, consulté le)
  28. (en) CarstenSchwemmer, CarlyKnight, Emily D.Bello-Pardo et StanOklobdzija, « Diagnosing Gender Bias in Image Recognition Systems »,Socius,vol. 6,‎1er janvier 2020,p. 2378023120967171(ISSN 2378-0231,PMID 35936509,PMCID 9351609,DOI 10.1177/2378023120967171,lire en ligne, consulté le)
  29. "NazTok" : une étude révèle l'utilisation de l'algorithme de TikTok par des groupes néo-nazis Radio France 31 juillet 2024

Annexes

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Articles connexes

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Liens externes

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