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Alexandre Ribot

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Pour les articles homonymes, voirRibot.

Alexandre Ribot
Illustration.
Alexandre Ribot en 1913.
Fonctions
Ministre des Affaires étrangères

(7 mois et 3 jours)
PrésidentRaymond Poincaré
GouvernementRibot V
Painlevé I
PrédécesseurAristide Briand
SuccesseurLouis Barthou

(2 ans, 9 mois et 25 jours)
PrésidentSadi Carnot
Gouvernementde Freycinet IV
Loubet
Ribot I
PrédécesseurEugène Spuller
SuccesseurJules Develle
Président du Conseil des ministres

(5 mois et 23 jours)
PrésidentRaymond Poincaré
GouvernementRibot V
LégislatureXIe
PrédécesseurAristide Briand
SuccesseurPaul Painlevé

(3 jours)
PrésidentRaymond Poincaré
GouvernementRibot IV
LégislatureXIe
PrédécesseurGaston Doumergue
SuccesseurRené Viviani

(9 mois et 2 jours)
PrésidentFélix Faure
GouvernementRibot III
LégislatureVIe
PrédécesseurCharles Dupuy
SuccesseurLéon Bourgeois

(3 mois et 24 jours)
PrésidentSadi Carnot
GouvernementRibot I etII
LégislatureVe
PrédécesseurÉmile Loubet
SuccesseurCharles Dupuy
Ministre des Finances

(2 ans, 6 mois et 22 jours)
PrésidentRaymond Poincaré
GouvernementViviani II
Briand V etVI
PrédécesseurJoseph Noulens
SuccesseurJoseph Thierry

(9 mois et 6 jours)
PrésidentFélix Faure
GouvernementRibot III
PrédécesseurRaymond Poincaré
SuccesseurPaul Doumer
Sénateur français

(14 ans et 10 jours)
Élection3 janvier 1909
Réélection11 janvier 1920
CirconscriptionPas-de-Calais
Député français

(30 ans, 8 mois et 27 jours)
Élection7 avril 1878
Réélection21 août 1881
4 octobre 1885
22 septembre 1889
20 août 1893
8 mai 1898
27 avril 1902
6 mai 1906
CirconscriptionPas-de-Calais
LégislatureIIe,IIIe,IVe,Ve,VIe,VIIe,VIIIe etIXe(Troisième République)
Groupe politiqueRépublicains progressistes(1902-1909)
PrédécesseurPaul Dussaussoy-Hubert
SuccesseurEdmond Lefebvre du Prey
Biographie
Nom de naissanceAlexandre Félix Joseph Ribotte
Date de naissance
Lieu de naissanceSaint-Omer (France)
Date de décès (à 80 ans)
Lieu de décèsParis (France)
SépultureCimetière des Bruyères à Saint-Omer (Pas-de-Calais)
NationalitéFrançaise
Parti politiqueModéré
Diplômé deFaculté de droit de Paris
ProfessionAvocat
Présidents du Conseil des ministres français
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Alexandre Ribot, né le àSaint-Omer (Pas-de-Calais) et mort le dans le7e arrondissement de Paris, est unmagistrat,conseiller d'État ethomme politiquefrançais.

Biographie

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Jeunesse et études

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Alexandre Félix Joseph Ribotte[Note 1] naît le à Saint-Omer du mariage d'Alexandre Joseph Rémy Ribotte, propriétaire, et de Zoé Adélaïde Josèphe Leducq[1].

Il effectue de brillantes études à l'université de Paris, où il fut lauréat de la faculté de droit.

Parcours professionnel

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Il devient un avocat remarqué. Il fut secrétaire de la Conférence des avocats et l'un des fondateurs de laSociété de législation comparée.

En 1875 et 1876, il fut directeur des Affaires criminelles puis secrétaire général du ministère de la Justice, sous le patronage de son ministre et mentorJules Dufaure, qui devint également président du conseil en.

Il entra en politique en 1877 en jouant un rôle important dans le comité de résistance juridique pendant le ministère Broglie. L'année suivante, il fut élu député deBoulogne-sur-Mer comme républicain modéré, dans son département natal duPas-de-Calais.

En 1879, il exerça le métier de journaliste en tant querédacteur en chef avecGeorges Picot du journal centre gauchele Parlement fondé parJules Dufaure.

Son éloquence passionnée mais raisonnable lui donna une influence qu'accrurent ses interventions au parlement, où il s'opposa aux mesures violentes contre les congrégations non autorisées. Il se consacra surtout aux questions financières et en 1882 fut rapporteur du Budget.

Il devint un des principaux adversaires républicains duParti radical, en se distinguant par ses attaques contre l'éphémère ministèreGambetta (fin 1881-début 1882). Il refusa de voter les crédits demandés par le cabinetFerry pour l'expédition du Tonkin et aidaGeorges Clemenceau à renverser le ministère en 1885.

Aux élections générales de cette année-là, il fut une victime de la déroute républicaine dans le Pas-de-Calais et ne revint pas à la Chambre avant 1887.

Alexandre Ribot par Ledrey.

Après 1889, il représenta de nouveauSaint-Omer. Sa crainte devant lemouvement boulangiste le convertit à la politique de « concentration républicaine » et en 1890 il devint ministre des Affaires étrangères dans le cabinetFreycinet.

Il avait une profonde connaissance des institutions anglaises qu'il estimait et deux de ses travaux publiésBiographie de Lord Erskine (1866) etÉtude de l'acte du pour l'établissement d'une cour suprême de Justice en Angleterre (1874), traitent de la législation anglaise.

Il donna aussi une direction nouvelle et très importante à la politique française par l'entente avec la Russie, annoncée au monde en 1891 par la visite de la flotte française àCronstadt – nom qui fut donné alors à des rues ou quais français – et qui par la suite se concrétisa dans un traité formel d'alliance franco-russe. Cinq ans plus tard, lecouple impérial russe fit une visite officielle et très populaire en France, où il fut reçu avec faste par le présidentFélix Faure (des objets décoratifs commémorant cet événement furent alors réalisés).

Il conserva son poste dans le ministèreÉmile Loubet (février–) et après sa chute devint président du Conseil, en conservant le portefeuille des Affaires étrangères. Son gouvernement démissionna en sur le refus de la Chambre d'accepter les amendements au budget préconisés par leSénat.

Après l'élection de Félix Faure comme président de la République en, Ribot redevint président du Conseil et ministre des Finances. Le, il fut capable d'annoncer officiellement pour la première fois une alliance en forme avec laRussie. Le son gouvernement tomba sur la question du chemin de fer du Sud. La raison de sa chute était en fait la mauvaise tournure qu'avait prise l'expédition de Madagascar, dont le prix en hommes et en argent avait dépassé toutes les attentes et la situation sociale inquiétante du pays, et dont la grève àCarmaux était un signe.

Après la chute du ministèreJules Méline en 1898, Ribot essaya en vain de former un cabinet « de conciliation ». Il fut élu, à la fin de 1898, président de l'importantecommission de l'instruction publique, où il recommanda l'adoption d'un système moderne d'éducation.

La politique du ministèreWaldeck-Rousseau sur les congrégations religieuses enseignantes divisa le Parti républicain et Ribot fut parmi ceux qui se séparèrent de lui. Mais aux élections générales de 1902, bien qu'il fût lui-même réélu, sa tendance politique subit un échec sévère.

Il s'opposa activement à la politique du ministèreCombes dont il dénonça l'alliance avecJean Jaurès. Le, il fut un des chefs de l'opposition qui provoquèrent la chute du cabinet. Bien qu'il eût été le plus violent dans la dénonciation de la politique anticléricale du cabinet de Combes, il fit savoir alors qu'il acceptait qu'un nouveau régime remplaçât leConcordat de 1801 et il apporta son appui au gouvernement pour l'établissement des associations cultuelles, en même temps qu'il contribuait à faire mitiger les décrets sur la Séparation.

Alexandre Ribot en tenue d'académicien en octobre 1914.

Il fut réélu député de Saint-Omer en 1906. La même année, il fut élu membre de l'Académie française, succédant auduc d’Audiffret-Pasquier. Il était déjà membre de l'Académie des sciences morales et politiques depuis 1903.

Le il fait voter la première loi en France qui autorise des sociétés spécialisées à distribuer des prêts immobiliers à des particuliers, notamment aux revenus modestes[2], en vue de l'acquisition de leurs logements[3].

Il est l'un des membres d'honneur de laSociété nationale des beaux-arts en 1913[4].

Pour justifier sa politique d'opposition, il publia en 1905 deux volumes de ses discours politiques.

Ribot fut quelques jours président du Conseil en après la chute du gouvernementDoumergue et revint au pouvoir en, après celle deBriand.

De droite à gauche, en 1921, à la sortie de l'Académie française :Louis Duchesne, Alexandre Ribot,Nicholas Butler, prix Nobel de la paix et le cardinal Baudrillart.

C'est probablement à ce moment qu'il inspira à son ancien allié Georges Clemenceau - qui l'aurait surnommé« le saule pleureur » - ce mot cruel : « On dit que les meilleurs abris sont voûtés. M. Ribot est voûté, mais il n'en est pas plus sûr pour autant ».

Ce dernier ministère se situe pendant la partie la plus critique de laPremière Guerre mondiale, qui avait vu l'échec de l'offensiveNivelle et la retentissante mutinerie des soldats français qui en avait été la conséquence. Démis en septembre et remplacé par le ministre de la GuerrePaul Painlevé, il resta ministre des Affaires étrangères pendant un mois avant de démissionner en octobre.

Il épousa le dans le8e arrondissement de Paris la veuve de son ami Armand Demongeot (1842-1875), l'Américaine Mary Weld Burch (1849 àChicago - ?)[5]. Ils eurent un fils, Alexandre Eugène, médecin ( àVersailles - dans le16e arrondissement de Paris)[6], sorti major de l'internat.

Il fut sénateur du Pas-de-Calais du 3 janvier 1909, jusqu'à sa mort le, à son domicile,11,quai d'Orsay dans le7e arrondissement deParis[7].

Il est inhumé au cimetière des Bruyères deSaint-Omer.

Parcours professoral

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Il donne cours à l'École libre des sciences politiques dès 1873[8]. Le 5 juin 1921, un prononce un discours pour le cinquantenaire de l'école. Il déclame que« C'est l’École des sciences politiques qui a gagné la guerre »[9].

Détail des fonctions ministérielles

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Il occupa les fonctions deprésident du Conseil des ministres à cinq reprises :

Publications

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  • La Réforme de l'enseignement secondaire,Armand Colin, 1900
  • Lettres à un ami, souvenirs de ma vie politique, Bossard, 1924

Hommages

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Le nom d'Alexandre Ribot a été donné à de nombreuses voies françaises (liste non exhaustive) :

Avenue Alexandre Ribot :

Place Alexandre Ribot :

Rue Alexandre Ribot :

Rue Président Ribot :

Rue Ribot :

Square Alexandre Ribot :

Parmi les autres types d'hommages, il existe aussi des noms de bâtiments :


  • Monument Alexandre Ribot sur la place du Vainquai à Saint-Omer.
    Monument Alexandre Ribot sur la place du Vainquai àSaint-Omer.
  • Tombe d'Alexandre Ribot au cimetière des Bruyères de Saint-Omer.
    Tombe d'Alexandre Ribot au cimetière des Bruyères deSaint-Omer.

Notes et références

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Notes

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  1. par décision du tribunal, en 1857, le nom de famille devient Ribot (mention portée en marge de son acte de naissance).

Références

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  1. « acte de naissanceno 85 d'Alexandre Ribot », surles archives du département du Pas-de-Calais(consulté le),p. 544.
  2. « Un dimanche en 1908 »,Les Échos,‎(lire en ligne, consulté le).
  3. https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000000693352
  4. Paul-Arnaud Herissey,Catalogue de la Société nationale des beaux-arts
  5. Acte de mariage (Archives numérisées de Paris) microfilm V4E 3423 vue 31
  6. Acte de naissance de son fils (Archives numérisées des Yvelines) microfilm 4E 3980 vue 86
  7. « acte de décèsno 103 d'Alexandre Ribot », surlesarchives de Paris(consulté le),p. 11.
  8. PierreFavre, « Les sciences d'Etat entre déterminisme et libéralisme: Emile Boutmy (1835-1906) et la création de l'Ecole libre des sciences politiques »,Revue française de sociologie,vol. 22,no 3,‎,p. 429-465(ISSN 0035-2969,DOI 10.2307/3321160,lire en ligne, consulté le)
  9. GérardVincent et Anne-MarieDethomas,Sciences po: Histoire d'une réussite, Plon (réédition numérique FeniXX),(ISBN 978-2-259-26077-0,lire en ligne)
  10. « Alexandre Ribot », inLes statues de Strasbourg, Éditions Coprur, Strasbourg, p. 75-76(ISBN 2-903297-42-8)

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • (en)« Alexandre Ribot », dansEncyclopædia Britannica[détail de l’édition],(lire sur Wikisource).
  • Les papiers personnels d'Alexandre Ribot sont conservés auxArchives nationales, site de Pierrefitte-sur-Seine, sous la cote 563AP :Inventaire du fonds.
  • « Alexandre Ribot », dansAdolphe Robert etGaston Cougny,Dictionnaire des parlementaires français,Edgar Bourloton, 1889-1891[détail de l’édition]
  • Pierre Allorant, Walter Badier, Jean-Marc Guislin et Olivier Tort,Alexandre Ribot, une vie en politique, Lille, Presses universitaires du Septentrion, coll « Histoire et Civilisations », 2025, 354 p.
  • Walter Badier,Alexandre Ribot et la République modérée : formation et ascension d’un homme politique libéral (1858-1895), Paris, Fondation Varenne, Collection des Thèses, 2016, 632 p.
  • WalterBadier, « Le député et son double : l’amitié entre Alexandre Ribot et Georges Foissey »,Revue du Nord,vol. 420,no 2,‎,p. 357-377(ISSN 0035-2624,DOI 10.3917/rdn.420.0357,lire en ligne).
  • Walter Badier, « Le rapprochement franco-russe d’après les mémoires de Charles de Freycinet et d’Alexandre Ribot (1890-1893) »,in Julien Bouchet (dir.),Charles de Freycinet. L’ingénieur de la République, Paris, Atlande, 2025, p. 257-273.
  • Walter Badier, « Alexandre Ribot, un opposant libéral à la République combiste »,in Julien Bouchet et Pierre Triomphe (dir.),Émile Combes et le combisme, Paris, Atlande, 2022, p. 327-343.
  • Yvert Benoît (dir.),Premiers ministres et présidents du Conseil. Histoire et dictionnaire raisonné des chefs du gouvernement en France (1815-2007), Paris, Perrin, 2007, 916 p.
  • Martin E. Schmidt,Alexandre Ribot: Odyssey of a liberal in the Third Republic, Martinus Nijhoff, 1974.
  • « Alexandre Ribot », dans leDictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction deJean Jolly,PUF, 1960[détail de l’édition]

Articles connexes

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Liens externes

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Paul Painlevé
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Agriculture
FinancesAlexandre Ribot
Travaux publics
Commerce, Industrie etPTTÉtienne Clémentel
ColoniesGaston Doumergue
Travail et Prévoyance sociale
Armement et Fabrications de guerreAlbert Thomas (1916-1917)
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Président du Conseil
Guerre
Instruction publique et Beaux-Arts
IntérieurLouis Malvy
Justice
Marine
AgricultureFernand David
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Colonies
Travail et Prévoyance sociale
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Affaires étrangèresLéon Bourgeois
Alexandre Ribot
Président du Conseil
GuerreThéophile Delcassé
Instruction publique et Beaux-ArtsArthur Dessoye
IntérieurPaul Peytral
JusticeAlexandre Ribot
MarineÉmile Chautemps
AgricultureAdrien Dariac
FinancesÉtienne Clémentel
Travaux publicsJean Dupuy
Commerce, Industrie et PTTMarc Réville
ColoniesMaurice Maunoury
Travail et Prévoyance socialeJean-Baptiste Abel
Liste des sous-secrétaires d’État
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v ·m
Sous la présidence deFélix Faure
FinancesAlexandre Ribot


Alexandre Ribot
Président du Conseil
JusticeLudovic Trarieux
Affaires étrangèresGabriel Hanotaux
IntérieurGeorges Leygues
GuerreÉmile Zurlinden
MarineArmand Besnard
Instruction publique et Beaux-Arts et CultesRaymond Poincaré
Travaux publicsLudovic Dupuy-Dutemps
Commerce, Industrie,Postes et TélégraphesAndré Lebon
AgricultureAntoine Gadaud
ColoniesÉmile Chautemps
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Sous la présidence deSadi Carnot
Affaires étrangères


Alexandre Ribot
Président du Conseil
Justice
Intérieur
Guerre
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Finances
Instruction publique, Beaux-Arts et CultesCharles Dupuy
Commerce, Industrie etColoniesJules Siegfried
Agriculture
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Président du Conseil
Affaires étrangèresAlexandre Ribot
Justice et CultesLouis Ricard
GuerreCharles de Freycinet
Marine etColonies
FinancesMaurice Rouvier
Instruction publique et Beaux-ArtsLéon Bourgeois
AgricultureJules Develle
Commerce, Industrie etColoniesJules Roche
Travaux publicsJules Viette
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GuerreCharles de Freycinet


Charles de Freycinet
Président du Conseil
Affaires étrangèresAlexandre Ribot
Justice et CultesArmand Fallières
MarineÉdouard Barbey
IntérieurErnest Constans
FinancesMaurice Rouvier
Instruction publique et Beaux-ArtsLéon Bourgeois
AgricultureJules Develle
Commerce, Industrie etColoniesJules Roche
Travaux publicsYves Guyot
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